Le porc fait, malheureusement, partie de la catégorie des animaux volontairement oubliés. C'est pourtant un animal intelligent, sensible, qui paie cher son impopularité.

Les conditions d'élevage sont, en effet, écoeurantes au possible : l'animal, confiné dans un espace minuscule où il n'a même pas la possibilité de se tourner ou de se gratter, en vient à développer des troubles comportementaux, comme mordre les barreaux de sa prison.

Bien souvent, on lui arrache les dents (sans anesthésie, cela va sans dire).

La truie qui allaite, est séparée de ses petits par une espèce de barrière qui la prive de toute manifestation maternelle.

Les méthodes modernes de sélection et les conditions d'élevage actuelles, peu propice au développement intellectuel font que les porcs actuels sont plus bêtes que leurs ancêtres d'il y a 100 ans. C'est je trouve une conséquence dramatique de l'élevage.

Du moment que les gens ont une viande bonne à manger à bas prix, peut importe la souffrance qui se cache dehors. Les gens ont l'habitude de voir un joli morceau de viande sous cellophane, et ne cherchent pas plus loin.

Peu importe si la viande est déguellasse, bourrée d'antibios et autres saloperies chimiques, si l'animal a dérouillé toute sa petite vie pour leur remplir l'estomac.

Le porc fait, malheureusement, partie de la catégorie des animaux volontairement oubliés. C'est pourtant un animal intelligent, sensible, qui paie cher son impopularité.

Les conditions d'élevage sont, en effet, écoeurantes au possible : l'animal, confiné dans un espace minuscule où il n'a même pas la possibilité de se tourner ou de se gratter, en vient à développer des troubles comportementaux, comme mordre les barreaux de sa prison.

Bien souvent, on lui arrache les dents (sans anesthésie, cela va sans dire).

La truie qui allaite, est séparée de ses petits par une espèce de barrière qui la prive de toute manifestation maternelle.

Du cochon

L'ours et le cochon, eux, ont en commun l'ambivalence des sentiments qu'ils suscitent chez l'homme.

Mais alors que l'ours a été admiré, vénéré puis dévalorisé, et même tabou, il y a toujours eu un mélange d'attrait et de rejet à l'égard du cochon, qui demeure encore aujourd'hui. Pour moi, cela vient de son cousinage biologique trop grand avec l'homme. Ne serait-ce que par sa morphologie interne, le cochon est très proche de l'homme. D'ailleurs on tire toutes sortes de produits médicaux du porc (beaucoup plus que du singe) : l'insuline, les glandes surrénales du cochon sont utilisées aussi, on lui emprunte des morceaux de peau...

Les médecines antique, puis arabe médiévale le savaient déjà, et la médecine contemporaine le confirme pleinement : à l'intérieur, c'est tout pareil !

A tel point qu'on sait greffer des organes porcins sur des hommes. Une truie peut même être mère porteuse d'un embryon humain le temps d'une opération chirurgicale ! Je ne sais pas quels troubles psychologiques on garde d'avoir été dans le ventre d'une truie, mais ça s'est fait, au Canada.

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Les méthodes modernes de sélection et les conditions d'élevage actuelles, peu propice au développement intellectuel font que les porcs actuels sont plus bêtes que leurs ancêtres d'il y a 100 ans. C'est je trouve une conséquence dramatique de l'élevage.

En traitant l'animal comme un objet, la société perd de son humanité...

Certains éleveurs dénoncent ces élevages à grande échelle qui nous font régresser.

@SAVANNA : en effet, l'ours vit un cauchemar sans nom :

http://protectionanimale.com/bears2.htm

http://www.courrierinternational.com/artic...s-tres-rentable

http://www.one-voice.fr/fr/tag/ours-bile

En traitant l'animal comme un objet, la société perd de son humanité...

Certains éleveurs dénoncent ces élevages à grande échelle qui nous font régresser.

@SAVANNA : en effet, l'ours vit un cauchemar sans nom :

http://protectionanimale.com/bears2.htm

http://www.courrierinternational.com/artic...s-tres-rentable

http://www.one-voice.fr/fr/tag/ours-bile

L'homme est tellement débile, qu'il traite ses congénères aussi comme de la vulgaire marchandise. C'est pas étonnant de voir autant de souffrances de part le monde.