Poésie

clair que c'est touchant angelo, en espérant que ne sera qu'un exutoire pour toi d'écrire tout ca car tu deviens inquiétant (l'infirmier psy se réveille!! )

Voila, un petit coucou, j'ai pas voulu mettre des poèmes tristes que j'ai déjà mis sur un autre topic, bise

Je na sais qui tu es

Mais permets moi de te saluer.

Je salue la carté

que tu viens gentihement m'apporter

et qui ramène le sourire dans mon coeur isolé.

Je salue tes paroles

sincères et chaleureuses

qui réchauffent mon sang

glacé par la cruauté des gens.

Moi qui ne sais pas prier

Je prie pour l'amitié

qui nous empêche de sombrer.

J'ai passé des nuits entières à te regarder dormir...

Trop de splifs, trop de bières, trop de désir...

J'ai passé des journée à me regarder m'enfuir...

Trop d'aveux, trop d'enjeux, trop délires...

J'ai passé trop de temps à te regarder sourire...

Trop souvent, trop indécent, trop vomir...

Je suis passé silencieux à côté du plaisir...

Trop anxieu, trop galant, trop salir...

Je te laisse maintenant à ton doux souvenir...

Je m'en vais vers d'autre vents, d'autres pires...

Adieu

C'est très joli..

Dis, tu veux bien rester, pour en écrire encore plein d'autres?

Ne resterai-je que pour repartir ? Je ne serai plus que mon propre souvenir... Ne resterai-je que pour ton plaisir ? Je ne serai qu'égoïste à me lire... Ne serai-je que des soupirs ? Je ne serai sans doutes pas pire...

@ te regarder, @ te lire...

oui oui tu restes pour NOTRE plaisir à tous. un point c'est tout t'as pas le choix ;)

Puisque de tous ces yeux, je ne peux me lasser...

Je resterai alors un peu pour recevoir et donner...

Puisque je suis seul aujourd'hui, que vos coeur me disent "oui"...

Je resterai alors un peu pour prendre de votre folie...

mon oui j'veux qu'il résonne

ma folie oui je te la donne

quel plaisir de te voir revenir

un retour plein d'avenir..

(c'est nul mais c'était pour pas être hors sujet dans le topic )

La poésie en prose ou vers ?

J'ai rencontré une gamine de 33 ans, Quelle drôle d'affaire...

Elégante comme Fanny Ardant, les yeux d' Ava Gardner

Sans sourciller, les tête baissée, j'ai foncé dans l'tas...

Sans complaisance, mon impatience a payé...

Très vite en transe, alcool et danse et puis mes bras...

Quelle ignorance ! l'impatience est un mal adroit.

Au tout début je jouais avec, elle, elle riait aux éclats...

Elle m'embrassait comme un blanc-bec, je la serai tout contre moi...

Je lui offrais des carambecs, elle s'enfilait tout aussi sec...

Elle me donnait sont corps et me prouvait que j'avais tort...

Ces yeux semi-noisette, son tout petit minoi...

Bon dieu qu'elle était bête, affligeant parfois...

Je garderais de ce roman qu'une seule et unique chose...

Nos ébats du premier moment, ça, c'était quelque chose !

salut tout le monde juste vous soumettre un petit texte un sombre mais ne vous en faite pas il ne s'agit qu'un d'un moment fictif qui n'est jamais vraiment ariver

il s'intitule voila

me voila a l'heure de vérite

celle que j'attend depuis une eternite

debout sur ce tabouret je grave mes dernier regret

je saute et voila je n'ai plus qua attendre

a elle je ne fait que penser pendant c'est moment abreger

pk i avoir songer pour ne pas rebrousser chemin

mais voila faut il la peine de rester seulement pour la regarder

ne pas pouvoir la toucher voila qui est mon chemin

vaille t'il la peine de la couper seulement pour lui parler

non c'est deja terminer

la corde reserre son etreinte

le noir se referme autour de moi

ce couteau tjrs a la main que se passe t'il dans cette eternel refrain

le soufle coupe je pense a toi seulement je ne peut changer

sans i penser la lame c'est porté a la corde et je suis retomber

seulement d'avoir pensera toi mais voila

mon coeur a couper cette corde pour toi mais mon esprit se souvient

elle sait ce qye j'ai et connait aussi les raison

tout ca na pas change mais voila

pour toi j'ai renoncer mais a quel fin

tu mas sauve d'un seul regard innofencif soit t'Il

je pense a toi qui ma sauve mais tu ignore tjrs l'amour que je te porte

tu mas sauve oui toi mais voila

je ne puis expliquer commentj'ai pu autant m'egarer

a tout ceux qui on contribuer vous n'avez pas gangner

le temps c'est arete pour me laisser vivre

maintenant voila j'ai ouvert les yeux surtout ce qu'il aurait manquer et encore je te revoit

c'est toi qui en est la cause oui toi qui ma sauver mais c'est toi qui ma presque tuer

juste avec un simple regard inofensif il n'est plus

pourquoi ai-je couper et voila tout est a recomencer

le couteau tjrs dans la main dois-je i renoncer

cette meme lame qui ma sauver et maintenant prête a trancher

dois-je i renocer

maintenanr deposer sur mon poignet je pense encore a toi

tu me rend fou seulement tu ne le sait pas

le couteau maintenant forme une cimple plaie qui me rapelle la douleur

dois-je i renoncer

le bruit du poignard fracassant le sol qu'est il arriver

pk l'ai je fait, pk ai-je renoncer

j'ai encore pênser a elle,la penser est mon ennemie mais voila...

maintenant que j'ai ramasser cette acte de lacheter est enterrer

dans les vestige du passer mais non car elle se souvient

mon esprit se souvient

elle seul a ete tout, je suis mort et ressucite

par sa faute QUI,.QUOI,.

l'amour vaut elle la peine d'etre vecu et si oui

doit on oindre l'amour ou l'amitie et je pense encore a elle

doit-je lui dire, perdre ainsi son amitie et me retrouver au neant

mais voila...

aujourd'hui j'ai ete sauvee grave a elle par un simple regard innofencif...

merci a toi !!!

mais voila apres tout c'est elle qui ma tuer

Es-ce que vous pourriez juste me dire ce que vous en pensez ? Svp. Voilà merci !

L'homme qui ne souriait plus

Il avait eu une femme, un boulot, une vie sympa

Il avait eu des jours heureux, il s'en souvient parfois

Mais aujourd'hui c'en était fin de tout ça

Pour l'homme qui ne souriait plus

Sa vie passe, le temps coule mais ne le touche plus

Plus rien ne l'affecte, son c¿ur est tout froid

Ce n'est même pas qu'il n'aime plus

C'est juste un homme qui ne sourit plus

Il n'a pas voulu ça, lui le blagueur,

Le joueur de mots, l'amoureux des chats

Le bricoleur, le taquineur,

Il n'avait pas prévu ça,

L'homme qui ne souriait pas

Peu à peu il s'efface, il s'éteint

Alors on le rallume on le remet debout

Il n'y a rien à faire, il est peut être ému

Mais il ne sourit plus

Ni Bobby Lapointe, ni les contrepétries,

Ni d'autres vies, ni aucun cri

Ni même l'affreuse pie

Ne redonne à ses yeux un peu de vie

Peu à peu ses amis, les gens l'oublient

Et parlent de lui à l'imparfait

Comme si il était déjà parti

Celui qu'ils adoraient

Alors il se laisse bercer par la mélancolie

Et se laisse dicter sa vie

Dans une terrible monotonie

Il s'ennuie, c'est ainsi

Quand il pense aux souvenirs

Il aimerait y revenir

Il aimerait s'y raccrocher, les rappeler

Essayer de les réveiller

Mais il n'y arrive pas, il échoue

Il vit dans son monde d'indifférence

Où il n'y a pas de place pour vous, nous, tout

Mais c'est sûr, il y pense

Quand il imagine l'avenir

Il se dit que ça ne pourra être pire

Pire que ces jours sans éclats de rire

Pire que son divorce d'avec le sourire

Alors un jour il craque, impuissant

Pour une fois il confie sa peine

Oui il aimerait tant

Que son sourire revienne

Sourire je te le demande

Ne te fais pas attendre

Parce que là bas, dans son c¿ur, il fait froid.

c'est beau mais c'est un peu triste ... Faut lui donner ça au monsieur qui ne souriait plus... Peut-être que ça peut marcher, une greffe de sourire, non ?

PR, ma dame au Clesse

Drôle de partie de cache-cache,

Car pour autant que je sache,

A ce jeux, je ne peux gagner,

Mais que ça ne m'empêche pas d'essayer.

A coup de chimie je me suis cachée,

Tu finiras sans doute par me trouver,

Mais ce sont toujours quelques années,

Loin de toi ma compagne sans pitié.

Je sais bien que tu es là,

Je te sens dans chacun de mes pas,

Prête à me remettre en laisse,

Ma PR, ma Dame au Clesse.

Aujourd'hui encore tu ne m'auras pas,

et j'ai appris grâce à toi,

A ne pas regarder au-delà,

De cette journée qui décroit.

A ta brulante morsure qui me blesse,

j'ai préféré les pilules, ma Dame au Clesse,

Tanpis si aujourd'hui je ne sais pas,

qui d'elles ou de toi, auront raison de moi.

ok j'essaierai, je te tiens au courant

sympa l'histoire de la dame au clesse!! j'ai vu qu'il y avait une histoire de laisse, un lien avec mirza? ;)

ok j'essaierai, je te tiens au courant

sympa l'histoire de la dame au clesse!! j'ai vu qu'il y avait une histoire de laisse, un lien avec mirza? ;)

Vi exactement c'est une copine de Mirza qui se promène toujours avec une drôle d'épée juste au dessus de sa tête !! Pffff qu'elle a de mauvaises fréquentations cette mirza faut que je mette le haut là !!

Et tiens moi au courant pour la greffe !!

Tiens une pensée étrange et hors de propos,

Au milieu d'un champ d'équation,

Et d'un chant de Brian Molco.

Envie de te voir, d'un baiser, d'un Mojito,

Envie de tes yeux, de ta bouche, d'un peu de passion,

Envie d'impatience, de toi et de ta peau.

Dommage que tout ça soit hors de propos,

Je retourne d'un soupir à mes équations,

Tu as disparu, belle inconnue, il me reste Brian Molco.

oh j'avais pas vu la Dame au clesse...c'est joli mad...vraiment

Modifié le 19 décembre 2006 par reves-vengeurs

Merci rêveux... Modifié le 20 décembre 2006 par madoka