un jour = une histoire

chercher des châteaux en Espagne? expression qui semble dater du 17ème siècle! "c'était quelque chose de vain, car il n'y en avait pas, dans le seul but d'empêcher que les Maures n'en trouvent et n'en profitent pour s'installer à demeure".

sinon, pour l'Asile, pas la moindre envie d'y aller non plus! (lol)...allez, je vais m'en aller continuer de trouver quelques bonnes raisons de rêver ce soir...

J'ai gardé sur mes lèvres le goût de tes baisers. J'ai gardé sur mon corps la douceur de tes mains et dans ma tête résonnent encore tes mots plein d'un amour éperdu! Viens t'allonger près de moi, viens encore une fois me prendre dans tes bras, me refaire découvrir le plaisir qui me faisait crier de joie!

Si tu ne rentres pas trop tard ce soir, même si, lasse de t'attendre, je me suis endormie, tu viendras te blottir contre moi et sous tes doux baisers, tes caresses sans fin, tu sauras bien me réveiller pour continuer mon rêve et faire qu'il devienne réalité...

Pouvons-nous vraiment tout dire? Décrire parfaitement ce que notre imagination s'emmerde à créer pour nous pomper la vie? D'après l'ordre moral en place, non. Mais qu'est-ce que la moral, à part une vaine tentative de préserver une pudeur dont tout le monde se moque? Tout le monde, sauf les humains, bien entendu, car d'intimité ils ont besoin pour pouvoir rassurer les statistiques qu'on en tirera ; celle de la prolifération incessante de notre espèce. Sans parler des concombres dont on vient à pleurer quelques morts et quelques milliers de cas. Comme si, en un seul jour, c'en devenait la plaie qui achèverait les parasites que nous sommes. Pourtant, ce n'est pas de concombre dont irait se plaindre les gosses qui crèvent de ne pas avoir pu en manger un, quitte à en crever dans quelques jours, plutôt que tout de suite. Il est où, ce putain de sens de la morale? C'est quoi, la morale? Vivre dans sa piaule, baiser sous prétexte de prendre du plaisir, et bouffer sans avoir le moindre remord? Rassurez-vous, je suis comme vous : je ne suis qu'un égocentrique cherchant à se convaincre du contraire. Normal : pourquoi aider ces personnes dont on ne recevra jamais rien, pas même un merci? Qu'ils agonisent donc en silence, qu'on puisse jouir comme on le souhaite de notre confort, de notre éphémère prospérité. Notre bon dieu rira bien en ce jour où nous viendrons tous à payer notre inconscience et notre folie, notre arrogance et notre hypocrisie. Et il ne faudra pas espérer son aide pour seul prétexte que nous avons suffisamment supplier sa pitié par la piété. Car l'homme idéal serait un homme mort. Mais, voyez-vous, dans ma naïve haine et rébellion, je ne considère ici que les occidentaux, fautifs de la misère de notre bien belle Terre. Parce qu'il faut bien l'admettre, notre mère a su jusqu'ici être patiente avec nous. La question est : pour combien de temps, encore? Méditez-donc un peu, rendez-vous compte de votre solitude et de votre responsabilité dans ce chaos qui, sans être là, s'approche sans se faire remarquer, et à grand pas. Notre bêtise nous emportera.

Du matin,

Lisant ce qui est déposé, sur ce topic, plaisant , enflammé, réfléchissant, attendrissant, bestial ( papillon en éveil), je me surprends à éclater ma joie de lire une petite cosettamour, sourire d'un chatooopseudochotique, embrouillée d'un jedinoréflectique, ah ben oui, c'est un matin de mots insensés comme j'aime en jouer, personne ne s'arrêtera sur ce délire de pas bien éveillée, encore pas habillée, seulement bu un café, en attente d'une longue journée.

Début de journée...

Moi aussi, j'aime bien, dès que vient le matin, découvrir sur l'ordi les pensées de celle-là ou bien de celui-ci.

Ce sont souvent les noctambules qui viennent ici pour crier à la lune leurs phrases enflammées pendant que nous sommes dans nos rêves enfermés...

Imaginative Evasive qui sait trouver des mots à la consonnance étrange mais qui veulent bien dire ses ressentis! Chat000 qui pense trop que les filles passent à côté de lui sans même le regarder alors qu'il ne songe qu'à les faire trébucher...Jedino qui erre dans ce monde telle une âme en peine et se cherche sans jamais se trouver... Et puis, il y en a plein d'autres qui nous sont moins familiers, qui passent comme des ombres et puis, par moment, éclairent de leur soleil un coin de nos histoires...

Pti déj

Chocolat chaud en main, en ce froid matin, j'admire ce subtil mélange de lait et de chocolat, couleurs différentes , qui unie forme une saveur délicieuse, nous offrant ce qu'il y a de plus chaud en ce breuvage.

Questionnement survient, que mettre par ce temps, se laisser bercer de ses rayons matinales et sortir robe légère où se calfeutrer en pull par ce vent qui se veut un peu trop froid....

Rebondissement, que choisir à grignotter ce midi, sage biscotte beurrée accompagnée d'une soupe ou sandwich garni de jambon- fromage - mayo- crudités....je me laisserais bien tenter par ce deuxième choix....

Ahurissant, ah non, ça ne l'est pas, les nouvelles sont toujours mauvaises, cette radio va finir sa vie dans le fond du jardin ou dans un mur , à quand les bonnes nouvelles ? à quand une vie sans problèmes ?

Il est temps, que je me décide à me poster , face à ma garde robe et me laisser emporter vers cet univers de tissus....

Femme.

Femme, petite , elle rêve de marier son papa, comme c'est si normal, elle est sa princesse, celle qui va vers lui quand maman ne veut pas céder à un caprice, à condition que papa soit là, ce qui n'a pas été le cas.....

Femme, l'âge de rentrer dans le monde de la maternelle, elle rêve du petit Loïc, celui qui ne pense qu'à jouer avec ses copains, mais qui veut bien lui tenir la main pour aller dans les rangs, puis la lâche au premier moment venu.

Femme, petite fleur a grandi , elle rêve maintenant du prince charmant, celui qu'elle a vu dans une série télé, qu'elle recherche autour d'elle, mais qui ô combien est absent, ce rustre ne pense qu'à mettre sa main en son intimité....

Femme, presque épanouie en son mariage, études, fiançailles, mariage n'ont fait que défiler, l'aboutissement en est un bébé, un travail, un ménage à garder......

Et pourtant, Femme, se souvient d'avoir été , une princesse, une midinette, une amoureuse, une maîtresse, une épouse, une maman, une Femme.

nos problèmes

C'est vrai, ce monde est triste. Il suffit d'ouvrir la télé, la radio, rien que des catastrophes, rien que des scandales! Mais, je me pose une question "est-ce que cela ne permet pas aux gens d'y trouver l'excuse de polémiquer"? Parce que, si nous faisions abstraction de tous les problèmes qui hantent notre planéte, que resterait-il comme sujets de discussion? Bien sûr, il y aurait toujours nos problèmes de coeur, ce sont les plus courants, les plus abondants! mais, sommes-nous compétents pour pouvoir régler les problèmes des autres, alors que nous avons tant de mal à nous occuper des nôtres? Que nous sommes compliqués! Il suffit d'un verre d'eau pour nous y noyer! C'est quoi, nos peines de coeur? Une page mal écrite, une page à déchirer et parfois, une page à écrire...mais, c'est souvent une page qu'il faut tourner, qui, un jour ou l'autre, finira par s'effacer...La vie passe ainsi, laissant derrière nous un tas de regrets inutiles, de souhaits irréalisés et d'ici quelques années, nous nous dirons, qu'après tout, elle n'était pas si moche, que nous n'avons simplement pas su la regarder avec suffisamment d'objectivité...

C'est toujours face à la mort , d'une annonce de maladie incurable, de la perte d'un proche tant aimé, que nous puisons nos forces, cela nous ( m'a apprise) apprend à voir le monde différement, faut toujours arriver en extrême limite pour regarder autre chose que ce qui nous entoure....

Ma matinée là tout à l'heure pendant que j'écoute la porte de la cuisine ballotée par le courant d'air qui passe à travers la lucarne cassée de ma cuisine donc.

Faire les courses au supermarché de bonne heure, c'est pas triste ; ce vent qui soufflait en plus...... mais y avait plus rien à bouffer dans le frigo, même plus de sachets de cappuccinos, mais quel vent, nom de dieu n'empêche y a des bonnes femmes dans le magasin qui frissonnaient, je voyais, pis on sait pas trop s'il va pleuvoir ou pas, ça pleuvine de temps en temps j'ai l'impression.... et au retour du supermarché, le facteur est passé et nous a apporté une bonne nouvelle : si le compte est à découvert, c'est sûrement à cause d'un manque d'attention de ma part.. ouais ouais ; non mais ceci en réponse aux gens qui pensent que les occidentaux se vautrent dans le confort ; car faut savoir que si l'être humain vivant en Occident existe par et pour le confort, il y a toujours un prix à payer, même les leçons de karaté, de taï kwan do, de boxe anglaise, de yoga, de sophrologie, et j'en passe des vertes et des pas mûres, RIEN N'EST GRATUIT comme si la chose en elle-même, le produit en lui-même n'était pas assez attractif (ive), faut encore y mettre le prix......

La femme a, pour l'homme, l'odeur d'une victoire lorsqu'elle tombe dans ses bras. Objet de tous les désirs, raison de tous les fantasmes. Comment s'en sortir? Comment s'entendre avec si elle se met à vouloir se faire respecter, exister? Oh! Je n'ai pas de réponse à cela. Les femmes et moi, ça ne marche pas. Mais vous le comprendrez bien mieux si je vous dis ceci : pour moi, il n'y a pas plus bel objet qu'une femme trainant au salon, l'air épanoui.

Une œuvre d'art. Ouai. D'ailleurs, j'aime exposer ma femme à mes meilleurs amis. Et ils la trouvent tous très belle, dans sa robe qui lui donne cette élégance qui plait tant. Me croirez-vous si, comme dans un musée, je leur interdis de la toucher, de peur qu'ils ne me l'abîment? C'est que je suis égoïste et, bien que je permette qu'on la délecte des yeux, je ne permets à personne de me la prendre. Sauf si, bien sûr, vous avez de quoi me l'acheter.

aujourd'hui...

J'ai fait les courses, tout comme Chat000. J'ai rencontré des hommes, des femmes, des enfants! Je les ai vus chercher dans les rayons ce qui leur convenait! Les enfants voulaient mettre des bonbons et des jouets dans les paniers et les parents refusaient...et tout ce monde évoluait, se démenait, se dépêchait, pressé d'en finir et de rentrer dans leur foyer...chacun avait sa vie, ses problèmes, ses envies! chacun vivait pour lui, ne s'intéressait pas aux voisins, seulement pour essayer de passer à la caisse le premier! Que sont-ils devenus ces petits magasins où nous ne pouvions rien choisir, seulement demander ce dont nous avions besoin? Ces commerces où nous rencontrions des voisins, des connaissances, où nous n'étions pas des simples marionnettes avançant comme poussées par d'invisibles liens...Il y avait alors, à cette époque-là, pas si lointaine pourtant, une communication qui nous rendait un peu plus humains! Maintenant, nous vivons, tels des robots, des machines, sans voir personne, sans même avoir le temps de faire un sourire à la pauvre caissière qui ne se presse jamais autant qu'on le voudrait! Nous avons l'impression de ne jamais vivre la minute présente, de sans cesse penser à celle qui va suivre...et à ce rythme là, notre vie passe si vite que nous ne voyons plus les jours, les mois, les années défiler...et que, bientôt, oui très bientôt, nous ne saurons même plus pourquoi nous avons vécu...

Quotidien

Levée depuis un moment, je flâne, j'erre, je rode, je me laisse emporter au travers de ma baie vitrée, regarde mes fleurs trop tôt ouvertes par ce soleil, trop tôt arrivé pour la saison. Amarillys orangées est bientôt fanée , jaune viendra plus tard combler le massif .

Levée depuis un moment, je surf un peu sur le net, regarde, lis, réponds et me vient d'un coup de déposer un quotidien parmi tant d'autres.... Je traîne ça et là , de topic en topic, , souris de certains commentaires, peine de certaines misères....

Levée depuis un moment, faudrait bien que je me secoue un peu, mais pas l'envie, je suis bien là, dans cette fenêtre qui me procure un bien être....

L'Orage

Aujourd'hui, il avait fait beau. Alors que je faisais mes devoirs, installé confortablement dans ma chambre, la fenêtre ouverte, torse nu sur mon lit, le ciel s'est soudain obscurci. C'était étrange, car aucun nuage n'avait laissé prévoir cela durant la journée. Quelques minutes après il a commencé à pleuvoir fort. Je fermais la fenêtre, mais restais torse nu, car il faisait toujours chaud. Je me disais que ça allait bien finir par passer ! Malheureusement, le ciel s'assombri un peu plus, et la pluie redoubla d'intensité ! C'est alors que, en coupant la musique que j'avais mis en "ambiance" dans ma chambre, j'entendis un bruit étrange... Un flash puissant et gigantesque éclaira alors toute ma chambre pendant une fraction de seconde. Mince ! L'Orage ! J'aime bien l'orage ! C'est sombre, mais en même temps, c'est si vivant ! Je regarde dehors, le ciel, afin de l'observé... Magnifique ! J'ai alors la bonne idée d'éteindre toute les lumières de ma chambre. Quel spectacle ! Environ une demi-heure plus tard, c'est déjà fini, le ciel gris revient, et étrangement,, je perd quelque peu mon sourire... Mais je reste positif : je sais qu'il reviendra. Aujourd'hui, ma petite amie m'avait lâchée. Peut-être le savait-il ? Il serait alors venu me voir pour me consoler... Peut-être...

Toi, l'Orage, je t'attend !

Imprévu

Je flâne, je suis bien, envie de rien, seulement laisser ma souris naviguer ça et là...et puis, le téléphone sonne, c'est un couple d'amis qui me demandent s'ils peuvent venir me voir...bien sûr, pas moyen de refuser, je ne sais pas dire non! Pourtant aujourd'hui je n'avais pas envie, je trouvais que ma solitude suffisait comme compagne... Faut donc que je me bouge, que je quitte ce peignoir afin de m'habiller pour les recevoir...et puis, aussi, prévoir le dîner, mettre encore une fois la nappe, les couverts au lieu de rester là à savourer ma flemme...Parfois, il est vrai, j'aime bien les voir, converser, écouter, échanger nos idées, mais aujourd'hui, allez savoir pourquoi, je n'avais pas envie...Sans doute que mes pensées avaient décidé de prendre des vacances, de faire les paresseuses, d'aller seulement respirer l'odeur de mes roses, de contempler mon chat, de profiter de ce jour de repos...allons, ce sera pour une autre fois! la vie est ainsi faite et comporte tant d'imprévus qui n'ont pas toujours l'heur de nous plaire!

Un. C'est le nombre de fois où je me suis réveillé aujourd'hui.

Deux. C'est le nombre de livres que j'ai commencé aujourd'hui.

Trois. C'est le nombre de fois où j'ai rejoins mon ordinateur aujourd'hui.

Quatre. C'est le nombre de fois où j'ai mangé aujourd'hui.

Avec quatre chiffres, j'arrive à résumer ma vie.

A toi Baudelaire...

Tu as si bien loué l'âme du vin

Qui tombe dans le gosier d'un homme usé par ses travaux,

Empêché l'albatros de voler,

Exilé sur le sol au milieu des nuées.

Tu nous as invité au voyage

Où tout n'était qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté...

Que tes fleurs du mal sont donc belles!

Que j'aime les relire sous ce soleil si pâle!

Associées à tous nos souvenirs,

Lycéens de toujours, vous vous souvenez d'elles

Et les générations continuent de les effeuiller

Au long du temps qui court...

Le crapaud (extrait de la légende des siècles Victor Hugo)

....les enfants l'aperçurent,

Et crièrent " tuons ce vilain animal,

Et puisqu'il est si laid, faisons-lui bien du mal!"

Et chacun d'eux, riant, - l'enfant rit quand il tue-

Se mit à le piquer d'une branche pointue,

Elargissant le trou de l'oeil crevé, blessant

Les blessures, ravis, applaudis du passant...

Et les enfants disaient "est-il méchant! il bave!"

Son front saignait, son oeil pendait ;dans le genêt

Et la ronce, effroyable à voir, il cheminait...

Il suffit souvent de croiser sur son chemin quelqu'un qui semble laid,qui est différent, qui ne nous convient pas, pour en faire l'objet de son mépris, de son ironie, et de le maltraiter, ne serait-ce qu'au figuré! Les enfants ont l'excuse d'être souvent inconscients, mais les grands, les adultes qu'ont-ils donc comme excuse?est-ce seulement parce qu'ils sont méchants? parce que notre monde se remplit chaque jour davantage de personnes qui ne se nourrissent plus que de haine et mépris ? ce monde me fait peur...je ne sais où il va, je me demande seulement pourquoi?

Le Transmetteur d'Emotion

Aujourd'hui, alors que j'écoutais une chanson, je me suis rendu compte que la musique, c'était bien plus qu'une distraction. C'est un moyen de communication, un transmetteur d'émotion, de passion, d'envie ! Si un jour il vous prenais l'envie d'analyser, ne serait-ce qu'une petite minute, les paroles d'une chanson, vous trouveriez une mine d'informations, auxquelles vous pourriez vous référer, vous identifier, vous retrouver... Vous savez, moi aussi j'écris des chansons ! D'ailleurs, je mettrais quelques paroles bientôt ! Mais avant, réfléchissez à mes paroles... Peut-être ai-je raison ?

Mais oui, tu as raison! J'adore écouter les chansons, pas seulement la musique, les paroles ressemblent à des poésies et souvent me transportent bien au-delà des mots! Elles renferment des pensées qui me paraissent proches de ce que je ressens, et, parfois, une larme coule ou un sourire naît...le temps d'une chanson!.. Au plaisir de découvrir les tiennes! :)

bonjour . - monsieur moineau le petit oiseau - :le temps des frimas est venu ,plus de pitance , plus de menus .la neige est la , le froid est venu avec son cortége de déconvenues .monsieur moineau , le petit oiseau emitouflé dans son duvet ébouriffé réve au petit grain de blé de l ' été dernier .patience et longueur de temps verra revenir le printemps .qui à de la patience et de la chance en sera l ' heureux gagnant .mais , le hasard ou la bonté ? à posé un petit grain de blé devant la fenétre d ' un particulier .une vieille personne , petite et ratatinée à eu pitiée de monsieur moineau le petit oiseau .graçe à ce geste de tendresse celui-çi reverra , peut-étre les jours les plus beaux . bonne soiré . :)