un jour = une histoire

C'est un week-end d'hiver ensoleillée, seule dans sa chambre elle joue sur son lit en mezzanine. Elle joue ou elle lit, ou fait autre chose, elle ne sait plus, sa mémoire à effacé les futilités de ce moment où la compréhension à fait un gros BOUM dans sa tête. Elle doit avoir 10 ou 11 ans, et sans qu'elle sache pourquoi, elle y pense, ça s'insinue tout seul dans sa tête, comme si elle déterrait une vérité qu'elle avait enfoui ne voulant la connaître. Les rythmes des battements de son cœur s’accélèrent au fur et à mesure que l'idée grandit, prend de l'ampleur. Elle doit se rendre à l'évidence, car oui c'en est une, il n'y a aucun doute, jamais il n'y aurait dû y avoir de doute, comment y-a-t-il pu y avoir un doute.

"Il ne reviendra pas"

Elle le murmure, à peine audible, mais dans ça tête, ça hurle, ça crie, ça déchire les tympans. La réalité la frappe de plein fouet, elle comprend enfin, ou plutôt cesse de croire à l'impossible. Non un miracle n'arrivera pas, non il est impossible qu'un jour elle ouvre la porte et découvre son visage, non jamais elle ne connaîtra sa voix ou la chaleur de ses bras. Jamais, jamais, jamais.

Les larmes lui piquent les yeux, embrouillent sa vision, une énorme boule se forme dans sa gorge, ça lui fait mal, elle ouvre la bouche mais ne peux articuler aucun son. Elle enfoui la tête dans son oreiller et laisse tout sortir, les larmes ne semblent jamais pouvoir s'arrêter, 5 min, 10 min, une demie-heure, elle ne sait pas, mais le flôt fini par se tarir. Elle reste là, sur le ventre, la tête dans l'oreiller, un vide immense, il ne reviendra pas.

Elle s'endort peut-être, ou somnole un certain temps, puis doucement se relève, essuie doucement les vestiges de ses larmes sur ses joues rebondies, descend prudemment de son lit et se plante devant la parte vitrée du balcon. Ses doigts se posent sur la vitre glacée, elle lève les yeux vers le ciel avec une unique question : Pourquoi?

Quelles belles surprises ce matin, les amis!

Des textes allant de la drôlerie à la mélancolie...

Tout ce qui fait les sujets de nos vies

Et que j'ai tant de plaisir à découvrir ici...

Le sens de la vie... Comme si la vie avait un sens. Croyez-vous qu'il y ait un but à notre présence? Sincèrement? Avez-vous vraiment besoin de croire en cette idée pour accepter votre existence? La vie n'a aucune signification particulière, elle n'est qu'un engrenage, une nécessité dans un équilibre tout aussi peu sensé. Mais, peut-être est-elle, pour nous, humains, doués de cette conscience qui fait bien des heureux et malheureux, plutôt une direction? Nous pouvons tracer notre chemin, par fierté inutile, mais il serait naïf de s'illusionner d'un rôle qui nous incombe. Que ce soit la présence induite par la création de Dieu, ou l'évolution, nous offrant la place de super-prédateurs, rien n'est dans le vrai. La réalité est souvent ce qu'on refuse d'admettre : la vie n'a pas de sens, et notre présence encore moins. Nous ne sommes ni volonté, ni hasard, car le fait d'être n'a, en lui-même, pas le moindre sens.

mais si, Jedino, la vie a un sens! celui que nous voulons bien lui donner!

que serait donc notre vie, sans l'espoir d'en profiter?

à chacun, à chacune de découvrir son chemin,

de trouver du plaisir à se prendre par la main,

à rêver, à imaginer, même si ne sont qu'illusions,

aux belles choses que nous découvrirons!

dans chaque être humain,

se dessine un matin,

un horizon si bleu

qui nous rend heureux!

même si ce n'est que le temps,

que l'espace d'un instant,

cela suffira à embellir l'avenir,

à rendre plus beau notre devenir...

Les cinq ans, c'est une période qui devrait être dans le flou. On est si jeune à ce moment-là...

Je me souviens de cette fameuse nuit d'hiver où j'étais chez moi, couché dans mon lit, lisant un livre d'images. Cette nuit-là, il était revenu plus tard que d'habitude, puant l'alcool à plein né. Lorsqu'il a débarqué dans ma chambre, j'ai su que plus rien ne serait comme avant.

...J'avais raison : Ce fut le commencement d'un cauchemar semblant sans fin et l'aboutissement de doux rêves.

Le sens de la vie... Comme si la vie avait un sens. Croyez-vous qu'il y ait un but à notre présence? Sincèrement? Avez-vous vraiment besoin de croire en cette idée pour accepter votre existence? La vie n'a aucune signification particulière, elle n'est qu'un engrenage, une nécessité dans un équilibre tout aussi peu sensé. Mais, peut-être est-elle, pour nous, humains, doués de cette conscience qui fait bien des heureux et malheureux, plutôt une direction? Nous pouvons tracer notre chemin, par fierté inutile, mais il serait naïf de s'illusionner d'un rôle qui nous incombe. Que ce soit la présence induite par la création de Dieu, ou l'évolution, nous offrant la place de super-prédateurs, rien n'est dans le vrai. La réalité est souvent ce qu'on refuse d'admettre : la vie n'a pas de sens, et notre présence encore moins. Nous ne sommes ni volonté, ni hasard, car le fait d'être n'a, en lui-même, pas le moindre sens.

bonjour

à quoi bon chercher un but ou un sens à la vie .

la vie est comme une fleur , elle nait d ' une graine puis d ' un bourgeon qui se transforme en belle fleur ,

odorante , insouciante et lassive .

bravant quelque temps les éléments ,

le vent ,la pluie ,les ruminants puis , l ' automne survient, la fleur flétrie puis se fanne ?

était-çe important qu ' elle naisse , qu 'elle vive , puis ,qu 'elle dépérisse ?

à quoi bon chercher une réponse qui n ' existe pas .

exister à-il un sens ?

la nature ne fait rien sans cause ni raison alors ?

bonne soirée jedino

Pourquoi la nature devrait-elle faire avec raison? On naît, on meurt. Plus tard, notre étoile mourra à son tour. Nous sommes la pièce d'un puzzle plus grand, qui nous dépasse. Notre rôle n'a aucune véritable importance, aucune influence. Y chercher un sens serait une erreur, une erreur parce qu'elle se baserait sur un mensonge qui nous rassure. Le seul but que je pourrais accorder à notre existence, mon existence, est de la porter vers les directions qui me plaisent le mieux. Mais, jamais, Ô grand jamais, elle ne tendrait à avoir un sens qui lui octroierait une signification ayant un véritable impact. Nous sommes une fleur devenue belle et grande, vivant ses jours, et se laissant dépérir, impuissant. Bien sûr, elle aura eu un rôle, un sens dans sa vie, puisqu'elle aura permis de nourrir quelques petites bêtes, et finalement, toutes les autres qui en dépendent. Mais, elle n'est rien à côté de l'échiquier le plus grand, le vrai, qui rend l'action de cette fleur bien ridicule.

Un jour l'enfant aura 100 ans...

Mille mois ...

En chemin, il aura rencontré ses vingt ans et toutes ses peurs, ses doutes, ses trente ans et ses fou-rires...Ses trente-deux ans et la naissance de Marie, et puis celle de Jules ensuite. Et le sens sera là.

Puis il fermera les yeux de sa mère. Et le sens s'enfuira. A nouveau. Il tiendra dans sa main d'homme un premier poème, fait de cent mots maladroits barriolé de coeurs colorés... Et il le retrouvera.

Sur une montagne enneigée, il entendra le silence. Il doutera.

Puis encore en ligne cahotique, tout au long des années, ces rires et ces larmes, ces étincelles de bonheur, comme un pointillé délicat... Il saura...

Il lui suffit juste d'attende et d'écouter sa vie se déplier, comme un grand drap blanc mouillé qui claque dans le vent printanier.

Il lui suffit juste d'attendre de vieillir un peu... Il saura.

Pourquoi la nature devrait-elle faire avec raison? On naît, on meurt. Plus tard, notre étoile mourra à son tour. Nous sommes la pièce d'un puzzle plus grand, qui nous dépasse. Notre rôle n'a aucune véritable importance, aucune influence. Y chercher un sens serait une erreur, une erreur parce qu'elle se baserait sur un mensonge qui nous rassure. Le seul but que je pourrais accorder à notre existence, mon existence, est de la porter vers les directions qui me plaisent le mieux. Mais, jamais, Ô grand jamais, elle ne tendrait à avoir un sens qui lui octroierait une signification ayant un véritable impact. Nous sommes une fleur devenue belle et grande, vivant ses jours, et se laissant dépérir, impuissant. Bien sûr, elle aura eu un rôle, un sens dans sa vie, puisqu'elle aura permis de nourrir quelques petites bêtes, et finalement, toutes les autres qui en dépendent. Mais, elle n'est rien à côté de l'échiquier le plus grand, le vrai, qui rend l'action de cette fleur bien ridicule.

bonjour

l' existentialisme à de tout temps torturé l ' esprit des humains que nous somme .

pourquoi vivre si cela ne sert à rien ?

qu en savons nous ?

dans tes textes , je ressent une souffrançe et des question qui te semble sans réponse .cela sert à quoi la vie lorsque l ' on connai son dénoument innexorable ...la mort ?

bien sur , tu n 'est pas le premier ni le dernier à prendre la vie comme une dérision cruel et sans attrais ni espoirs .

le problème pour nous , c est d ' avoir franchit une porte " interdite " à cause d ' avoir prit conscience d ' exister et de mourir .

je pense que tu est encore trés jeune et que rien n ' est perdut pour toi , mème si t'on avenir te semble insipide et sans espoirs .

combien somme nous à ètre passé par la ?

et puis , un jour ,tous change .

tout vient à point qui sait attendre .quel importence que la fleur se fane ,si elle à bien vécue .

bonne journée

avant d'avoir cent ans,

il faudra bien du temps!

des jours et des nuits,

des sourires, des pleurs aussi...

à l'horloge du temps,

les heures sonnent lentement!

une à une, elles s'écoulent,

et parfois déroulent

un tapis fait de fleurs

ou bien de pleurs...

le passage de l'enfance

à l'adolescence...

de la jeunesse,

à la vieillesse...

sont des étapes

qui, telles des attrapes,

nous enserrent avec vigueur,

avant que l'on ne meure....

bonjour

l' existentialisme à de tout temps torturé l ' esprit des humains que nous somme .

pourquoi vivre si cela ne sert à rien ?

qu en savons nous ?

dans tes textes , je ressent une souffrançe et des question qui te semble sans réponse .cela sert à quoi la vie lorsque l ' on connai son dénoument innexorable ...la mort ?

bien sur , tu n 'est pas le premier ni le dernier à prendre la vie comme une dérision cruel et sans attrais ni espoirs .

le problème pour nous , c est d ' avoir franchit une porte " interdite " à cause d ' avoir prit conscience d ' exister et de mourir .

je pense que tu est encore trés jeune et que rien n ' est perdut pour toi , mème si t'on avenir te semble insipide et sans espoirs .

combien somme nous à ètre passé par la ?

et puis , un jour ,tous change .

tout vient à point qui sait attendre .quel importence que la fleur se fane ,si elle à bien vécue .

bonne journée

Des questions, sans doute, de la souffrance, possiblement. Il n'est pas rare qu'elle ne me dise que je m'en pose de trop. Des inutiles, surtout. Enfin! Inutile... Rien ne l'est, dans ma logique, puisque tout est utile, même l'inutile.

Je ne suis pas sûr de voir la vie d'un oeil si pessimiste. Elle n'est certes pas un paradis, une utopie. Mais, elle a des traits plaisants.

Maintenant, tu poses un problème plus... Épineux, va-t-on dire : celui de l'avenir. Je suis parfaitement incapable de m'imaginer ne serait-ce que dans un an. Je ne vois à aucune place. Mon seul "plaisir" reste ces quelques envies matérialistes, et puis, lui parler. Je me suis souvent demandé pourquoi elle, aussi. Certes, elle est jolie. Mais, cela ne me motive que rarement assez. Je crois que ce côté inaccessible, et sa non crainte de dire ce qu'elle pense franchement me plaisent bien. Pour cette dernière raison, probablement, qu'elle arrive à me sortir de mes délires parfois capricieux, digne d'un enfant occidental. Parallèlement, je ne fais pas grand chose pour changer ce sentiment d'être pas toujours là où je devrais être. C'est ainsi.

Loïc est un homme comme il en existe de nombreux autres : plutôt grand, sans l'être de trop, relativement mince, bref, sa description serait fastidieuse à souhait. Pourtant, il est le lieu de quelques particularités, ce qu'on nomme les défauts, et qui font que cette personne à de l'intérêt. Imaginez l'homme parfait : il serait triste à mourir, ne pouvant être accepté, parce que trop déroutant pour la femme qui pourrait se risquer à l'aimer. Mais Loïc n'est rien de tout cela. Il est un modeste charpentier, et ne manque de rien. Certes, il n'est pas patron d'une boîte énorme. Cela n'est pas grave. Il est très terre à terre, malgré sa jeunesse mouvementée de rêveur niais. Aujourd'hui, tout va pour le mieux chez lui. L'être aimée est avec lui. Des enfants sont nés de cette union. Il est capable de satisfaire les envies et de réparer les petits ennuis. Autant dire que son existence n'est pas à plaindre : il vit sa vie.

Seulement, s'il avait gardé espoir, aurait-il pu, un jour, finir autrement? Comment savoir? S'il est là, dans cette situation, c'est qu'auparavant, son choix est allé en ce sens. Ce n'était peut-être pas forcément comme cela qu'il concevait ses années à venir. Mais qu'importe?

Voyez-vous, je refuse ce chemin, celui de finir en Loïc. Une erreur naïve qui tend à m'empêcher de progresser, à me décider. Je n'ai pas encore trouvé la solution qui saura me plaire. Je n'ai pas suffisamment de courage pour faire un choix que je pourrais regretter, et je n'en ai pas assez non plus pour suivre la voie que j'aimerais emprunter. Non, je ne suis pas sans espoir, soumis à la vile cruauté de notre vie. Non, la conscience ne me fait pas tant souffrir : connaître les maux du monde n'est pas nouveau pour moi, malheureusement. Je suis, et c'est là tout le problème, un lâche, un de ces égoïstes pris entre le désir d'avoir un confort, parce que je suis né dedans, et de partager avec mille personnes ce que je possède. Je suis un mélange de velléités et de candeur. Je suis un dégonflé.

Une porte qui se claque, une larme qui coule et un coeur qui se brise.

La pénombre de la pièce m'effraie, son humidité et sa froideur me font frissonner. Tremblant, je suis assis dans un coin, jambes repliées et yeux fermés.

Claustrer...

Lorsqu'une main passe dans mes cheveux en signe de réconfort, je ne la sens pas. Son visage m'empêche tout échappatoire. Il est devant moi et sourit, comfirmant à la madame que je suis bien traîté. Elle veut m'entendre parler, demandant si je suis heureux.

J'hésite : peut être le calvaire finira-t-il une fois que j'aurai dit être en parfaite santé mental et physique ? Alors un faible sourire s'affiche sur mon visage :

" Mon papa est le plus gentil ! "

Illusion...

Dans ma main tremblante, je serre étroitement une feuille. C'est un contrôle de math, avec une note de 12/20

J'arrive à la hauteur de mon père, baisse la tête et lui tend le contrôle.

"....Le calme.

" Qu'est-ce que c'est que cette note Foutue-Merde ?! " Une bafe.

....Avant la tempête."

Je me retrouve à terre, la feuille froissée devant moi. Il fini par partir, rouge de colère.

Solitude...

Restes, tu es ma seule famille.

Une histoire un peu identique...sauf que je suis parti....pour le retrouver peu avant sa mort et regrettant tous deux toutes ces années perdues ou nous aurions pu être père et fils et aussi copains...

:s

bonjour

l' existentialisme à de tout temps torturé l ' esprit des humains que nous somme .

pourquoi vivre si cela ne sert à rien ?

qu en savons nous ?

dans tes textes , je ressent une souffrançe et des question qui te semble sans réponse .cela sert à quoi la vie lorsque l ' on connai son dénoument innexorable ...la mort ?

bien sur , tu n 'est pas le premier ni le dernier à prendre la vie comme une dérision cruel et sans attrais ni espoirs .

le problème pour nous , c est d ' avoir franchit une porte " interdite " à cause d ' avoir prit conscience d ' exister et de mourir .

je pense que tu est encore trés jeune et que rien n ' est perdut pour toi , mème si t'on avenir te semble insipide et sans espoirs .

combien somme nous à ètre passé par la ?

et puis , un jour ,tous change .

tout vient à point qui sait attendre .quel importence que la fleur se fane ,si elle à bien vécue .

bonne journée

Des questions, sans doute, de la souffrance, possiblement. Il n'est pas rare qu'elle ne me dise que je m'en pose de trop. Des inutiles, surtout. Enfin! Inutile... Rien ne l'est, dans ma logique, puisque tout est utile, même l'inutile.

Je ne suis pas sûr de voir la vie d'un oeil si pessimiste. Elle n'est certes pas un paradis, une utopie. Mais, elle a des traits plaisants.

Maintenant, tu poses un problème plus... Épineux, va-t-on dire : celui de l'avenir. Je suis parfaitement incapable de m'imaginer ne serait-ce que dans un an. Je ne vois à aucune place. Mon seul "plaisir" reste ces quelques envies matérialistes, et puis, lui parler. Je me suis souvent demandé pourquoi elle, aussi. Certes, elle est jolie. Mais, cela ne me motive que rarement assez. Je crois que ce côté inaccessible, et sa non crainte de dire ce qu'elle pense franchement me plaisent bien. Pour cette dernière raison, probablement, qu'elle arrive à me sortir de mes délires parfois capricieux, digne d'un enfant occidental. Parallèlement, je ne fais pas grand chose pour changer ce sentiment d'être pas toujours là où je devrais être. C'est ainsi.

Loïc est un homme comme il en existe de nombreux autres : plutôt grand, sans l'être de trop, relativement mince, bref, sa description serait fastidieuse à souhait. Pourtant, il est le lieu de quelques particularités, ce qu'on nomme les défauts, et qui font que cette personne à de l'intérêt. Imaginez l'homme parfait : il serait triste à mourir, ne pouvant être accepté, parce que trop déroutant pour la femme qui pourrait se risquer à l'aimer. Mais Loïc n'est rien de tout cela. Il est un modeste charpentier, et ne manque de rien. Certes, il n'est pas patron d'une boîte énorme. Cela n'est pas grave. Il est très terre à terre, malgré sa jeunesse mouvementée de rêveur niais. Aujourd'hui, tout va pour le mieux chez lui. L'être aimée est avec lui. Des enfants sont nés de cette union. Il est capable de satisfaire les envies et de réparer les petits ennuis. Autant dire que son existence n'est pas à plaindre : il vit sa vie.

Seulement, s'il avait gardé espoir, aurait-il pu, un jour, finir autrement? Comment savoir? S'il est là, dans cette situation, c'est qu'auparavant, son choix est allé en ce sens. Ce n'était peut-être pas forcément comme cela qu'il concevait ses années à venir. Mais qu'importe?

Voyez-vous, je refuse ce chemin, celui de finir en Loïc. Une erreur naïve qui tend à m'empêcher de progresser, à me décider. Je n'ai pas encore trouvé la solution qui saura me plaire. Je n'ai pas suffisamment de courage pour faire un choix que je pourrais regretter, et je n'en ai pas assez non plus pour suivre la voie que j'aimerais emprunter. Non, je ne suis pas sans espoir, soumis à la vile cruauté de notre vie. Non, la conscience ne me fait pas tant souffrir : connaître les maux du monde n'est pas nouveau pour moi, malheureusement. Je suis, et c'est là tout le problème, un lâche, un de ces égoïstes pris entre le désir d'avoir un confort, parce que je suis né dedans, et de partager avec mille personnes ce que je possède. Je suis un mélange de velléités et de candeur. Je suis un dégonflé.

bonjour

à mon avis , tu n ' est ni un làche ni ègoiste ,ni un dégonflé .

il ne faut pas croire que tout le monde doit-ètre un monsieur loic pour avoir réussi sa vie ,ou ètre conforme à l ' image que l ' on croit-ètre l ' idéal et l ' exemple

à suivre .

il ni à pas de ligne de conduite innexorable toute traçée qu ' il faut suivre pour ne pas faillire au quand dira-on .

combien de personnage célèbres ou annonime

ont réussi leurs vie hors des chemins battus .

se poser des questions et ètre indécis ?

tout cela est loin d ' étres des défauts et , je dirait mème plus , çe sont des qualitées .

le confort idéal est dans notre esprit .

parfois , il n ' est pas façile à trouver car , il se cache .

la candeur est une qualitée naturelle

que l ' on à gardé de l ' enfançe .tu à de la chance si tu ne la pas perdue car ,

beaucoup voudrait la retrouver pour réver à nouveau et espérer l ' impossible .

bonne journée

Lorsque j'ai eu mes dix-huit ans,

crois-tu que je m'imaginais avec des enfants?

crois-tu que je me voyais avec un métier sédentaire?

Je croyais dur comme fer,

que ma vie serait une partie de plaisirs,

où je continuerai de rire...

que jamais les problèmes des grands

ne viendraient m'imposer leurs tourments!

La jeunesse se devrait insouciante,

ne voir que ce qui l'enchante,

et ne pas se poser les questions,

qui engendrent les suspicions!

Tu auras bien le temps

de devenir grand!

Reste encore cet enfant

au regard naïf et charmant...

Si seulement je pouvais m'en persuader...

Mais, il y a ce mur, ces sons, ces visions,

Tous ces détails qui troublent ma raison.

A chercher du regard une inexistante floraison,

Je me vide de l'effluve de mes mortes passions.

J'ai mis 40 minutes à écrire quatre vers, je vais donc m'arrêter là.

La jeunesse se devrait insouciante,

ne voir que ce qui l'enchante,

et ne pas se poser les questions,

qui engendrent les suspicions!

Tu auras bien le temps

de devenir grand!

Reste encore cet enfant

au regard naïf et charmant...

Que Jedino conserve ce regard le plus longtemps possible car la réalité même s'il la redoute ne sera pas toujours belle à ce regard naif et charmant

"Un peu de volonté que diable"

aurait dit mon grand-père

si nous sommes sur terre

ce n'est pas pour se vêtir de noir!

il y a toujours l'espoir

qu'un rayon de soleil

luise et nous émerveille!

mets ta main dans la mienne

ma force sera tienne

et nous nous soutiendrons!

nos rires, nos joies seront

une force invincible

un bonheur indicible

qui braveront le temps,

effaceront tes tourments...

tes doutes disparaîtront

espoirs apparaîtront...

il suffit bien souvent

d'un regard confiant...

L'oeuvre d'une vie n'est pas la réalisation de soi : cela se résume simplement à l'appel poétique perpétué depuis des siècles. Je ne vous parle pas ici de la beauté, quoi qu'elle découle directement de ce que je souhaite mettre en avant : notre monde, ou plutôt, celui qui nous avait accueilli avant qu'il ne soit martyrisé par notre folie constructrice. L'aura poétique d'un ciel, même gris, d'une forêt silencieuse, et pourtant si agitée, si vivante. Même le rocher prend de son importance dans un décor qui est fait pour plaire à la moindre âme errante qui croisera son chemin. Bien sûr, on vous dira que la poésie, c'est en quelque sorte, la beauté, une forme lyrique maîtrisée. Il n'en est rien. Elle n'est pas la conséquence d'une croyance humaine. Elle est une part de nous-mêmes, de notre environnement. La vie, ce n'est pas l'exploitation d'un homme ou d'une ressource, la comparaison entre toutes sortes. Non, c'est un partage, un échange, un rien qui ne se voit pas, se sent à peine, entre l'illusion de notre conscience, et le reste. De là vient l'inspiration des plus grands poètes.