un jour = une histoire

J'aime ..aussi .William Shakespeare.... Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier ...bonne nuit à tous

Bonjour mes amis conteurs...

Tout d'abord, Dolce, merci de m'avoir écoutée et d'avoir changé tes larmes en sourires! Il te reste maintenant à mettre ton coeur au diapason...

Toi, mon ami Jedino, tu gardes toujours ce mal-être qui semble te coller à la peau....Je crois que seules les années à venir viendront y remédier! Pour avoir vécu ce genre de problème dans ma jeunesse, je sais que ce n'est qu'un passage...et qu'un jour tu verras les choses autrement!

Morphée, a toujours son humour un peu grinçant que j'apprécie et qui le différencie des autres...J'aimerais bien le lire plus souvent...

Et à mon tendre ami Beach boy, avec lequel je me sens tant d'affinités depuis si longtemps, je réitère ici tout mon attachement...

pourquoi ça serait de l'humour

de la tautologie plutôt

un énoncé tourné d'une certaine façon qu'il ne peut être que vrai ;

ici pour moi l'humour est annulé du fait que je n'ai fait qu'un copier/coller

derrière les blagues qu'on s' racontait à l'école..

à l'époque..

de belles saloperies moi j' dis..

le pire : c'est les auteurs de "ça" qui nous collaient..

si la culture est sadique, que je ne suis point maso, je n'en conclus qu'une chose : pauvre Terre..

Le vent souffle fort aujourd'hui

Il balaye mes rêves et mes soucis...

Comme une caresse,

Comme une promesse,

Il fait voler mes cheveux,

Me dépose un baiser radieux

Sur mes lèvres entrouvertes,

Chaudes et offertes...

Je respire, j'attends,

Je goûte avec délice ce moment...

Ce moment où tout doucement,

Le vent est devenu mon amant...

Bonjour Cosette, Beachboy, Jedino et les autres. Que vos écrits sont sombres, et pourtant j'ai changé mes larmes en sourires, t'as vu Cosette? :)

Dolce

Crois en l'avenir . Nos propos peuvent te paraitrent sombres mais il y a toujours en ceux -ci une lueur ..justement d'attente pour transformer nos larmes en sourires. Je ne te raconterai pas ma vie et ce que je peux avoir de travers" tout comme Cosette et Jedino ont pu vivre mais laisse ta main tendue à celui qui t'a peut être fait du mal car perdu mais garde en toi toute cette tendresse et amour que tu lui as octroyé..et s'il n'en t'en est pas reconnaissant c 'est qu'il n'en valait pas la peine... Je ne clame pas à cette reconnaissance mais vis aujourd'hui cette tendresse qui nous a toujours unit en dépit de tous..

Merci Beachboy pour ces paroles d'encouragement. Comme de nombreux couples, le mien s'est brisé, mais pas seulement par la faute d'un seul, par la faute à pas de chance, à une usure au bout de cinq années. Rien de dramatique, mais tout de même dur à vivre, et je m'y emploie tous les jours. Je suis arrivée sur ce forum par hasard et mes brefs passages me donnent une impression de convivialité. :)

Merci Cosette pour tes gentilles paroles

Un jour ..une histoire

C'est difficile de raconter son histoire ou même celle du jour bien que j'aime passer par le topic de mon amie pour y livrer certains sentiments et aussi pour le plaisir de vous lire tous ...j'adore Cosette c'est évident et ne m'en cache pas pour ses poèmes..ses mots et ce respect que nous avons chacun concernant ce qui est notre vie privée alors que Pierre ou Jacques cherchent à en percer certains mystères sans se soucier de ce respect aussi il est difficile de se livrer mais si je devais le faire par que j'estime que j'aimerais apporter quelques réponses à certains dires ..je le ferai ici

Ce soir ..j'ai juste envie de dire que le dernier poème de Cosette, j'en ai fait mien profitant de cette chaleur estivale en regardant ce rosier ornant ma fenêtre et ses bourgeons et quoiqu'on en dise ..lorsqu'il sera couvert de roses ..elles seront toujours pour la même personne qui va bientôt me rejoindre au nom de cette tendresse ..de ce que l'amour Dolce même s'il se termine un jour laisse quelque part et si tu dois prendre dans ta vie un nouveau départ ..garde à l'esprit tous ces tendres moments que tu as pu partager ...cela viendra avec le temps..crois moi

Lire Jedino est un plaisir et je ne cherche pas à en percer les secrets, Morphée n'a aucunement besoin de savoir qu'il s'auto flagelle :-) et tant de personnes qui passent e topic pour y livrer une histoire d'un jour ...une vie peut être que j'apprecie à lire é de topics qui me paraissent bien fades par leur contenu ou le rapport que peuvent avoir les différents progagonistes

Histoire d'un soir

Parfois, t'as des délires, comme ça, qui te viennes. Tu ne sais pas pourquoi, mais c'est ainsi. Alors, tu t'appliques, et tu le fais. Je me demande si je suis capable d'écrire une longue phrase qui ait du sens, du début, jusqu'à la fin. Le souci, c'est que tous les sujets et tous les contextes ne sont pas prétextes à ce genre de prose, comme s'il y a avait quelques conditions utile à leur création. Probable qu'un entrainement soit nécessaire. On s'habitue à tout, ou presque, au fond. Ne crois-tu pas? Alors, va-y, lance-toi, et écris, sans jamais t'arrêter, sans jamais trop y réfléchir, parce qu'il n'y a que ça qui te permettra, peut-être un jour, de parvenir à ce que tu ambitionnes, que cela soit une "petite" ou une "grande" chose : nul besoin de changer le monde sur l'ensemble de la ligne pour mériter de t'exprimer, surtout lorsqu'on sait le nombre de parenthèses, de virgules, et de passages effacés que comportent l'Histoire actuelle et passé. Amuse-toi, car c'est là ton rôle : non pas celui qu'on t'attribue quand tu nais, ni celui qu'on se tue à t'enseigner durant ton éphémère existence. Juste celui que tu t'offres par liberté. Enfin, si l'on veut. Allez, viens, et montre-moi à quoi ressemble ton monde, qu'il soit imaginaire ou non, que je sache qui tu es, ou serais : j'ai toujours été curieux de connaître la personnalité que tu possèdes, et non pas celle que tu te crées afin de coller au schéma de la réalité. Allez, oui, approche-toi, et déverse maintenant ta pensée, au gré d'un stylo ou d'un clavier, que je visite le vent de tes idées. Là est ta destinée, ma destinée, notre projet. Tracer courbe après courbe dans l'unique but de matérialiser maladroitement ce qui, dans les tréfonds d'un inconnu, toi, se trame sans que tu ne le saches jamais, car c'est là ton essence : discuter longtemps ce que tu ignores sans arrêt.

Je lis souvent des remords et des souffrances à propos d'un amour passé. Cela me rappelle la dernière dissertation que j'ai eu à faire, dissertation dont la note m'a, au passage, déçu. Il faut dire que j'ai terminé en concluant que le bonheur, finalement, consistait à aimer, et non pas à quêter la vérité, comme je l'aurais dû. Autrement dit, quitter toute forme d'illusions pour espérer, car oui, on peut toujours espérer, avoir, peut-être, l'occasion d'être un peu heureux. Conclusion : cherchez incessamment la vérité, dont l'essence vous fera nécessairement souffrir, et priez pour avoir la chance de le supporter, histoire de vous croire être heureux. Pour moi, qu'importe la situation, cela restera une mauvaise situation. La vérité ne rend pas heureux. Pas plus que l'amour, une illusion parmi de nombreuses autres. Néanmoins, elle est la plus souhaitable, la plus "belle", en quelque sorte, bien que l'une des plus destructrices.

Cela pose un autre problème, maintenant que j'y réfléchis. Au sujet de la vérité comme bonheur, j'entends. Parce que, si la vérité consiste à prendre conscience que nous ne sommes sociables que par "besoin", on finit par devenir un misanthrope, méprisant l'humanité pour ce qu'elle ne devrait pas être. Je ne vois pas où le bonheur se cache ici. Puis, au contraire, si nous sommes sociables, cela revient, je crois, à mon hypothèse selon laquelle l'amour serait "l'idéal". En fait, la vérité n'a rien d'une finalité en soi dans le fait d'être heureux : elle est simplement un détour, parfois utile, et parfois non, pour trouver sa définition de ce que serait l'homme, et donc, de ce qui ferait notre bonheur. En effet, je ne crois pas au bonheur universel, tout comme je ne crois pas à l'existence de la vérité. Ces termes sont fumeux, et chacun le sait. A quoi bon, du coup, se pencher difficilement sur des définitions de terme qui ne seront jamais plus que des idées qui ne sauront que nous décevoir? La philosophie est une matière intéressante. Vraiment. Je crois pourtant que, d'une manière, ou d'une autre, elle se trompe : la question n'est pas de trouver la définition universel d'une chose tout à fait subjective. Avec le temps, je vois tout ça plutôt comme un moyen de trouver sa vérité, son bonheur, sa réalité, et non pas celle qui engloberait toutes les nôtres. Sauf si cela ferait le vôtre. Et, j'admets me poser la question aussi. Pour la simple raison que, dans le fond, chercher loin, même trop, c'est chercher. Et chercher, c'est trouver. Un jour.

Parfois, t'as des délires, comme ça, qui te viennes. Tu ne sais pas pourquoi, mais c'est ainsi. Alors, tu t'appliques, et tu le fais. Je me demande si je suis capable d'écrire une longue phrase qui ait du sens, du début, jusqu'à la fin. Le souci, c'est que tous les sujets et tous les contextes ne sont pas prétextes à ce genre de prose, comme s'il y a avait quelques conditions utile à leur création. Probable qu'un entrainement soit nécessaire. On s'habitue à tout, ou presque, au fond. Ne crois-tu pas? Alors, va-y, lance-toi, et écris, sans jamais t'arrêter, sans jamais trop y réfléchir, parce qu'il n'y a que ça qui te permettra, peut-être un jour, de parvenir à ce que tu ambitionnes, que cela soit une "petite" ou une "grande" chose : nul besoin de changer le monde sur l'ensemble de la ligne pour mériter de t'exprimer, surtout lorsqu'on sait le nombre de parenthèses, de virgules, et de passages effacés que comportent l'Histoire actuelle et passé. Amuse-toi, car c'est là ton rôle : non pas celui qu'on t'attribue quand tu nais, ni celui qu'on se tue à t'enseigner durant ton éphémère existence. Juste celui que tu t'offres par liberté. Enfin, si l'on veut. Allez, viens, et montre-moi à quoi ressemble ton monde, qu'il soit imaginaire ou non, que je sache qui tu es, ou serais : j'ai toujours été curieux de connaître la personnalité que tu possèdes, et non pas celle que tu te crées afin de coller au schéma de la réalité. Allez, oui, approche-toi, et déverse maintenant ta pensée, au gré d'un stylo ou d'un clavier, que je visite le vent de tes idées. Là est ta destinée, ma destinée, notre projet. Tracer courbe après courbe dans l'unique but de matérialiser maladroitement ce qui, dans les tréfonds d'un inconnu, toi, se trame sans que tu ne le saches jamais, car c'est là ton essence : discuter longtemps ce que tu ignores sans arrêt.

Je lis souvent des remords et des souffrances à propos d'un amour passé. Cela me rappelle la dernière dissertation que j'ai eu à faire, dissertation dont la note m'a, au passage, déçu. Il faut dire que j'ai terminé en concluant que le bonheur, finalement, consistait à aimer, et non pas à quêter la vérité, comme je l'aurais dû. Autrement dit, quitter toute forme d'illusions pour espérer, car oui, on peut toujours espérer, avoir, peut-être, l'occasion d'être un peu heureux. Conclusion : cherchez incessamment la vérité, dont l'essence vous fera nécessairement souffrir, et priez pour avoir la chance de le supporter, histoire de vous croire être heureux. Pour moi, qu'importe la situation, cela restera une mauvaise situation. La vérité ne rend pas heureux. Pas plus que l'amour, une illusion parmi de nombreuses autres. Néanmoins, elle est la plus souhaitable, la plus "belle", en quelque sorte, bien que l'une des plus destructrices.

Cela pose un autre problème, maintenant que j'y réfléchis. Au sujet de la vérité comme bonheur, j'entends. Parce que, si la vérité consiste à prendre conscience que nous ne sommes sociables que par "besoin", on finit par devenir un misanthrope, méprisant l'humanité pour ce qu'elle ne devrait pas être. Je ne vois pas où le bonheur se cache ici. Puis, au contraire, si nous sommes sociables, cela revient, je crois, à mon hypothèse selon laquelle l'amour serait "l'idéal". En fait, la vérité n'a rien d'une finalité en soi dans le fait d'être heureux : elle est simplement un détour, parfois utile, et parfois non, pour trouver sa définition de ce que serait l'homme, et donc, de ce qui ferait notre bonheur. En effet, je ne crois pas au bonheur universel, tout comme je ne crois pas à l'existence de la vérité. Ces termes sont fumeux, et chacun le sait. A quoi bon, du coup, se pencher difficilement sur des définitions de terme qui ne seront jamais plus que des idées qui ne sauront que nous décevoir? La philosophie est une matière intéressante. Vraiment. Je crois pourtant que, d'une manière, ou d'une autre, elle se trompe : la question n'est pas de trouver la définition universel d'une chose tout à fait subjective. Avec le temps, je vois tout ça plutôt comme un moyen de trouver sa vérité, son bonheur, sa réalité, et non pas celle qui engloberait toutes les nôtres. Sauf si cela ferait le vôtre. Et, j'admets me poser la question aussi. Pour la simple raison que, dans le fond, chercher loin, même trop, c'est chercher. Et chercher, c'est trouver. Un jour.

Sincèrement je suis d'accord avec toi ..quand à cette quète de la vérité que tu ne trouveras pas car la société t'impose des règles qui ne sont tiennes pour peu que tu saches quelle vérité est juste tout comme tu le dis dans tes phrases suivantes. L'amour est aussi destructeur mais ne vaut il pas dêtre vécu ..je me suis perdu tant de fois aussi en celui ci mais y ai donné un sens aujourd'hui ..si je ne me trompe pas bien sur ..en retenir que les points positifs et si possible tâcher de garder cette grande tendresse et transformer cet amour en la plus belle amitié qu'il soit car ce que tu auras vécu dans les épreuves, l'un comme l'autre ne feront que renforcer cette dernière

Quand j'y réfléchis, j'ai pas mal écris, en trois ans. De bonnes choses, comme des plus mauvaises. Et, lorsque je survole rapidement ici et là, car il m'est impossible de me lire, je trouve, globalement, que j'écrivais bien mieux il y a un an, par exemple. Disons que je préfère ce que j'ai fait à cette période, que certains textes et poèmes me plaisent vraiment, parce qu'ils ont un réel fond, et une forme qui vaut quelque chose. Pas grand chose, mais quelque chose malgré tout. Pour tout vous dire, cela ne me surprend pas, moi. Les circonstances s'y prêtaient mieux. Notre texte n'a pas la même tête s'il est couché pour se défaire d'une pensée un temps, ou s'il l'est simplement pour garder une habitude qu'on souhaite préserver. Au fond, je ferais presque bien de cesser cela tant l'ensemble sonne faux. C'est juste que, maintenant, je trouverais ça dommage. Puis, je sais pertinemment que j'y reviendrai vite, à défaut d'avoir plus intéressant à faire. Au moins, je pourrai torturer mes personnages et leurs folies apparentes, ou non, pour un moment encore. Globalement, oui, j'ai un besoin de haine, de provocation, et de violence. D'excentricité, d'apathie, et d'indifférence, aussi. Bref, d'un mélange de chaque ingrédient que je récolte dans les livres que moi-même, je peux lire. J'aime ce qui sort de l'apparent ordinaire.

J'aime bien "l'ordinaire"...

Un président "normal", avec des idées normales,

des gens normaux, avec idées normales...

L'ordinaire, c'est comme si tout devait être normal en fait,

ça me rappelle une fille qui me disait tout le temps :

t'as pas le sida ? t'as pas le sida ? t'as pas le sida...

Et de lui répondre :

- pourquoi tu me poses toujours cette même question ?

- Ben, parce que je l'ai déjà eu et qu'j'voudrais pas le rattrapper...:D

Bon ça va j'ai fait les tests,tout est positif !

L'ordinaire t'sais....:D

Le doute fait partie de nos vies

Qui croit en son génie?

La plume de celui-ci

La musique par ici...

Des chefs-d'oeuvre pour les uns

Des bides pour certains !

Tout n'est qu'appréciation

Selon les opinions!

Combien de fois, nous pensons

Avoir atteint le bon ton!

Et puis, nous relisons,

Et puis nous effaçons...

Peut-être passons nous

A côté de tout

Sans partager avec vous

Nos rêves les plus fous...

L'art ou l'artiste ?

L'art est une oeuvre que chacun apprécie à sa façon, ou sans façon,

L'artiste est une personne que chacun dénigre à sa façon, bref un con...

La différence ? c'est ce qui reste, une "impression" pour l'un comme pour l'autre,

Un message, une métaphore, une refrain qui nous revient, une image dont on se souvient.

Si l'on cherche un peu, une oeuvre n'est jamais innocente, elle vient d'une idée,

Elle vient vous parler, même si vous ne l'entendez pas.

L'artiste se doit de maitriser son pinceau, son instrument, sa matière,

Pour pouvoir créer tout le reste : une forme, une énigme, une symphonie, une certaine vision du monde sous un oeil parfois dispersé, amusé, tendre, calculateur ou intéressé...

Le choix d'un instant, un simultané, une vision, une envie, une illusion ou au contraire une réalité.

L'artiste est un acteur, l'art n'est fait que pour le spectateur, deux choses bien différentes qu'oublient les profanes, les contemplateurs.

Et pour ceux qui oublieront tout ce que je viens de dire : l'art reste toujours vivant même quand l'artiste meurt... Une contradiction de plus mais qui a son importance.

L'artiste, esclave de son art?

Je ne sais pas si c'est ta position, mais c'est ce qui me vient un peu à l'esprit après t'avoir lu, David.

Dans le fond, on ne sait pas vraiment qui s'exprime à travers une oeuvre.

L'art est une oeuvre que chacun apprécie à sa façon, ou sans façon,

L'artiste est une personne que chacun dénigre à sa façon, bref un con...

Je la trouve pas mal, celle-là... :D

Mais, est-ce le réel but de l'art que d'être apprécié? Je ne sais pas. Ou plus. Par contre, je crois, personnellement, que certaines oeuvres sont indissociables de la personnalité même de l'artiste. Il n'est peut-être pas son oeuvre, mais il l'a fait néanmoins, ne serait-ce qu'un peu, selon qu'on pense que l'inspiration dépende de l'artiste ou de je ne sais quoi qui le dépasse. Bref, il y a malgré tout un lien qui persiste, mais qui ne changera rien à notre façon de ressentir l'oeuvre en question.

Les oeuvres de ces artistes dont nous nous souvenons après les avoir lues, vues, écoutées tant de fois depuis notre enfance, c'est la plus belle preuve qu'elles sont éternelles. Et se dire qu'elles sont partagées dans le monde entier, et le seront encore pendant des millénaires, c'est la reconnaissance du Savoir!

Oublie-moi,

Comme j'ai su t'oublier.

C'est que, en vérité,

Mon eau est si trouble

Que je ne peux que désespérer.

Oublie-moi,

Comme j'ai su te trouver.

En toute sincérité,

Ta personnalité double,

Je n'arrive plus à la supporter.

Oublie-moi,

Comme j'ai pu douter.

Au fond, la réalité,

Je souhaite la dissoudre

Pour qu'elle puisse t'emporter.

Oublie-moi,

Comme j'ai pu te quitter.

Depuis, la difficulté

N'est plus d'en découdre,

Mais d'à jamais m'en séparer.

Impossible oubli

C'est là, le souci...

Dans notre mémoire,

Toujours la même histoire

Qui revient lancinante

Et qui nous hante...

Vouloir à tout prix

Ne plus songer à Lui

Occulter les souvenirs

Ne plus vouloir fuir...

Le jour viendra-t-il enfin

Où ce sera la fin?

Et se réveillant,

Renaître comme un enfant

Neuf et sans passé

Avoir tout oublié....

Ecrire, Lire...

N'est-ce pas comme partir

Vers d'autres lieux,

Vers une île bleue...

J'aime prendre ma plume,

Imaginer l'écume

Ou le vent

Dans mes cheveux, soufflant...

Et ce livre dont l'histoire

Me fait aimer les soirs

Quand je m'identifie

A celui qui raconte sa vie..

Ce sont de réels trésors

Qui me comblent encore

Et jamais ne me lassent

Malgré le temps qui passe...

chaque fois que je crois

que la vie m'ouvre ses bras

finalement elle recule d'un pas

quand je penses que ça va

le lendemain ça va pas

qu'es-ce qui cloche

aujourd'hui c'est beau

et demin c'est moche

ou sont les oiseaux

ou est le soleil

tu as la douceur du miel

mais demain tu seras fiel

et me laisseras des séquelles

ou est le juste milieu

simplement pour que j'ailles mieux

ou est passé dieu

je le vois plus c'est cureux

mais quelque part tant mieux.........