Poésie

Aller un peu de douceur....

Modifié le 25 janvier 2007 par Angelnine

J'aime beaucoup Angelnine... ...je t'invente la réplique si tu veux

Allez! Chiche... Mais ça risque d'être hard

Allez rêveux, nous sommes tout Ouïe voire toutes ouiii !!!

A vous mes petits anges,

Mes chers tetes blondes

Je vous regarde grandir, vous affirmer

Et je pleure deja votre depart.

A vous mes petits diablotins,

Vous qui savaient si bien,

Me faire monter en colere

Et regretter mes nerfs.

A vous mes enfants cheris,

Que je protege et pour qui je prie

Je sais qu'un jour vous partirez

Et peut etre me direz vous merci pour l'amour que je vous donner

S'en jamais chercher que votre regard plein d'amour que vous me donner chaque jour.

chagrin d'amour....

Un chagrin d'amour, c'est réapprendre à sourire. C'est lui dire

simplement "bonjour" quand on aurait envie de l'embrasser. C'est regarder par la fenêtre et attendre celui qui ne viendra pas. C'est espérer en entendant des pas. C'est vouloir mais ne jamais pouvoir. C'est bâtir un monde sur un sourire. C'est rencontrer ses amis et dire que tout va bien. C'est rire avec les larmes aux yeux. C'est s'apercevoir que quelqu'un d'autre a pris notre place dans son coeur. C'est se poser une question et en connaître déjà la réponse. C'est éviter ses yeux de peur d'y lire un souvenir. Et c'est chercher l'amour là où il n'y en a plus... C'est ça un chagrin d'amour. Si tu n'étais pas présente dans ma vie, mon existence ne serait plus la même. Sans toi, tout serait différent, les choses ne seraient plus pareilles. Le temps devra changer et chaque instant serait plus triste. Même si il y avait quelqu'un pour te remplacer, ton absence me ferait un immense chagrin. Je n'ose même pas imaginer ma vie sans toi, car je sais très bien qu'elle ne sera pas merveilleuse. Mon plus grand désir est de te garder à mes côtés, de

t'avoir à moi seul. Je ne désire point d'argent, de choses

artificielles. Je ne veux que toi. Le temps deviendrait néant et chaque instant un sanglot, sans toi. Mon coeur se transformerait en pierre, il ne serait plus capable d'aimer quiconque. Cela est brièvement ce qui se passerait sans toi. Tu n'est pas imaginaire et absente, tu es bien réele et présente.Le coeur rempli de désespoir, j'ai mis fin à notre histoire. J'ai fait le pire choix que la vie m'ait imposé de dire à quelqu'un qu'on aime qu'on arrête là, parce qu'il n'est pas capable de vous aimer autant qu'on le souhaiterait. Pourtant, je sais très bien que cet amour, tu l'as au fond de toi même et qu'il ne demande qu'à ressurgir... Mais quand? La vie me sourit, une autre m'attend et veut me couvrir de son amour, mais en mon coeur, toujours, j'aurais le regret infini de la belle histoire qu'on avait vécue et qu'on aurait pu poursuivre. Pour nous, l'amour était nouveau, nous l'avons découvert ensemble, mais comit des erreurs. Et à cause de ces erreurs, on n'a pas pu atteindre le bonheur total. Je t'embrasserai chaque fois comme si c'était la première fois. Je te prendrai dans mes bras comme si c'était le dernier instant avec toi. Je t'aimerai autant qu'il est possible d'aimer. Penses à moi comme je pense à toi, et nous serons toujours heureux. Aimes moi comme je t'aime, et nous ne nous quitterons plus. La porte de mon coeur ne s'est pas encore refermée, alors réfléchis bien... Grâce à toi, des milliers de rêves ont commencésà se forger en moi. C'est triste de savoir que quelque chose puisse détruire l'amour, et de ne pas savoir d'où

vient ce quelque chose. Qu'il y a des moments où l'on déteste l'autre, mais quand l'amour est là, on aime malgré cela, car on aime fort, même s'il reste de la

souffrance... On est deux à souffrir, on sera deux à guérir. Une pensée

s'impose à moi, c'est qu'on se réunira à nouveau, un jour. Aujourd'hui,

je remercie la vie car elle m'avait donné bien plus que ce que j'espérait;

elle m'avait donné toi...

Accrochées à la branche visqueuse de notre flou

Brisant les bourgeons naissant d'un simple tout

Avec des larmes pour sevrer la passion prison

Nous escaladions ensemble l'arbre sans nom

Dernier message inachevé sans réponse me pend

Où de la branche la plus haute la corde tu me tends

Noyée dans l'air je disparais dans ton abandon

vala ma réponse en gribouillis à un joli poeme et trois petits mots à quelqu'un d'autre...

****

O Bacchus, joyeux Bacchus, offre moi ta coupe et partage mon ivresse !

Trinquons à l'amour et puisse ton nectar apaiser mon corps épuisé,

Délier ma langue de la saveur de ses baisers pour que tu goûtes un peu de ma victoire !

Oui mon ami, entends mes mots comme j'ai lu son corps, car ma peau à Sapho s'est enfin liée !

Et si toi, tu naquis deux fois, comme nous le conte l'histoire,

Sache que cette nuit, j'ai connu mille morts sous le feu de ses caresses.

Dans les eaux du Styx, on s'est cherché, au creux des vagues déchaînées, tu t'es abandonnée !

O Thalie, ma muse, ma reine, ma déesse, laisse toi à nouveau m'approcher,

A mes lèvres, t'abreuver, sous mon souffle naviguer, et sur mon dos chauffé comme la braise,

Laisse encore une fois, gambader tes doigts,

Car la houle inlassablement me ramène vers toi,

Et ce soir, comme un fou, ne t'en déplaise,

je t'aime.

Rêves-vengeurs, si tu fais allusion à mon poème "fantasme" :D , laisse moi te dire que ta réponse n'est pas du tout un "gribouillis". Et je n'ai qu'un mot à dire: Wouah !!!! Tu as très bien assuré le coup

Quant à Akumu, un mot aussi: Chapeau! :D Jolies inspirations

J'ai bien aimé aussi le poème "message de tendresse à ses enfants" de Cruxlaurie, ainsi que le quatrain de Madoka......C'est sympa tous ça

Modifié le 7 juin 2006 par Angelnine

Wagon troisième classe tout le monde assis

Où la prose se déroule vitesse sans permis

Une fois dans le tunnel fermer les pupitres

Avec sa lampe frontale il vient à vous le pître

Hé ! hé ! on ramasse les copies ça sera votre correction...

mouais bon... mais y'a des mots qui m'inspirent, et euh... j'peux pas m'empêcher ! si dans le topic "Asile" y'a un cabanon libre, bin j'pensais que peut-être... nan... rien...

rêveux !! j'attendais ta réponse avec impatience et ne suis point déçue du voyage !

Le tourbillon de l'envie

Comme pendule se tourne sur le rien je viens girouette

Souffler les mots étourdis des vents soulever ta couette

Tu me tends le H pour couper mes plates tirades

Je prends le S pour me suspendre à ton accolade

Comme parenthèse qui m'encercle contre toi

Je dessine sur ta peau les guillemets de l'émoi

Je voudrais te donner l'amour le plus précieux

Trois petits points suspendus pour les curieux

L'interrogation se décourbe s'allonge et s'exclame

Les corps allongés sur alphabet muet se déclament

Comme la fleur pendue aux racines abandonnées de ma lettre

Je m'endors près de toi et ne pense plus "un jour peut-être..."

moi quand chui amoureux je fredonne des chansonettes dans ce genre: (elle n'est pas de moi mais si j'avais un tout ptit peu de talent j'écrirais sans doute des trucs dans ce style)

je t'aime salaud

je t'aime salaud

quand tu prend ton bain

je t'aime salaud

quand tu lis le matin

je t'aime, quand même

même quand tu ne dors pas avec moi

je t'aime

je t'aime salaud

même quand tu bois

un peu de trop

je n'sais pas pourquoi

mais j'aime quand même

comme tu m'aimes dans ces moments là

tu m'aimes

je t'aime salaud

avec ton rasoir

tout nu, costaud

devant ton miroir

je t'aime quand même

quand tu te crois dans un vieux western

John Wayne

je t'aime salaud

quand tu sens sous les bras

c'est doux, c'est chaud

j'aime tant être là

j'aime, oui j'aime

te sentir là dans ces moments là

quand tu m'aimes

je t'aime salaud

ton torse velu

ton cul Bardot

ton ventre tendu

je t'aime quand même même si tu ne te met jamais à nu

Sans arrêt, je pleure dans mon coin,

Sans arrêt, je pleure sur mon sort,

Sans arrêt, je pleure de chagrin,

Sans arrêt, je pleure...

encore et encore...

Sans cesse, je vous regarde partir,

Sans cesse, je ne fais que m'enfuir,

Sans cesse, je n'ai pas de jardin

Sans cesse et...

Sans chemin...

Sans âme, je vous respire...

Sans odeur et sans sourire...

Je suis triste dans mon coin

C'est ma vie et...

C'est sans fin...

à toutes les femmes qui me saôulent et me désaôulent,

qui m'enchaînent et me retiennent...

Sans arrêt, je pleure dans mon coin,

pourquoi t'es puni chouchou?

Sans arrêt, je pleure sur mon sort,

coquin de sort !

Sans arrêt, je pleure de chagrin,

Sans arrêt, je pleure...

sans arret en effet...

encore et encore...

comme dirais Francis

Sans cesse, je vous regarde partir,

Sans cesse, je ne fais que m'enfuir,

Sans cesse, je n'ai pas de jardin

Sans cesse et...

oui?

Sans chemin...

je m'interroge Toto, est ce du serbo-croate ou du volapuk?

Sans âme, je vous respire...

:D

Sans odeur

ça c'est toi qui le dis..

et sans sourire...

comme dirais la soeur du meme nom

Je suis triste dans mon coin

puni j'vous dit

C'est ma vie et...

C'est sans fin...

en tout cas c'est fin tres fin et ça se mange sans fin !

à toutes les femmes qui me saôulent et me désaôulent,

tu parles de Claire19?

qui m'enchaînent et me retiennent...

:D Toto ! Toto ! c'est quoi ce popo ce popo ce poeme? allez sans rancune ?! j'avais envie d'etre mechant voire injuste et c'est tomber sur toi ! :D

m'en veux pas?! :D

toto, t'en fais pas trop tu as raison d'écrire ca fait du bien!

iron man.. on réglera ca ds un autre topik..

Modifié le 11 juin 2006 par claire19

pardooooooooon Totoooo m'en veux pas !! j'te chanterai Gigi l'amoroso sous la douche pour me faire pardonner !!!!!

malin iron man, malin...

et puis d'abord je saoule personne c'est vous qui me faites boire!!

toto, t'en fais pas trop tu as raison d'écrire ca fait du bien! :D

Tiens, une autre :

Moi mourir d'une autre

Toi sourire de nous

Moi courir entr'autre

Toi sourire de tout

Salaire, saleté, salope

éclair, santé, galope

Et fume, et fume des clopes

grande feuilles, tabac, chichou

tout feu, tout fou, puis tout mou...

C'est comme Depardieu dans Uranus : j'sais pas c'que j'ai, ma p'tit vieille, j'ai des vers qui me sortent de partout"

pardooooooooon Totoooo m'en veux pas !! j'te chanterai Gigi l'amoroso sous la douche pour me faire pardonner !!!!! :D

*

si, si, lo quiero gigi l'amoroso

On se dit parfois que notre vie n'est pas ici.

Le présent n'est qu'une brive, une parenthèse ouverte

Que l'on aimerait refermer à jamais.

Tout celà me semble si irréelle.

Cette histoire ne peut être la mienne.

Alors mes rêves m'entraînent, m'enlèvent à ce monde.

Le réveil est souvent brutal,

L'évasion, bien qu'éphémère, reflette ma lacheté face à la réalité.

Et si aujourd'hui je rêve ma vie,

Peut être aurais-je un jour le courage de vivre mes rêves

je ne suis qu'un petit ver

un petit ver de terre

qui se roule par terre

et mange de le terre.

Je suis peu fier

au bout de l(hamecon de fer

je vous repugne

quand vous me voyez par terre.

mais poutant je ne suis pas mechant

meme pas gluant

je suis juste la

et je suis sympas;