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Algérie . L' art de la manipulation . Enquète


BM7

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MembreR, 58ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 58ans‚
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D' après le témoignage de plusieurs transfuges de l' armée algerienne , les massacres de villageois , l' assassinat de journalistes , l' assassinat d' européen était en fait l' oeuvre de certains services issues de l' armée algerienne comprenant la sécurité militaire et autres unités secrètes .

Dans la vidéo suivante "Jean - Baptiste Rivoire" , qui a réalisé une enquète sur les commanditaires des massacres en algérie nous explique que la vague d' attentats qui avait secoué la capitale parisienne en 1995 , n' était pas l' oeuvre de l' islamisme algerien mais celui de la sécurité militaire algerienne .

http://www.dailymotion.com/swf/video/x2ru7...ditionalInfos=0

ReOpen911 ¿ News » Des versions officielles qui soulèvent plus de

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Auteur de nombreux documentaires, Jean-Baptiste Rivoire est journaliste dans l'émission '90 Minutes' de Canal +. En 1992, ce passionné d'actualité publie 'Vacheries dictionnaire des insolences'. Son parcours est marqué par la réalisation de documentaires comme 'Benthala, autopsie d'un massacre' en 1999, 'Algérie : la grande manipulation' en 2000, et 'Attentats de Paris, enquête sur les commanditaires' en 2002. En 2005, Jean-Baptiste Rivoire, en collaboration avec Lounis Aggoun, sort le livre 'Françalgérie, crimes et mensonges d'états', qui traite de la situation désastreuse de l'Algérie et des intérêts menacés de la France. Fort des nombreuses enquêtes qu'il a réalisées, Jean-Baptiste Rivoire est aujourd'hui un journaliste de grande envergure. (source)

Attentat à Paris 1995

Dénonciation du rôle de la police dans les massacres des Algérienshttp://www.siteadvisor.com/sites/algeria-w...;ref=safesearch

Djamel Zitouni

Qui a tué à Bentalha ? Les quatre vérités de Yous - Afrik.com : l ...

En janvier 1995, l'opposition algérienne réunie à Rome (Islamistes du FIS, FLN, FFS) signe malgré tout un accord de paix prévoyant l'organisation de nouvelles élections en Algérie et le départ des militaires. Dans les semaines qui suivent, François Mitterrand, Alain Juppé et de hauts responsables de l'administration Clinton saluent ces accords de Rome, au grand dam des généraux d'Alger. En mai 1995, Jacques Chirac est élu président de la République et Alain Juppé est appelé premier ministre.

Dans ce contexte complexe pour les généraux d'Alger, La France est à nouveau prise en otage par une campagne d'attentats officiellement attribuée au "GIA" de Djamel Zitouni. De hauts responsables islamistes sont menacés ou assassinés (le Cheikh Sahraoui, à Paris, en juillet 1995, Rabah Kebir, porte parole du FIS en Europe) mais en particulier des attentats sont organisés contre des civils, surtout aux RER Saint Michel et Musée d'Orsay. En deux mois, on déplore une douzaine de morts et près de 200 blessés en France.

Suite à ces attentats, plus aucun responsable politique français n'osera critiquer le régime algérien, à l'exception de Jean-Louis Debré, ministre de l'intérieur. Mi-septembre 1995, il invite des journalistes à déjeuner au ministère de l'intérieur et leur confie que durant l'enquête sur les attentats, il soupçonne les services algériens d'avoir voulu entraîner les services français sur de fausses pistes.

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