Un fil en rimes, ça vous dit ?

Pour cela, il faudra encore attendre,

Le texte que j'érige est en cours d'écriture.

Dénonciations et philosophies, je ne peux les suspendre,

J'ai l'envie, le besoin de chercher à déranger durant la lecture.

Réfléchir, toujours, à tout, pour tout,

Un reproche que l'on me fait,

A tort? Moi, je ne sais pas pour vous,

Mais j'aime me faire ma propre idée.

Je suis borné. Ai-je un rêve futile?

Je n'y suis pour rien si je suis lassé

Par l'apprentissage souvent fébrile

D'un savoir, certes utile, mais répété.

Oui, je l'affirme, le dit explicitement,

L'école m'irrite comme bien des enfants,

Mais ne me jugé pas trop vite, trop méchamment,

Mon rêve est, certes futile, mais motivant.

Entendez-vous le ruissellement des mots?

La sérénité que nous procure les plus beaux?

Et les autres, traduisant la haine des plus sots?

Ressentez-vous le besoin de nourrir les maux?

Avez-vous déjà remarqué dans un de vos jours

L'étrange subtilité d'un chaos régnant depuis toujours?

Avez-vous déjà remarqué dans votre solitude

La cruauté des armes que l'on invente par lassitude?

Vous êtes-vous déjà pris la peine d'observer, d'étudier

L'existence que nous menons sur notre Terre blessée?

Croyez-vous que l'homme est finalement un être bon

Quand vous voyez son goût pour la mort et les moutons?

Il est le berger d'un monde qu'il pousse à la violence,

Enseignant l'art de guerroyer, la vanité de la vengeance.

Alors installez-vous, pensez, et réfléchissez bien :

Est-ce que la haine nous a-t-elle déjà menée loin?

Ne pleures pas bounti,

Je suis une âme incompris,

Ne comprenant rien,

Ni du mal, ni du bien.

Tes petits loups vivront,

Le monde tourne rond,

Par chez nous, du moins.

J'en avais juste besoin. :blush:

L'étrange subtilité d'un chaos régnant depuis toujours ?

Alors je contribue en donnant mon avis : c'est ce qui fait qu'on peut vivre,

l'immense variété des fardaux, créants de nouveaux jours

est ce qui constitue l'essence de la vie, cette succession de déséquilibres.

La cruauté des armes que l'on invente par lassitude ?

n'égale pas l'amour qu'on peut donner sans servitude.

Croyez-vous que l'homme est finalement un être bon ?

Je pense que chaque homme de sa vie vraiment donne le ton.

Est-t'il le berger d'un monde qu'il pousse à la violence,

Enseignant l'art de guerroyer, la vanité de la vengeance ?

Tant qu'il peut aimer le monde écoutant les doléances,

enseigner l'art de partager, je lui accorde ma confiance.

Et bien je n'ai plus confiance

Je côtoie que haine et violence.

Excusez mon indifférence,

Mais je n'aime plus l'enfance.

Chacun est la pour faire ses choix

meme si tout est, pour toi, douleur,

la joie crée la, montre une voie.

Tu peut donner, toi, du bonheur !

Soutenir une adolescente,

Voilà un but intéressant,

J'évite sa propre descente,

Même si je ne suis pas savant.

Alors tout simplement j'ai repris un par un tous vos posts et fais le tris entre simple poste " comme bonjour ! " et des vrais posts ! " dans le sens du fo ! " Voilà ! c'est pourquoi dorénavant cela se fera chaque semaine afin de m' évité trop de boulot et pour que chacun , chacune aie sa chance !

Ok merci de ta réponse ! j'aurais donc du me taire

Bonne soirée tout le monde :blush:

Non aucuns soucis ! Il est légitime que tu aies posé cette question !

Bonjour à toutes et tous et bon appétit !

En ce moment trop de contraintes

pour laisser ici mon empreinte

Mais je pense à vous

et je me permets de vous faire des bisous ! :blush:

Et aussi une grande pensée pour mon chouchou...

Et pour ma part, malgré les contraintes

Je vous quelques unes de mes complaintes

Le Trésième Apôtre

Le voyez vous, lui, au mileu de ce silence ?

Ecorché de trop de vie, brisé par ces fleurs

Mortes d'avoir été coupées, posées sans présence

Sur ce marbre ci froid d'arborer toutes nos peurs

L'avez vous simplement vu, transpirer les souffrances

Dont les gouttes perlent encore quant il partage

Un filet de pleurs criant, hurlant les absences

Que le temps, toujours plus, entraîne dans son passage

Moi, je l'ai vu en sanglots, mort parmis les morts

Attendant les rares écumes dont le parfum

Lui rapelle les temps jadis ou brillaient encore

Ses feuilles, perles de rosée sous l'oeil du matin

Voyez l'enfant de Thémis, Atlas des Vôtres

Porter vos chagrins sur ses épaules de bois

Encore lassées d'avoir trop pleurés ceux des autres

Remerciez le d'être gardien de ces croix

Puisqu'un jour il sera gardien de la Nôtre

Du destin trop sûr que nous reserve le sort

Il sera, de ces sommeils, le Trésième Apôtre

Le cri d'adieu que l'âme pleure quand tout s'endore

Un nuage

L'oiseau de nuit passe, seul, en riant de ces vides.

Il porte sur son aile, un bout de réplique volé

Aux neiges éternelles des montagnes placides

Des morceaux de nuages à son coeur accrochés

Il vole et il ramène, des lieux qu'il traversât

Une histoire échangée aux étoiles de passage

Dont témoignent encore ces derniers apparats

A son coeur accrochés, les morceaux de nuages

Un nuage est un rêve, une vapeur éphémère

Nous vennant des étoiles par l'oiseau portée

Mais il meurt au matin et s'écrase sur nos terres

Dans une complainte joyeuse au gout innachevé

Sans cet innachevé, pourtant, comment le soir

Attendre encore et toujours le glorieux présage

Du vole de la nuit, les ailes de l'oiseau noir

Qui à nos coeur accrochent des morceaux de nuages

Mad_

A très vite !!!! vous me manquez :blush:

Maman c'est qui ce Michel ????? :blush: