Ma poésie, des citations, votre poésie?

Tel un coucher de soleil

je m'etteinds jours après jours

je plonge doucement dans un profond sommeil

espérant qu'il durera toujours

assez de cette lutte éternelle

du combat, déja perdu d'avance

oui, j'aimerai avoir des ailes

et m'envoler loin de toute cette violence

parfois envie de s'ouvrir les veines

pour extérioriser toute cette haine

haine qui me ronge de l'extérieur

je voudrai moi aussi glisser vers un monde meilleur....

Pourquoi prendre la vie au sérieux?

de toutes les manières,

on s'en sortira pas vivant

Nous sommes marins de galère

Nous visitons tous les océans

Nos anciens? Des corsaires...

Laissons nous porter par les vents...

Derriére volent les goélands

Allez! Par vent debout, par vent arrière

endosses ton ciré pour le gros temps

Allez! Ici, pas de manières

Le vent, la mer, ses colères...

Mais tu résistes, allez, droit devant.

La nuit sur le pont et sans manière

il te dira: j'ai visité les océans

Marin,mer,lien sacré du doux réveur

là, sur la grève, la marée et...Son sourire

Et quand cette mer regarde le solitaire

Elle étend sa main emprisonnée de délires

Elle me caresse entre ma chair et mon âme

Ne faut pas faire que le quai Gambetta

Dans notre port, il n'y a pas que ça?

Il faut visiter la maison du général St Martin

Libérateur du Chili, du Pérou. Un général argentin,

Exilé dans notre ville, il y décéda.

Les quais, la criée, la jetée, oui, c'est là...

Nos grands hommes: Scientifiques,écrivains,

Peintres, beaucoup de nos contemporains.

Lesage et son "Diable boiteux"

Mathieu, promoteur de l'abstraction lyrique...

Promenades dans la vieille ville pour les amoureux...

Sainte Beuve, ses poèmes et ses critiques,

Ses liaisons tourmentées avec la femme d'Hugo.

La légion d'honneur, ce qui y a de plus beau,

Epinglée la première fois dans notre port.

La ville actuellement manque de ressort...

Au fait, vous connaissez Auguste Mariette?

Oui, égyptologue mort au Caire.

Il découvrit le serapeum de Memphis

et fut directeur général des fouilles en Egypte.

Tellement de choses à découvrir dans notre port?

Ce port, bien sur c'est Boulogne/Mer

très joli bravo :blush:

très joli bravo :blush:

Miciiii

Le monde est en dérive...

Un grand vol de grives

doucement passe sur la rive...

Oui! Il faut que j'écrive.

Il y a, bien sur ici bas

Pleins de trous et pleins de tas

Cela on ne l'explique pas,

Mais ces trous et tas sont bien là.

Dans nos têtes des incompréhensions,

des milliers et des milliers de sensations

et je dirai beaucoup de dérision,

bien plus que de raison.

Sur toutes les routes serpentées

Les longues nuits sous le ciel étoilé

Des secrets enfuis, bien gardés

Des secrets qui font mal à pleurer...

Dans la déprime, dans la dérive

Vous le savez les jours se suivent...

Mais là, sur ta rive,

Tout saigne et tout arrive.

Le trouble d'un coeur qui ne sait plus à qui parler?

C'est dans une mer de douleurs que je me noie!

Dans une foule de questions que je me perd...

Bien sur, c'est avec moi qu'il pleure...

Mon âme troublée qui ne sait qui habiter?

Avec ses peurs,ses envies,noirceur,pâleur...

Allant d'un corps à l'autre, elle ne se pose jamais.

Errant dans cet enfer qu'est devenue ma vie.

Mon grand corps qui ne trouve plus sa place

Cherchant toujours un geste, un signe, un contact

Il attend, mais qui, où,comment, quoi?

Eternel incompris, toujours seul dans la foule

Je vis, je mange, je pleure, la mort et je ris

Je pense que c'est ça la vie?

Mes yeux ont gardé des regards de soirs

Mon corps,mon coeur, mon âme, mon histoire

Je donne tout........

je fais un copie-coller de mes poèmes postés ailleurs, sur un autre site, d'où les quelques petits problèmes parfois, sorry :blush:

Le trouble d'un coeur qui ne sait plus à qui parler?

C'est dans une mer de douleurs que je me noie!

Dans une foule de questions que je me perd...

Bien sur, c'est avec moi qu'il pleure...

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Mon âme troublée qui ne sait qui habiter?

Avec ses peurs,ses envies,noirceur,pâleur...

Allant d'un corps à l'autre, elle ne se pose jamais.

Errant dans cet enfer qu'est devenue ma vie.

Mon grand corps qui ne trouve plus sa place

Cherchant toujours un geste, un signe, un contact

Il attend, mais qui, où,comment, quoi?

Eternel incompris, toujours seul dans la foule

Je vis, je mange, je pleure, la mort et je ris

Je pense que c'est ça la vie?

Mes yeux ont gardé des regards de soirs

Mon corps,mon coeur, mon âme, mon histoire

Je donne tout........

je fais un copie-coller de mes poèmes postés ailleurs, sur un autre site, d'où les quelques petits problèmes parfois, sorry

Quel bonheur de lire tous ces beaux poèmes ST Luc , le poête de la mer , je ne m'en lasserai jamais :blush:

Merci à toi

La famille arrive :blush: :)

Très heureux que toutes mes amies poetesses arrivent sur FORUM FR

Il en manque encore...

N'ai pas encore vu Maybe, Aritoneta, elles ne devraient pas tarder, il commence à neiger sur les Alpes et elles sont dures à passer... Le chemin long pour arriver... :blush:

Tjrs bcp d'émotion en lisant tes poëmes, ravie de te retrouver là - bisous à toi

Bienvenue à toi Framboise, heureux de te retrouver ici.

Bin heu? je vais pu avoir avoir de place à la maison pour toutes vous loger :blush:

Mais tu verras, la maison est grande et il y a de la place pour beaucoup de monde

Et ici les gens sont sympas avec les nouveaux

J'adore comme tu écris ^^ :blush:

Tes poèmes sont vraiment remplie d'un quelques chose que je n'arrive pas à dire mais qui me touche beaucoup^^

super continue et c'est avec joie que je viendrai te lire

La mer est là, au bout de mes pas...

De longs rubans doucement se déroulent

Sans ordre apparent; bave blanche...

Le vent bêle de peur et de colère.

La mer est là, au bout de mes pas...

Le vent hardi me soûl

Je cherche an vain la voile blanche

Pureté de mort, drap blanc de ma mer

L'oiseau des tempêtes est là

Il monte et descend selon la houle

Noir comme le désespoir,

blanc comme le linceul

La Manche est-elle ici? Est-elle là?

je sessens dans mon corps ta houle

Dans mes veines mon sang est noir

Dans ma tête? Toujours seul

Mer, maîtresse de toujours,

Mer, toi qui a su me faire l'amour

Tantôt douce, tantôt furie

Un jour je voudrai revenir dans ton lit...

Il y a des gens qui crient très haut

qu'ils n'ont jamais voulu se vendre;

c'est peut-être qu'on ne se serait jamais soucié de les acheter.

Il n'y a qu'un seul vice dont on ne vois personne se vanter,

c'est l'ingratitude.

Le dernier mot de la liberté: c'est l'égoïsme.

le 1er qui compara la femme à une rose

est un poète,

le second un imbécile.

Que de gens que l'on croit heureux

et qui sont au désespoir.

La vertu chez les uns,

c'est peur de la justice,

chez beaucoup c'est faiblesse;

chez d'autres, c'est calcul.

Gerard de Nerval

Vous me lisez tous les jours,

Vous pensez me connaître?

Je suis comme la noix: enveloppe.

Je viens de tellement loin,

Trop loin pour vos yeux me chercher,

Je viens du fin fond du possible

Derrière toutes choses,

Là où les choses sont comme on le souhaite.

Tout ce qui est là bas, je l'aime...

Une mer rose, un ciel blanc,

Des moutons bleus, un soleil d'argent,

Des montagnes de fleurs sous une lune verte.

Pas l'ombre d'une empreinte....

Tout est teinté de bleu,

Les nuages-oiseaux s'amusent,

Là, j'y ai retrouvé l'enfant qui parle aux étoiles,

Celui qui a un renard pour ami...

Là où le temps a si peu d'importance

Que les horloges n'égrènent que les siècles.

Je vais là où l'on peut dire:

"Oui" Où l'on peut dire n'importe quoi,

Et surtout! Etre écouté...

Les questions ne servent qu'à ceux qui les posent

Je vais là où la folie est une pierre précieuse,

Là où l'on a rit et couru ensemble...

Plus de souvenirs?

C'était hier?

C'était surement ailleurs?

Vous me lisez tous les jours,

Vous pensez me connaître?

Je suis comme la noix: enveloppe.

Je viens de tellement loin,

Trop loin pour vos yeux me chercher,

Je viens du fin fond du possible

Derrière toutes choses,

Là où les choses sont comme on le souhaite.

Tout ce qui est là bas, je l'aime...

Une mer rose, un ciel blanc,

Des moutons bleus, un soleil d'argent,

Des montagnes de fleurs sous une lune verte.

Pas l'ombre d'une empreinte....

Tout est teinté de bleu,

Les nuages-oiseaux s'amusent,

Là, j'y ai retrouvé l'enfant qui parle aux étoiles,

Celui qui a un renard pour ami...

Là où le temps a si peu d'importance

Que les horloges n'égrènent que les siècles.

Je vais là où l'on peut dire:

"Oui" Où l'on peut dire n'importe quoi,

Et surtout! Etre écouté...

Les questions ne servent qu'à ceux qui les posent

Je vais là où la folie est une pierre précieuse,

Là où l'on a rit et couru ensemble...

Plus de souvenirs?

C'était hier?

C'était surement ailleurs?

faire de ses ailleurs son paradis...y rencontrer l'autre...miamiam...tellement bon, salut a toi!

Vous me lisez tous les jours,

Vous pensez me connaître?

Je suis comme la noix: enveloppe.

Je viens de tellement loin,

Trop loin pour vos yeux me chercher,

Je viens du fin fond du possible

Derrière toutes choses,

Là où les choses sont comme on le souhaite.

Tout ce qui est là bas, je l'aime...

Une mer rose, un ciel blanc,

Des moutons bleus, un soleil d'argent,

Des montagnes de fleurs sous une lune verte.

Pas l'ombre d'une empreinte....

Tout est teinté de bleu,

Les nuages-oiseaux s'amusent,

Là, j'y ai retrouvé l'enfant qui parle aux étoiles,

Celui qui a un renard pour ami...

Là où le temps a si peu d'importance

Que les horloges n'égrènent que les siècles.

Je vais là où l'on peut dire:

"Oui" Où l'on peut dire n'importe quoi,

Et surtout! Etre écouté...

Les questions ne servent qu'à ceux qui les posent

Je vais là où la folie est une pierre précieuse,

Là où l'on a rit et couru ensemble...

Plus de souvenirs?

C'était hier?

C'était surement ailleurs?

Magnifique Lulu

Noir le deuil, le désespoir

Quand la vie part comme la clarté du soir

Et que mon âme se perd dans d'horribles couloirs

Cherchant la bonne issue, il faut y croire...

Ira-t-elle au mouroir, fin de l'histoire?

Enfermé ici, baignant dans l'illusoire?

Trop souvent carressant ces exécutoires,

Ce ne sont que mauvaises échappatoires.

Un jour... Un soir... Couloirs...Même trajectoire

J'ai eu la chance de te voir...

D'un coup, d'un seul, l'espoir,

Le gris, le blanc remplacent le noir...

J'espère longtemps pouvoir, près de toi m'assoir

Partager toutes nos joies, tous nos déboires,

C'est un de mes plus grand espoir...

S'il m'était donné un absolu pouvoir

Je remplirai ta vie comme le bonheur d'une belle histoire,

Que ce lien qui nous unit ne soit pas transitoire?

Jamais d'adieux, toujours des au revoir...

Comment ferai-je pour te voir?

Moi qui ne parle qu'à mon miroir?

Mais, tiens, doucement vient le soir...

Poursuivre ma métamorphose dans le noir

Vers le blanc, par le gris et l'ivoire

j'aime quand dans tes poèmes qui débutent sombres et moroses , l'espoir revient et en mème temps le changement de couleur de la nature elle passe du noir à l'ivoire ouffffffffff

Rêve ta vie en couleur

C'est le secret du bonheur

Rêve que tu as des ailes

D'hirondelle ou de tourterelle

Envole toi comme un rossignol

Voyage sans boussole

Tu ne peux pas te tromper de chemin

Aprés la deuxième étoile dans le ciel

C'est tout droit jusqu'au petit matin

:blush:

Merci à toi, et bien joli aussi ton écrit :blush: