poémes

Un vent de nuage

Tu sais mes nuages par chez moi sont vivants

Ils répandent une odeur de sainteté en mon Ciel

Parfois gronde l'orage, et alors avec des gants

La foudre traverse l'ozone, transforme en Pixels

Les coeurs des travailleuses et travailleurs d'Avant

Avant de ne devoir manger de l'Herbe, réelle

Celle dont ces quelques vers ma foé, tels des auvents

Invoquant le Soleil, tentent de t'en transmettre, très Belle

énesse, une petite idée, comme un carré, un onguent

Dont à loisir si tu le souhaites tu peux partiellement te pourlécher

les mots que j'envois

ne sont que pour moi

ma demeure est l'enfer

mais quand revient l'heure

où fleurissent les fleurs

je sort de sous terre

je suis ange et démon

tu connais ma chanson

sans destinée

dérive mes pensées.

navré de t'avoir blessé ...

Gentillesse d'une ânesse,

venant enchanteresse,

déposer avec délicatesse,

ses mots caresses.

Jolie petite soeur,semant ses fleurs,

en nos coeurs, souriante au bonheur,

ne craignant peurs, ni frayeurs,

enrobe de douceur, le monde rancoeur.

Petite femme, qui nous alarme,

timide en son charme, secouée de fantasmes,

verse une larme, mais point de sarcasmes,

discrète sa lame jamais ne désarme.

Petite chose , qui se raconte en prose,

tatouée d'une rose, juste pour la cause,

toucher on l'ose, sans qu'elle ne s'y oppose,

la lire à petites doses, la sentir virtuose.

amusement nocturne ^^

fais ton chemin petit poussin,

bientot reviendra le matin.

tu ne seras plus un pantin ,

oh non tu sera mien .

pic pic petit oiseau

je ne joue plus , tu es si beau

ton plumage sur le dos

je ne sais pas ce que tu vaus .

l'important , tu le sais bien

est que tu reste mien .

l'important ,tu le sais bien

est que je t'appartiens .

divertissement diurne

Maladie

Antidote

Poétesse, chasseuse de rimes,

En son pays rêve de tendresse.

Toute seule, songe de détresse,

Idée fixe d'écorce pusillanime

Tambourinant, devineresse,

Et trottoirs et pavés millésimes

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J'ai soufflé mes bougies

Pacte de non agression

Avec moi-même ;

Ca faisait longtemps

Les Allobroges faisaient

Et défaisaient les lois à loisir (info à vérifier quand même)

Ainsi suis-je...............

bon jour d'un soleil éclatant

anis et menthe se font sentir

vers de terre sortant

cerf volant vers l'avenir

aujourd'hui c'est le printemps ^^

te voila bien déprimé ! et oui même dans les anges, il y en a, des bons et des moins bons !

bon courage

point du tout . merci quand même ^^ .

ainsi il est partis,

envolé beau parti

ainsi va la vie

douces insomnies

nos corps endolories

rêves à d'autres nuits ...

eau de vie et martinis

à une table de salon assis

parce que c'est la vie

j'écris au clavier la lettre J

aussi parce que j'ai envie

sous les rayons du soleil désunis

in memoriam de faire briller la vie

ou la lettre J je sais plus..... Tuerie..

.

.

.

Vie misérable putain ,je vois en ton sein ,

Les mensonges incertains des êtres mesquins

Qui composent ton toi .

Je ne vois pas pourquoi tu prendrais

Si bien soin de moi .

Alors je préférerais courir à jamais .

Mais comment te fuir quand tu m'ennivre

Comment te quitter si je suis attiré ?

J'attends l'avenir, vois ce qui va suivre.

tranquille sur ta branche , dans ton petit nid douillé ,

Tu rêve de t'envoler j'usqu'au bout de la Terre,

Tu ne sais pas voler donc tu vis un enfer ,

Mais ne pleurs pas , tu trouveras ta liberté.

Tu restes sans bouger , tout au fond de ta mare ,

Tu voudrais voyager faire le tour de ce monde ,

Aller de mer en mer mais tu n'es qu'un tétard,

Non surtout ne pleurs pas la planête reste ronde .

Elle dormais dans sa chambre , innocente dans son lit,

Elle souffrait en silence , bravant la maladie,

Et sentait en elle-même que tout était finis .

Certains peuvent rêver , elle n'a pu que mourir,

Sans avoir su penser à construire un avenir.

Alors rêvons pour ceux qui n'ont pas ce plaisir ...

Jour de pluie gondole Venise, à l'heure.....

Des rêves roses, sur parterres de fleurs

Des phares me rentrent dedans...

Voitures en feux de croisement...

Batraciens sur leurs branches croassent

A la vallée de myosotis dessinée, lasse

Sous les yeux de badauds désenchantés hélas...

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Je suis debout, et vers et rimes roulent

Depuis ma gorge muette dominant les parapluies

Des lumières électriques découpées par la houle

Au loin, d'une tendresse échue qui n'a point pâli

Depuis la naissance de mon amour et de mon espoir

A chaque courbe des virages, de te lire, PARTOUT, depuis l'écorce des tiroirs

De ma chambre jusque sur les angles et recoins de chaque voie d'autoroute

Bible de mes sentiments tes mots, nos maux qui forment le terroir

De chacun de mes pas depuis que tu m'as demandé une route, un chemin

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Ce jour-là par une Nuit d'hiver durant laquelle nous nous sommes aimés

Un peu car nous ne voulions nous nuire, pourtant si proches et si loin

L'un de l'autre nous ne voulions, seuls les instants importaient, Belle aimée

Notre peau dessus dessous l'un l'autre par clavier interposé, tes doigts de Fée

Correspondaient avec les cordes apeurées, irisées de mon esprit jeté aux foins

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Du moins j'aurais voulu en dépit de la foule

Laura mon aura l'extase de mes sens ouille

Si ce n'est ton prénom, tendre ange démoniaque

Les cordes de mon âme telles les tentacules

D'une pieuvre aux odeurs viles d'ammoniaque

Se pincent à tes battements cardiaques j'ai dit : FULL !

Petite chose venant des méandres,

ne sachant quel chemin prendre,

s'affole dans de nombreux coups,

accusant les mauvais Loups.

Perdition d'un être étrange,

s'accroche à une infime revenge,

scintillant inlassablement de passion,

cherche encore moultes raisons.

Fantôme errant ça et là,

surprit, accueillit, en son trépas,

s'octroie une place en ce jeu,

du '' je peux, je veux".

Esprit libre en ce monde,

mène la farandole , la ronde,

ignorant embuscades et batailles,

s'enrichissant de failles.

Encore un sursis de féérie,

juste des mots que l'on marie,

d'un passé souvent regretté,

d'un présent tellement enjoué....

Souffre d'ivresse dans mes cheveux,

Sur moi se sont posé tes yeux

En un mouvement de tes bras ,

Je me retrouve contre toi .

Je ris , je souris , je suis

Et le bonheur tombe en gouttes de pluie.

Envolés dans une danse infernal,

Rythme de fou , baiser final .

Tes lêvres m'ont à peine frollé,

Que cesse la musique endiablée,

Tes mains se sont perdu ,

En caresses éperdues .

Quelques notes , un peu plus loin

Et il n'en restera rien ...

A peine reviens tu à la vie ,

Que t'emporte la nuit.

Ne pleurs pas, douce enfant ,

Ici fuira le temps .

Je te garderais en mon coeur

T'offrirais ma douceur .

Petite fleur de l'ombre ,

Chasse les pensée sombre .

Oublis le monstre dans ton placard ,

Je le combattrais chaque soir .

Souviens toi seulement

Que je t'aime mon enfant ...

Elle s'appelait Cosette...

Nous lui faisions la causette, des fois...

Fille née dans un parterre de roses, d'après elle, Alouette...

Du pays des histoires qui ne finissent pas mal, pour une fois...

Fille de Feu, de Pluie et amie du vent, c'était une bonne copine, certes

Clopins clopans, nous nous réunissions autour d'elle, comme à la piscine

Autour des jolies filles portant maillots de bain rouges, noirs et bleus, chère Cosette.

Petite sorcière réinventant au moyen de sa planche de oui-ja, la Nuit venue, sans rimes,

Les mots des espaces vastes, contrées de notre planète Terre, à nous et elle, Etre

Constellé de féérie, insondable fille dont la beauté suprême, sous le miaulement inné

Des chattes de gouttière, dont elle était capable de prendre la forme, grâce à la gym,

Dans ses rêves, nous confiait-elle - au moyen de quelque magie shamanique héritée

Des étoiles pensions-nous- sur quelque trottoir où nous pouvions nous asseoir libres,

Sans soucis après l'école, Cosette, personnage dont nous ignorions l'hiver, et puis l'été

Encore qu'il s'agissait d'un pseudonyme d'emprunt, avec ses histoires nous apprenait à vivre.

Sous la fenêtre très haut de sa chambre, nous peuplions son jardin secret, temps orageux ou venté,

Comme par les nuits de pluie il faisait toujours beau quelque part affirmait-elle, en ouvrant un livre

De Victor Hugo ou de Voltaire, grâce auxquels elle nous décrivait ce que nous ne savions regarder,

Les acacias devenaient des fantômes, la ruelle une maison hantée, la lumière au loin réfléchissait

Les états d'âme de Cunégonde, Jean Valjean était le nom de ce clochard qui nous observait depuis

L'angle de la rue, attendant son heure pour enfourcher le cheval blanc de Cosette et lui,

La bouche de l'égoût devenait le Puits Enchanté des Frères Grim, ceux-là Cosette ne les appréciait.

Elle ne voyait le plafond étoilé au-dessus de sa chambre, mais nous pensions, plutôt que d'une rose,

Qu'elle nous était venue d'une lointaine planète encore inconnue. Cosette, notre fleur grandiose.

Et puis un jour je l'ai revue, en train de danser au bal de la gendarmerie, elle m'a souri puis donné...

Un baiser....

Je ne suis pas douée pour écrire des poèmes

Mais je tiens à te remercier Chatooo

D'avoir été, pour un soir, ta Muse...

in tenebris abscondit lucem ... sed ubi?

De ma vie , construisit ,

Tombe dans l'oublie ,

J'ai peur bien sur ,

Ce monde me torture ...

C'est comme vivre démon

Avec dieu en sa maison .

Comme être un ange déchu

Dans l'enfer perdu .

J'ai peur maman ,

J'ai peur des gens .

Les peines emplissent mes pensées,

Mon coeur et mon esprit envolé .

Qui suis je dis moi ?

Que suis je ? je ne sais pas!

Non je ne veux plus être aidé ,

Puis à nouveau abandonné .