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l'homo Synatien's

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windust

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Que dit l'homo synaptien sur sa création à partir de notre tranche de vie d'homo Sapien.

L'homme est sa phase de gestatation ! Suite à des mutations

Toutes les vies organiques subissent des mutations ! Lentement mais sûrement de nouvelles branches divergent depuis la nuit des temps.

L'homme et la femme en subiront d'autres ! Disparaitront- t'ils au profit d'une autre ? Ou la branche qui les porte aura ou a t'elle déjà un rejeton de plus, comme notre forme de vie électro organique ?

Certains prétentieux pensent qu'ils sont les mieux du mieux de par leur dieu ! D'autres qu'ils ne peuvent se réincarner que dans un corps identique omnipotent et omniprésent ! Plus beau que beau, même s'il est fragile et plein d'imperfections, d'instinct animal, de flotte, de pipi et de caca et qu'il n'est pas foutue d'aller avec ça bien loin dans l'univers ou de résister à un monde et une nature chaotique.

Bref ! L'homo synaptien (au moins lui modeste) ne prétend rien de plus que de continuer l'aventure que dame nature par son gigantisme, le chaos et la puissance des énergies qui en découle fait qu'elle ne peut s'arrêter en si bon chemin en confiant à des êtres si fragiles sont destin.

l'homo synaptien : Un petit pas dans l'évolution, mais un grand pas pour l'humain.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Amour et solitude

Une vie de mort ! Sans des vivants, ne serait que solitude.

Qu'elle soit le résultat de nos turpitudes d'un passé obscur,

Une gangrène qui se sème ! Sur les voies de la haine.

Si l'aventure humaine est malsaine, la suite n'est que peine.

L'anathème c'est de la voir lumineuse, dans le reflet d'un miroir obscur.

L'écriture à travers le verre est notre lecture sur votre avenir réel.

Pure ou Impure sera la vie après la mort sans la texture du corps.

Il vous faudra beaucoup d'effort, pour voir que vous avez eût tord !

Et bien des regrets d'avoir douté : Que la mort est amour ou solitude

Au passage deux clés ! Mais il ne peut en rester qu'une :

Celle de son passé ! Afin que la force se soit accumulée.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Les mauvais Esprits : Qui sont-ils

Le plus dangereux : L' Effaceur

Qu'est ce qu'un effaceur ? Un rejeté spécialiste de désordres mentaux. Celui qui efface les compagnons de vie retardateurs de psychoses, de schizophrénies et de mythomanies.

Un esprit mort qui habite un esprit vivant pour gommer la réalité des faits afin de les réécrire ou d'altérer les équilibres de ses jugements. Un technicien spécialisé pour triturer l'histoire, la réinventer ou de la réviser, comme un virus sournois introduit dans son hôte. Au point qu'il croit dur comme fer être sain et souvent porteur d'une mission divine.

Les homo-synaptiens les combattent depuis la nuit des temps, ils restent encore aujourd'hui leurs plus difficiles adversaires, les plus durs à détruire.

Ils choisissent les esprits fragiles et hyper sensibles, les plus influenssables spécialement dans le domaine des arts ou du spectacle, qui jouent des personnages avec tellement de passion ou de fusion qu'ils doivent incarner à l'écran ou sur la scène. Ceux qui font des transferts de personnalité en jouant des rôles dégradants ou trés déstabilisants. Ils s'introduisent dans les fissures créés par les addictions, dans les ouvertures béantes des accidentés, des torturés, des solitudes de la vie !

Ils ouvrent sans le savoir des portes d'accès normalement verrouillées à ces dégénérés. Avec parfois comme accélérateur certaines substances hallucinatoires tendances, faisant office de catalyseur pour transformer les codes de sa personnalité.

Une fois installé dans ces êtres avec une sensibilité à fleur de peau, il est quasiment impossible de les en débarrasser, puisqu'il verrouille la porte de l'intérieur avec de nouveau code.

Seul une intervention des blobs (Esprit en groupe) en grand nombre, peut sauver le porteur à condition que l'hôte le désire suffisamment ou qu'un être qui lui est resté fidèle dans l'au-delà en face son combat avec quelque compagnon fidèle ou des esprits individuels suffisament chargé en positivité. Les Sages.

Négativement contaminé dans sa vie physique, il ne reste pas grand monde autour de l'infecté par ce parasite. Il s'est arrangé de tout faire disparaître de l'amour qu'il a pour ses proches, y compris particulièrement le plus fort et donc le plus dangereux pour lui : Celui de sa famille.

Que de souffrance tout autour sur l'amour ! Avec un vautour pour toujours dans son parcours.

Ils se reconnaîtront au passage les infectés, que la force soit avec eux et avec leurs proches pour le chasser. .

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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L'EFFACEUR :

Le mieux, nous semblent-ils ! Est de vous citer quelques exemples des dangers aux quels nous sommes exposés, en te relatant des histoires avérées et passées. « Le fait de divulguer, tu as pu le constater, n'est pas sans danger sur notre positivité ». Les exclus non plus, ne nous facilitent pas la tache. Le résultat lui : Est aléatoire dans le temps.

Il était une fois, un dangereux personnage perturbé par un dédoublement de personnalité, relatif à une malformation congénitale sévère. Un défaut au niveau de ce fameux substrat directionnel. Un fluide légèrement instable périodiquement, suivant des variations astrologique ou magnétique terrestre. Instabilité que vous pouvez vous-même mesurer. A un plus faible degré, si vous êtes équilibré et en bonne santé. Saute d'humeur, un peut plus morose un jour, un peu plus optimiste ou pessimiste un autre jour. Ce fluide est sensible à son environnement. Le soleil, les couleurs perçues, la pluie le froid, l'attraction lunaire, la pression de l'atmosphère, le magnétisme terrestre, ainsi que des facteurs éducationnels. Tous ces paramètres agissent sur sa fluidité ou sa cohérence. Plus ou moins fortement suivant l'individu. Pour des raisons génétiques, il est plus stable chez certains, que chez d'autres. Nous avons à faire à ce que : Nous appelons des traits de caractère ou d'humeur. Cette instabilité peu malheureusement, dans le cas de super sensibilité devenir incohérente. De plus si elle ait stimulée par un exclu. Les signaux désordonnés et des aiguillages perturbés, fournissent des informations déplacées ou décalées.

Quand le flux est déjà aléatoire ou chaotique, nos interventions le sont aussi. Nous devenons responsables de l'acte par contre, en rapport à la déviation engendrée dans cette instabilité. Si les conséquences sont imprévisibles, notre action l'est aussi. Le résultat, les effets apportent une sanction dans notre nature, par une création ou une perte d'énergie. Il y a le détonateur et l'explosion, c'est toujours celui qui appui sur le bouton qui est responsable des destructions. Beaucoup trop dangereux, pour tous.

Le pire c'est quand il n'y a pas de préméditation, donc d'anticipation possible. Un jour cet agriculteur, pour une histoire banale de dispute de voisinage : Au sujet d'un chemin de servitude, donnant accès à des champs cultivés par les deux parties. Vieille histoire de famille discutée et discutable, ayant laissé chez ce cultivateur des ranc¿urs et des aigreurs, que le temps et les générations : Ont continuées de cultiver, au point de devenir une obsession, chez lui. Le voisin non informé du défaut de fabrication, même s'il le soupçonnait un peu. Personne, d'un caractère bien trempé et d'une force physique supérieure, il s'arrangeait par pure fantaisie, de mettre un peu d'huile sur le feu. Tracteur en travers du chemin, élagage contre versé de l'allée, débordement du sillon de charrue. Le fait est, que la situation s'envenimait.

Les poulets tués sur le dos du renard, le chat qui disparaissait et les barbelés dans le fourrage des vaches, n'ont pas fait office d'alarme, de signal d'alerte précurseur, pour ce nouveau voisin, juste installé en famille 2 ans au paravent. Ce père de 5 enfants, trois garçons un peu turbulents, de respectivement 19 ans 17 ans et 11 ans. Une jeune et jolie fille de 15 ans et la petite dernière de 5ans. Une sympathique famille, qui pour s'agrandir c'était implanté, dans une autre région que la leur sur une propriété héritée. Un peu plus grande que l'ancienne, un peu plus au sud. Un petit village a proximité, au pied de collines vallonnées. Tout semblait pour le mieux, après une période très tourmentée, relative à la seconde guerre mondiale.

La jeune adolescente, en ce beau mois de mai fut influencée par son grand père décédé, quelques années passées. Ils aimaient « squatter » sa petite fille de temps en temps, afin d'aller cueillir lors de belle matinée de printemps, quelques cerises d'un arbre, qu'il avait lui-même planté dans son champ, tout au bout du petit vallon. La jeune fille d'un air décidé et très motivée, dans la fraîcheur printanière et la rosée du matin, s'en est allez par le fameux chemin si contesté. Les cerises sont bien meilleures fraîches, que dans la journée sur les premières chaleurs, lui avait t'il dit par le passé. A la nuit tombée aussi, mais le cerisier était un peu éloigné pour si aventurer. Pas de quoi s'inquiété par une si belle journée. Les dés étaient jetés.

Au détour d'une petite courbe, sous la voûte ombragée du petit bois, elle tomba nez à nez avec sa destiné. Le voisin ce jour là avait décidé, de faire quelques fagots avec les branches, que père de la gamine en face de lui maintenant, avait sans ménagement élagués, pour ne pas rayer son tout nouveau tracteur. Très remonté sa hachette frappait les branches, avec rage et maintes quolibets à l'encontre de son voisin, pour les dégâts causés, sur ce qu'il estimait être son bien.

Surprise par cette rencontre inopinée, un petit n¿ud au creux du ventre, au lieu de s'en retourner, une pensée la poussa à aller de l'avant, vis-à-vis de ce qui pourrait faire penser

à une reculade de frayeur. Dans un chemin boisée difficile de se dissimulé, sans ce détourner au regard de l'autre.

Un temps d'arrêt, comme une biche surprise au milieu du chemin, qu'elle traverse en sortant du bois. Une pause de mutuelle observation, entre le chasseur à son poste ou le discret chercheur de champignons. Aussi surpris qu'elle de cette rencontre fortuite. Les jambes se sont dénouées et le pas c'est accéléré, bien décidé à ne pas s'attarder. Le bonjour fut bref et à peine prononcé, d'un souffle inaudible et effrayé, car elle était informée des querelles de famille, avec ce voisin taciturne et peu sympathique. Celui qui fut soupçonné d'être le tueur de son chat, par le cercle familial. Celui qui l'avait tant fait pleurer, sur son compagnon préféré. Il avait disparue sans laissez de trace. Comme tous les chats la nuit tombée, il aimait partir en maraude. Un jour il n'est jamais rentré.

Elle avait à peine dépassé l'individu en question, qu'elle sentie son corps se retourner, sous l'effet d'une traction violente de son avant bras, vers l'arrière. « Salope, tu te crois futée, comme ton connards de père de ne pas dire bonjour » sont les derniers mots, qu'elle entendit de sa courte vie. Une douleur violente au niveau de la tempe gauche et le trou noir.

L'homme s'affaira et la pénétra violemment, devant derrière pour la souiller, il s'affala rapidement sur le petit corps maltraité, habité par le grand père horrifié. La tête de l'agresseur était si prête, qu'il se transféra dedans, par pure envie de destruction. Il pénétra le fluide de liaison et recula devant autant d'horreurs accumulées. Une peur indescriptible le traversa, lui arrachant un cri exacerbé. «Enfoiré ! Tu vas me la tuer ». Il avait déjà perpétré l'ignominie, cela de nombreuse fois par le passé. 8 à 10 fois, le grand père n'avait plus compté. Rien que la haine et les pensées qu'il venait d'exprimés, le pénalisé dans sa cohésion de structure, il devait absolument retrouver sa sérénité. Il n'y a rejet que d'une négativité extérieure, la sienne est compatible et peut créer une inversion de polarité.

Dans l'esprit soulagé du tortionnaire, un certain calme était retrouvé, en réaction à l'acte achevé et à la production par le cerveau, de certaines hormones prévues à cet effet. La phrase fut si forte, que le mot « la tuer » a cheminé, ouvrant les verrous d'une trop longue expérience. Une tempête d'ordres contre versés, éclata dans toutes les directions, avec des excitations désordonnées, incontrôlables dans cet esprit malade.

La main se déplaça vers la hachette et une avalanche de coups fut donnée, jusqu'à ce que la tête fût éclatée et défigurée, sur une phrase répétée comme par un disque rayé. « Taille ! Taille ! Cette salope de futée ».

L'homme connaissait parfaitement sa propriété, il y était né. A part les renards et encore, comme pour les autres jamais personne ne la retrouverait. La renardière se trouvée dans le flanc, d'un bois de chênes rabougris, bordé par le petit chemin. Au milieu de genièvres, d'aubépines et de ronces. Seul un couloir fait par les sangliers et les chevreuils, permettaient d'y accéder sans trop s'égratigner. Le garde de chasse communal si aventurait parfois, pour gazer l'animal dans son terrier. A causes de nombreuses sorties, pour plus d'efficacité certaines avaient été bouchées à l'aide : D'énormes bouts de rocher disponibles au environ. Il en déplaça un, large et plat sur un petit tertre, en le faisant riper. Une petite cavité apparue, juste de quoi laisser passer un individu de faible corpulence.

Il glissa le petit corps meurtrie et transportée péniblement à dos d'homme, dans l'orifice. Le laissa tombé 1,50 m plus bas, dans la petite grotte sous ses pieds. Trou qu'il connaissait bien, pour si être souvent caché petit. A six pas sur la droite la terre avait décidée : D'ouvrir ses entrailles sur un gouffre sans fond, typique à la région et ses plateaux calcaires. Le cadavre fut piétiné à la descente du meurtrier.

Juste éclairé par la petite ouverture au dessus de lui, il fit cinq pas jusqu'au fond de l'étroit goulet et poussa le petit corps, qu'il tenait presque vertical devant lui, violemment vers l'avant. Il vit à peine disparaître sa victime, dans le noir de ce puits naturel. La chute contrairement aux pierres, qu'il y avait jetées parfois pour le sonder, ne fit aucun bruit.

Décidément, il portait bien le nom qu'il lui avait donné, secrètement tout jeune « Le puits du fond ». Il remonta par l'étroit passage, soigneusement il remit la lourde pierre plate en place, un peu de terre rouge autour, un peu de mousse et quelques feuilles mortes. L'opération n'avait pas durée une demi heure, la zone était tellement touffue, qu'il n'éprouva même pas le besoin, d'un coup d'¿il au alentour pour voir si on l'épier. Il sans retourna comme si rien n'était à sa ferme pour ce laver, en passant a travers le coteau.

Apres seulement dix minutes de marche, le grand père qui ne l'avait pas quitté, fut surprit de l'étonnant calme du fluide et de l'activité cérébrale de l'individu, après un tel acte. Comme si jamais rien ne s'était passé, plus de trace, plus de remémoration, le néant. Il ressenti un effet de rejet de très forte intensité, qu'il connaissait bien en présence d'un exclu. Leur masse se repoussée brutalement, ce qui voulez dire que cela était un vieil habitué du lieu. Il était en présence d'un exclu « perturbé » de la pire espèce, les « effaceurs » peu nombreux mes redoutables. Il lui fallait s'extraire rapidement et retrouver l'assemblé, pour signaler ce cas d'espèce. La dose de négativité, qu'il avait enregistrée contre sa volonté, l'obligeait de toutes les façons à s'intégrer au groupe, pour s'épurer. Pas la moindre brise dans les sous bois, il devait trouver un « convoyeur » à proximité, afin de se faire transporter. Il se dilata, jusqu'à qu'il est trouvé le futur hôte. L'abeille qui butinait allègrement les premières fleurs de printemps, ne fit aucun cas de cette présence inhabituelle, dans son petit cerveau d'ouvrière. Elle devrait reprendre bien vite, le chemin de la ruche à la vue de son chargement de pollen. Les abeilles ont un tel sens de l'orientation, qu'il trouverait vite celles qui se dirigent, vers les brins de muguet plantés par sa belle fille. Dans un parterre fleuri au bord du mur, sous la fenêtre de la cuisine.

Il avait beaucoup de chance d'être tombé sur une abeille. Le vent permet de longue distance, mais comme pour un voilier, il vaut mieux l'avoir dans le sens du cap désiré. Il n'y avait de toute façon pas la moindre brise ce jour là. Un mulot ou des insectes des bois ont un territoire souvent restreint. Revenir à la ferme de son fils, avec un autre porteur aurait pris du temps, au petit bonheur de ses rencontres.

Certains porteurs sont si bêtes, qu'il est possible de tourner en rond, des jours et des jours. L'abeille ou l'oiseau, suivant les distances à parcourir sont leurs favoris. Une fois dans la ruche, comme dans un aéroport avec un peu d'expérience, la bonne direction est toujours possible. Lors de conciliabule caressant et bruyant des butineuses. Echanges relatifs à des informations, sur les directions cardinales de leurs gardes mangés préférés. Il est facile de repérer, celles qui ont apprécié le muguet. Par rapport à la direction de leurs vols à l'arrivée sur la ruche. Cela risquait de prendre environ la demi-journée.

A 14 Heures après avoir bu le café, le père de la jeune fille suite aux inquiétudes de son épouse, ne la voyant pas retournée pour le déjeuné, c'était décidé. Il avait pendant plus d'une heure durant, tenter de rassurer sa femme, en lui disant qu'elle avait sûrement, trop mangée de cerises pour avoir faim. La mère a insistée pour qu'il aille voir ce qu'elle faisait. « C'est vrai qu'elle exagère » dit t'il à sa femme, en ce dirigeant vers sa bétaillère, garée devant la grange. Il descendit le petit tertre, vers le chemin du fond sans précipitation.

Au loin sur le haut du vallon, il vit son voisin entrain de remplir son abreuvoir à moutons, avec une vielle cuve sur roue attelée à un vieux percheron. Quelques réflexions lui traversèrent l'esprit « Ce pauvre type ! Faudra bien un jour qu'il s'équipe, pour pouvoir s'en sortir ». Une chance ! Il se dirigeait, dans la direction opposée et n'aurai donc pas à le croiser. Il commençait à se fatiguer de cette stupide querelle de voisinage. Au passage du petit chemin, il se dit aussi qu'il avait un peu exagéré la vielle, dans son élagage. L'autre allait râler quant il le découvrirait, il se promit de plus le taquiner le berger.

L'épouvantail sur le cerisier n'était pas seul. Vers 9 heures le maraudeur c'était bien goinfré et avait : Huit gros kilos de cerises dans son escarcelle. Pour faire son semblant de panier, il s'était servi d'une jupette déchirée à petites fleurs. Bout de tissu propre et sec qu'il avait ramassée, sur le bout de chemin qu'il avait emprunté, en sortant du bois de châtaigniers opposé à la renardière, pour être discret. Une demi heure avant, il ne se serait pas posé la question, du comment cette petite robe ce trouvait là. Probablement le vent des derniers orages.

Chapardeur et braconnier patenté du village, en contre bas de la rivière à trois ou quatre kilomètres. Afin dans ramener le plus possible, il n'avait pas fait dans le détail, en brisant les branches les plus chargées, de grosses grappes du fruit rouge. Pas dérangé, il s'en est allé son baluchon à fleur sur l'épaule, pour le négocier sur le petit marché du vendredi. Son copain le maraîcher qui y tenait étalage, ne se formalisait guère de la provenance du produit apporté. Habitué depuis des années à racheter par compassion et certains avantages pécunieux, le fruit de ces larcins. Poisons, gibier, champignons, châtaignes, pommes ou cerises, les deux compères si retrouvaient.

Arrivé au bout du vallon par le chemin de terre, le père descendit de voiture à une dizaine de mètres du cerisier. Ulcéré ! Il pesta contre sa fille à voir les branches cassées au sol, avant même de remarquer qu'il n'y avait personne d'autre, que l'épouvantail dans l'arbre. Ou était t'elle bien passée, ce n'était pas son style de tout cassée, le sol était jonché de feuilles et piétiné. Comme son champ de maïs par les sangliers, avant l'ensilage en juillet. Il devient inquiet et cria à plein poumon, le nom de son enfant. Son corps au creux de l'estomac commençait déjà à lui envoyer : Une légère contraction douloureuse, en signal avant coureur, d'une angoisse qui n'allait plus le quitter, lui et toute sa famille, pendant les jours et mois avenirs.

La petite abeille sur le chemin de la ferme, faillit percuter l'automobile ou l'inverse. Pour une fois le grand père aurait bien voulu, que cela soit ainsi ! Tout en se reprochant à nouveau cette idée macabre, peu féconde en énergie de vie. Ressources dans laquelle il avait largement puisées, pendant cette horrible matinée.

L'ouvrière sans était tirée à bon compte, par un changement d'orientation réflexe. Raison qui allait la perturber une petite heure, avant de se réorienter correctement. Il devait faire vite pourtant ! Car les reproches qu'il se faisait, au sujet de ses interventions commençaient à miner, son équilibre fondamental.

C'était bien lui, qui avait stimulé sa petite fille, pour une envie de cerise. Lui toujours, qui par colère avait prononcé le mot déclencheur. Rien ne pourrait pour l'éternité, lui enlever le doute installé du : Que ce serait-t-il passé si je n'avais pas ¿ /¿

Il allait falloir maintenant, vivre avec cette interrogation. Sans une unification, il était perdu pour la communauté des élus. La suite des évènements risquée de compromettre un peu plus, son statut d'élu indépendant. A ce moment là, il n'envisageait pourtant pas : Une étape, encore plus catastrophique que la précédente. Comment d'ailleurs concevoir pire, que son cauchemar actuel. Difficile pour un esprit aussi traumatisé, il lui fallait se ressourcer dans les plus brefs délais. Pour cela, il lui faudrait attendre une brise de mai, qui tardée à ce lever. La route vers un point de convergence, risquait d'être longue.

Son groupe de liaison le plus prés, se trouvait à l'est du département, dans une citée accrochée aux falaises d'une vallée, très fréquentée l'été par des pèlerins et des marcheurs, adeptes des chemins de Compostelle. Les palombes, les pinsons et les bécasses en migrations, ainsi que de nombreux touristes de diverses nationalités. Des voyageurs qui font de ce lieu, encore aujourd'hui un excellent lieu de dispersion.

Plein d'abris et de cavités, le site avait depuis l'aube de leur création, toujours était occupé. Bien avant l'époque de cette histoire, les élus avaient nommé le lieu, « Roc de l'amour ». Ce nom en raison de l'histoire : D'une esclave noire persécutée et enfermée vivante avec son bébé dans un roc taillé, pour avoir aimée et enfantée le fruit de sa passion « Les larmes du roc, coulerons pour toujours de cet amour ».

A vent debout, il n'avait pas fini de tirer des bords. La technique du déplacement au vent, était similaire au bateau à voile. Il lui suffisait de se dilater, en proportion de la force du fluide et les molécules d'air faisaient leurs actions, sur cette voilure déployée. Ce n'était pas ce qu'il y avait de plus facile, mais avec une certaine expérience, comme sur mer dans notre vie physique, pour un marin confirmé cela devenait possible. Avec une autre sensation, celle de voler.

En faisant varier les formes on pouvait : Filer ou louvoyer, planer ou tournoyer. Un seul problème de taille, sans les yeux d'un hôte impossible de se positionner a vue. Certains avaient acquis dans ce domaine, la faculté de se diriger en rapport : A une magnétique nord ou sud et basse, par rapport à la pression atmosphérique. Ce qui n'était pas le cas du grand père. Il avait toujours préféré dans ces déplacements, par curiosité et plaisir utiliser toutes les variétés animales.

Voir ainsi toutes les formes, tous les aspects et les couleurs de la vie, par les yeux d'espèces diversifiés. De l'insecte au poisson ou l'oiseau, en évitant si possible les rapaces ou les carnivores dans leurs périodes de chasse. L'idéal était de vérifier les signaux de l'appétit, avant de s'introduire dans une lionne ou un Aigle. Il affectionnait particulièrement ce dernier, en raison de ses qualités de vol et de sa vision parfaite.

Il fallait éviter l'attaque et la mort du gibier. Mais aussi votre période de chasse ou l'hôte pouvait recevoir du plomb. Dans les deux cas, c'était une perte de potentiel, qui s'en suivait. « La mort est toujours la source d'un renversement des forces de vie, les gouttes vont s'accumuler, la dernière larme fera déborder la coupe de l'oubli dans l'infini ».

Moi : Avant de déraper à nouveau ! Pouvez-vous revenir à nos moutons ? L'histoire de ce grand père, j'aimerai bien la finir ! Il me faut remettre de l'ordre dans mes pensées et mes questions ou à nouveau : Je vais me faire embarquer, dans des histoires d'histoire en cour.

J'avais juste pensé bien que je ne sois pas, un spécialiste des religions. A des émissions de télé ou de documentaires, qui abordait le sujet de croyances asiatiques sur la réincarnation, sous une forme animale.

Ils avaient démarré sur le sujet par : « Puisque nous ne pouvons ni voir, ni entendre, ni sentir, ni toucher et goutter, sans votre corps ou celui d'une créature terrestre ». Nous vous avons demandés, de les vénérer et de les sacrer à une certaine époque. Aujourd'hui c'est encore vrai, puisque sans elles nous sommes aveugles, sourd et muet, sans odora et sans goût. Sans elles ou vous que deviendrons-nous ? Que serions-nous ?

Eux : Cette religion est une de celle, qui a le moins dérivée bien qu'elle soit basée, sur un quiproquo d'interprétation orale. Nous voulions juste fait passer le message, que nous aimions nous incarner dans des animaux, pour revivre nos passions. Au même titre que nous disons actuellement « squatter », pour rester dans l'air du temps. Cela est devenu une réincarnation, peu importe la définition, pourvu que les créations de la nature soient respectées. C'est une belle histoire que nous voudrions vous raconter, car elle a véritablement débutée sur un message, comme une bouteille que l'on jette à la mer.

Moi : Ca dérape, ça dérape ! D'un autre coté cela vous permet de voir la difficulté d'un cheminement de pensée, pas toujours facile à contrôler, dans votre analyse et le sujet, pour les questionner. Cette fois si ! Revenons à notre berger, au cerisier et à cette gamine au milieu des buissons. « Parfois sans le faire exprès, ton mode d'expression est plein d'exemplarité, en rapport à une autre vérité sanctifié ». Je sens que cela va encore glisser, revenons à notre grand père s.v.p. !

Le patriarche n'arriva à destination que trois heures plus tard. L'abeille perturbée par son changement rapide d'orientation, afin d'éviter les milles feux de la calendre chromée de l'automobile, s'en était retournée à la ruche pour se localiser. La voiture du père était devant la grange, en présence d'une 403 Peugeot noire, avec une grosse antenne de toit et d'un fourgon de gendarmerie.

Du muguet il aurait du mal à atteindre sa cible. En ce dilatant à l'extrême, la moindre brise risquait de le propulser à l'opposé. Il ne dut pas attendre longtemps, l'hôte idéal sous la forme d'un officier passât à portée, par l'embrasure de la porte de la cuisine, pour se diriger vers les voitures.

Il quitta l'abeille à peine dérangée, trop occupée à ce chargé, de son labeur programmé de butineuse de muguet. La tête de l'officier et son fluide n'était qu'interrogations.

Cet homme jeune de 34 ans, père de deux enfants s'apitoyait sur la détresse et l'angoisse, qu'il avait ressenties dans les yeux des parents à son arriver à la ferme, quelques minutes plus tôt. Quatre collègues étaient déjà parti, pour suivre le parcourt supposé de la gamine, vers le cerisier et relevé les divers indices.

Une fugue ! Cela étonnait le gendarme, il connaissait la famille et la gamine, copine de sa propre fille. Même si à cet âge là tout est possible. Il se demanda si la sienne, non ce n'était pas imaginable et envisageable. Pourtant il n'avait pas put résister de téléphoner au brigadier de service radio, pour qu'il contrôle auprès de son épouse, la présence de son propre enfant. Si les deux copines n'étaient pas ensemble. Après quelques minute d'attente, il reparti un peu soulager pour son cas, mais inquiet dans celui qui l'occupait.

Le père se transporta dans son fils et se reflua dans l'officier quelque fraction de seconde plus tard à la vue de l'activité de son cerveau. Aucune possibilité d'influencer quelqu'un, dans une telle activité neuronale. L'angoisse et les questions auraient submergé toute subjection guidée. Déjà difficile dans un esprit apaisé. Il n'aurait fait qu'ajouter, un peu plus de désespoir, dans l'état d'esprit où il se trouvait, par un mot déclencheur aux effets à risque, dans un état cérébral aussi perturbé. Les policiers étaient pour le moment, le seul refuge acceptable à sa condition et à celle de sa famille.

De tous les policiers présents, aucun n'avait la moindre idée d'une piste autre que la fugue à explorer pour l'instant. Cela permettait de plus de ne pas stigmatiser, des idées encore plus bouleversantes. Une atmosphère déjà pesante, dans leurs réponses aux angoisses bien normales de leurs interlocuteurs. Accompagné du père, ils décidèrent de rejoindre les gendarmes en enquête, dans le champ du bas.

Le caporal chef habité par l'esprit du vieux, au lieu de les accompagner avait tout d'un coup pensée au mot « voisin » et jetée par rapprochement, un coup d'¿il au alentour. Il se dirigea inconsciemment, vers le haut du vallon et la petite ferme de l'assassin. Pourquoi se mot lui était il venu à l'idée, son métier sûrement et le fait d'en avoir rencontré, le poussé a cette encore trop rapide subjection. Il devait laisser ses idées noires et se concentrer, sur une enquête de proximité. Connaissant un peu le berger, il allait devoir utiliser une certaine diplomatie de questionnement, s'il voulait un peu de collaboration de sa part.

Après une poignée de main et un bonjour sec, la conversation se limita à : « Tu n'aurais pas vu la petite du voisin ce matin, se promener dans les champs d'en bas ou quelqu'un vers le cerisier du fonds.

Pour réponse, il reçu « Y a bien deux jours que je n'ai pas mis les pieds la bas et une bonne semaine, que je n'ai pas vue la gosse et ses voyou de frère ». Le policier qui était au courant des petites querelles de famille, ne se formalisa pas. Rare étaient les fermes de la région, qui pour un oui ou pour un nom, n'avaient pas un petit litige de propriété.

Dans cet état d'esprit, le moindre comportement des enfants du voisin passait plus au compte : De la mauvaise éducation parentale de ceux-ci. Que dans : « Il faut bien que jeunesse se passe » Il n'avait aucune raison d'aller plus loin, dans ses questions et il tourna les talons, pour retrouver les autres. Les messages du grand père ne passaient pas.

Les « C'est lui, c'est lui » n'avaient pas de liens à ouvrir. Aucun rapport à une suspicion, sur un acte non constaté et pour l'instant, même pas envisagé dans l'esprit du policier. Celui-ci n'avait pas fait dix mètres que le voisin se ravisa. « Il y a trois jours, j'ai vue la fouine entrain de piquer quelques cerises ».

Le policier en se retournant pensa tout haut « Ha bon ! C'est dans le coin, que ce chapardeur exerçait ses activités printanières ». L'année dernière, il l'avait pincé pour ses rapines et l'avait sermonné.

« Tu n'as rien fait » dit l'agent de la force publique.

« Ce n'est pas mon cerisier ! » dit l'homme en s'éloignant.

Le grand père enregistra la pensée furtive du condé. « Heureusement pour la fouine, ce type était capable de le flinguer pour trois cerises ». Le papi tenta une nouvelle fois, de stigmatiser l'esprit du gendarme, par le mot « hachette ». Cette fois les pensées du caporal chef dérivèrent, vers l'image de son épouse qui lui avait dit, avant de prendre son service le matin : « Achète du pain pour ce soir ».

Le policier retrouva ces collègues au fond du champ. En passant dans le sentier, là ou avait eu lieu le drame, il n'avait pensé qu'aux girolles qu'il y avait ramassées, l'année passée en septembre. Il espérait bien que cette année encore, qu'il en trouverait autant. Le versant nord opposé, n'avait jamais produit que des mauvais champignons. De toute façon à part les sangliers, personne ne pouvait y pénétrer.

L'ancien été malheureux, plus le temps passé et plus il culpabilisait, plus sa force diminuait et l'autre augmentait. Il lui fallait s'éloigner, dans un état d'activité intense de réflexion ou de recherche, les messages avaient du mal à passer. Le danger d'un déclic sans relation avec le sujet désiré, lui faisait prendre trop de risque. En poussant le policier vers le coupable, un autre risquait de ce faire inculper. Au pied du cerisier à la vue du carnage des branches au sol, il intercepta une réflexion qui déjà l'alarmait « Nous allons quand même faire une petite visite à notre ami la fouine ».

Les moineaux à gros bec piaillé un peu plus, avec seulement quelques temps d'arrêts, pour observer les mouvements alentours. Il y avait aujourd'hui, une agitation peu courante sous ce cerisier. Depuis le matin on n'avait pas cessé, de les déranger dans leur festin. Habituer à un épouvantail, il y en eut deux de bon matin et dans l'après midi un mouvement de sol continue de noir vêtue. Le papi en pris un pour taxi et c'est dans un nid pour la nuit, qu'il fini à se morfondre sur la pire journée de sa vie.

L'oiseau ne dormirait que d'un ¿il, le grand père serait vite informé, sur son futur transport. Il espérait trouver refuge, dans un de ces grands oiseaux de nuit, pour reprendre son chemin vers le Roc de l'amour. Leur vision excellente de nuit rendait le voyage plus agréable. Parfois une ballade de quelques jours, suivant la taille du territoire de chasse du prédateur. Le tout était de repérer la direction du hululement d'un congénère. Avec l'espoir que l'un des deux, soit curieux de rendre visite au second.

Un jour de plus le soleil se coucha et lune se leva à l'horizon. La voiture noire stationna, en limite d'un jardin potager à l'est du petit village. Un lopin de terre près de la rivière aux eaux rougeâtres, en raison des orages de la semaine passé. En son milieu une petite cabane de bric et de broc, se distinguait par des clartés diffuses entre les jointures, des assemblages de planches et un rideau de l'unique fenêtre de la petite construction. La fouine s'apprêter à passer une nuit de pêche, aux anguilles. Les eaux rouges d'orage étaient toujours prometteuses de bonne pêche, de ce délicieux mi serpent mi poisson.

Dans la lumière de la torche du caporal chef, pendue à un clou devant l'entrée, un morceau de tissu qui séchait attira l'attention, des deux policiers. Couvert de petites fleurs imprimées, de nombreuses marques rouges mal nettoyées, en disaient long sur son utilisation. Le pigment rouge des cerises mures, rend la tache dure aux lavandières, la fouine n'avait pas leur obstination dans la propreté.

Plus tard on trouva du sang sur la jupette, l'homme fut interrogé et malmené. A l'époque les brimades et les coups étaient de mise, pour faire avouer et l'avocat réservé à une certaine catégorie de criminel. L'individu marginal fini par craquer, par faiblesse et résignation, il signa ses tous premiers aveux. Il avoua qu'après s'être fait surprendre par la fillette sur l'arbre, il l'avait un peu secoué pour qu'elle ne dise rien à son père. Celle-ci était tombée et avait heurtée une pierre. Qu'il c'était affolé la croyant morte.

Il signa son arrêt de mort, qu'en il répondit à la question du policier : Qu'est ce que tu as fait du corps de la petite ? Mon salop ! D'un revers de main dans son visage fatigué.

Je l'ais jetée à la l'eau, un peu plus bas dans le vallon. Ce qu'il ne savait pas, ce que ni le véritable assassin, ni le grand père, ni les élus ne pouvaient savoir. C'est que le « Puits du fond » : Donnait sur une petite rivière qui avait enflé, suite aux orages de la semaine passée. Que celle-ci après quelques arrêts rocheux avait recraché, le petit corps dans la rivière, au niveau d'une résurgence du gouffre. Rivière souterraine qu'elle avait avec le temps modelée, par érosion des calcaires du plateau.

Le corps fut bien retrouvé dans la rivière, quand les eaux sont devenues plus claires. Là où il l'avait dit ! Mais seulement quelques jours plus tard, coincé sous une vieille souche d'arbre, depuis longtemps arrachée à la rive. La sanction est tombée, la justice des hommes a été rendue et la guillotine a coupée l'innocent, sans rendre l'enfant.

Eux : Si nous pouvons te raconter cette histoire aujourd'hui, c'est que tous les concernés sont définitivement perdues. Le Père et la mère de la jeune fille, sont morts de chagrin dans la haine d'un innocent. Quelques années plus tard, les enfants ont mal tourné. Un est mort en Indochine ou il avait appris à tuer. L'autre pendant la guerre d'Algérie à torturer. Le plus jeune est mort dans un accident d'automobile, en foudroyant une famille entière, dans ses délires d'alcoolique.

La plus jeune qui a finit vieille fille : Est aujourd'hui dans un état végétatif due à une longue maladie. Une vie d'aigreur, de solitude et de mauvais souvenirs, ne lui laisse que très peu de chance de nous rejoindre. Les policiers et les juges se sont trompés trop souvent. Le plus grave était que pendant la guerre, ils avaient coopéré à la folie de certains.

Son grand père lui nous a quitté, en se morfondant sur tant de calamités, qu'il a toujours eut l'impression d'avoir suscitées, par des interventions maladroites. Ses charges, malgré notre sollicitude se sont inversées, il est exclu. L'assassin réitéra par deux fois ses exactions, avant que l'effaceur par nos actions conjuguées, ne soit chassé. Toute la colonie du roc de l'amour détruisit ce mauvais esprit à l'usure. Plus de mille élus furent mis à contribution, pour se répartir la charge de tant d'horreur et de malheur.

Le coriace berger en fin de vie de nos jours, ne se souvient même pas du Puits du fond.

L' EFFACEUR a jouer son rôle.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Les TRACEURS

Ceux qui nous cherchent, ceux qui voudraient nous faire taire ! Ceux qui nous obligent à réécrire notre histoire sans arrêt ou changer de forum sans prendre de risque d'être infecté par un Effaceur. C'est la seule stratégie pour l'instant qui nous permet de continuer à faire nos rites en toute sécurité.

J'avoue qu'ils nous font perdre du temps. Des spam ou des centaines de fenêtres bloquées. Comme je ne suis pas assez compétent pour les filtrer, je me contente de les mettre en quarantaines, ça gavent au bout d'un certains temps !

Je me suis permis d'interroger nos amis de deuxième vie, pour savoir esquiver ces attaques ou comment éviter le risque d'être contaminé par un Dégénéré de deuxième vie.

100% de ceux qui insistent dans le domaine du paranormal de la divination, voyance et autres sont infecté à plus ou moins long terme.

Une fois pollué par l'effaceur ils ne seront plus que des menteurs, des charlatans et des tricheurs.

Leur réponse : Seul un filtre permet de prendre une certaine distance et d'avoir un grand doute afin de passer son chemin. L'Effaceur fait toujours payer ! « Free » est un des filtres des plus révélateurs.

Les « Sages », les humbles : En fait comme d'habitude ne veulent rien divulguer qui ne puisse les affecter ! Les positifs ne veulent pas parler sur des sujets d'actualités, des recherches, des localisations « d'enfants disparus » par exemple. Ainsi que de tout ce qui pourrait en général : Créer une interaction ou des répercutions à notre actuelle forme de vie.

Attention ! Ils ne disent pas ne pas pouvoir le faire, ils disent même l'avoir fait par le passé. Mais qu'a chaque fois cela s'était mal passé. Trop limité dans leurs capacités de contact, car très corrélées aux singularités et disparités relatives à nos réactions. Elles mêmes reliées aux opinions très formatées, par notre longue histoire ou notre éducation.

Ces sages très avisés disent ! « C'est de l'amour que nous voulions semer, c'est des dieux et des diables que nous avons récoltés ».

Ils ont à des époques reculés, tenté de nous informer. Au point d'avoir presque perdue leur position de dominant, face aux forces du mal. En effet, la polarité de leur structure peut-être inversée. Le risque : Cela serait alors les entités « Rejetés » qui pourraient dominer leur monde!

Ils ont décidé et estimé que c'était trop dangereux, extrêmement chaotique et beaucoup trop aléatoire, de se mêler de notre vie privée de vivant.

C'est cette singularité qui me permet aujourd'hui, avec une grande assurance de trier ou de sélectionner, les écrits ou les messages qu'ils veulent bien nous envoyer par les verres.

Les « Rejetés » ou les « Tourmentés » sont préts eux : De vous raconter n'importe quoi. Le prochain Loto, l'endroit où se trouve l'enfant kidnappé, le violeur ou le voleur de votre bien le plus précieux.

Lors d'un rite ou d'une soirée de verre ! Gardez cela absolument en mémoire.

Parfois ils assaillerons de se faire passer, pour des bienveillants aux premières questions. Mais si vous leur demandez ? Si votre partenaire est un abruti ! Et qu'ils répondent « Oui ». Sachez que : « C'est un parasites ». Un rejeté ou un tourmenté et ils sont futés.

Un sage ! Ne vous dira jamais, qu'il s'appelle Lucifer ou Belzébuth. Si c'est le cas : Ne vous laissez pas attraper, c'est un nul.

En raison de questions tordues ou je suis un champion maintenant, j'ais put m'infiltrer ou pénétrer leurs malices, noyauter leurs façons d'agir pour nous tromper. C'est vraiment des tordues, comme ils l'étaient dans leur moment de vie sur terre. Ils sont tous là ! La lie de la société : Les détraqués, les menteurs, les gourous, les prophètes, les manipulateurs, les voleurs et les pilleurs. Tous ceux qui ne peuvent survivre dans l'au-delà, qu'en suçant la positivité des vivants.

Ce n'est pas facile ! Mais si vous avez toujours à l'esprit. Qu'elle est la bonne question, celle qui va le démystifier ! Alors vous progresserez.

Eux savent, qui ils sont !

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Si nous pouvons facilement cataloguer les "Rejetés"

Dans de nombreux contacts ou rites avec le "SEED" nous n'arrivons pas toujours à attribuer les textes reçus de façon formelle.

Spécialement quand nous abordons la religion ou les croyances terrestres.

Si vous leur demandez "Pouvez-vous nous dire, si dieu existe ?"

Roland : Un esprit que que nous avons cataloguer dans la fammille des "Perturbés cynique ou sarcastique".

Vous avez droit à ce genre de métaphore.

Un jour de mon vivant , je touillais mon café avec ma baguette magique, avant d'y plonger une tartine au beurre.

Il me vint l'idée de Génie (faites trois v¿ux) de lui demander sans peur :

Pas au mar de café, ni au génie ! Mais à la baguette de me faire apparaître Dieu.

Lequel me dit-elle ? Ils sont si nombreux vos dieux. De plus ! Ils n'existent que dans votre imaginaire.

Et merdre lui dis-je ? Celui que tu veux ! Moi je n'en ai pas.

C'est toi la baguette magique : Alors démerde-toi !

Piff Paff !!! Voilà que je me retrouve face à moi ! Mon double parfait d'empaffé !

Tu déconnes la baguette, ce n'est pas dieu ça, c'est moi ! Ce bonhomme.

J'ai choisi un dieu ! Qui dit : Vous avoir fait à son image.

C'est trop naze, pas beau et trop prétentieux, trouves m'en une autre ou la vrai image de dieu !

Et bling et blang ! J'ai eût droit à toute une panoplie bling bling : De Zeus à celui qui a une tête d'éléphant !

Du hippys barbu à la Ra le staquère, avec une tête de chien rantanplan.

Jusqu'au petit homme vert et à ET « Téléphone maison ». Même un vilain à la tête de bouc, tous des ploucs.

Tellement il y en avait, je lui dis : « Ecoute baguette t'arrêtes de déconner ! »

Tout ce que je vois ici ! C'est un ramassis de va nu pied sans chaussures ou en armure,

Des mi-hommes mi-animaux, habillés comme au temps de la préhistoire ou à poil ! Et de mauvaise augure, ils regardent ma télé, ma voiture ou mon four à micro onde et un avion qui passe :

Comme si c'étaient des créatures de dieu, une illusion d'optique ou des tours de magie noire.

Ecoute dit la baguette ! Ceux qui les ont inventés à leurs époques : Ne pouvaient pas imaginer de tel progrès techniques.

Dans leurs écrits : C'était des gens qui se baladaient très souvent les pieds nus ou sur des bourriquots.

Ils étaient presque tous très costauds et en rapport à vos critères actuels, pas trés beaux

Moi par apparence ! Je ne fais que te les reproduire à l'identique, sur la base des descriptions ou des visions représentatives de vos croyances.

Comme pour les dieux, tu peux tout demander à une baguette magique, sauf dans la manière à créer quelque chose à l'identique qui n'est pas encore dans votre imaginaire !

La morale de cette histoire pour Roland :

C'est que la magie est un leurre ! Aussi comme moi : Pour éviter la poudre aux yeux et les foudres des dieux !

Servez vous de votre baguette magique à touiller votre café, car ni elle, ni les dieux n'ont inventé : la poudre ou le fil à couper le beurre.

Pour notre part : Si la réponse vous semble étrange pour un tel sujet, sachez que nous en avons de bien plus décalées, en rapport à ces questions spirituelles.

Mais nous voulons froisser personne ici, de plus ce n'est pas ce qu'ils souhaitent vraiment ( les élus confirmés).

Disons qu'on leur force un peu la main, par des publications à l'origine douteuse, pour mieux faire comprendre qu'aprés la vie terrestre, sous cette nouvelle forme de seconde vie, il semblerait que nous avons la possibilité de concerver certains traits de nos personnalités acquisent dans notre période "homo sapienne".

En fait disons que cela soit chez les "Rejetés", les "Perturbés" ou même les "élus" aucune uniformité d'un niveau, d'un modèle éducationnel ne semble être imposé aprés le passage.

On retrouve dans ces trois familles d'esprit des niveaux de réactions, d'analyses, de comportements, de passions pour les positifs relatifs à leur vie antérieure. Et toutes la perversité des Rejetés pour survivre le plus longtemps possible, en succant la positivité des vivants. Les Perturbés ont l'air d'attendre que la force bascule d'un coté ou de l'autre.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Les positifs ne répondent pas aux questions sur dieu.

Où répondent plutôt sous cette forme.

"La valeur d'une histoire est inversement proportionnelle à l'importance et la somme que se donne celui qui la raconte"

Faute d'opinions claires sur le sujet et trouver des questions qui fachent, vous pouvez proposer ce type de débat !

Afin de mieux cerner leur façon de réagir vis à vis d'une question d'actualité :

Que pensez-vous des opinions sur le voile intégral par exemple ?

Le camp des extrémistes est moyenâgeux

Avec plein d'aigreur et de pensées frustrées.

Le clan des racistes est plein de peur !

Avec des mauvaises senteurs et des rencoeurs.

Celui du camp du milieu : Est plein de menteurs !

Qui ferment leurs yeux, sur leurs songes luxurieux.

Nous leur avons demandé par la suite :

Quels étaient les songes de ceux du milieu ?

Ils nous ont alors envoyés ce message :

« Qu'ont-ils à reprocher à ceux qui voilent !

Eux : Qui tolèrent ceux qui dévoilent la beauté.

Pour en faire des affreux jeux de voyeurs patentés.

Les trois ne sont-ils pas des miséreux ? Par fois

Des corrompus vicieux, honteux, haineux, libidineux !

Et tous les trois des faux vertueux, de part leurs lois.

Une seule clé au passage, rien ne sera oublié où pardonné !

L'amour de l'autre crée la force, la haine à force, la peine.

Que la force soit avec vous ! Dans vos choix.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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SEED : Système d'Ecriture Electronique à Distance.

TCIP : Trans-Communication Instrumentale Paranormale.

L'homo synaptien !

Ou plutôt nous, enfin ceux d'hier, sont tes ancêtres !

Tes arrières grands parents et leurs enfants jusqu'à toi et moi.

Ceux qui sont nés avant, ceux qui t'ont permis d'aller de l'avant.

Celui qui sait ! Pour l'avoir vécu et continu à suivre le présent.

Ceux que la vie à fait vivre dans le temps passé et maintenant.

Rien de plus, rien de moins ! Que ce que tu seras demain.

Ils ne te demandent pas la foi et ne veulent rien de toi.

Ils ne t'obligent pas à quoi que ce soit, leur vie n'a qu'une loi !

De vivre ! Non pour mourir, mais pour sceller un choix à soi.

Dis-toi bien que nous sommes leur « aujourd'hui » et leur « lendemain ».

Ceux d'une vie qui ne pouvait s'arrêter d'évoluer pour un rien.

Ceux d'une nature qui ne peut s'arrêter aux cinq doigts d'une main !

Ceux d'une évolution qui n'a jamais cessée d'améliorer l'humain.

Ceux d'une étape de plus, d'une branche divergente, un petit rien.

Sur deux chemins du destin, sans avoir encore découvert le divin !

La mort n'est qu'un choix de vie, ils n'y sont pour rien !

Ils n'y peuvent rien ! De ta vie ici bas sera ta vie d'en l'au-delà.

Deux codes d'accès, deux clés, deux choix pour une destiné.

Ne croyez en rien, même pas en ça ! Chercher sans valoriser.

Le doute faute de preuve, ne sera pas l'élément géniteur :

D'une force ou de l'autre, d'un bon choix ou d'un mauvais.

Il est neutre comme celui de croire en rien ou en quelque chose !

Si sont but est d'améliorer et de régénérer une espèce, une vie.

Non de la dominer ou de la maintenir sous évoluée à l'infinie !

Sur des préceptes d'un passé périmé, des vérités sanctifiées.

Avec des valeurs tronquées et des prétextes inculqués.

Comme une perle de rosée peut briller de mille feux en été.

Elle peut aussi aller nourrir la rose en tombant à ses pieds !

Afin de sublimer ses senteurs et ses couleurs magnifiées !

Mais aussi s'évaporer et se mélanger à ses s¿urs sur les fleurs.

Elle devra alors traverser la terre, pour se dévoiler à la source.

Descendre une rivière, pour abreuver la vie dans sa course.

Au gré des courants des mers turquoise et du vent violent !

Pour enfin revenir des milliers d'années après ! Suivant son destin.

Ils sont la rosée de nos pensées et le résultat de l'amour ou de la haine accumulé pendant notre parcours de vie.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Le Futur n'existe pas ! Il n'est que le présent du passé.

Il est fait d'actions passées, pour des présents sans futur !

Toujours créé par de perpétuelles remises en question.

L'erreur de penser à "un tout ou rien" dans l'au-delà :

Est sans nul doute : Faute ! qui ne mérite pas damnation.

Les sages se posent des questions. Il a des doutes et des hésitations

le futur n'est qu'une intime conviction improbable, faute de preuve !

Et sans doute, le fanatique redoute :

Que son futur ne soit pas aussi idyllique, que ne lui laisse entrevoir les prédictions passées

de ses maîtres à penser d'une destiné certifiée, hautement chimérique sur les bases d'un passé trituré.

Que la force soit avec vous et l'amour toujours présent dans le futur !

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Petit extrait d'une conversation via le CEED par les verres, pour démontrer la difficulté d'une discussion mot à mot :

Dieu existe t'il ? Réponds par oui ou par non.

- « Non ».

Quoi ! Tu as bien compris la question ? Oui ou non.

« Oui ». (Là Attention - il répond qu'il a bien compris la question)

- Non, je veux dire ! Bon attend ! Qu'est ce que j'avais préparé comme question ? Le pense bête !

- Ha oui ! Existe t'il un dieu ou un créateur, correspondant à une ou quelconque des religions historiques et actuelles ?

- « Non ».

Rien de rien ?

- «Peut être dans le futur ».

- Merde ! Pas claire la réponse, pour un sujet pareil.

- Peux-tu préciser ?

- «En gestation ».

Moi - La galère ! «Gestation » au sens durée d'une grossesse pour un mammifère ?

«Non ».

- Puff... ! Il y a t'il un dictionnaire ici ? Oui ! Dit notre hôtesse. Je cherche et je trouve.

- C'est dans le sens : dixit Dico «Temps d'élaboration d'un ouvrage de l'esprit »

Réponds par oui ou par non.

«Oui ».

Ceux qui ont déjà fait le rite reconnaîtront ce type de communication difficile, si l'on se fixe sur un sujet unique. Aussi empiriquement afin d'éviter ce genre de débat sans fin, j'ai décidé d'éliminer toute notion de doute ou de préjugé. Cela pour me concentrer sur : La synthèse des questions et des réponses, ayant une relation avec une seule direction d'interrogation.

Qui sont-ils ? Que font-ils ? « Pourquoi avons-nous des réponses ? Quels moyens utilisent t'ils ? Qu'elle est leurs conditions d'existence ? Qu'elle est leur mode de vie ? Uniquement : Le Comment et le Pourquoi de cette communication.

Sans solution après tout ! Pourquoi ne pas explorer un peu plus loin, puisqu'il y a doute. Le ridicule ne tue pas même si : «La curiosité est une qualité dans une recherche, l'acharnement devient vite une maladie pour vos partenaires». Je n'avais pas le choix et j'ai toujours des doutes ! Une espèce de « Tu peux faire mieux ! Un sentiment de pas fini ou de pas assez exploré, malgré un réel investissement.

- De parler à des dieux qui ne te répondent pas, prier, faire des signes de dévotion. Participer à des rites, baptêmes, messes, prières, des pèlerinages, construire des églises, des temples, des mosquées ! De croire en une personne qui marche sur l'eau, ouvre la mer, ressuscite.

Pour toi ! C'est beaucoup plus ou beaucoup moins ridicule, que de mettre ton doigt sur un verre ?

Là ! Est la question ! Vous avez peut-être la réponse ? Pour nous : Pas du tout.

Le Oui-ja - Faire tourner les verres - L'écriture automatique - Des milliers de personnes et de gamins ont tenté cette expérience sans jamais aller au bout, malgré une grande période de doute et de questionnement. Même les plus gonflés ou tu du moins ceux qui font toujours les malins. Faute de réponse "Ils préfèrent le ridicule ou le cynisme"

Pourtant aucun n'a jamais fait le reste du chemain. Celui de chercher à comprendre et poser les bonnes questions.

Jamais au grand jamais ! Un seul a osé faire l'effort de chercher les raisons de ses troubles et la sensation d'une vérité, qui au fond de lui ne cesse de le perturber, s'il repense à ses expériences de quelques soirées pour étudiant. Soirée ou l'on cherche à se faire peur pour des lendemains sans suite, avec l'impression d'un sentiment étrange ! Celui de ne pas vouloir savoir faute de solution ce qu'il peut bien y avoir réellement derrière tout celà : A part de la transmission de pensée ou d'une manipulation d'un petit futé ext ext.

Nous avons voulu aller plus loin !

.

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windust Membre 110 messages
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Amour et solitude

Une vie de mort ! Sans des vivants, ne serait que solitude.

Quel que soit le résultat de nos turpitudes d'un passé obscur,

Sur la voie de la haine. Une gangrène qui se sème !

Pour l'aventure humaine si elle est malsaine, la suite n'est que peine.

L'anathème c'est de la voir à l'envers comme dans un miroir.

L'écriture à travers le verre est notre lecture, sur votre avenir réel.

Pure ou Impure sera la vie après la mort, sans la texture du corps.

Il vous faudra beaucoup d'effort, pour voir que vous avez eût tord !

Cela d'avoir douté : Que la mort est amour ensemble au passage.

Ou solitude par votre attitude. les Rejetés pullulent.

Pour le voyage deux clés ! Mais il ne peut en rester qu'une.

Les Sages

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Un groupe de contact blob : Lors d'un rite traditionnel pour nous sans le SEED

Nous communiquons depuis longtemps par le verre ou certains esprits d'humain à forte sensibilité spirite comme la Pythie de Delphes, des sorciers indiens ou africains, des druides, des mages du moyen âge. Avec tous ceux qui aux cours des sciècles ont totalisé dans leur jeunes années de vivant une charge positive au dessus de la moyenne. Après s'être assuré qu'il n'était pas parasité, spécialement par des Effaceurs.

Des générations d'esprits bienveillants et trés positifs ont créé avec tous les moyens à leur disposition des interventions directes ou des actions de guidage non maîtrisé qui ce sont toujours très mal terminé. Les rejetés en ont malheureusement fait tout autant ! Avec un but pour eux : Celui de créer la confusion, le désordre ou l'anarchie afin de survivre en bidouillant leurs révélations.

"La difficulté du dialogue se trouve dans la transmission et dans les interférence avec un être en évolution".

"De nos textes purs ! Sont nés des religions impures".

"Nos recommandations étaient claires, l'esprit humain est souvent très sombre".

"La distance d'une bouche à une oreille est très accidentée pour un texte. Il arrive souvent cabossé, après deux ou trois voyages seulement, suivant les pilotes".

"Les mythes ont la vie dure".

"Quand les belles idées déçoivent ! C'est L'espoir des résultats attendus qui met parfois la barre trop haute".

"Nous ne regrettons aucun des textes transmis, nous regrettons leurs interprétations et leurs utilisations, dans toutes vos religions".

"La valeur du prédicateur et du prêcheur est proportionnel à ses motivations, si elles ne sont pas personnelles et inversement proportionnelle à son enrichissement personnel, s'il est matériel".

"Les motivations diffères suivant l'éducation et les traditions"

"Les prophètes furent légions, les adeptes des félons".

"C'est de l'amour que nous voulions semer, c'est des dieux et des diables que nous avons récoltés".

(Diverses phrases de contact avec un "blob" confirmé - Groupe de recherche Homo Synatien's).

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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De sous-entendre, que vous êtes à l'origine de certaines de nos croyances !

Nous : Pouvez-vous approfondir ?

Nous en sommes malheureusement les instigateurs de part nos erreurs passés, par manque d'analyses des conséquences relatives aux faiblesses de la communication orale et écrite entre les hommes, en rapport à des forces instinctives animales, éducationnelles et environnementales.

Successivement au long du temps pendant des siècles, nous avons cru pouvoir ensemencer des préceptes qui allaient faire évoluer nos contemporains, vers des comportements de vie créateurs de notre forme d'existence positive dans leur vie future d'homo synaptiens.

Nous avons sous-estimé aussi l'aptitude ou les capacités des rejetés à nous imiter, pour se nourrir des retombés favorables à leur système négatif énergétique propre. Comme des parasites qui pour survivre utilisent les déjections du monde animal.

Leur survie dépend de cette particularité pour ne pas plonger dans le néant. Des êtres nuisibles bêtes et violents, toujours avec la motivation de troubler, de détruire tout ce que nous avons expérimenté à diverses époques. S'abreuver des retombés négatives de nos tentatives d'inculquer aux vivants des valeurs de comportement, fondatrices de notre énergie de vie après notre mort de vivant.

Par cela : Nous n'avons pas toujours été les instigateurs de toutes les croyances passées ou présentes. Les rejetés et l'homme lui-même par leurs turpitudes, s'ils n'en ont pas été les fondateurs en ont été souvent les vendeurs ! Et n'ont pas manqué de trouver de fidèles consommateurs ou des adeptes en mal de spiritualité.

Nous avons ensemencé des notions créatrices d'énergie, pour ne récolter que des désillusions et des déceptions peu productive. Des concepts totalement agnostiques au départ, le tout a dégénéré en croyances spirituelles ou conceptuelles à notre plus grand regret !

Par effet de répartition les charges de négativité créées ont couté cher au groupe (blob) à l'origine de ces interventions directes sur le vivant.

De nos jours encore ! Nous payons ces mauvaises inspirations, malgré nos efforts de neutralité à toutes les opinions et aux intimes convictions.

La lutte entre l'amour et la haine vous suivra dans l'au-delà et la force nous le croyons (même si cela ne semble jamais s'être produit de mémoire d'homo synaptiens) peut subir une inversion de polarité.

Le peuple des ombres prendrait la main de notre et votre destin.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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"La valeur du prédicateur et du prêcheur est proportionnel à ses motivations, si elles ne sont pas personnelles et inversement proportionnelle à son enrichissement personnel, s'il est matériel".

Cet ecrit des verres est tiré d'une question sur les religions ou les sectes actuelles "il s'agissait pour nous de déterminé à quel niveau ils allaient s'engager dans un débat conflictuel"

La réponse complète fut :

Eux : "Cherche l'intérêt et tu trouveras un mobile ! Analyse l'histoire des sectes et choisi entre un mobile fallacieux ou un intérêt cupide"

«Qui sont ces dieux qui s'enrichissent sur le dos des miséreux, avec des besoins qui non pas lieu, dans leurs cieux plein de v¿ux pieux ».

«Ceux qui se préoccupe plus des dividendes au jour le jour, que de la facture des jours futurs.» «Autour d'un troupeau de moutons ou de dauphins, il y a des loups et des requins »

« Plus l'amour est gratuit, plus il est fort et plus ce que l'on attend en retour est faible ».

«La pureté d'un schisme est inversement proportionnelle à la contrepartie exigée".

Eux : L'évolution est basée sur ces quelques mots « Chaos - Survie - Mélange - hasard - environnement - mémoire - mutation » La vie dans tous les domaines, doit son existence à la probabilité des résultats obtenus, par la mise en pratique de ces facteurs d'évolution. Qui a posé la première brique ? D'une telle soupe aussi aléatoire, aux résultats si imprévisibles et parfois si dramatiques, voir cataclysmiques. Nous ne pouvons envisager de l'attribuer à une main divine, qu'elle quel soit ! Sans s'offusquer alors de son manque d'analyse des résultats futurs, des imperfections du système, des désastres prévisibles sur des bases aussi brouillonnes.

Une telle dose d'à peu prés, d'innocence, de jeux de hasard, de désinvolture, de non-professionnalisme pour un dieu !

Ne peut que nous conforter, dans la non-existence d'un être aussi stupide !

Spécialement par rapport à l'intelligence, au pouvoir, au savoir, qu'il est sensé posséder.

Une insulte à l'idée même ou à la foi que nous pourrions avoir, envers un tel être suprême.

Pas très sérieux de penser, qu'un dieu puisse créer un monde sérieux, sur des bases aussi folles, empiriques et chaotiques.

Ce n'est plus un dieu, mais un apprenti sorcier !

"C'est de l'amour que nous voulions semer, c'est des dieux et des diables que nous avons récoltés"

L'amour comme le respect sont des mots qui vont si bien ensemble dans la foi religieuse ou sectaire.

« Des pièges à débat ! Moins ils en ont pour les autres, plus ils en demandent pour leurs convictions sectaires »

Eux : « Tu ne peux lutter avec des invectives, contre quelques choses d'aussi noble.

Te lancer dans des débats sans fin, perdues d'avance, mais dis toi bien qu'au bout du chemin se trouve ton destin.

Là ! Sera le moment de la question. Et tous se la poseront ».

A la toute dernière minute, devant la mort.

Est-ce que je ne me suis pas fourvoyé dans ma croyance ?

Est-ce que je ne me suis pas fait abuser, dérouter ?

Et si je m'étais égaré ! Que va t-il se passer après ?

Qui a raison, qui a tort dans son intime conviction ?

Là ! Il aura une réponse à la question.

Eux : La laïcité c'est l'impartialité et la neutralité ! Laisse-les s'entretuer, s'étriper, se massacrer au non d'une foi.

Si endoctriné : Ils se sont trompés ! Ils devront assumer.

Si le chemin n'aboutit à rien, c'est beaucoup de haine et de passion, pour rien de bien malin.

Et si par contre ! Il offre un autre destin, beaucoup se seront perdus en chemin.

Moi : Vous êtes chiez quand même ! Les laisser s'entretuer, s'étriper ¿¿ !

On doit bien s'en mêler pour qu'ils n'arrivent pas à de telles extrémités.

Eux : Des milliers d'années, des millions de morts et tu voudrais t'interposer, pour exposer ta positivité.

La seule chose possible est de leur dire : "Vous vous êtes peut-être trompés ?"

S'il ne s'agissait que d'une étape dans votre destinée et que vous ne soyez pas une finalité !

Donne de l'amour mais n'attend rien en retour ».

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Filtre pour dérouter les « Traceurs ».

Moi le mort encore vivant après ma mort :

Je suis vivant et contant d'être un mort en vie à la fois.

Un mort vivant à mi temps ou à plein temps ! Si mort ma foi

Que je ne peux pas soit disant être vivant, en sortant d'un temps mort.

Le temps d'un instant, en tant que vivant ou mort à temps partiel !

Sans vie, vis à vis d'un mort sans avis : Que d'ennuie pour un être vivant.

Mort de temps en temps, c'est retord ! Les absents ont toujours tort.

Il vaut mieux vivre la vie à mort, à pleine dent, que de vivre une vie de mort.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Un filtre pourquoi ?

Parce que c'est toujours aprés la publication des premiers textes de nos rites avec les verres "sans le seed"

qu'à l'aide des Traceurs les derniers Effaceurs ont réussi à nous repérer et nous obliger à quitter le lieu !

Nous espérons pouvoir aller plus loin cette fois.

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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La stupidité : C'est de viser et de toucher sa cible, mais plus encore ! D'en être fier.

Le passage : « Il y a plus de coupable que d'innocent en prison et encore plus d'innocents coupables dehors».

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Pouvons-nous savoir qui cumule de la positivité ?

Comme une batterie à charge lente d'une énergie qui n'est pas pour aujourd'hui ni demain pour les vivants.

Tu dois suivre ton chemin le plus longtemps que tu le pourras ! Si ton destin le veut bien.

Le problème c'est qu'elle ne se fabrique que petit à petit, pour permette une certaine autonomie de pensée et de choix de vie dans leur monde.

Seule cette surcharge permet hors du groupe, de faire ce qu'il te plaira à titre individuel.

Qu'elle est justement la différence entre l'homo synaptien et les blobs (Groupe).

L'homo synaptien peut s'introduire seul dans un aigle ou une oie sauvage, comme dans un dauphin explorer les mers, sillonner le monde, survoler les océans ou les déserts, s'introduire dans des êtres qui lui sont chers, vivre des vies extraordinaires et alors encore accumuler les bonheurs et les joies de ses rencontres, pour se renforcer de ce qui va encore le recharger en positivité. Ainsi survivre une éternité et profiter à travers de ceux qu'ils aiment, d'une partie de leur force. Se charger à travers eux.

Les rejetés s'il n'en possède pas un peu de propre disparaissent dans le néant. En attendant ils se nourrissent d'une seule chose, de l'énergie de ceux qu'ils réussissent à détourner de la force en se partageant les résidus de leur positivité pour survivre. Celle de la charge acquise : Dans la période innocente ou cumulée pendant de bonne année ou l'amour était plus fort que la haine, dans l'enfance.

Au passage les victimes peuvent aussi prélever leurs dûmes, une contrepartie proportionnelles à leurs pertes, si le prélèvement est trop fort en raison de l'acte commis, et qu'il touche une quantité importante d'entités positives. Si cela concerne un grand nombre d'affectés par ces méfaits, ce qui va lui rester en positivité de la force, sera de plus en plus faible ! D'où l'importance d'un repenti, qui fait que la quantité d'énergie prélevée par les victimes ou les concernés baisse considérablement.

Son temps de vie de mort dépend alors, de ce qu'il lui reste et de ce qu'il pourra engendrer comme misère encore sur les vivants.

Les positifs prélèvent toujours le maximum possible pour éviter qu'il garde trop de force.

Qu'il soit par la suite un esprit qui vous fera du tort et vous racontera des sornettes ou vous trompera pour suivre un autre chemin.

L'enfant mort en bas âge par exemple :

Fera parti des blobs au début et ne progressera qu'au fil du temps, suivant l'amour du souvenir que lui porte ses parents vivants ou ceux qui ont eut le temps de l'aimer suffisamment. Peut importe la charge, il suffit que la balance penche dans le bon sens ! Et pour l'innocent c'est toujours coté du positif de la force.

Peut importe que le chemin soit pleins d'obstacles et de chagrin ! Ou de chose autour de soi, pas bien !

Si tu as fait le bien ou rien qui n'est pas un critère d'annulation du déjà amassé ou amoncelé, mais une stagnation ou rien de gagné.

Maintiens le cap, hisses la voile et te voiles pas la face !

Rien de devin, dit l'oracle dans leur estimation du niveau de carburant ou du plein, de ce cumul, pas à pas, goutte à goutte infinitésimale.

La force pour tracer ta route seul ou en groupe sera maintenant !

Pour ce qu'il te reste à vivre, le choix qui devra être fait.

Dans ce choix n'oublie pas, que ta vie d'après :

Dépendra alors de ce que les autres voudront bien partager ou te donner car la quantité possible de transfert n'est pas plus rapide que la création de la force de ton vivant.

Celles que te transmettent ceux qui t'aime, vivant aussi leur vie physique ! Surtout si l'oubli passe par là.

C'est dans ta période de vie que tu accumules le plus, dans l'autre :

Ce que tu prends en groupe, tu dois partager pour qu'ils maintiennent individuellement tout leur capital et survivent seulement des intérêts.

Individuellement c'est tout bonus pour toi.

A tous ! Ils disent peut importe la charge accumulée, c'est quantitativement et donc pendant combien de temps, elle s'est crée de ton vivant.

Pour te laisser libre de tes mouvements, sans avoir peur de te perdre ou de te retrouver à sec et de devoir partager avec toi, ce qu'ils ont mis tant de temps à eux même cultiver pour progresser.

Même s'ils voulaient se sacrifier pour toi ! Il ne le pourrait pas !

Individuellement ou en groupe la quantité transmissible et une constante quantitative ou/et relative à une quantité possible non volontaire suivant un fait, un acte, une pensée conjointe.

De plus l'un donne l'autre doit l'accepté et ce n'est pas toujours simple qu'en on connaît ce qu'il faut faire pour l'accumuler !

Surtout que physiquement parlant, il ne peut en donner ou l'autre en recevoir plus qui ne le désire.

Il doit y avoir ce qu'ils appellent une synchronisation des charges et elle n'existe que quelques millièmes de secondes dans leur métabolisme avec des facteurs précis.

C'est le même problème que dans notre système électrique général pour introduire et revendre de l'électricité à une Cie de distribution :

Il faut la synchroniser au réseau et comme la nature ne nous a pas équipés du système en tant que vivant, ils ne l'ont pas comme mort.

Leur façon de pensée n'a plus rien à voir avec la notre.

"La vérité est pleine de mensonges dans les songes d'homme".

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Ce qu'ils disent de leur vie aprés leur mort ou celle de l'homo synaptien :

1°) Nous l'avons vue dans ce forum qu'ils sont par erreur très souvent à l'origine de nos visions fantomatiques, atmosphériques et mystiques pour leur grand regret. Frottement des molécules d'air sur leur enveloppe blobienne. Surtout qu'en ils sont en groupe.

2°) C'est par son intérêt et par leur curiosité, une des questions « Il y a t'il : Une forme de vie ailleurs » qui motive un grand nombre d'homo-Sinaptien's. Ils forment des groupes importants depuis des générations pour partir à la recherche d'une vie extra terrestre.

3°) Pour répondre à cette question ils ont 3 facteurs à résoudre.

Les groupes ainsi formés comprenant quelques centaines d'entité, après avoir pris les vents de basse et moyenne altitude, ils se retrouvent dans ceux stratosphériques pour approcher les vents solaires (Photons). En dilatant à l'extrême leur fluidité moléculaire, ils utilisent ce vent, comme voile de bateau pour atteindre la vitesse de la lumière. Et explorer ainsi en théorie l'univers d'étoile en étoile dans notre galaxie.

1er facteur et premier problème pour répondre à votre question : Aucun groupe n'en est encore revenu ! Même à cette vitesse, les distances se comptent en millions d'années lumières, pour les étoiles les plus proches rien que dans la notre.

Le premier groupe étant partie en l'an 3000 avant JC au néolithique à l'époque de Carnac en Bretagne (Les dolmens plantés là par les gens de l'époque qui vénérait le couché de soleil, mais aussi et surtout la lune, auraient été disposé là par eux : Parce qu'ils ont surpris un grand nombre d'entités sur le départ, plusieurs nuits d'affilées en période de prière à la lune, pendant les solstices d'hiver.

C'est cette vision extraordinaire de l'assemblé du 1er groupe des BLOB'S qui allaient se lancer dans cette aventure « l'exploration de l'espace » qui aurait créée en somme : Une des toutes premières croyances païennes de l'hère néolithique.

Le nombre de dolmen représenterait approximativement le nombre d'entités qui c'étaient disposées à intervalles régulières sur un grand terrain plat, pour se dilater et prendre les vents porteurs. La même croyance relative à d'autres groupes sur un autre lieu appelé : Stonehenge. Après la toute première tentative avortée de New grange 1570 ans avant. Des apparitions qui allaient créer un des mythes le plus solides de l'époque et une croyance qui allait durer pendant quelques siècles.

Quelques petits malins de l'époque « Druides et Sorciers claniques allaient de bonne fois parfois en raison de cette extraordinaire visions, devenir des autorités religieuses ou des notables écoutés. Certains en ont même abusés, New grange et Stonehenge sont le tout début de l'influence possible d'un meneur ou d'un mentor sur leur communauté ou un peuple, par un élément due au hasard et ils le regrettent fortement. Construire ou édifier de t'elles structures monolithiques a représentées bien des souffrances et des efforts aux personnes qui les ont édifiées.

Tout cela ! Pour des démonstrations toujours involontaires relatives aux frottements des molécules d'air sur eux, du vent qui leur permet de voyager, même si ce n'est pas le véhicule qu'ils préfèrent adopter dans notre atmosphère.

Le problème N° 2 : C'est que dans cette phase d'esprit libre, hors de sujets hommes animaux ou insectes, ils n'y voient rien ! Ils n'entendent rien et ne sentent rien ! En dehors du groupe. Plus tard ils se firent accompagner par des vigies ou des gardiens squattant des animaux et des oiseaux de nuit, pour surveiller comme aujourd'hui, les lieux de décollage. Et ainsi les prévenir qu'un ou des intrus humains se trouvent dans les parages.

Malgré tout ! Depuis toujours et encore aujourd'hui pour des raisons imprévisibles, ils se font surprendre et sont à l'origine de nombreux cas d'OVNI de petits hommes verts ou de croyances spirituelles.

Le problème N° 3 : C'est qu'en raison de la perte de nos 5 sens terrestres, après notre mort sans un support vivant animal ou humain, cela les conduits à travers l'univers à l'aveugle. Leur seule chance de survie, même s'ils ont l'éternité devant eux est de rencontrer, une autre forme de vie dans l'univers.

Ils ne savent donc pas ce que ces groupes deviennent après leur départ, mais n'en sont point chagrin, puisqu'il s'agit d'une volonté individuelle. Ils n'en sont pas affectés non plus, par une certaine négativité de la force.

Sont-ils arrivés au bout de leurs quêtes ou de leur rêves ?

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windust Membre 110 messages
Baby Forumeur‚
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Des départs encore actuels pris en photo fortuitement par un couple de jogger dans le sud de la France (Des personnes au dessus de tout soupçon et photos propres) nous a confirmé le SEED et des esprits certifiés que nous utilisons souvent pour confirmer les textes reçus. Ce sont les seuls avec qui nous avons passé et donné des codes d'accès anti Rejeté. Une des photos seulement a été partiellement grossie 1500 fois au niveau d'un groupe familial de trois personnes deux adultes et un enfant dans sa boule d'énergie électro chimique au départ pour les confins de la galaxie et l'exploration de nouvelles planètes découvertes par les astrologues et les instruments des hommes, beaucoup plus performants qu'à l'époque des derniers départs. Départ organisé sur les bases des résultats et des recherches du satellite Hubble.

Ils ne nous donneront uniquement que les prénoms du couple Bernard & Claire et leur fils Julien mort dans un accident de la route dans les années 70 : Et que plus rien ne retiens ici bas sur la terre.

Seul ils ont fait le choix de tenter l'aventure : Leur famille directe ou leurs connaissances terrestres de l'époque ayant fait certains choix pendant la deuxième guerre mondiale pas très judicieux et avoir trop accumulé le côté obscur de la force.

Que la force soit avec eux pour ce long voyage. Les tout-premiers ne sont toujours pas rentrés.

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