Ma poésie, des citations, votre poésie?

Bravo à tous :blush:

Vos textes sont beaux et touchants.

Vous avez tous un style différent et c'est vraiment agréable de les aprécier sans vraiment qu'il y est d'ordre entre vos différents post... je suis fan

Sur ce ... A+

tres jolis tes poemes aussi...mais c'est pas donne a tout le monde , puis ca donne bien envie d'aimer et etre aime

bravo saintluc ! :blush: !!! Bin oui hein...

très joli bravo Merci Fifisidou

Merci Caminde

Bravo à tous :)

Vos textes sont beaux et touchants.

Vous avez tous un style différent et c'est vraiment agréable de les aprécier sans vraiment qu'il y est d'ordre entre vos différents post... je suis fan :)

Sur ce ... :) A+ Merci aussi, c'est très sympa pour nous :)

Les beautés saisissantes de l'océan

Le ressac, clapotis dans les rochers

Me fait glisser en moi un tel élan

Humble et me dire "Faut rester"

Les montagnes, l'immensité

Tout me donne tonus, courage.

Magnifique de contempler toutes ces beautés;

Pour les étreindre, me faire nuage

Je me fatigue à lutter pour te vouloir

Sans toi reviendrai mon désespoir

Avec beaucoup de patience,

Solitude, amertume, mélancolie

dans peu de temps tout sera parti...

Dans nos bras nous ferons notre futur

Ensemble une nouvelle aventure.

Tjrs aussi craquants tes poëmes, mais tristes... :blush:

J'espère que tu continues à bien aller, je te souhaite plein de bonnes et belles choses dans ta vie.

Gros bisous

Françoise

Les beautés saisissantes de l'océan

Le ressac, clapotis dans les rochers

Me fait glisser en moi un tel élan

Humble et me dire "Faut rester"

Les montagnes, l'immensité

Tout me donne tonus, courage.

Magnifique de contempler toutes ces beautés;

Pour les étreindre, me faire nuage

Je me fatigue à lutter pour te vouloir

Sans toi reviendrai mon désespoir

Avec beaucoup de patience,

Solitude, amertume, mélancolie

dans peu de temps tout sera parti...

Dans nos bras nous ferons notre futur

Ensemble une nouvelle aventure.

Chuut, tout doux, Lulu, tout doux dedans ta tête, regarde à ta fenêtre comme il fait soleil, dedans comme il fait chaud, l'air est pur, frais , agréable :blush:

é vie heureuse des bourgeois

Qu'avril bourgeonne

Ou que décembre gèle,

Ils sont fiers et contents

Ce pigeon est aimé,

Trois jours par sa pigeonne

éa lui suffit il sait

Que l'amour n'a qu'un temps

Ce dindon a toujours

Béni sa destinée

Et quand vient le moment

De mourir il faut voir

Cette jeune oie en pleurs

C'est la que je suis née

Je meurs près de ma mère

Et je fais mon devoir

Elle a fait son devoir

C'est a dire que Onques

Elle n'eut de souhait

Impossible elle n'eut

Aucun rêve de lune

Aucun désir de jonque

L'emportant sans rameurs

Sur un fleuve inconnu

Et tous sont ainsi faits

Vivre la même vie

Toujours pour ces gens là

Cela n'est point hideux

Ce canard n'a qu'un bec

Et n'eut jamais envie

Ou de n'en plus avoir

Ou bien d'en avoir deux

Ils n'ont aucun besoin

De baiser sur les lèvres

Et loin des songes vains

Loin des soucis cuisants

Possèdent pour tout c¿ur

Un vicère sans fièvre

Un coucou régulier

Et garanti dix ans

é les gens bien heureux

Tout à coup dans l'espace

Si haut qu'ils semblent aller

Lentement en grand vol

En forme de triangle

Arrivent planent, et passent

Où vont ils? ... qui sont-ils ?

Comme ils sont loins du sol

Regardez les passer, eux

Ce sont les sauvages

Ils vont où leur désir

Le veut par dessus monts

Et bois, et mers, et vents

Et loin des esclavages

L'air qu'ils boivent

Ferait éclater vos poumons

Regardez les avant

D'atteindre sa chimère

Plus d'un l'aile rompue

Et du sang plein les yeux

Mourra. Ces pauvres gens

Ont aussi femme et mère

Et savent les aimer

Aussi bien que vous, mieux

Pour choyer cette femme

Et nourrir cette mère

Ils pouvaient devenir

Volailles comme vous

Mais ils sont avant tout

Des fils de la chimère

Des assoiffés d'azur

Des poètes des fous

Regardez les vieux coqs

Jeune Oie édifiante

Rien de vous ne pourra

monter aussi haut qu'eux

{2x}

Et le peu qui viendra

D'eux à vous

C'est leur fiente

Les bourgeois sont troublés

De voir passer les gueux

poème de Jean Richepin

Modifié le 10 janvier 2010 par Caminde

Je vivais à l'écart de la place publique,

Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique...

Refusant d'acquitter la rançon de la gloir',

Sur mon brin de laurier je dormais comme un loir.

Les gens de bon conseil ont su me fair' comprendre

Qu'à l'homme de la rue j'avais des compt's à rendre

Et que, sous peine de choir dans un oubli complet,

J' devais mettre au grand jour tous mes petits secrets.

{Refrain:}

Trompettes

De la Renommée,

Vous êtes

Bien mal embouchées !

Manquant à la pudeur la plus élémentaire,

Dois-je, pour les besoins d' la caus' publicitaire,

Divulguer avec qui, et dans quell' position

Je plonge dans le stupre et la fornication ?

Si je publi' des noms, combien de Pénélopes

Passeront illico pour de fieffé's salopes,

Combien de bons amis me r'gard'ront de travers,

Combien je recevrai de coups de revolver !

A toute exhibition, ma nature est rétive,

Souffrant d'un' modestie quasiment maladive,

Je ne fais voir mes organes procréateurs

A personne, excepté mes femmes et mes docteurs.

Dois-je, pour défrayer la chroniqu' des scandales,

Battre l' tambour avec mes parti's génitales,

Dois-je les arborer plus ostensiblement,

Comme un enfant de ch¿ur porte un saint sacrement ?

Une femme du monde, et qui souvent me laisse

Faire mes quat' voluptés dans ses quartiers d' noblesse,

M'a sournois'ment passé, sur son divan de soie,

Des parasit's du plus bas étage qui soit...

Sous prétexte de bruit, sous couleur de réclame,

Ai-j' le droit de ternir l'honneur de cette dame

En criant sur les toits, et sur l'air des lampions :

" Madame la marquis' m'a foutu des morpions ! " ?

Le ciel en soit loué, je vis en bonne entente

Avec le Pèr' Duval, la calotte chantante,

Lui, le catéchumène, et moi, l'énergumèn',

Il me laisse dire merd', je lui laiss' dire amen,

En accord avec lui, dois-je écrir' dans la presse

Qu'un soir je l'ai surpris aux genoux d' ma maîtresse,

Chantant la mélopé' d'une voix qui susurre,

Tandis qu'ell' lui cherchait des poux dans la tonsure ?

Avec qui, ventrebleu ! faut-il que je couche

Pour fair' parler un peu la déesse aux cent bouches ?

Faut-il qu'un' femme célèbre, une étoile, une star,

Vienn' prendre entre mes bras la plac' de ma guitar' ?

Pour exciter le peuple et les folliculaires,

Qui'est-c' qui veut me prêter sa croupe populaire,

Qui'est-c' qui veut m' laisser faire, in naturalibus,

Un p'tit peu d'alpinism' sur son mont de Vénus ?

Sonneraient-ell's plus fort, ces divines trompettes,

Si, comm' tout un chacun, j'étais un peu tapette,

Si je me déhanchais comme une demoiselle

Et prenais tout à coup des allur's de gazelle ?

Mais je ne sache pas qu'ça profite à ces drôles

De jouer le jeu d' l'amour en inversant les rôles,

Qu'ça confère à ma gloire un' onc' de plus-value,

Le crim' pédérastique, aujourd'hui, ne paie plus.

Après c'tour d'horizon des mille et un' recettes

Qui vous val'nt à coup sûr les honneurs des gazettes,

J'aime mieux m'en tenir à ma premièr' façon

Et me gratter le ventre en chantant des chansons.

Si le public en veut, je les sors dare-dare,

S'il n'en veut pas je les remets dans ma guitare.

Refusant d'acquitter la rançon de la gloire,

Sur mon brin de laurier je m'endors comme un loir.

Modifié le 10 janvier 2010 par Caminde

:blush:

Je ne sais si un ange est survenu un soir,

Où lentement je sombrai dans le désespoir...

Virtuellement cet ange m'a déposé un baiser,

Peu à peu dans mon coeur, ça force s'est ancrée...

J'ai à nouveau donné un sens à ma vie

Et je l'aime plus que tout aujourd'hui.

De ma souffrance je désire libérer mon être

Et près de toi je veux renaître

Avec le pouvoir de voler plus haut

Avec l'espoir des jours nouveaux.

Tu es douce comme de la soie,

Chaleureuse comme les rayons du soleil,

Tu es mon porte-bonheur à moi,

Un fruit mûr à la saveur exeptionnelle...

Les langues d'eau rongent le sable comme toujours

la marée efface tout; mon amour?

Mais elle ne peut effacer nos pensées

qui sont en nous bien ancrées

Je me sens très impuissant pour te faire oublier

Tout ces pauvres cons qui t'ont fait tant pleurer,

Je n'ai pas oublié moi non plus les peines de ma vie

Elles sont toujours là, au fond de mon esprit.

Voici le printemps qui renait,

Tout est merveilleux et voudrai te parler...

Les fleurs explosent en bouquets de couleurs

Distillant des parfums de bonheur...

J'aime, j'adore ton rire enchanteur

Je découvrirai un jour ton regard charmeur...

Toute la nuit le vent a soufflé

Ce matin, au Nord il a tourné

Le ciel est triste comme mes pensées

La mer est grise, de la couleur du grès

Vite, que mon soleil arrive

et que mon coeur se ravive

<h1 align="left">Pour retrouver le monde et l'amour</h1>

Nous partirons de nuit pour l'aube des Mystères

et tu ne verras plus les maisons et les terres

et ne sachant plus rien des anciennes rancoeurs

des détresses d'hier, des jungles de la peur

tu sauras en chemin tout ce que je te donne

tu seras comme moi celle qui s'abandonne

Nous passerons très haut par-dessus les clameurs

et tu ne vivras plus de perfides rumeurs

or loin des profiteurs, des lieux de pestilence

tu entendras parler les mages du silence

alors tu connaîtras la musique à tes pas

et te revêtiront les neiges des sagas

Nous ne serons pas seuls à faire le voyage

d'autres nous croiserons parmi les paysages

comme nous, invités à ce jour qui naîtra

nous devons les chérir d'un amour jamais las

eux aussi, révoltés, vivant dans les savanes

répondent à l'appel secret des caravanes

Quand nous avancerons sur l'étale de mer

je te ferai goûter à la pulpe de l'air

puis nous libérerons nos joies de leur tourmente

de leur perte nos mains, nos regards de leurs pentes

des moissons de fruits mûrs pencheront dans ton coeur

dans ton corps s'épandront d'incessantes douceurs

Après le temps passé dans l'étrange et l'austère

on nous accueillera les bras dans la lumière

l'espace ayant livré des paumes du sommeil

la place des matins que nourrit le soleil

ô monde insoupçonné, uni, sans dissidence

te faisant échapper des cris d'incontinence

Nouvelle-née, amour, nous n'aurons pas trahi

nous aurons retrouvé les rites d'aujourd'hui

le bonheur à l'affût dans les jours inventaires

notre maison paisible et les toits de nos frères

le passé, le présent, qui ne se voudront plus

les ennemis dressés que nous aurions connus

Gaston Miron, extrait de "l'homme rapaillé"

Très joli :blush:

Ce matin, j'ai crié sous le ciel étoilé,

Je cherche un peu à m'évader...

Je relis ma vie, et redonne un sens

à cette putain de vie, qui fut , pour moi, intense...

Nous rions souvent dans nos conversations,

Nous prenons soin de l'autre, de sincères intentions.

Je voudrai pouvoir te regarder...

Je voudrai pouvoir te laisser désirer...

Je voudrai voir les mouvements de ton réveil engourdi...

Je voudrai sentir ce souffle "J'ai envie"

Je voudrai être à jamais les raisons de tes désirs...

Je voudrai que nos corps s'adonnent aux plaisirs...

Je voudrai que tu t'abreuves à mon arbre de vie...

Je voudrai être ton âme soeur dans l'infini...

Nous sommes deux anges fous à lier!

Nous sommes alliés, complices, associés.

Nous ne renions meme pas nos phantasmes,

Ils iront au grenier, sans aucun etat d'âme !

Nous sommes très amoureux...

Un jour heureux

Un jour malheureux

des instants très chaleureux...

Bin l'amour quand meme.........

Vous voyez où ça mene.......

[/b]

Modifié le 12 janvier 2010 par saintluc62

...si foooort ton je voudrai, que j'ai cherche sur net un "cri" pareil...mais je n'ai trouve que quelques mots, qui sont pas a moi, mais bien beaux

...je voudrais etre une larme pour naitre dans tes yeux, vivre sur ta joue et mourrir a tes levres...

je viens de te lire LULU et toujours je reste émerveillée de la puissance de tes émotions de tes sentiments qui transpirent à travers tous les mots prose ou vers

il existera bien un moment où tout deviendra réalité et bonheur j'en suis persuadée

En tout cas tu as plein d'ami(es) autour de toi et on t'aime

MERCI...............

Homme libre,toujours tu chériras la mer!

La mer est ton miroir, tu contemples ton âme

Dans le déroulement infini de sa lame,

Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

Tu te plais à plonger au sein de ton image

Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur

Se distrait parfois de sa propre rumeur,

Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

Vous etes tous les deux ténèbreux et discrets

Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes

O, mer, nul ne connait tes richesses intimes,

Tant vous etes jaloux de garder vos secrets.

Cependant voila des siècles innombrables

Que vous combattez sans pitié, ni remords,

Tellement vous aimez le carnage et la mort,

O lutteurs éternels, o frères implacables.

C. BAUDELAIRE

(Fleurs du mal)

[/b]

Modifié le 15 janvier 2010 par saintluc62

Ce que je vous souhaite...c'est de jamais changer,

Que votre gransd tresor vous sachiez garder'

Que tout ce qui fleurisse vous reste a jamais

Le fruit de ceux qui savent, comme vous le fetes, AIMER.

Je vous embrasse de tout mon coeur.

:blush:

Merci Dorcami, bonne journée...

Depuis plusieurs nuit elle a revé

De cette mer où je vivais;

Cette mer brulée par les étoiles nues

Qui doucement une nuit me sont revenues.

Sur ton visage elle était si jolie

Cette petite note de mélancolie.

Tu écoutes? Oui... Roulement de tambour

Descendre et remonter chaque jour...

Les nuages au loin se noient en elle,

Et sur le sable les oiseaux fous se querellent,

La tempête?Un duel avec la côte écorchée.

Dans ma tête cette mémoire trouée, coulée.

Et le vent monte aussi, vent moqueur

Qui raille l'angoisse de mon coeur;

Et tout cet océan de dunes

Que ma mémoire hante et explore une à une...

Il pense à toi mon grand coeur...

Il pense à toi ce doux reveur...

Modifié le 16 janvier 2010 par saintluc62

L'Amour de la mer , si fort

L'Amour pour "elle" si profond

Les deux se mèlent corps à corps

Comme deux amants à l'unisson

Et le rêve subsiste

Et l'amour résiste

La mer en amie sure

te protège et te rassure

Vraiment joli, merci Cynyhia :blush:

Vraiment joli, merci Cynyhia :blush:

Bon, heu? Fait noir, faut qu'je rentre à la maison