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charly-tango

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Membre, Posté(e)
Ophélie.R Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, bonjour

Soit, je fais un énorme discours. Soit, je dis ce que je veux dire en quelque ligne ou je mélange les deux.

J'opte pour la troisième possibilité, on verra bien.

Allez, c'est parti.

Pour le tout premier sujet de conversation

Charly-tango si je me souviens bien.

Allez, je trouve que tes description son floues, trop chargées. Le texte peut être bien mais tu dois mettre la suite ici pour que je puisse lire ça. Ensuite, je pense que ta façon d'écrire est à retravailler en profondeur. Je ne dis pas tout ce que je pense en fait, je préfère lire la suite avant de critiquer à ma façon ^^.

Enuite, pour le deuxième euh.....Jack~OF~Blade.

Je n'ai qu'une chose à dire c'est....je n'ai pas adoré mais j'ai aimé.

Moi même, étant une romancière de romans fantastiques qui écrit depuis 4 ans déjà et qui -entre ses mains - tient 6 romans dont deux terminé et en pleine modification, un autre qu'elle corrige tranquillement et les trois autres qui sont toujours en cours.

Je sais, j'ai souvent l'habitude de parler de moi à la troisième personne, mais là où je suis inscrite, on connait mon caractère et mes habitudes. Ne vous étonnez pas. Allez, Allez, ne jamais baisser les bras, c'est ma devise.

Bisou à vous tous.

Auf Wiedersehen.

Modifié par Ophélie.R
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Membre, 30ans Posté(e)
Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

ouais une romanciére !!!

tu écris quel genre de roman?

euh mais ta quel age histoire d'en savoir plus ?

bon la suite vas arriver mais la avec les devoirs j'ai mis le projet "en attente" pour cause de "foutus devoirs a la c..."

mais bon comme disent certains "c'est pour mon bien, les devoirs"

mon oeuil, bande de sadiques !!!!

Modifié par Jack~OF~Blade
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Membre, Posté(e)
charly-tango Membre 115 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ok pour te répondre Ophélie voila mon texte : c'est long !! donnez moi votre avis et vos critiques positive et négative.

Overnight

Chapitre 1

L'éclair brisé.

1

Sans pouvoirs.

Un jeune homme marche le long d'un mur ancien qui commence à s'effriter. Il avance d'un pas rapide et conquérant. Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été.

Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith. Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne. Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière.

La porte s'ouvre enfin. Un homme de petite taille, avec de grands yeux bleus, corpulent et chauve se tient sur le seuil. Il porte une chemise à carreaux d'un autre âge et un pantalon léger. Il dit d'une voix douce et apaisante :

- Bonjour mon garçon comment vas-tu ?

Ce dernier répond d'un ton calme et posé.

- Bonjour monsieur Karl, excusez moi de vous déranger, je cherche Pierre, est-il là ?

Monsieur Karl invite Elliott à entrer dans le salon en attendant que Pierre arrive. En entrant on se croirait en Afrique, il y a des objets africains partout, les murs sont jaunes comme la savane avec des têtes d'animaux sur les murs. Les meubles sont en bois massif et sculptés à la main, le canapé est blanc crème avec des rayures noires comme un zèbre. Un jeune homme descend les escaliers en verre, et enlace Elliott. Ce jeune homme s'appelle Pierre. Pierre est très grand et très mince. Il a des yeux gris et un regard perçant, son visage est allongé et il a une cicatrice à l'¿il droit.

- Ah ! mon vieil ami tu vas bien ?

Elliott sourit en serrant son ami dans ses bras.

- Pierre te voilà enfin ! On ne s'est pas vu de tout l'été, je suis content de te revoir !

Ils sortent de la maison en saluant le père.

Pierre prend Elliott par le bras et après avoir vérifié que la rue est déserte, ils se mettent tout deux à courir à toute allure. Ils arrivent en quelques secondes devant une maison délabrée, vide et inhabitée au milieu des champs. C'est là qu'ils se rendent chaque fois qu'ils veulent être tranquilles.

- dit moi¿ Pierre, je ne comprends toujours pas, comment fais-tu pour courir aussi vite ?

Pierre le sourire aux lèvres¿

- Je te le redis, je ne sais pas, je suis né comme ça mais n'oublie pas que c'est un secret que seule notre bande connaît.

Elliott est toujours étonné par le don de Pierre, chaque soir il rêve qu'il a des pouvoirs comme lui.

L'intérieur de la maison est inqualifiable, tellement c'est pourri par l'humidité. Il y a des toiles d'araignées partout, les tapisseries sont déchirées et poussiéreuses. Mais comme planque, QG ou lieu de rendez-vous c'est l'idéal. Les deux garçons montent à l'étage, pierre sort une boîte en métal cadenassée, cachée dans le plancher. La clef est toujours à son cou, dans cette boîte il y a un drôle d'objet. Une chaîne avec un pendentif brisé en forme d'éclair. Elliott prend le pendentif dans la main, en regardant Pierre.

- Sais-tu ou est l'autre partie du pendentif ?

Pierre fait un signe de la tête pour dire non, de plus il l'a trouvé dans une grotte, au cours d'une expédition archéologique avec ses amis. Les chances de retrouver l'autre partie sont infimes. Après il a eu l'idée de le mettre dans une boîte plutôt que de le porter au cou. Pourquoi ? Dieu seul le sait.

Pour expliquer l'origine de l'objet, Pierre est entré dans un délire total en parlant d'un mage dans les temps anciens, qui possédait un pendentif avec un éclair comme signe. Après l'avoir accroché à son cou il mourut subitement, c'est ce que dit la légende. Elliott s'interroge :

- Y-a-t-il une différence entre le mythe et la réalité ? mais quels pouvoirs a donc ce pendentif ?

- Je ne sais pas mais je sais qu'il y a des personnes comme moi qui ont des pouvoirs. Je les sens comme si on était tous connectés par quelque chose. Mais quoi ?

Je sais qu'il y a des personne comme moi partout dans le monde je ne sais pas qui et ou précisément mais je le sais. Je les sens comme si on était tous connectés par quelque chose. Mais quoi ?

Après tant de réflexion Elliott veut rentrer chez lui, sa mère l'attend. Les deux amis se disent à plus tard, et Elliott repart. Il Prend son temps pour marcher, il passe de rue en rue. Après une demi-heure de marche, il arrive chez lui, du moins chez ça mère car il n'a pas encore son appartement. La maison est toute simple les façades en pierre puis le toit en tuiles orange, sans jardin. A peine a-t-il le franchi le seuil que madame curts le prend dans ses bras. Elle est de taille moyenne, ni grosse ni maigre et elle à un regard inexpressif avec des yeux marrons, gris cela dépend des jours. Son caractère est très posé, calme, se sont des qualités dont son fils a hérité. Elle aime vivre, bouger ce qui est l'inverse de son mari qui lui n'aime pas voyager, en ayant malgré tout le sens des affaires. Physiquement Il est comme son fils. Sans cheveux, il a une barbe aussi longue que celle du père noël. Comme prévu Elliott aide sa mère pour faire le ménage, sa chambre qui peu à peu ressemble a une porcherie, le salon qui heureusement est petit, mais très clair il y a des fenêtres partout.

Elliott monte directement dans sa chambre pour téléphoner à ses amis, pour savoir si leurs vacances se passent bien. Le premier est Franck, un ancien camarade de classe avec qui il a beaucoup sympa-thisé. Ils parlent de la Pluie et du beau temps, il demande si la famille va bien. Après vient le tour de Sam, un ancien camarade de classe. Mais Sam ne répond pas Elliott laisse donc un message en espérant qu'il le rappelle. Il compose le numéro de Morgane la petite amie de Sam, qui elle non plus ne répond pas. Encore un message. Il a appelé toute sa bande et maintenant il est l'heure de manger. Il se dirige vers la cuisine, une cuisine moderne, plaques à induction, tout est blanc et noir, la table est très grande comme les chaises. Ce soir se sera des pâtes au fromage et un steak. Le soir c'est le repas le moins important donc pas la peine de trop. Ensuite monsieur Curts va regarder les information sur son écran plasma 20 pouces. Pendant ce temps, Elliott range la table puis il remonte dans sa chambre pour se détendre. Il va chercher l'histoire du mage avec son pendentif sur internet, car cela l'intrigue. Il allume son ordinateur, se connecte et lance la recherche.

- le mage des rêves, le voilà, c'est lui !

S'exclame Elliott, et il clique sur l'article :

Le mage des rêves : Balthazar.

C'est un mage qui a le pouvoir de ce téléporter physiquement, il peut naviguer entre le monde réel et le monde des rêves. De plus Balthazar, peut courir en hyper vitesse puis voler, il peut lire dans les pensées des autre ou envoyer des boules d'électricité ou de feux de ses mains. En revanche on sait qu'il est mort à cause d'un pendentif en forme d'éclair, qui est en deux morceaux. Personne ne sait ou sont les deux parties. éa mort reste un mystère absolu, il y a deux théories mais aucune n'est vraisemblable :

-Il est possible qu'un mage maléfique ait ensorcelé le pendentif pour tuer toute personne l'ayant en sa possession.

- il se peut que le pendentif ne réponde qu'à une seule personne, son maître, et que s'il trouve la deuxième partie il se passera quelque chose.

Des dizaines de chercheurs ont tenté de percer ce mystère.

Pour plus d'information contactez-nous merci de votre visite !

Tout devient plus clair, mais Elliott se demande pourquoi pierre ne porte pas le pendentif. Enfin bon ce n'est qu'une histoire !

Il est vingt heures passé il est temps de dormir. Elliott se lave les dents puis se change et va se coucher. Le lendemain matin il se réveille en sursaut car il est réveillé par son rêve, il se voie des pouvoirs qu'il ne sait pas contrôler.il fait n'importe quoi et devient un monstre. C'est tout ce dont il se souvient. Six heures du matin, Elliott ne peut plus se rendormir, il va dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner. Il allume la lumière puis met en marche la cafetière et se prépare des tranches de pain qu'il fait griller. Le pain grillé est enfin prêt, accompagné d'un peu de confiture à l'orange, et d'un café bien fort. Après ce petit déjeuner, Elliott va prendre sa douche et s'habiller pour partir en ville. Neuf heures du matin il prend sa voiture pour aller chercher ses fournitures scolaires car c'est bientôt la fin des vacances. Arrivé en ville, Elliott se dirige vers un super marché, il prend des stylos, des cahiers, des feuilles doubles simples, des classeurs et autres. é la caisse, Elliott paye et repart. Il s'arrête devant un marchand de chemises pour homme, la vitrine est bien présenté. Deux mannequins habillés, l'un en costumes très chic ; l'autre décontracté, chemise à fleurs bleus et pantalon en lin. Il entre, tout est bien rangé, bien plié. Tout est fait pour que le client se sente bien. Elliott fait un petit tour pour faire du repérage, un vendeur s'avance vers lui pour savoir s'il a besoin d'aide.

- Monsieur je peux vous aider, vous renseigner ?

Vu la tête d'Elliott cela voulait dire non mais il le remercie quand même. Après avoir tourné dans le magasin il sort, et part en direction du cinéma pour connaître les horaires des séances. Il finit finir son tour de ville dans un bar : chez Charly. C'est très petit, lumière tamisée, rideau fermé. Tout un style, fait pour les habituées se sentent chez eux. Tout le monde le salue, et il va s'asseoir toujours a la même place au fond du bar. Deux minutes plus tard quatre personnes entrent, deux garçons et deux filles. Pierre, Sam, Morgane, Franck. Ils se dirigent vers Elliott, les quatre prennent place à la table et attendent que le barman arrive pour prendre la commande. Ils se racontent leurs vacances, et disent qu'ils ont hâte d'entrer en cours.

Le barman arrive et demande se que ces jeune personne veulent prendre.

- messieurs et mesdames vous voulez quoi ?

Tous prennent une bière.

Morgane demande aux autres s'ils seront tous ensemble dans la même classe ? Les autres font non de la tête, du moins ils ne savent pas. Après avoir fini leur verre, ils payent chacun leur part et repartent. Elliott retourne à sa voiture pour partir chez lui, laissant les autres en ville. Pierre morgane, Sam et Franck continuent d'errer dans les rues de paris. Pendant ce temps Elliott a à peine le temps de mettre la clef dans le contact que sa mère lui téléphone.

- Elliott, ou es-tu mon fils ?

- maman je t'ai laissé un mot sur la table pour te dire que je par-tais en ville.

De toute évidence madame Curts n'a pas lue le mot. Elle l'appel juste pour ça.

Arrivé devant la maison, il est déjà l'heure de manger. A midi le repas se fait dans le salon, qui est très spécial faut bien le dire. Un mur est vert un autre est rose un autre est bleu tout les murs ne sont pas de la même couleur. Les tables sont en métal et les tapis en peaux de lion. La table prête, la famille Curts peut passer à table. En entré il y a une tarte aux poireaux, comme plat de résistance une épaule d'agneau avec des pommes de terre et enfin comme dessert, une tarte aux poires. Dans cette famille personne ne parle en poireaux, comme plat de résistance une épaule d'agneau avec des pommes de terre et enfin comme dessert, une tarte aux poires. Dans cette famille personne ne parle en mangeant, tout le monde est concentré sur son assiette. Le facteur arrive, monsieur Curts va chercher le courrier. Il y a trois lettres, toutes pour madame Curts. Une lettre pour des bons de réductions, une autre pour le paiement de son forfait de téléphone et l'autre pour une pub. A la fin du repas Elliott pose une question sensible :

Les deux parents écoutent attentivement.

- je vais bientôt avoir mes dix-neuf ans et je pense que je pourrais avoir mon appartement.

Il eut un long silence, Elliott regarda ses parents. Après mûre réflexion ils acceptent mais a une condition : toute fois

- Tu dois en prendre soin, sinon tu rentres à la maison !

Le rêve d'Elliott se réalise. Le jour de ses dix-neuf ans il aura son chez lui. Il n'en revient pas la confiance de ses parents le touchent. De plus le jour de ses dix-neuf ans est le premier septembre donc le jour de la rentrée scolaire, cela tombe bien. Il entre dans sa dernière année de lycée et il entrera bientôt dans le monde du travail. La vie est bien faite n'est-ce pas ?

Une semaine avant la rentrée Elliott profite des derniers jours de vacances. Lundi ce sera journée cinéma avec sa bande. Quatorze heures Elliott arrive devant le cinéma en attendant les autres il com-mence à se diriger vers la file d'attente car le lundi en période de vacance il y a beaucoup de monde. Après une dizaines de minutes les autres arrivent enfin. Elliott leur fait un geste de la main pour leur dire de venir. Arrivé à la caisse il demande s'il reste des places pour le monstre du lac mortel. Trois euros le ticket c'est cher. Il entre malgré tout. Dans la salle 4 qui se situe en bas des escaliers. Le cinéma est composé de deux partie, l'entrée est immense la tapisserie est en rouge bordeaux. La salle 4 n'est ni trop grande ni trop petite, elle est bleu. Les sièges confortables la salle est déserte, à peine deux ou trois. Pierre annonce le début du film. Le monstre du lac mortel 'est l'histoire d'un homme qui se transforme en un horrible monstre qui vie dans un lac près de Londres. Il tue pour vivre, et à la fin il meurt. La durée du film est de deux heures, silence dans la salle le film commence. Sam et Morgane commencent déjà à s'embrasser passionnément, pendant que les autres regardent le film avec attention. Inutile de vous dire a quel point le film les intéresses. En revanche Pierre et Elliott n'arrêtent pas de rire, ce qui ne plait pas à Sam. Franck se lève pour aller chercher du pop-corn.

Le film terminé, les deux amoureux continuent de s'embrasser. Les autres sont déjà dehors à les attendre. Une minutes plus tard notre jeune couple sort enfin, les autres le sourire aux lèvres, chantent un air de Claude François :

Petit Sam tes copains son près de toi.

Il faut lui dire : Morgane, je t'aime mon amour !

O h ‼ dit lui nous t'en supplions dit lui c'est important, cette fille c'est quelqu'un pour toi ‼

Sam se met à rire. Il propose d'aller chez lui. Il vit avec Morgane. Elliott et pierre acceptent sa proposition, l'appartement de Sam se situe a quelques mètres de la ou ils sont. Arrivé à l'appartement, Sam entre le code de sécurité ouvre la porte. Il laisse sortir une vieille dame.

- madame Pascal, comment allez-vous ?

La vieille dame se retourne vers son interlocuteur. Elle à une voix douce et très calme, elle est petite et plutôt grosse. Son visage fait penser a un hamster, avec ces petits yeux marrons.

- Bonjour mon petit, merci, je vais bien, et toi, pas trop fatigué ?

Elliott regarde Sam en souriant d'un air moqueur.

- ça va, votre mari va-t-il bien depuis son opération de la jambe droite ? dit Sam.

La vielle dame entre dans des explications interminables, disant que son mari est très fatigué il passe ses journées à l'hôpital. A soixante-dix ans un rien l'affaiblit. Mais qu'elle est toujours là pour le soutenir en bonne épouse.

L'appartement de Sam est au quatrième étage de l'immeuble. Il est immense, il est composé de 5 pièces : le salon, deux chambres, la cuisine, et les toilettes. Le salon est très spacieux, tout est con-temporain. La table est en verre, ronde, les chaises sont très fines et les lampes sont design. La cuisine est moderne. Elliott et Pierre s'assoient sur le canapé, Franck sur un fauteuil en cuir blanc, Sam et Morgane sur la deuxième partie du canapé. La discussion s'engage.

Elliott demande aux autres s'ils connaissent l'histoire du mage des rêves et du pendentif. Tous, excepté Pierre, sont étonnés qu'Elliott connaisse cette histoire. Sam le plus intrigué se lève.

- Comment connais-tu cette histoire ? Car peu de personne en ont entendu parler.

Elliott ne sait quoi répondre, il a sur Sam un regard inexpressif.

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Membre, Davs <3 , 30ans Posté(e)
Cyphilis Membre 2 595 messages
30ans‚ Davs <3 ,
Posté(e)

Benh trop de description en masse , pas mal de phrases inutile "Le soir c'est le repas le moins important donc pas la peine de trop. " et puis après mais ça c'est une affaire de goût mais je n'aime pas en général (sauf à exception) quand le narrateur est extérieur à l'histoire et qu'il est omniscient .

Sinon le sujet m'intéresse :blush:

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Membre, Posté(e)
winrie Membre 60 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oui c'est vrai c'est bien et tout comme je l'ai précisé précédemment mais franchement franchement j'aurai écrit ça plus comme ça au lieu de:

"Un jeune homme marche le long d'un mur ancien qui commence à s'effriter. Il avance d'un pas rapide et conquérant. Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été.

Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith. Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne. Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière."

Ma version:

"Le soleil brille à son zénith, il fait un temps radieux qui redonnerai de la vie à un cadavre. Le long d'un vieux mur effrité par le temps, un jeune homme à la chevelure couleur de blé marche d'un pas conquérant arborant un pantalon en lin blanc et une chemise à manches courtes à pois, trouvée sur les derniers étalages des boutiques en vogues cet été. Ses yeux bleu splendides ne font qu'accentuer la jolie petite allure que lui donne sa barbichette. Une fois devant arrivé devant le numéro 34 ( quoique je n'aime pas trop cette expression, numéro 34... :s ) il sonne et reste planté là comme un malheureux promenant son regard sur l'édifice en pierre, attendant que l'on vienne lui ouvrir. La porte blanche mêlée à cet matière rocheuse quelque peu campagnarde donne un air vieillot à la maison, vite rattrapé par le grand jardin qui entoure les deux étages de l'habitation."

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Membre, 34ans Posté(e)
IdiotDuVillage Membre 246 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Je vais décortiquer morceaux par morceaux si tu n'y vois pas d'inconvénients.

Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été.

Tu t'emmerde trop avec des détails. Prend Lovecraft par exemple, il décrit pas les protagonistes plus que ça. En fait, et ça c'est un avis vraiment personnel, mais les passages de description physiques je les survole. A moins que tu décrive des détails très importants pour comprendre la suite de l'histoire (comme dans un roman policier par exemple), et bien les vêtements que portent le protagoniste tout le monde s'en moque, sans vouloir te blesser.

Imagine que tu fasse intervenir plusieurs protagonistes en même temps, tu vas tous les décrire un à un ? Alors oui ça fait de la quantité niveau mot, mais on s'ennuit.

Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith.

T'introduis l'environnement mais c'est insuffisant, autant les fringues du bonhomme on s'en fou, autant décrire l'environnement dans lequel il évolue permet de plonger le lecteur dans l'ambiance de ton texte. Si tu veux écrire quelque chose de sombre (par exemple), c'est en décrivant l'environnement que le lecteur va piger.

Dans ta tête c'est très clair, tu connais l'ambiance qu'il règne au fil de ton récit, mais le lecteur est un c*n et partant de ce constat, il faut lui faire comprendre ce que tu veux lui communiquer.

Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne.

Ca me fait penser à un reportage télé.

"Cette route, X la connait bien. Le 20 du mois de Mars de l'année 1996, il va chercher le pain. Une voiture arrive un peu vite, le conducteur a picolé. X se fait renverser, il se réveille aux urgences, paraplégique.

Il faudrait un peu plus de fantaisie, de vie.

Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière.

La description est suffisante, ce qu'il manque c'est le style je dirais. J'ai l'impression que tu n'utilise que les mots que tu connais déjà, utilise les synonymes. Au final c'est la même chose, mais tu verras que l'effet n'est pas le même.

En entrant on se croirait en Afrique, il y a des objets africains partout

A la limite enlève la prmière partie de la phrase, c'est trop répetitif. Le reste de la description, disons que ça va.

Elliott est toujours étonné par le don de Pierre, chaque soir il rêve qu'il a des pouvoirs comme lui.

Là le mot "pouvoir" est vraiment exagéré, à ce stade je ne sais pas encore de quoi il est capable ton coureur olympique mais faudrait en dire plus à son sujet, dire en quoi il est si exeptionnel.

tellement c'est pourri par l'humidité.

La phrase est male tournée, là tu écris comme les gens parlent tous les jours.

- Sais-tu ou est l'autre partie du pendentif ?

Pierre fait un signe de la tête pour dire non, de plus il l'a trouvé dans une grotte, au cours d'une expédition archéologique avec ses amis. Les chances de retrouver l'autre partie sont infimes. Après il a eu l'idée de le mettre dans une boîte plutôt que de le porter au cou. Pourquoi ? Dieu seul le sait.

Là ça serait bien d'accentuer le côté mystérieux

Pour expliquer l'origine de l'objet, Pierre est entré dans un délire total en parlant d'un mage dans les temps anciens, qui possédait un pendentif avec un éclair comme signe. Après l'avoir accroché à son cou il mourut subitement, c'est ce que dit la légende.

Là ça fait gros quand même. Elle vient d'où cette légende ? Qui la colporte ? Et puis attaquer avec cette histoire aussi directement ... je sais pas mais je dirais que ça le fait pas :blush:

Elliott s'interroge :

- Y-a-t-il une différence entre le mythe et la réalité ? mais quels pouvoirs a donc ce pendentif ?

- Je ne sais pas mais je sais qu'il y a des personnes comme moi qui ont des pouvoirs. Je les sens comme si on était tous connectés par quelque chose. Mais quoi ?

Je sais qu'il y a des personne comme moi partout dans le monde je ne sais pas qui et ou précisément mais je le sais. Je les sens comme si on était tous connectés par quelque chose. Mais quoi ?

Oui mais c'est quoi ses pouvoirs au juste ? Ce qui serait bien aussi c'est d'en dire un peu plus sur la rencontre de ces deux là car s'il est au courant du secret de son pote c'est que c'est pas n'importe quel pecno non plus.

Après tant de réflexion Elliott veut rentrer chez lui, sa mère l'attend. Les deux amis se disent à plus tard, et Elliott repart.

C'est tout ? Ils sont venus voir un vieux pendentif et c'est marre ?

A peine a-t-il le franchi le seuil que madame curts le prend dans ses bras. Elle est de taille moyenne, ni grosse ni maigre et elle à un regard inexpressif avec des yeux marrons, gris cela dépend des jours. Son caractère est très posé, calme, se sont des qualités dont son fils a hérité. Elle aime vivre, bouger ce qui est l'inverse de son mari qui lui n'aime pas voyager, en ayant malgré tout le sens des affaires. Physiquement Il est comme son fils. Sans cheveux, il a une barbe aussi longue que celle du père noël. Comme prévu Elliott aide sa mère pour faire le ménage, sa chambre qui peu à peu ressemble a une porcherie, le salon qui heureusement est petit, mais très clair il y a des fenêtres partout.

Là l'ennui c'est encore la longueur des descriptions je dirais. Tu aurais meilleur temps de faire vite fait le tour du propriétaire et de décrire les sentiments du protagoniste au jour le jour lorsqu'il arpente son logis.

Elliott monte directement dans sa chambre pour téléphoner à ses amis, pour savoir si leurs vacances se passent bien. Le premier est Franck, un ancien camarade de classe avec qui il a beaucoup sympathisé. Ils parlent de la Pluie et du beau temps, il demande si la famille va bien. Après vient le tour de Sam, un ancien camarade de classe. Mais Sam ne répond pas Elliott laisse donc un message en espérant qu'il le rappelle. Il compose le numéro de Morgane la petite amie de Sam, qui elle non plus ne répond pas. Encore un message. Il a appelé toute sa bande et maintenant il est l'heure de manger.

Ok donc en fait il appelle ses potes ? En fait je t'exploque vite fait. Si c'est pas important (que ce soit maintenant ou plus tard), c'est pas vraiment la peine de le mentionner en fait. Tu peux y faire une rapide allusion, rien ne t'en empêche.

Le soir c'est le repas le moins important donc pas la peine de trop.

Je crois que quelqu'un l'a mentionné avant moi mais je crois que la phrase ne sert pas à grand chose.

Ensuite monsieur Curts va regarder les information sur son écran plasma 20 pouces. Pendant ce temps, Elliott range la table puis il remonte dans sa chambre pour se détendre. Il va chercher l'histoire du mage avec son pendentif sur internet, car cela l'intrigue. Il allume son ordinateur, se connecte et lance la recherche.

- le mage des rêves, le voilà, c'est lui !

S'exclame Elliott, et il clique sur l'article :

Le mage des rêves : Balthazar.

C'est un mage qui a le pouvoir de ce téléporter physiquement, il peut naviguer entre le monde réel et le monde des rêves. De plus Balthazar, peut courir en hyper vitesse puis voler, il peut lire dans les pensées des autre ou envoyer des boules d'électricité ou de feux de ses mains. En revanche on sait qu'il est mort à cause d'un pendentif en forme d'éclair, qui est en deux morceaux. Personne ne sait ou sont les deux parties. éa mort reste un mystère absolu, il y a deux théories mais aucune n'est vraisemblable :

-Il est possible qu'un mage maléfique ait ensorcelé le pendentif pour tuer toute personne l'ayant en sa possession.

- il se peut que le pendentif ne réponde qu'à une seule personne, son maître, et que s'il trouve la deuxième partie il se passera quelque chose.

Des dizaines de chercheurs ont tenté de percer ce mystère.

Pour plus d'information contactez-nous merci de votre visite !

Tout devient plus clair, mais Elliott se demande pourquoi pierre ne porte pas le pendentif. Enfin bon ce n'est qu'une histoire !

Ah oui, alors à propos des Curts. Quand t'as dis "madame Curts" il y a quelques lignes, en fait ça saute pas aux yeux que c'est la mère d'Elliott.

Par contre pour ton mage je trouve ça gros. Déjà Balthazar, en fait c'est un roi mage et je si je me souviens bien de mes leçons de catéchisme il n'a pas ce genre de pouvoirs (je précise que je peux me tromper, si t'es sûr de toi c'est ce qui compte) ou alors Balthazar était le roi de Babylone dans l'Ancien Testament. Donc si tu fais reférence à un autre Balthazar faut le signaler.

Par contre ce qui passe pas c'est le fait qu'Elliott trouve tout, d'un coup, sur Internet. En général les protagonistes font de longues recherches (et pas sur Internet, tout simplement car des informations de ce style ne s'y trouvent pas) et arrivent petit à petit à une conclusion effroyable, une révélation qui les glace de peur et ils se mettent à la recherche d'une solution à leurs problèmes (je fais Référence à Le Passeur, de Christopher Golden).

Là ça va beaucoup trop vite, qui plus est c'est quoi la source de tout ça ? Internet ?

Il est vingt heures passé il est temps de dormir. Elliott se lave les dents puis se change et va se coucher.

Oui, donc il va dormir.

Il allume la lumière puis met en marche la cafetière et se prépare des tranches de pain qu'il fait griller. Le pain grillé est enfin prêt, accompagné d'un peu de confiture à l'orange, et d'un café bien fort.

Là ce qui serait bien c'est d'insister sur les saveurs, les odeurs et tout le tremblement.

Après ce petit déjeuner, Elliott va prendre sa douche et s'habiller pour partir en ville. Neuf heures du matin il prend sa voiture pour aller chercher ses fournitures scolaires car c'est bientôt la fin des vacances. Arrivé en ville, Elliott se dirige vers un super marché, il prend des stylos, des cahiers, des feuilles doubles simples, des classeurs et autres.

Là pareil que précédement, il achète ses affaires scolaires, point.

é la caisse, Elliott paye et repart.

Tu te souviens de ce que je t'ai dis au début pourle reportage télé ? C'est pareil là.

Après le bar arrive la scène du repas, là aussi c'est pas vraiment la peine de prendre du temps pour décrire les plats, fais le en survole à la limite. Au lieu de te perdre dans des descriptions interminables qui n'apportent pas grand chose à l'histoire, insiste sur les émotions présentes de tes protagonistes, parce que là à part son style vestimentaire, le nom de ses potes et ses rêves, on sait rien sur Elliott, d'un point de vue psychologique je veux dire. Un personnage attatchant/interessant est un personnage auquel on peut accéder à son esprit, ses pensées.

Le facteur arrive, monsieur Curts va chercher le courrier. Il y a trois lettres, toutes pour madame Curts. Une lettre pour des bons de réductions, une autre pour le paiement de son forfait de téléphone et l'autre pour une pub.

Sans vouloir être blessant on s'en fou :coeur:

A la fin du repas Elliott pose une question sensible :

Les deux parents écoutent attentivement.

- je vais bientôt avoir mes dix-neuf ans et je pense que je pourrais avoir mon appartement.

Il eut un long silence, Elliott regarda ses parents. Après mûre réflexion ils acceptent mais a une condition : toute fois

- Tu dois en prendre soin, sinon tu rentres à la maison !

Ca va beaucoup trop vite ! Le lecteur s'attend à une réaction normale : non. Aucun parent, à moins qu'Elliott fasse parti de la "jeunesse dorée", n'accepterait une telle proposition sans protester, surtout si c'est la première fois qu'il y fait allusion.

Si c'est un élément important pour la suite de l'histoire alors il faut que tu explique d'Elliott en parle à ses parents depuis longtemps, qu'il fait des efforts, qu'ils sont sur le point d'accepter, ce genre de conneries quoi.

Bon pour le cinéma, trop de description, on fait pas visiter les lieux à un promoteur immobilier (pour la salle j'entend).

J'espère sincèrement ne pas t'avoir blessé dans tout ce que j'ai dit, ce n'est pas mon intention.

Tu fais l'effort d'écrire et c'est très bien. Pour le moment il faut que tu termine ton histoire, le premier jet disons.

J'écris moi aussi, et je vais te dire comment je procède. Je commence par écrire l'histoire de A à Z et une fois que c'est finit, je relis pendant quelques jours pour corriger toutes les fautes d'ortographes/de style. Ensuite je laisse moisir tout ça dans un tiroir pendant des mois. Car pendant ce temps j'oublie ce que j'ai écris, je m'ouvre à d'autres domaines de connaissances et le jour où je reprend ce que j'ai écris, là je vois tout ce qui ne va pas, je me rend compte que certaines phrases sont complètement débiles, je réécris des passages entiers, je peux faire tout ça car dans mon subconscient ça a murit et ça s'est affiné. Je recommence cette étape jusqu'à ce que je trouve ça bien, je veux dire vraiment bien.

Bon, moi je ne veux pas me faire éditer, j'écris pour moi et y a pas de raisons que ça change.

Je te conseil de faire pareil, finit d'écrire, pose tout ça dans un coin et ressort y dans quelques mois, là tu verra ce qui ne va pas. Et recommence ce processus jusqu'à ce que tu n'ai plus rien à corriger.

Mais surtout ne te laisse pas abattre. C'est pas parfait ce que t'as écris mais ton pire ennemi c'est toi même, il faut que tu continue car écrire un livre ne se fait pas en une semaines.

Encore une chose, je ne sais pas combien de page tu compte faire (d'ailleurs j'ai pas l'intention de décortiquer tout ton roman comme ça, soit dit au passage) mais t'es pas obligé de faire long. Certains sont doués pour écrire de long romans, et d'autre écrivent des nouvelles. Tu peux écrire des nouvelles sur le même thème et en faire une sorte de recueil.

La longueur importe peu.

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Ophélie.R Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ça avance Charly-Tango malgré les phrases mal-tournée et les "quelques" fautes mais bon, ça c'est faicle à corriger.

Oui, je suis unr romancière de romans Fantastiques, j'ai 14 ans et ça fait 4 ans que j'écris (j'ai 6 romans en ce moment).

Bon, moi aussi je fait des phrases mal-tournées et des fautes. Rien de Dramatique.

Le roman dont je suis le plus fière (ecrit pas ma petite personne) se nomme "Les 3 Vies" je l'u aura deux tomes pour le moment, peut-être même un troisième, on verra. Ah-ah, je n'ai même pas terminé le tome 1 (j'en suis à la troisième et dernière partie, chapitre 4 et déjà à 348 pages) que j'ai déjà commençé le tome 2.

Je vais vous avouer un truc....je suis une vrais sadique, j'adore le sang. D'ailleurs la fin de mon premier tome le prouve et le tome 2 encore plus.

C'est plutôt dans le genre où le vilain monstre à la bouche pleine d'horribles dents (cette bouche-là s'ouvre cinq fois plus que celle des humains et l'ouverture de cette mâchoire se trouve sur les joues, presque au niveau des oreille) et cette créature dévore entièrement ses victimes en laissant seulement les yeux et les dents sur le lieu du massacre

Bon allez, je mets le premier chapitre de lapremière partie du tome 1? Hum...hum...réfléchissons...bon, allez je vous laisse décider.

A bientôt.

Oh oui!Zut! Désolée pour les fautes de frappes (maudit clavier)

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Ophélie.R Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bon, je vais vous faire plaisir, je mets le première chapitre, le prologue de la première partie et je vous laisse.

J'espère que mon ordinateur ne va pas foirer en mettant des fautes dans le textes alors qu'il n'y en a pas.

Parce que je ne suis pas gentille avec la technologie, sauf si elle ne m'enmerde pas ihihih ^^.

Les 3 vies.

Les liens du passé.

Première vie:

Laétia.

Prologue.

Tous mes subterfuges s'étaient révélés inutiles.

-------Normalement, j'aurais dû mourir mais, une personne m'a sauvé à l'instar de ce qu'il faisait déjà pour son clan. Hélas, cela datait d'il y a bien longtemps à présent.

-------Désormais, je m'apprête à dire « oui » à un homme. Accepter de devenir une autre personne. Pas celle que j'étais avant : fragile mais, dure et sauvage.

-------Comment ai-je pu être ce que je suis à cet instant ? Découvrirai-je un jour l'identité de celui qui m'a fait ça ? S'il y a un responsable.

-------Les chances de recouvrir la mémoire et de connaître mon passé, semblaient minces.

-------Derrière mes yeux noirs et leurs iris en feu, mon intense concentration trahissait ma solitude en dépit de ce qui aurait dû être mon trépas.

-------Quelque part au loin, dans les tréfonds de l'immense forêt sous la lune éclatante, une bête hurla. C'était moi.

1.

-------Je n'aurais jamais cru avoir aussi mal !

------J'ouvris enfin les yeux et m'aperçus que je regardais dans un angle déplacé. J'étais

malencontreusement couchée sur le côté et mon bras droit semblait être écrasé sous mon

poids. Pourtant ¿ à part mon mal de crâne - je ne sentais absolument rien.

------Devant moi, la première chose que je vis fut de grands barreaux de fer et des

chaînes d'acier éparpillées au sol. Derrière les barreaux rouillés il y avait des jambes qui

marchaient tranquillement, qui s'arrêtaient pour se tourner dans ma direction ou pour

courir et ensuite disparaître dans la foule. Elles n'appartenaient pas à des femmes en tout

cas et j'en déduisis rapidement qu'il n'y avait pas de femme et que toutes les jambes

appartenaient à des hommes.

Oh merde ! Me voilà dans de beau drap. Dans quoi me suis-je fourrée ?

Je me relevai lorsque des chaînes m'arrêtèrent net, m'empêchant d'aller plus loin et je sus

de suite à qui elles appartenaient.

-------Les chaînes soudées sur des petites boucles d'acier incrustées sur le sol crasseux,

rampaient par terre comme des serpents. Mes chevilles, mes poignets et ma gorge étaient attachés. J'avais bien l'air d'une bête en prison comme ça.

Je grimaçai de douleur en sentant mon mal de tête s'intensifier.

Je tirai sur les chaînes pendant quelques minutes mais, elles refusaient de céder. Je regardai autour de moi et m'aperçus ¿ au dernier moment - des regards. La plupart me fixait sans comprendre et j'en déduisis donc - au bout d'un moment - qu'il valait mieux leur poser mes questions tout de suite avant qu'ils ne partent

- Hé oh ! Quelqu'un pourrait m'aider ? Où suis-je ?

Ils me regardaient fixement mais, ne répondaient pas.

Leurs yeux sombres m'étudiaient attentivement comme si j'étais intéressante. Ce qui était

totalement faux.

Je m'approchai d'eux tant que la longueur des chaînes me le permettait et agrippai les barreaux de ma prison.

- Pouvez-vous m'aider s'il vous plait ? Demandai-je avant de tirer un bon coup sur l'une des

chaînes qui attachaient ma cheville.

Les trois hommes me regardèrent puis partirent sans me répondre.

Bon dieu ! Les enfoirés ! Grognai-je intérieurement.

Soudain, un ronflement bruyant semblable à celui d'un moteur se fit entendre. Je tournai

rapidement la tête et m'aperçus avec ironie que ce n'était pas un moteur mais, un gars qui

dormait comme un bébé dans la cage à côté. Je ne lui prêtai pas plus d'une seconde de mon

attention et regardai à travers les barreaux, en dehors de ma cage. Non. Rectification : des

cages.

Les parois caverneuses où les hommes passaient, ressemblaient à ceux d'une grotte

souterraine dans certains coins mais, cela avait tout de même l'air d'être une immense maison, vu la grandeur et le nombre de couloirs.

Est-ce vraiment ça ? Où suis-je alors ? Et puis, comment suis-je arrivée ici ? Me demandai

je intérieurement.

J'avais l'impression d'être faible, le cerveau vidé et fatigué à cause d'une horrible insomnie

ou d'une amnésie partielle. Quelque chose dans le genre. je ne savais pas.

-------Ai-je perdu ma mémoire ou est-ce seulement une impression ?

Hantée par des pensées incompréhensibles, je pris les chaînes entre mes mains et tirai de toutes mes forces en sachant très bien qu'elles ne se briseraient pas. é quoi bon essayer ? Moi-même je me posai la question et me répondis : seulement parce que mon instinct me disait d'essayer.

Les passants masculins s'arrêtèrent pour me scruter avec insistance. Derrière la foule, en

plissant les yeux, j'aperçus un autre homme - plus jeune - adossé contre un mur, à m'épiait sans cesse. Ses yeux d'un ocre vert, ses dents visibles et menaçantes par sa bouche légèrement ouverte lui donnaient un air purement séduisant. Où étais-je ?

Je le scrutai plus attentivement et écarquillai les yeux.

Est-ce une blague ou j'ai vraiment vu des dents pareilles à celles d'un animal ? Pensai-je

avec étonnement.

Pourquoi me regardait-il ainsi ? Comme si j'étais¿ comme si j'étais quelque chose d'important.

Ah-ah, à croire que j'étais le centre du monde... Et bah non !

Le garçon avait beau s'être aperçu que je le regardais mais cependant, il continuait. J'oserais avouer qu'il était bien le seul à me regarder - je n'en étais pas sûre - normalement.

Il haussa un sourcil lorsqu'une voix s'éleva. J'arquai le mien en essayant de me détourner de ses yeux verts. Il m'était pourtant difficile de détacher mon regard de ce garçon, je ne voulais pas le quitter des yeux.

- Jacob ! Bordel Jacob ! Arrête de disparaître comme ça, où je t'arrache les jambes !

Le jeune homme tourna sa tête en même que moi vers quelqu'un que ¿ malheureusement ¿ je ne pu voir à cause de la foule qui s'agrandissait au fur et à mesure mais, cela ne m'empêche pas de prêter attention à leurs paroles.

- Que fais-tu ici ?

- Oh rien, je regarde la jeune femme que Jerry et Phil ont amenée il y a deux jours, répondit le jeune homme d'une voix envoûtante. Elle a l'air de ne pas comprendre pourquoi elle est ici. L'ont-ils frappée ?

- Oh oui ! Si tu avais vu la force qu'elle déploie quand elle est en colère, Wouah ! C'est¿

impressionnant !

- Quand Pélori viendra-t-il pour qu'on lui fasse des essais ?

Il avait l'air très curieux. Les passants me barrèrent soudainement la vue.

Je maudis leur venue et partis gronder dans mon coin.

- Normalement, demain ou ce soir. Mais seulement lorsqu'il aura fini à temps son travail. Alors, comment la trouves-tu ?

Bonne question ! Pensai-je.

- Sa beauté me frappe, répondit-il.

La foule se décomposa et je pu voir celui qui devait se nommer Jacob. Je continuai à tirer sur les chaînes sans beaucoup de conviction sur la chance que j'aurais de les briser.

Où est Merlin quand on a besoin de lui.

Au bout d'un instant je finis par m'arrêter.

- Elle ne peut pas briser les chaînes, les liquides que nous lui avions administrés l'ont affaibli à un tel point qu'elle doit se sentir comme une humaine, murmura le voisin de Jacob.

Il était plus grand que lui, peut être un peu moins musclé mais, tout aussi séduisant. Ses courts cheveux blonds lui donnaient un air de gros dur mais ses traits trahissaient cette dureté qu'il essayait de garder.

Il m'a l'air plutôt sympa ce mec.

- Elle en a l'air pourtant, fit remarquer Jacob au bout de quelques minutes.

- Oui, tu as raison. Mais...attends de voir quand les effets des liquide se seront estompés et là tu verras ce dont elle est vraiment capable, un vrai démon !

Soudainement, l'homme s'en alla d'une façon si rapide que j'eus du mal à savoir par quel moyen il s'était évaporé.

Jacob m'adressa un nouveau regard, plus perçant cette fois. Il le plongea dans le mien lorsque j'eus relevé la tête.

Après quelques instants, il s'en alla en prenant une entrée dans la foule de gauche où il s'y

enfonça jusqu'à disparaître. Pour ma part, j'avais du mal à réalisé qu'il venait de me regarder avec des yeux d'une telle¿ sensualité, il me fallut plusieurs minutes pour me remettre à tirer sur les chaînes, et à gronder contre les passants qui m'approchaient d'un peu trop près.

Mon cerveau dans un état de contrôle pourtant absolu fut déstabilisé dans un souvenir et

captivé par les dernières paroles de l'homme qui était avec ce¿Jacob.

------Les ronflements de mon voisin de cage cessèrent enfin lorsqu'ils furent remplacés

par un grondement féroce et affreusement ronchon.

- Hé ! Fermez vos gueules, Bon sang ! Y'a des gens qui dorment ici !

Je me tournai vers lui. Il s'adressait à la foule qui acclamait ma présence. L'homme se tourna brusquement vers moi après que l'un des passants lui ait dit qu'il y avait une nouvelle venue et, m'adressa un sourire amical auquel je ne répondis pas.

- Bienvenue mademoiselle ! Déclara-t-il.

Je ne comprenais pas pourquoi il me souhaitait la bienvenue. Pourquoi serait-ce quelque chose de bien d'être ici ? Dans une cage où les hommes gueulent et poussent des acclamations dont on ne comprend pas le sens tellement ils vont vite.

Son sourire se décomposa et il vint s'agripper aux barreaux.

- Approche jeune fille, murmura-t-il avec des intonations rassurantes comme s'il comprenait

mon manque de confiance.

Je regardai autour de moi comme pour trouver un regard qui me dirait « tu peux y aller¿ » Mais rien. Sans mot dire, hésitante, je m'approchai de lui à quatre pattes en ajustant les chaînes pour me permettre d'aller à sa rencontre. Dès que cela fut fait, l'une de ses mains passa entre les barreaux et caressa tendrement ma joue. J'appuyai ma tête contre sa paume et me mis à ronronner. Ma réaction était complètement insensée ! Pourquoi ronronnai-je ?

- Tu as l'air de ne pas comprendre ce qui t'arrive, devina-t-il en me regardant.

Une autre voix s'éleva derrière moi malgré le vacarme des passants.

- Bien sûr qu'elle ne comprend pas ! Elle s'est prise de sacrés coups sur la caboche. Regarde

derrière sa tête et tu verras les dégâts !

Je me tournai violemment vers lui. Il était plutôt costaud. D'après son apparence : des rides sur le visage et l'air un peu trop ronchon, je dirais qu'il avait entre soixante et soixante-dix ans. Cependant, il ne faisait pas exactement son âge.

Les personnes qui vieillissent ont tendance à être souvent de très mauvaise humeur.

Je m'étais repérée grâce à ça et à ses yeux dont les pommettes étaient creusées.

Celui qui me caressait la joue était plus jeune : dans la trentaine d'année tout au plus. Un beau regard de braise et des yeux d'un orange vif, où des mèches brunes tombées devant. Pourquoi ses yeux était-ils orange d'ailleurs ?

Je me tournai à nouveau vers lui et il me fit signe de me retourner afin qu'il puisse vérifier si ce que le vieux avait dit été vrai. Je le regardai avec méfiance mais, obéis sans ronchonner.

é peine étais-je retournée qu'il me tripotait déjà les cheveux puis les relevait d'une main. Ce ne fut qu'au bout d'une dizaine de minutes, qu'il relâcha ma tignasse afin que je puisse me mettre de nouveau face à lui.

- C'est vrai qu'ils ne t'ont pas loupée, tu as plein de sang. (Il eut une pause pour prêter - durant une seconde - attention au ronchonnement de l'homme derrière moi) Tu as mal ?

Je fis que non. Mes seules douleurs étaient les courbatures. D'ailleurs, j'avais remarqué une

étrange sensation dans mon bras droit. Elle n'était pas douloureuse, ni apaisante mais c'était étrange. Je le mis face à moi et l'étudiai attentivement.

L'épiderme de mon avant-bras semblait être d'une autre couleur, on aurait dit du gris

virant légèrement au noir. L'homme écarquilla les yeux.

- Il faut soigner ça ! Billy !

Je ne comprenais pas le problème.

- Quoi ? Demanda le vieux en poussant un long grognement.

- Toi qui es du bon côté de ces putains de cages, demande un médecin pour soigner cette jeune fille, il y a un problème avec son bras !

Si c'était si grave, pourquoi je n'avais pas mal ?

- D'accord Jeff. Hé ! Hé ! Il y a un problème avec la jeune femme là ! Bougez votre cul et

venez ! Ouais! Vous là! Gr....

Je ne prêtai plus attention à ce que disait Billy et regardai Jeff. Il me souriait gentiment en

tenant ma main entre les siennes pour essayer de trouver la douleur qui aurait dû être présente mais, je ne sentais absolument rien. Soudain, il tourna brusquement la tête, je suivis son mouvement et vis deux hommes vêtus d'une cape noire s'approchant de ma cage d'une démarche inquiétante. La foule se retirait pour les laisser passer.

Je n'étais pas du tout rassurée en regardant ça. Je paniquais plutôt.

Quelque chose apparut subitement devant mes yeux. Des scènes et des images puis des

flashs. Du moins, ça y ressemblait.

--------« Deux hommes montaient sur le toit où une personne, mi-humaine, mi-démon les

regardait, immobile comme une statue. Lorsque les deux hommes furent montés, la

créature rompit son immobilité et leva la tête. Elle souriait de toutes ses dents démesurées

et tranchantes.

La scène se propulsa dans tous les angles jusqu'à que la créature parle et émit un cri

strident, suivi d'une voix loin d'être humaine, partagée entre le rugissement d'un animal et

la voix sanglante d'un démon assoiffé de sang - avant de sauter pour attaquer de sa

puissante mâchoire. "

---------Je secouai la tête pour reprendre mes esprits, mais malheureusement, l'image de

la créature restait figée dans ma mémoire.

Comment¿.était-ce possible ? Pensai-je en hochant lentement le menton.

Un grincement se fit entendre derrière moi, je regardai Jeff avec des yeux suppliants. Je refusais d'aller avec eux.

J'entendis derechef le grincement d'une porte puis deux sortes de rythmes cardiaque dans mon dos.

Soudain, je sentis une main me frôler et je tournai subitement la tête pour la regarder me

retirer de l'emprise des chaînes avant qu'une seconde main ne se pose sur mon épaule. Elle me serrait si fort que je crus qu'elle voulait me briser la clavicule. J'étouffai un cri de douleur lorsqu'elle m'obligea à me mettre debout. Les traits de Jeff se transformèrent. Il gronda.

- Jerry, je te préviens, tu as intérêt à ne lui faire aucun mal !

- Sinon quoi Jeff ? Hein ? Tu ne peux pas sortir de cette cage pour l'instant, dit le gardien d'un air de défi.

Jeff eut un rictus en retroussant sa lèvre supérieure. Les dents qu'il montrait étaient loin d'être normales. Je fus effrayée sur ce coup-là.

- Mais je sortirai un jour, ne te fais pas de souci pour ça, rétorqua-t-il froidement.

Le garde et son ami se mirent à rire. Ce...Jerry me bouscula brusquement vers la sortie. Son collègue prit mes cheveux en main et m'obligea à avancer le plus vite possible puis il me poussa jusqu'à que je tombe à genoux au milieu de la foule. Jerry me remit debout en tirant sur mon bras anormalement grisâtre. Je grondai de douleur et il me poussa à nouveau. Je serrai mon bras contre ma poitrine et faillis m'écrouler de nouveau en avant.

Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Me demandai-je alors que mon cerveau me dictait

de mordre.

Ce qui me surprit mais, ce que je ne fis pas.

Je grondai plus fort mais il me gifla, puis il prit de nouveau ma tignasse en main et tira

violemment. Jerry me jeta contre l'unes des parois d'uns des murs du couloir sombre.

Il pouvait bien me tuer comme ça ! L'enfoiré !

La chute me valut une large égratignure à la joue avant que je ne tombe sur mon bras.

Beaucoup de discussions cessèrent autour de nous et les passants regardaient le comportement des gardes envers moi, mais ils ne firent rien comme si c'était une routine habituelle. Son collègue me prit par les cheveux et me fit entrer dans un autre couloir, vide. Si je pouvais, j'aurais tellement voulu leur foutre un de ces coups de poing¿

- Bande d'enfoirés ! Grondai-je.

Jerry ouvrit une porte de bois avant de me gifler jusqu'à que je ne m'écroule encore une fois. Je soupirai un grand coup mais restai au sol. Je sentis son pied tapoter mes côtes puis une main me relever en tordant mon bras. Je me mis à gronder et finis par montrer des dents comme un animal.

Mes jambes battirent l'air lorsqu'il s'empara de ma gorge.

- Jerry, Phil calmez vous ! Laissez-là donc un peu tranquille !

Je détournai les yeux des mauvais gardiens pour aviser celui qui avait parlé. Un grand homme aux courts cheveux rouges vêtu d'une cape traînante ouverte sur son torse nu. Son corps élancé se tourna vers un autre homme puis de nouveau vers moi. Ses yeux émeraude me regardèrent avec compassion.

Comme si j'avais besoin de ça !

Jerry me laissa lourdement tomber au sol. Et c'est là que je fus submergée par la véritable

douleur de mon bras et faillis hurler.

Je relevai la tête après avoir empêché mon cri de résonner et jetai un coup d'¿il aux occupants de la grande pièce.

Ils me regardaient tous d'une étrange façon.

Modifié par Ophélie.R
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Ophélie.R Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

tu aimes?

Et bien, je ne mettrais pas la suite, du moins, pas sur internet.

Pour ceux qui veulent me lire, il peuvent m'envoyer un petit message privée. Je suis du genre à donner mon adresse msn où à faire lire quelques chapitre de mon roman par messagerie privée pour ceux qui veulent me lire mais, surtout pas sur internet.

A bientôt.

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