despotisme contre démocratie

salut tout le monde, je poste car le sujet me paraît important.

Y'en a marre des despotes.

Voilà plus de 2000 ans qu'ils nous font perdre notre temps avec leur esclavagisme de merde. La seule nouveauté c'est que chômage aidant, n'est plus esclave qui veut et la lutte est sérère. Pour que leur combine fonctionne, il faut qu'ils fassent ressurgir le despote caché en chacun de nous. Voilà comment ils divisent pour mieux régner. Les problèmes seront toujours causés par les autres et nous nous entre-tuerons si nous écoutons ces menteurs. Combien d'Einstein ou de Tesla avons nous raté à cause des inégalités volontaires engendrées par ce combat de minables. Tout cela uniquement pour avoir ce sentiment de fausse puissance qui fait le bonheur des impuissants. N'avez-vous pas encore compris que c'est justement les rabougris complexés qui tendent au despotisme ? Ceux-la mêmes qui ont peur de cette mort qui les forcera au moins une fois à donner pour la vie. La trahison, l'assassinat et la comédie fanatique sont les seuls atouts du despote. Leur richesse est toujours virtuelle contrairement à celle d'un peuple. Changeons notre monnaie et leur puissance n'est plus. Par contre, mettez un vrai démocrate en prison et dix ressurgiront pour continuer la lutte de plus belle.

N'avez-vous aucun respect pour la France, la Marseillaise et la démocratie ? Réveillez-vous humbles démocrates du gouvernement et vous aurez derrière vous la vraie puissance : celle d'un peuple qui vous soutient. Les urnes sont désertées uniquement par le fait que la démocratie n'est plus un choix possible. Qui sont encore les fautifs ? Nous bien sûr, les méchants non citoyens qui ne croyons plus aux politiques corrompus ou simplement stupides. Voilà la vérité : « Liberté, Egalité, Fraternité » sont bafouées par tous les politiques. Continuez sur cette voie et ce n'est qu'une question de temps pour que le système ne s'écroule encore une fois comme un château de carte. Les têtes doivent-elles tomber pour le meilleur et pour le pire comme nous l'avons déjà vécu ? N'y a-t-il pas de cours d'histoire à l'E.N.A. ? Est-ce du sang qu'il vous faut ? Des sacrifices humains ? Répondez bons dieux. Si vous n'êtes pas capables de gouverner, les ressources humaines ne manquent pas et nul n'est irremplaçable. C'est un crime contre l'humanité que de prendre la direction de millions de personnes avec une étiquette qui ne colle pas au produit. Vous n'êtes pas des démocrates mais des despotes financés dans leurs élections par d'autres despotes qui tirent les ficelles à eux.

Remettons en place les services d'échanges locaux égalitaires (S.E.L.). Une heure de l'un est équivalente à une heure de l'autre, j'y tiens particulièrement. Etendons le au possible et vous verrez les faux puissants venir quémander un peu de pain sous peu. Le jour où le peuple décidera qu'il n'a plus de dette, il n'en aura plus et les despotes paieront la note virtuelle de notre sueur. La crise économique n'est pas notre combat. Notre combat est pour la vie et l'évolution de tous. Il ne vous reste que peu de temps avant que l'esprit ne gagne comme nous l'a toujours prouvé l'évolution. Votre monnaie mondiale n'empêchera rien et la confiance est perdue. Avez-vous déjà entendu parler du projet Venus ? (cf « Zeitgeist ») (http://www.thevenusproject.com)

La gauche, la droite, le peuple en bas, il ne manque plus grand-chose pour avoir le signe de la croix avec l'élite démocratique clouée dessus. La bible du despotisme, enseignée par le pape et sa clique de culs bénis est complète, il n'y a plus qu'à tirer les leçons. Combien de fois devrons-nous répéter l'histoire pour se débarrasser de ces croyances religieuses. Nous avons un temps de vie éphémère mais un temps de mort infini, le papillon ne s'en plaint pas lui. Nous savons déjà tous ce que sont le bien et le mal. Vous connaissez beaucoup de personnes heureuses de voir le malheur ? Criminalité, pollution, guerres, famines, maladies pratiquement tous les problèmes de ce monde viennent directement ou indirectement du despotisme que nous laissons s'étendre, même en nous, libres esclaves de la valeur virtuelle.

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