C'est bizarre de donner ce titre à un film alors que pour beaucoup "La reine des pommes" c'est un roman très connu de Chester Himes qui se passe dans le Harlem des années 30. :blush:

C'est bizarre de donner ce titre à un film alors que pour beaucoup "La reine des pommes" c'est un roman très connu de Chester Himes qui se passe dans le Harlem des années 30.

Bah... Comme ce roman m'est totalement étranger, je ne vais pas m'offusquer.

Pour en revenir au film. Je suis heureux de constater que celui-ci sort en salle. Vu cet été en festival, j'avais pu rencontrer Valérie Donzelli, qui, comme son film, est très sympa. :blush:

Ce que j'en avais écrit (c'est très peu inspiré, vous voilà prévenus):

Réalisatrice et interprète, Valérie Donzelli s'est glissée dans la peau d'Adèle, une fille un peu paumée et très naïve. Son premier long-métrage pourrait être un drame, il est une comédie. Par moment hilarant, son film dépeint les ennuis d'une jeune Parisienne, fraîchement larguée par son petit ami.

Peu habituée à se débrouiller, Adèle part à la recherche d'elle-même. Enchaînant bonheur, jouissance, mais aussi déception. Réalisé avec simplicité et sans prétention, le film suit son fil, sans fausse-note. Loin d'être une comédie potache, La reine des pommes se révèle être une très bonne surprise de ce présent festival. On le doit surtout à Adèle, un personnage drôle, sans être profond.

Filmé parfois maladroitement, La reine des pommes en conserve sa dynamique. Du rythme, Valérie Donzelli en ajoute également en interprétant quelques chansons. Evitant au spectateur d'innombrables effusions, ces parties chantées ajoute un cachet indéniable au film.