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mike321

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Invité Baboullinet
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:smile2:

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Membre, 36ans Posté(e)
mike321 Membre 471 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

C'est la danse des canards

Qui en sortant de la mare

Se secouent le bas des reins

Et font coin-coin

Fait's comme les petits canards

Et pour que tout l'monde se marre

Remuez le popotin

En f'sant coin-coin

A présent claquez du bec

En secouant vos plumes, avec

Avec beaucoup plus d'entrain

Et des coin-coin

Allez mettez-en un coup

On s'amuse comme des p'tits fous

Maintenant pliez les g'noux

Redressez-vous...

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Invité Baboullinet
Invités, Posté(e)
Invité Baboullinet
Invité Baboullinet Invités 0 message
Posté(e)

*clap clap*

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Membre, Forumeur , Posté(e)
Epsilon30 Membre 2 871 messages
Forumeur ,
Posté(e)

Et ça t'avance à quoi d'avoir beaucoup de messages ?

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Membre, 36ans Posté(e)
mike321 Membre 471 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Et bien c'est l'astuce! du siècle sa! Sa montre notre vonlonté et l'attachement pour ce forum!

Je vous propose qu'on atteigne les 5 000 messages sur ce sujet tous ensemble! :smile2:

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Membre, 48ans Posté(e)
edwige76 Membre 310 messages
Baby Forumeur‚ 48ans‚
Posté(e)

ben on est pas arriver

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Membre, Le Troll de Service ●, 42ans Posté(e)
Wazu Membre 1 540 messages
42ans‚ Le Troll de Service ●,
Posté(e)

Ce qu'on aime pas ? mais c'est mon topic héééé ! Si tu réponds, je serais sûr que c'est des conneries ;)

Et bien c'est l'astuce! du siècle sa! Sa montre notre vonlonté et l'attachement pour ce forum!

Je vous propose qu'on atteigne les 5 000 messages sur ce sujet tous ensemble! ;)

Ecoute moi bien petit scarabé ;) : ici tu es sur ForumFr section Inclassables et pas flood (d'ailleur y'en a pas :bravo:) si vraiment tu veux floodez va à l'asile ... à voir tes messages ... tu dois savoir ou c'est :smile2:

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

Et à la fin tu te rends compte... que t'as passé ton temps à rien dire... à rien construire... on te prend pour quelqu'un de superficiel.. bref... néant..

;);)

D'autres astuces ? ;) quantité ou qualité ? :smile2:

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Membre, 36ans Posté(e)
mike321 Membre 471 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

1

2

3

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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)

waow tu as mis les mots sur ce que je fais depuis le début !

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Membre, 36ans Posté(e)
galopa Membre 648 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

expirer

qui a vu v pour vandetta

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Moi j'aime bien réfléchir à l'existentialisme. :smile2:

L'existentialisme semble entraîné une vision très pessimiste des relations humaines. En effet, Sartre pense que l'homme est contraint de vivre avec les autres pour se connaître et exister mais il pense également que la vie avec les autres prive chacun de ses libertés.

L'homme désespéré par sa propre banalité a construit ses propres illusions pour croire pouvoir néantiser les autres afin d'être au-dessus d'eux et ainsi s'échapper de la société.

Cette vision de la relation à l'autre comme source permanente de conflit est propre aux philosophes du XXe siècle : ainsi Malraux pense que les hommes tentent de donner un sens à leur existence en étant " plus qu'un homme dans un monde d'hommes" (André Malraux, La Condition humaine). Pour Sartre qui a beaucoup été influencé par Hegel, c'est le regard qui dévoile l'existence d'autrui. Le regard ne se limite pas aux yeux car derrière le regard il y a un sujet qui juge. Dans un premier temps, c'est moi qui regarde autrui, de telle sorte qu'il m'apparaît comme objet. Dans un second temps, c'est autrui qui me regarde, de telle sorte que j'apparaisse à autrui comme objet.

Pour Jean-Paul Sartre le fait de voir un homme, c'est inévitablement ne pas le considérer comme une chose, sinon on ne verrait pas un homme mais une chose de plus parmi les choses. Le distinguer des choses c'est établir une nouvelle relation entre lui et les choses, c'est plus simplement se nier en tant que centre du monde. La seule distinction et perception d'autrui en tant que sujet pensant me force à me remettre en question, moi et tout l'univers que je me suis construit, tout l'ordre que j'avais établi entre les choses et moi; le système égocentré que j'avais créé s'écroule soudain par la seule existence d'un être qui, étant aussi capable de penser, est aussi libre que moi et a donc aussi toutes les chances d'avoir une vision du monde qui s'oppose à la mienne.

étre vu c'est aussi être jugé.

Si autrui me regarde, je suis immédiatement modifié, altéré par son regard : je suis regardé, concerné au plus vif de mon être. étre regardé c'est agir par rapport à l'autre, c'est être figé dans un état qui ne me laisse plus libre d'agir. L'Autre nous fait être. Le problème est que l'autre nous fait être à sa convenance,il peut donc aussi nous déformer à volonté. C'est là le drame des personnages de Huis clos qui, sans miroir, ne peuvent se voir que dans le miroir déformant des yeux de l'autre. Ainsi se constitue la dialectique du regard qui commande toutes les relations concrètes avec autrui. C'est le rapport en-soi, pour-soi qui domine. Si l'objet est en-soi : il ne pense pas le monde extérieur et ne se pense pas lui-même, il est enfermé en lui-même.

L'homme est à la fois en-soi et pour-soi :car lui réfléchit, se voit et voit le monde et, par voie de conséquence,il juge le monde et se juge lui-même.

Si l'homme vivait seul, ce serait sans problème car le monde n'existerait que pour lui. Mais il y a les autres et nous devons bien tenir compte de leurs pensées. Le regard que je jette sur le monde est contredit par celui que les autres jettent dessus. Entre ma pensée et celle des autres s'établit un conflit : nos visions du monde faisant exister le monde différemment, la liberté de l'autre tend à supprimer la mienne en détournant les choses de la signification que je leur donne, en leur en accordant une autre.

Ainsi,en me regardant, l'autre me juge, me pense, il fait de moi l'objet de sa pensée. Je dépends de lui. Sa liberté me réduit à l'état d'objet, d'en-soi. "Je suis en danger. Et ce danger est la structure permanente de mon être pour autrui" (L'étre et le Néant). En un certain sens, je pourrais jouir de cet esclavage sous le regard d'autrui car je perds ma position de sujet libre, je suis devenu objet, privé de liberté et par conséquent aussi de responsabilités. Mais ce n'est là qu'une illusion car je ne peux échapper à ma position de sujet. Ma réduction à l'état d'objet ne le permet pas. Pire, elle sollicite même cette position de sujet et ceci car, pendant que l'autre me juge et fait de moi son objet, je le juge aussi, c'est-à-dire que je fais de lui mon objet, je suis donc aussi son sujet.

En me pensant, l'autre établit un jugement sur moi, jugement dont je vais tenir compte désormais pour me connaître. Autrement dit, l'autre m'oblige à me voir à travers sa pensée comme je l'oblige réciproquement à se voir à travers la mienne. Je dépends de l'autre qui dépend de moi. C'est une déformation constante d'autrui selon la volonté de chacun. Plus une conscience se sent coupable, plus elle aura tendance à charger autrui pour se défendre de son jugement. Les bourreaux de Mort sans sépulture, par exemple, veulent faire ainsi croire aux victimes qu'elles sont coupables.

Il est possible d'envisager une situation idéale où le conflit entre les libertés de chacun se désamorcerait. Cette situation pourrait être l'amour. En effet, ce sentiment permet de ne pas redouter le regard d'autrui. Je veux être l'objet de l'autre puisque je veux qu'il m'aime et de plus, m'aimant, l'autre fait de moi un objet sublimé,et grâce à lui j'échappe ainsi à ma liberté et à mes responsabilités. Je veux donc qu'il soit mon sujet. Or l'autre veut également que je l'aime, que je fasse de lui mon objet. Quand j'accepte de perdre mes prérogatives de sujet en devenant objet, l'autre qui fait de même, accepte que je sois son sujet. Ainsi les amants étant deux sujets acceptant chacun leur chosification, l'existence sans conflit est possible. Mais, ceci n'est qu'une illusion, car comme les deux amants veulent être l'objet de l'autre, ils éprouvent l'autre comme étant le sujet dont ils sont objet et non l'inverse. Autrement dit, un couple solitaire peut, sur le mensonge, édifier un équilibre plus ou moins stable.

Mais avec une tierce personne, l'illusion se dissipe nécessairement comme l'illustre le trio de Huis clos : l'amour est impossible à trois. Ainsi, l'amour réel ne peut qu'osciller entre deux extrêmes : le masochisme (où l'on se fait objet) ou le sadisme (où l'on se fait sujet). Le désir "normal" est toujours sadomasochiste. Pour Sartre, l'indifférence est elle aussi une illusion. Effectivement, ce sentiment tente de nous faire croire à notre supériorité sur l'autre. Mais en réalité l'indifférence ne libère pas d'autrui et cela parce que la seule pensée fait de la présence de l'autre un objet. Même en s'efforçant de néantiser l'autre tiers, l'homme ne peut s'empêcher de penser autrui, de rester un sujet qui le considère comme objet. La haine est le sentiment inverse, elle vise à supprimer l'autre comme sujet pensant. Mais, haïr c'est aussi reconnaître qu'on ne peut supprimer l'autre, que cet autre est un sujet contre lequel on ne peut rien faire d'autre qu'élever des cris, des malédictions. La violence est l'aveu de l'incapacité à le faire vraiment disparaître.

Ainsi l'illusion est générale. Ni l'amour, ni la haine, ni l'indifférence, ne peuvent faire sortir les hommes de l'enfer dans lequel ils sont tous plongés puisqu'il y a les autres, puisqu'il faut tenir compte de leur présence et de leurs jugements.

Le désir sexuel resterait le seul moyen de vivre en parfaite communion avec l'autre. Mais c'est là encore une manifestation de la mauvaise foi et un outil du narcissisme, or, il est lui aussi voué à l'échec. Le désir c'est la chute dans la complicité avec le corps, c'est le dévoilement de son existence. On se laisse envahir par le corps, on cesse de le fuir. Il envahit la conscience qui glisse vers un état assez semblable au sommeil. Désormais passive, il la submerge, l'envahit, la rend opaque à elle-même et compromet ainsi l'individu (cf. texte d'Alain, le physique échappe à la conscience).

En effet cela flatte d'être désiré, d'attirer sexuellement, mais on est alors par le désir même de l'autre aussitôt réduit de l'état d'une personne à l'état de corps et alors, pour se défendre, on fait du respect une essence exigible du partenaire, qui, par mauvaise foi devient envers nous obligatoirement respectueux comme la table a obligatoirement des pieds. Le désir est désir de l'autre, désir de devenir son objet, homme ou femme-objet, le désir requiert donc automatiquement l'autre même si ce dernier est absent. Nous voulons l'autre comme sujet mais nous n'avons que son corps, sa conscience est insaisissable,et c'est pourquoi il est certes possible de saisir les yeux du corps mais non le regard du partenaire. Nous pouvons alors choisir librement de nous faire submerger par la chair, de vouloir le corps de l'autre mais alors, le corps de l'autre n'est plus un Autre, c'est un corps, qui seul, n'est plus là pour rien.

Ainsi contrairement à la faim ou à la soif qui sont des besoins qui disparaissent en même temps qu'ils sont accomplis, le désir sexuel est toujours décevant et l'Homme reste sur sa faim, toujours à la quête de l'assouvissement d'un besoin contradictoire, qu'il est impossible d'assouvir pleinement.

La mort est, chez Sartre, le revers de la liberté. La mort sartrienne n'est pratiquement plus rien. Pire, elle est le triomphe d'autrui ! Une fois mort, on n'existe plus que par l'autre tant qu'il pense encore à nous et, par là même occasion, il fait de nous un objet. Mort, je ne suis plus qu'un en-soi livré à l'autre. Le pire c'est qu'autrui lui-même n'a également qu'une existence vouée à la disparition. Mourir, c'est donc n'exister plus qu'à peine en un autre qui, en disparaissant, fera disparaître l'ombre d'existence qui nous restait encore. La mort est le néant. L'angoisse ne lui appartient même pas car c'est être libre qui est bien plus angoissant. La mort supprime tout, comme un cataclysme imbécile. Elle est extérieure et contingente et elle rend la vie absurde : "Tout existant naît sans raison, se prolonge par faiblesse et meurt par rencontre. "

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Membre+, Experte en Grum's , 46ans Posté(e)
Virginye Membre+ 19 458 messages
46ans‚ Experte en Grum's ,
Posté(e)

j'aurais pas dit mieux ;)

;) :smile2: ;)

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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)
« l'existence précède l'essence »
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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)
La conscience des hommes du vulgaire (...) voit les choses dans le monde, mais non pas le monde ; elle voit ses propres actions et ses souffrances, sans se voir elle-même".

Arthur Schopenhauer

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Invité Nathaniel
Invités, Posté(e)
Invité Nathaniel
Invité Nathaniel Invités 0 message
Posté(e)

:smile2:

:bravo::mouai: :blush:

floude ;);)

A quoi ça vous sert, ce post-count ;) ?

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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)
L'hystérique souffre d'un refoulement sexuel qui dépasse la mesure normale, d'une intensification du développement des forces qui s'opposent à la pulsion sexuelle.

Sigmund Freud

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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)
La lumière fait pousser la plante, t'éteins, elle rerentre dans le pot, est-ce que ça serait possible d'éteindre pour l'expérience?
Tu deviens fou, c'est rien, les mecs te coupent un nerf, ça se fait dans l'après-midi, tu rentres chez toi le soir, t'as même pas d'observation.
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Invité Nathaniel
Invités, Posté(e)
Invité Nathaniel
Invité Nathaniel Invités 0 message
Posté(e)

Pa contre, vous floudez hors de l'asile :smile2:

laguardia; Virginye; Baboulinet; Mike, tous alerté .

TOUS !!!

éa vous apprendra a flouder ;)

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Membre, Inside, Posté(e)
Laguardia Membre 6 639 messages
Inside,
Posté(e)
Déguiser sous des mots bien choisis les théories les plus absurdes, suffit souvent à les faire accepter.

[Gustave Le Bon]

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