Vivre, c' est accepter de ne servir a rien.

Autant en finir tout de suite...si je ne sers à rien!! :blush:

Adieu...

Il est vrai que la notion de lendemain est une notion purement humaine.

Nous avons une conscience et la faculté de prévisualisation dans le futur a travers le présent.

En fait le mot servir est bien insignifiant. En vérité il ne servira jamais que pour l' être humain; jamais pour une force extérieure ou puissance supérieure.

Dans ce cas la il est important de considérer la vie , non comme une bénédiction mais comme une réalité.

Une réalité qui diffère suivant les personnes, une réalité qui prend un jour fin.

oui! :blush:

Disons que nous baignons simplement dans le doute permanent. On en vient à douter de ce que notre conscience nous fait voir. On voit surtout le fond du trou se rapprocher tout en sachant qu'on ne pourra pas facilement remonter la pente. L'homme est un paradoxe à lui tout seul, doublé d'un extrémiste : en voulant faire ce qu'il appelle le "bien", il ne fait qu'empirer les choses, mais la seule autosatisfaction de sa morale lui suffira.

L'homme ne peut nier, ne veut pas renier ce qu'il est est car c'est un être cartésien; s'il est là, il sert à quelque chose.

Bien qu'étant en partie nihiliste, j'admets qu'il est simplement possible que l'homme s'accorde un rôle personnel majeur pour ne pas se sentir écraser par le poids de san propre réalité, mais s'aveugler volontairement sur l'insignifiance de sa condition c'est vouloir lutter contre des forces qui nous échappent.