Régional , les partis politiques préparent les élections .

L' expulsion des 3 Afghans et le dossier sur l' identité national nous explique que l' UMP vient

une nouvelle fois exploiter le phénomène sécuritaire pour sa campagne électorale .

Le programme quant - à lui sera stérile puisque comme je le pense , certains médias qui roulent

pour la droite médiatiseront en amplifiant tous les faits divers ayant un rapport avec les banlieux,

l' immigration , et l' insécurité dans les transports publics .

Une partie-clé pour l'UMP s'est jouée durant l'été, avec l'intégration du MPF de Philippe de Villiers au comité de liaison de la majorité présidentielle, dans le but d'élargir son socle électoral avant un scrutin où elle avait été largement battue en 2004. Il s'agira en décembre de négocier les listes d'union avec le Nouveau Centre. Mais d'ici là, le parti majoritaire poursuit la désignation de ses chefs de file. Il a clôt dimanche 25 octobre les primaires, dans six régions, après que 18 autres se sont prononcées dès mars. Mais le choix définitif reviendra au conseil national du parti du 28 novembre, a-t-il prévenu.

Une campagne électoral basé uniquement sur les faits divers .

Vous n' aurez qu' à suivre le contenu des médias jusqu' au dernier jours d' avant les régional .

Après la première nuit de violence, dimanche, hier soir, vers 20H 30, de nouveaux affrontements ont eu lieu à Fréjus, dans le Var, entre les forces de l'ordre et les jeunes de la cité de la Gabelle. C'est dans cette cité que, dimanche, en fin d'après-midi, Mohamed El Mathari, 21 ans, s'est tué à moto, alors qu'il tentait d'échapper à un contrôle de police.

Hier soir, les incidents ont débuté par le caillassage d'une patrouille de police et par des jets de cocktails molotov.

Les forces de l'ordre ont utilisé les gaz lacrymogènes pour disperser les groupes de jeunes.

Un hélicoptère de la gendarmerie équipé d'un phare anti-émeute est agélement intervenu dans la cité, précise Le Parisien.

Plusieurs voitures ont été incendiées.

Le calme est revenu dans la cité de la Gabelle, vers 22 heures, avant que n'éclatent, une demi heure après, de nouveaux incidents, mais dans la ville voisine de Saint-Raphaël.

Dans cette ville, une vingtaine de jeunes ont caillassé une patrouille de la BAC.

Selon une source policière, deux jeunes ont été interpellés, en possession de bouteilles de white spirit.

Le préfet du Var explique sur RMC que "la décision a été prise de rentrer dans la cité pour rétablir le calme vers 22h. Nous allons maintenir le dispositif pour les prochaines nuits et même le renforcer."

En ce qui concerne l'accident de dimanche après-midi, Philippe Fuémas, procureur adjoint de la république a indiqué qu'il n'y a « pas eu de course-poursuite » et qu'il n'y a « pas eu d'usage des armes ».

Le magistrat a ajouté:

"Il n'y a pas eu de contact entre le véhicule de police et la moto de la victime qui, en roulant sur le bas-côté de la chaussée pour se soustraire au contrôle, a percuté un pin. C'est un accident".

Une thèse contestée par la famille de la victime.

Selon Aziz El Mathari, un des frères de Mohamed, dans le Parisien "la BAC l'a repéré, lui a fait un barrage, lui a coupé la route et Mohamed n'a pas pu réagir et n'a pas pu éviter l'arbre qu'il a tapé".

Lundi, les policiers concernés et des témoins ont été entendus par les enquêteurs de IGPN, saisie par le parquet de Draguignan, précise Le Parisien.

source france info .

Ca se passe où ?

Devant un bar-boite "L'Atelier 12" de Dunkerque.

Quand cela ?

Vendredi soir.

Que s'est-il passé ?

Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été victime d'un lynchage d'une dizaine de personnes.

Pourquoi cela ?

Parce qu'il a tenté de s'opposer à de jeunes resquilleurs qui tentaient de passer devant lui.

Il était seul ?

Au début, il était avec son cousin qui est parvenu à s'enfuir.

Comment va la victime ?

Il a été violement battu à terre, à coups de poings et de pieds.

Son état jugé sérieux par l'hôpital de Dunkerque.

Le jeune souffre de plusieurs fractures avec une incapacité totale de travail évaluée à 30 jours.

Qui a appelé la police ?

Des passants.

La Police a d'ailleurs pu arrêter trois participants présumés de la bagarre.

Où sont-ils à présent ?

égés de 17, 18 et 19 ans, ils ont été placés en détention provisoire.

Une information judiciaire pour violences volontaires a été ouverte.

L'un des trois jeunes arrêtés était en état de récidive légale pour des faits de même nature.