un jour = une histoire

La vie se résume-t-elle à UNE vie?

Soyons conscients! nous nous intéressons principalement à la nôtre!

Nous avons beau faire de grandes phrases, vouloir nous montrer altruistes,

est-ce qu'en réalité, il n' y a pas que nos petits bonheurs qui comptent pour nous?

Même si nous nous insurgeons sur tel ou tel irrémédiable désastre,

concernant, par exemple, la destruction des forêts, des beaux espaces,

que faisons-nous pour y remédier?

Nous émettons peut-être une réflexion, nous protestons verbalement,

mais après? ne faisons-nous pas l'autruche et, égoïstement, pensons

qu'il y aura bien quelqu'un d'autre que nous pour trouver une solution!

Ne rêvons pas, nous sommes seulement intéressés par NOTRE propre vie,

nous ne sommes que des petits pions sur le grand échiquier du Monde,

et nous courons tous après notre bien-être sans nous soucier réellement

de " l'après nous!"....

Nous sommes bien d'accords, malheureusement

Vous êtes tristes !!!!

Ben alors ?

J'étais partie pour vous raconter un conte plein d'espoir... Sic...

Je vais cherhcer un mouchoir bande de vilains !

Eh ben, je tourne le dos à peine un instant et que vois-je ? quel déversement !

Allez, Infinitive, raconte-nous vite ton beau conte plein d'espoir,

avant que notre belle Evasive nous tourne le dos....

On va y venir à ce jour fatidique, ce jour où la journée avait pourtant bien commencé, ce jour où avec son père, elle partait en emplette, ce jour où....tout à coup, le téléphone sonne, on la prie de se rendre de suite chez sa maman, un truc à dire au sujet du grand -père, elle ne comprend pas, insiste pour venir plus tard, elle est en route .... Non lui dit on , il serait mieux voir urgent de venir de suite.

Son père la dépose chez elle, elle prend sa voiture, en route, on lui retéléphone, apparement, elle n'arrive pas assez vite, là, une angoisse lui monte de suite, elle dit qu'elle n'est plus qu'à deux minutes de là.

Arrivée chez sa maman, tout le monde l'attend, dehors près de la porte d'entrée, elle sort de sa voiture, regarde, très mal à l'aise, on vient vers elle, ce n'est pas grand- père qui a un problème, elle cherchera alors le regard de sa maman, pas de présence, il n'y en aura plus, elle s'est éteinte....

Ne pleure pas...

Combien de fois ai-je entendu ces mots?

Combien de fois j'ai eu le coeur gros!

Mais ce n'était que des petits chagrins,

Des petits ennuis sans lendemain!

Je m'en suis rendue compte un jour,

Lorsque tu es parti pour toujours!

Quand ta vie s'est interrompue,

Quand tu n'es plus revenu...

Où que tu sois maintenant,

J'aimerais pouvoir te dire "quand"

Reviendras-tu vers moi?

Mais je n'ai pas la Foi,

Je pense que le Néant

Met définitivement

Une barrière entre ceux

Qui s'aiment et sont heureux!

moi j'y vois un texte basé sur le mot "noël" ; façon triste ;

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une autre :

C'est Noël donc ; depuis quelques jours des extraterrestres en approche préoccupent les différentes villes du monde ;

nom de code : étoile du soir.

Paris est nostalgique de Hélène et informe Bruxelles, laquelle s'y connaît davantage en blagues et en histoires belges, que si ça fait comme à l'époque de la guerre de Troie, la cime de la Tour Eiffel est prête dores et déjà à pourfendre la première soucoupe.

New-York de son côté se contente de sourire ; Washington est la capitale et sait planter les choux, si avec tous les cerveaux du Pentagone ils ne parviennent à communiquer avec les extraterrestres, ça serait bien le Diable.

Pékin et Tokyo pendant ce temps font un peu comme les P T T (postes et télécommunications française comme on appelait la Poste autrefois) : ils reçoivent les informations provenant des ET et les transmettent, avec un peu de retard mais ça transite bien que ça mette les autres villes sur les nerfs.

Puis l'étoile du soir finit par se déposer... sur la lune..

"mais Pourquoi ?" dit Berlin, qui conserve un souvenir cruel de l'époque du mur de Berlin.

Noël se passe....

l'épiphanie aussi...

les habitants de T** les oies festoient en chants et en rires comme chaque année, pis à un moment donné les écrans de télévision des habitants diffusent cette nouvelle : étoile du soir a transmis des nouvelles données !

à la question formulée par Moscou, qui se tordait le cou jusque bien après Noël avec ses télescopes qui étaient source de bien des maux, question consistant à savoir ce que projetaient les ET, il fut répondu ainsi :

Saturniens bien arrivés sur la Lune, sains et saufs, invitent leurs nouveaux voisins de l'Espace, s'ils souhaitent , à venir pendre la crémaillère...

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Ca y est ... Morphée est en rupture... :smile2: :smile2: :smile2:

Noël...

Noëls dans le monde

Forment comme une ronde!

Mais dans nos mémoires,

Ce sont toutes les histoires

De notre chère enfance

Qui ont de l'importance...

Souvenez-vous

Combien ces joujoux

Nous attendions le matin

Au pied de nos sapins!

Avec quelle impatience

Père Noël de romance,

Nous avions un peu peur

De le croiser à l'heure

Où nous nous levions

Pieds nus et rêvions

Des jouets tant désirés

Pas trop mérités...

Parfois des déceptions,

Souvent, joies à profusion...

Noëls de nos enfances,

Souvenirs de nos jeunes croyances,

Un morceau de nos vies,

C'était hier! mais, c'est déjà fini...

Noël d'un jour, Noël(s) de toujours

http://fr.wikipedia.org/wiki/C%27%C3%A9tait_demain

Devant un chou lys feu de cheminée

Ou auprès du fantôme de nos jours

Il suffit de peu parfois afin de raviver

l'âme d'enfant qui sommeille en nous....

Noêl...

Noël sans moi,

pas envie de le fêter,

pas sous mon toit,

un simple repas peut se présenter.

Noël, trop de souvenirs,

soirée dans l'ombre,

marre d'en souffrir,

rituel rompre.

Noël miracle !

Je l'attends toujours,

vie qui se bâcle,

n'attend plus rien en retour.

Le nouvel an, tel le beaujolais nouveau, est arrivé, escorté de son lot habituel de résolutions quelque peu chagrines -cesser de fumer, cesser de se plaindre, cesser de réclamer sans cesse de l'argent de poche- et le petit Toto lui aussi a envie qu'on sache que les blagues sur Toto ne le font point rire.

Le père noël était une ordure cette année ; la preuve : il a entendu Maman gémir : "non pas elle !" quand Papa a invité sa "belle" mère sous le sapin... :)

:smile2: ah ouais , la belle -mère, beau cliché :D

pis les adultes et leurs dessins animés des familles quand on n'était pas si petits que ça

http://www.dailymotion.com/video/x1ue6j_les-entrechats_animalshttp://www.dailymotion.com/video/x1ue6j_les-entrechats_animals

Ma lecture actuelle me pousse à me poser une question, disons, "intéressante". L'histoire veut que les personnes se retrouvant en cette pièce sous le niveau du sol sont des personnes ayant fait quelque chose de "mal", sans avoir connu une quelconque punition en contrepartie. Bref, elles ont été enlevées et séquestrées par un (ou plusieurs, je l'ignore encore) individu cherchant peut-être la vengeance ou la justice.

Ce dernier est sans nul doute un sadique, usant d'une torture psychologique pour pousser ses victimes à connaître une situation similaire, c'est-à-dire la tristesse et la peine, que celles qu'elles ont pu engendrer. Autrement dit, il ne brutalise pas, mais se "contente" d'affamer et de droguer, tantôt à l'insuline, tantôt à un je ne sais quoi qui ébranle la conscience de celui qui y a droit.

Seulement, ce n'est pas de ça dont je souhaite parler. Le contexte est juste important pour se faire une bonne idée de ce qu'il souhaite faire accepter : un contrat (une lettre, dans le texte) à signer. Théoriquement, cela ne pose pas de soucis. Qui ne se plierait pas à n'importe quoi en cette situation? Probablement personne, ou pas grand monde. Cela aurait été simple, si cette fameuse lettre n'impliquait pas l'autorisation de... Se faire tuer. Bref, donner "légalement", ou en tout cas, permettre de se faire retirer la vie pour cesser de souffrir.

Ce problème décrit pas mal, je trouve, la problématique du suicide, si ce n'est qu'ici, nul besoin de savoir se donner la mort soi-même. Il suffit de déposer sa signature sur un papier. Il faut, en plus de connaître une douleur épouvantable et constante, désespérer de ne pas pouvoir en sortir parce que cela dure depuis déjà trop longtemps, que l'aide (surtout extérieure) tarde à se montrer.

Maintenant, le justicier en lui-même implique une autre question : peut-on délibérément décider du sort d'un autre sans être en tort dans le simple fait de se croire capable de juger de ses actes? La loi est là pour ça, me dira-t-on. Ouai, la loi.

N'oublions pas que les Lois sont faites par des humains!

Et que ces humains ne valent pas plus que toi et moi!

Des injustices flagrantes nous montrent bien leur ignorance !

Chaque cas, chaque problème est propre à l'un et pas à l'autre!

Comment ignorer la souffrance de celui-ci et pas de l'autre?

Avoir le droit de vie et celui de mort sur qui?

Sur quels critères baser son propre jugement?

Tout être n'a-t-il pas droit à une seconde chance, même si

nous pensons qu'il ne le mérite pas!

Il y a bien des monstres, des gens qui ne raisonnent plus,

et ne savent pas distinguer le mal du bien!

Mais, basculer dans la folie parfois, n'est-ce pas quelque chose

qui peut nous arriver alors qu'on s'y attendait le moins!

La justice est bien le contraire d'injustice!

Dommage que ces deux mots ne soient pas réellement opposés dans la réalité!

Noëls d'antan

Si mon papy revenait

sur terre et voyait,

tous ces étalages de jouets

cette orgie de guirlandes illuminées!

que penserait-il en se remémorant

son sabot où l'attendait seulement

une orange et un paquet de bonbons

pour tout don!

Autres temps autres moeurs, vous direz!

n'empêche que ces enfant gâtés

ont bien trop souvent

l'illusion de croire que la vie les attend

comme un conte de fées

et qu'il leur faudra bien retomber sur leurs pieds!

Que faire lorsque nous sommes épris d'une déception sourde? Que faire lorsque les mots ne suffisent plus à panser cette plaie béante? Que faire lorsqu'on ignore, et d'où elle vient, et pourquoi elle est encore là? Que faire si rien ne peut être dit et que nul ne sait voir? Voyez-vous, je ne crois pas en l'amour, et à peine plus à l'amitié. Ce ne sont au final que des mots qu'on veut assez joli et mystérieux pour cacher notre misère, notre hypocrisie. Moi-même je tombe dans cette bêtise en écrivant n'importe quoi. Mais, je crois que nous ne sommes jamais vraiment amoureux, ni vraiment aimé. Nous ne faisons que le sentir et le faisons sentir, parfois suffisamment pour réduire une personne à sombrer dans un néant de souffrance.

Si j'exposais ma vision de ce que nous sommes, je serais surement placé dans les matérialistes dépassés et ringards depuis longtemps. Pourquoi? Parce que nous associons l'homme à une "machine", parce qu'apparemment, l'idée de ne pas être le véritable maître de soi n'est pas une idée plaisante. Il est rare, en effet, qu'on préfère penser que le corps domine la conscience. Cela équivaudrait à être l'esclave de soi-même. Quoi que pas tout à fait, puisque que le "je" ne serait qu'une invention, une fonction, d'un ensemble mécanique. Seulement, ce n'est pas non plus ainsi. Le corps n'est pas une machine : il agit dans son intérêt, selon un principe fondamental existant chez tous les animaux, nous y compris : l'instinct de survie. Réfléchissez deux minutes : pouvez-vous aller à l'encontre de votre corps? Le cerveau est capable de briser la conscience pour survivre. Il peut vous forcer à dormir, malgré le danger.

Bien sûr, comment peut-on se donner la mort, alors? J'avais trouvé une autre réponse, un jour, et ne souhaitant pas chercher, je vais me contenter d'annoncer que le corps souffre aussi, d'une certaine manière. Il y a un équilibre similaire à une balance, et si celle-ci penche vers le "mauvais" côté, nous pouvons mourir de notre propre volonté.

Bref, je suis un idiot.

Pouvoir faire pencher la balance!

Pouvoir peser la souffrance,

Les joies et la prospérité!

Comment procéder?

Tristesse parfois murmure un doux refrain,

Joie se ternit soudain...

Comment donc équilibrer

Tout ce qui fait la force d'aimer?

De beaux moments restent en mémoire!

Des instants pleins d'espoirs...

Des regrets pourquoi faire?

Il vaut bien mieux se taire...

Et au fond de son coeur

La vision du bonheur

Reste le témoignage

D'une si belle image...