La Misere du Desir

Alain soral présente sa vision du systeme ! qui essaye de rentre dépendant la population.

et Le mépris total pour les peuples non consommateurs de ce systeme.

Emission de ardisson:

http://www.youtube.com/watch?v=k0ccz207jDs...feature=related

Commentaires...?

c'est très juste, enfin de là à virer "homo" euh y a une marge

mais c'est clair que même pour les slows dont parle bigard, même pour ça y a des lieux, encore qu'on peut se demander, ouais nan mais c'est clair, le désir devrait s'exprimer partout et tout le temps, ça devrait faire partie intégrante des relations humaines, mais bon si on compartimente les choses comme ça, c'est un peu aussi pour susciter le désir, parce que réfléchissons, si toutes les bonnes femmes se promenaient toutes nues, ça n'éveillerait aucun désir, nos sens seraient rassasiés en permanence et y a que le besoin, à un moment donné, disons les périodes de rut, qui ferait la différence

alors on dirait un discours de perdant

en même temps, comment imaginer même ce que j'ai raconté là, le fait que le désir devrait faire partie intégrante des relations humaines, est ce obligatoire ? on n'en sait rien.... après tout il peut aussi nous arriver, même en regardant une jolie fille, de penser à autre chose que la fille, pourquoi donc devraient-elles être le centre du monde naméo

Obligatoire . Non !

le discours "comment imaginer même ce que j'ai raconté là, le fait que le désir devrait faire partie intégrante des relations humaines, est ce obligatoire ? on n'en sait rien"

Si on le sait sauf c'est un cercle vicieux entretenu par des gens imprégnés du vice !

Discour de perdant... ca reste a prouver en tout cas

pour lui c'est une conviction ca se sent !

Tu ne parle pas de la présence permanentes de seins de fesses a la télé (ou autres medias) que les gens vois

de "7 a 77ans" tu vois ?

Pourquoi ne notez vous pas votre âge, cela fausserait moins le débat, non entamé.

Je suis un non consommateur du système et j'em... celui qui me méprise.

J'y participe cela est déjà pas mal.

Pourquoi pas ?

il est précisé dans la charte de ce forum qu'il n'est

nullement obligatoire de devoiler quoi que ce soit sur ce forum.

c'est vrai que c'est déja pas mal ...

Beaucoup de questions non pas le même fond de compréhension suivant l'âge auquel on y réfléchit

oui ca n'engage que toi de le dire.

il y'a ceux qui mentent aussi (sur l'age...)

bref débat qui ne m'intéresse pas.

Je trouve son analyse juste... Mais c'est quand même marrant de voir cette solidarité de couillus, si je puis me permettre l'expression... Très touchant. Je suis curieuse de savoir ce qu'il propose comme résolution au problème, sachant que ce qui a été ne s'oublie pas, et que le mélange de la consommation et de la libido est LE ressor de la communication de masse (cf Edward Bernays...)... Je pense que je ne leur trouverais pas cet air de vieux cons en train de se lamenter sur la mort du bon vieux temps si la solution au problème était exposée dans cet extrait.

Un dépassement, pas un retour en arrière... Si j'ai bien compris, la solution pour Soral serait la spiritualité. Je trouve que c'est une porte de sortie / dépassement intéressante et efficace, mais elle ne peut être réservée qu'à une élite, la masse préfère toujours le fanatisme et au final c'est assez dangereux de prêcher pour la spiritualité de masse. Au final, il faudrait trouver un artifice plus puissant que cela, mais je ne vois pas lequel.

Heureusement qu'on va vers des catastrophes écologiques majeures, au fond.

Je trouve son analyse juste... Mais c'est quand même marrant de voir cette solidarité de couillus, si je puis me permettre l'expression... Très touchant. Je suis curieuse de savoir ce qu'il propose comme résolution au problème, sachant que ce qui a été ne s'oublie pas, et que le mélange de la consommation et de la libido est LE ressor de la communication de masse (cf Edward Bernays...)... Je pense que je ne leur trouverais pas cet air de vieux cons en train de se lamenter sur la mort du bon vieux temps si la solution au problème était exposée dans cet extrait.

oué... des couillus qui croivent en l'Humain !

c'est toi qui emploi ce terme.

la résolution passe par la prise de conscience .

tu est simplifie les choses pour les reduires a un effet communautaire !

alors que le combat est Universel !

Un dépassement, pas un retour en arrière... Si j'ai bien compris, la solution pour Soral serait la spiritualité. Je trouve que c'est une porte de sortie / dépassement intéressante et efficace, mais elle ne peut être réservée qu'à une élite, la masse préfère toujours le fanatisme et au final c'est assez dangereux de prêcher pour la spiritualité de masse. Au final, il faudrait trouver un artifice plus puissant que cela, mais je ne vois pas lequel.

La masse prefere le fanatisme sans le savoir.

les peoples, les moeurs des célébrités sont devenus des sujets principales !

La masse aime le fanatisme parce que elle est 'entrainé' pour ca .... !

Il ne faut pas trouver quelque chose de plus puissants !

Mais justement se mettre tous a égalité !

Nous sommes des Humains !

Heureusement qu'on va vers des catastrophes écologiques majeures, au fond.

Si tu le dits ...

oué... des couillus qui croivent en l'Humain !

c'est toi qui emploi ce terme.

la résolution passe par la prise de conscience .

tu est simplifie les choses pour les reduires a un effet communautaire !

alors que le combat est Universel !

Je ne vois pas en quoi je simplifie et je ne vois pas non plus en quoi je réduis le problème à une question communautaire ! Dis-moi donc ce qui te laisse croire cela.

La masse prefere le fanatisme sans le savoir.

les peoples, les moeurs des célébrités sont devenus des sujets principales !

La masse aime le fanatisme parce que elle est 'entrainé' pour ca .... !

Non, la masse aime les Idoles parce que c'est plus facile et parce que ça évite de s'affronter à des questions véritables. Le fanatisme religieux n'est que la version spiritualisante de l'idolâtrie, pas une spiritualité véritable, et ça génère des gros cons au même titre que la société de consommation, le patriotisme ou n'importe quelle idéologie mal comprise. Le problème, ce n'est pas le système ; le problème, c'est que les paresseux aiment le système, parce qu'il apporte du confort aux paresseux - c'est-à-dire à la masse. L'autre problème, ce n'est pas qu'il y ait de l'idolâtrie ; il y en aura toujours, la masse aimera toujours être docile ! Là, ça touche des fonctions de reproduction... Sans parler des ravages écologiques du consumérisme... Bref, les effets pervers risquent de tout bousiller.

Autrement, c'est cool qu'il y ait des mecs comme Soral ; ça éveille les esprits de ceux qui n'aiment pas la tyrannie. Il y a toujours eu des hommes comme ça, il y en aura encore d'autres parès - je l'espère. Mais le problème se pose sans cesse.

Il ne faut pas trouver quelque chose de plus puissants !

Mais justement se mettre tous a égalité !

Nous sommes des Humains !

Impossible ; les moutons sont ceux qui le veulent bien, parce qu'ils y trouvent leur compte. La révolte est à la portée de tous, mais sitôt terminé le déluge, une nouvelle tyrannie s'installe à l'endroit de l'ancienne. C'est comme ça depuis toujours. Le véritable salut est individuel...

Lorsque les ténèbres grandissent et obscurcissent les étoiles,

Quand les hiboux sur les branches crient de frayeur

Et les dormeurs sont arrachés du sommeil par les soucis,

Déterminé, je brave les interdits.

Si tu parviens à rassembler l'intelligence du c¿ur,

L'épée tranchante et la bravoure, alors tu échapperas à la tyrannie.

Je ne vois pas en quoi je simplifie et je ne vois pas non plus en quoi je réduis le problème à une question communautaire ! Dis-moi donc ce qui te laisse croire cela.

Non, la masse aime les Idoles parce que c'est plus facile et parce que ça évite de s'affronter à des questions véritables. Le fanatisme religieux n'est que la version spiritualisante de l'idolâtrie, pas une spiritualité véritable, et ça génère des gros cons au même titre que la société de consommation, le patriotisme ou n'importe quelle idéologie mal comprise. Le problème, ce n'est pas le système ; le problème, c'est que les paresseux aiment le système, parce qu'il apporte du confort aux paresseux - c'est-à-dire à la masse. L'autre problème, ce n'est pas qu'il y ait de l'idolâtrie ; il y en aura toujours, la masse aimera toujours être docile ! Là, ça touche des fonctions de reproduction... Sans parler des ravages écologiques du consumérisme... Bref, les effets pervers risquent de tout bousiller.

Autrement, c'est cool qu'il y ait des mecs comme Soral ; ça éveille les esprits de ceux qui n'aiment pas la tyrannie. Il y a toujours eu des hommes comme ça, il y en aura encore d'autres parès - je l'espère. Mais le problème se pose sans cesse.

Impossible ; le smoutons sont ceux qui le veulent bien, parce qu'ils y trouvent leur compte. La révolte est à la portée de tous, mais sitôt terminé le déluge, une nouvelle tyrannie s'installe à l'endroit de l'ancienne. C'est comme ça depuis toujours. Le véritable salut est individuel...

Lorsque les ténèbres grandissent et obscurcissent les étoiles,

Quand les hiboux sur les branches crient de frayeur

Et les dormeurs sont arrachés du sommeil par les soucis,

Déterminé, je brave les interdits.

Si tu parviens à rassembler l'intelligence du c¿ur,

L'épée tranchante et la bravoure, alors tu échapperas à la tyrannie.

Amrû ibn Burâqa al-Hamadâni

(poète préislamique, c'est-à-dire que ce petit texte date d'il y a environ un millénaire et demi...)

d'apres toi les moutons sont ceux qui le veulent...

c'est le berger qui guide le troupeau !

L'individualisme n'est pas la solution

l'union fait la force !

Battons nous contre le systeme !

Les moutons vont là où leur dit d'aller le berger... Mais à chaque instant ils ont le pouvoir de devenir des loups. S'ils ne le font pas c'est que le loup est solitaire et qu'ils ont peur, en pauvres ovidés sans imagination, de quitter la laine de leur grégarisme, et qu'ils préfèrent rêver qu'un jour ils seront les bergers que d'abandonner ces histoires de troupeau pour devenir le méchant prédateur des bois.

C'est pas parce qu'on sauve sa peau tout seul qu'on est obligé de devenir un salop et d'adopter la politique du tout-pour-ma-gueule ; ce serait plutôt le contraire, même, parce que quand on est seul, on ne se dit pas que quelqu'un d'autre va le faire ; on entend mieux sa conscience. Alors il n'est pas question de devenir un ermite ou un exploiteur ; il est question de prendre de la distance avec les histoires de troupeau... Ce que Soral recommande, me semble-t-il, d'ailleurs. Ou alors, je serais curieuse de savoir ce que tu appelles "spiritualité". ^^

Oui, bon... Il dit des choses intéressantes, mais ils parlent d' un peu trop de choses à la fois.

Premièrement, sur quelles données s' appuie-t-il quand il affirme que le nombre d' homosexuels augmentent à cause de l' aggressivité des femmes et de la violence du féminisme? De quelles statistiques parlent-ils? Dans les '50-début années '60, la prostitution masculine était un phénomène tout à fait répandu: Pier Paolo Pasolini l' a décrite de façon détaillée, dans ses oeuvres (il a même était tué par un de ces jeunes, après un rapport). C' est vrai, il ne s' agit pas de la France, mais le contexte était à peu près semblable: il n' y avait pas encore eu de révolution sexuelle ni de féminisme.

Deuxièmement, il établit une corrélation entre la société de consommation, qui a commercialisé le sexe en lui ôtant sa dimension amoureuse, et le développement des perversions. C' est une argumentation un peu simpliste: Il faudrait, tout d' abord, démontrer que le sexe a naturellement une dimension d' amour; ensuite, attester que, sans le modèle de sexualité proposé par notre société, il y aurait moins de pervers. Pas facile! On pourrait, tout au plus, affirmer que la société de consommation a proposé un modèle de sexualité qui a banalisé certains comportement, mais qui n' en est pas nécessairement la cause.

Enfin, il évoque un réveil spirituel... Qu' est-ce qu' il entend par spiritualité?

Premièrement, sur quelles données s' appuie-t-il quand il affirme que le nombre d' homosexuels augmentent à cause de l' aggressivité des femmes et de la violence du féminisme?

Il parle dans l'extrait du féminisme et de la femme gagneuse comme un des éléments aggravants mais pas le noyau.

Le problème se pose pour la population des hommes non-consommateurs du système, qui ne gagnant pas assez d'argent, n'ont pas accès au marché de la séduction, le fric constituant, dans un système alliant désir et consommation, la virilité même (ex du jeune de banlieue qui se branle devant des films pornos en fumant des joints pour évacuer la frustration -> misère sexuelle).

L'agressivité féminine vient alors comme un élément aggravant de cette dynamique qui, selon lui, expliquerait une recrudescance de l'homosexualité (argument que je trouve plus que bancal par ailleurs...) ; les hommes se replient vers leurs semblables.

Deuxièmement, il établit une corrélation entre la société de consommation, qui a commercialisé le sexe en lui ôtant sa dimension amoureuse, et le développement des perversions.

D'abord, j'avais compris cela dans l'autre sens ; non pas la commercialisation du sexe mais la sexualisation du commerce (ressort de la communication de masse) comme moteur premier. Cette utilisation de la libido dans la publicité crée une sorte de surdose de désir, qui se traduit par une addictivité du sexe, qui a du coup besoin de doses de plus en plus élevées. Cela dit, c'est encore faible, à bien y réfléchir ; les sexualités perverses diffèrent-elles en effet des sexualités dites normales par la quantité ou par la qualité ? Il semble que ce soit plutôt une différence qualitative, et non quantitative... é voir.

En tout cas, je reste d'accord avec le propos central, qui veut que l'association désir / consommation soit un fait nuisible à la sexualité des pauvres et générateur d'une misère sexuelle palpable dans notre société.