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Le combat d'un demi-frère pour pouvoir sauver da soeur.


Invité David Web

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Invité David Web
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Invité David Web
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Le combat d'un demi-frère pour pouvoir sauver sa soeur...

Un homme souhaite donner un rein à sa demi-s¿ur biologique, mais l'agence de biomédecine refuse au motif que le lien familial n'est pas reconnu juridiquement. Le ministère de la Santé s'en mêle.

Après une profonde déception, l'espoir renaît. A 59 ans, Martine Courrier souffre d'insuffisance rénale depuis plus de deux ans, ce qui la contraint à subir des dialyses trois fois par semaine. Une greffe de rein lui permettrait de retrouver une vie normale, et son demi-frère biologique, Jean-Pierre, donneur compatible, a accepté de lui offrir l'un des siens. Mais les experts de l'agence de biomédecine, auxquels est soumis ce genre de dossier, ont rejeté le don au motif que la parenté entre les deux cinquantenaires n'est pas enregistrée administrativement.

Jean-Pierre Serrurier, qui a le même père que Martine Courrier, est en effet né d'une relation extra-conjugale et n'a jamais été reconnu par son géniteur biologique. Martine Couturier n'a appris l'existence de ce demi-frère qu'à 21 ans. Il lui a encore fallu 12 ans pour le retrouver. Depuis, une relation forte s'est nouée entre eux. Au point que Jean-Pierre, de sept ans son cadet, a accepté de lui céder un de ses reins. «Elle est ma s¿ur et pour moi c'est naturel. Elle en a besoin et j'ai envie de la voir le plus longtemps possible», a expliqué ce salarié de la Poste, à L'Est Républicain.

suite de l'article (Le Figaro)

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Invité zazou
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Invité zazou
Invité zazou Invités 0 message
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Ben c'est malheureux, mais entre Mme Courrier, et Mr Serrurier, les "facteurs" génétiques ne sont peut être pas aussi compatibles qu'une clé dans un pêne? :p

Jeu de mots, ho ho... :p

Non cela est lamentable... Car le lien juridique n'est pas prouvé, il ne faut pas que cette femme reçoive l'aide de son "frère" (pas de "demi" chez moi) :cray:

Ceci dit, il peut toujours faire don d'un rein auprès d'un hôpital et les aiguiller vers le receveur le plus compatibles, en indiquant le nom de l'hôpital où est suivie sa soeur, non? :o

Ok ça ne respecte pas l'anonymat du don, mais bon en même temps ça sauve une vie...

(ah moins qu'on ne soit plus dans une politique de partage et d'équité, et alors là, faut pas tenter de secourir son prochain, sous peine d'être jugé, faut pas, hein) :p

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Membre, Créatrice en devenir, 36ans Posté(e)
Libébulle Membre 2 396 messages
36ans‚ Créatrice en devenir,
Posté(e)
Ceci dit, il peut toujours faire don d'un rein auprès d'un hôpital et les aiguiller vers le receveur le plus compatibles, en indiquant le nom de l'hôpital où est suivie sa soeur, non? :cray:

Si seulement ça pouvait être aussi simple ^^'.

Déjà entendu parler de cette histoire il a peut-être trois jours aux infos. J'aurais pensé que l'appui médiatique les aurait aidé...

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Invité château
Invités, Posté(e)
Invité château
Invité château Invités 0 message
Posté(e)

Pétard, c'est elle qui s'appelle courrier et c'est lui qui bosse à la poste :cray::o :p nan en fait j'ai retenu que ça, c'est con pour les dialyses mais bon c'est la vie quoi donc

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le combat d'un demi-frère pour pouvoir sauver sa soeur...

Un homme souhaite donner un rein à sa demi-s¿ur biologique, mais l'agence de biomédecine refuse au motif que le lien familial n'est pas reconnu juridiquement. Le ministère de la Santé s'en mêle.

Après une profonde déception, l'espoir renaît. A 59 ans, Martine Courrier souffre d'insuffisance rénale depuis plus de deux ans, ce qui la contraint à subir des dialyses trois fois par semaine. Une greffe de rein lui permettrait de retrouver une vie normale, et son demi-frère biologique, Jean-Pierre, donneur compatible, a accepté de lui offrir l'un des siens. Mais les experts de l'agence de biomédecine, auxquels est soumis ce genre de dossier, ont rejeté le don au motif que la parenté entre les deux cinquantenaires n'est pas enregistrée administrativement.

Jean-Pierre Serrurier, qui a le même père que Martine Courrier, est en effet né d'une relation extra-conjugale et n'a jamais été reconnu par son géniteur biologique. Martine Couturier n'a appris l'existence de ce demi-frère qu'à 21 ans. Il lui a encore fallu 12 ans pour le retrouver. Depuis, une relation forte s'est nouée entre eux. Au point que Jean-Pierre, de sept ans son cadet, a accepté de lui céder un de ses reins. «Elle est ma s¿ur et pour moi c'est naturel. Elle en a besoin et j'ai envie de la voir le plus longtemps possible», a expliqué ce salarié de la Poste, à L'Est Républicain.

suite de l'article (Le Figaro)

bonsoir .je ne veut pas m ' ètendre sur ce sujet car , il n ' y à rien de tel pour me mettre en colère . la vie d ' une femme vaut mieux mieux qu 'un enregistrement administratif imbècile et d ' un autre àge et que , dans ce cas , il y à non assistance à personne en danger . j 'espère que des gens compètents et humains vont agire en consèquence . bonne soirèe .

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  • 1 mois après...
Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Le demi-frère pourra faire don d'un rein à sa soeur.

La malade insuffisante rénale qui s'était vu refuser une greffe de son demi-frère biologique car il n'était pas reconnu juridiquement, va finalement être opérée la semaine prochaine.

La malade insuffisante rénale qui s'était vu refuser une greffe de son demi-frère biologique car il n'était pas reconnu juridiquement, va finalement être opérée la semaine prochaine. Martine Courrier[/font], 59 ans, s'était vu proposer par son demi-frère, Jean-Pierre Serrurier, une greffe de rein. Refusée par un comité d'experts de l'Agence de la biomédecine du Nord-Est, l'opération a finalement été validée par un deuxième collège, sollicité par le ministre de la Santé Xavier Bertrand, qui a rendu un avis favorable mercredi.

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