Cette photo de Joe Petersburger, un photographe de National Geographic basé en Hongrie, lui a valu le premier prix du World Press Photo dans la catégorie Nature Singles.



Un martin-pêcheur plonge droit sur son image reflétée par l'eau douce.



Un mâle émerge de l'eau, un gardon au bec. Les martins-pêcheurs ayant un métabolisme très rapide, ils doivent manger l'équivalent de 60% de leur masse chaque jour.



Les parents (surtout les mâles) doivent attraper beaucoup de poissons pour satisfaire leur cinq à sept poussins...



De plus, les mâles sont polygames, ce qui signifie qu'ils peuvent avoir deux ou trois femelles et donc deux ou trois progénitures.



Un mâle nourrit ses poussins dans un nid souterrain au bout d'un tunnel long de 90 à 150 centimètres. Lorsqu'ils attendent d'être nourris, les poussins forment un cercle. Une fois que l'un d'entre eux reçoit un poisson, le cercle tourne d'un poussin pour que les petits aient tous le même nombre de poissons.



Un poisson fraîchement pêché essaie de se libérer du bec d'un martin-pêcheur. Les martins-pêcheurs secouent leur proie et leur cognent la tête contre leur perche pour les tuer et leur briser les os.



Un martin-pêcheur émerge de l'eau bredouille.



Un martin-pêcheur femelle vole vers son nid avec un poisson pour ses poussins.



Joe Petersburger immortalise un martin-pêcheur fonçant sur l'eau.



Un mâle se tient sur une branche avec une grenouille agile dans le bec.



Un mâle est perché sur une branche au-dessus de l'eau avec un poisson destiné à nourrir ses poussins dans le bec.



Un mâle se tient sur une boîte remplie de poissons (probablement laissée par le photographe en guise de récompense).