Ecrire a 10000 mains

Je suis tombé completement amoureux du texte et de l'idée de Perle et Rems. Pour ceux qui seraient passé à côté, aller voir ce qu'ils font. L'idée est de créer une histoire avec l'aide de tout le monde.

Je commence

Ce jour là, il se sentait plutôt serein. Il longeait la 42ème, le bruit des voitures ne lui fouettait plus les oreilles, la journée s'achevait enfin. La nuit s'emparait petit à petit de la lumière du jour et le halo des automobiles lui donnait un regard vide. Pour une fois il ne pensait pas à ce physique qui l'avait toujours empêché de vivre. Il n'y pensait pas, d'ailleur il ne pensait plus à rien.

Ca motive vraiment personne?? Vous aimez pas ecrire?

Salut!

Je suis tombé completement amoureux du texte et de l'idée de Perle et Rems. Pour ceux qui seraient passé à côté, aller voir ce qu'ils font. L'idée est de créer une histoire avec l'aide de tout le monde.

Je commence

Ce jour là, il se sentait plutôt serein. Il longeait la 42ème, le bruit des voitures ne lui fouettait plus les oreilles, la journée s'achevait enfin. La nuit s'emparait petit à petit de la lumière du jour et le halo des automobiles lui donnait un regard vide. Pour une fois il ne pensait pas à ce physique qui l'avait toujours empêché de vivre. Il n'y pensait pas, d'ailleur il ne pensait plus à rien.

...pas même à répondre à un topic qui n'intéresse visiblement personne...

Ca motive vraiment personne?? Vous aimez pas ecrire?

je viens de créer un topic de concours d'écriture (si jamais ça te tente )

Mais bon, il aura sans doute autant de succès que le tien (mais qui ne tente rien n'a rien ).

Ce jour là, il se sentait plutôt serein. Il longeait la 42ème, le bruit des voitures ne lui fouettait plus les oreilles, la journée s'achevait enfin. La nuit s'emparait petit à petit de la lumière du jour et le halo des automobiles lui donnait un regard vide. Pour une fois il ne pensait pas à ce physique qui l'avait toujours empêché de vivre. Il n'y pensait pas, d'ailleur il ne pensait plus à rien.

Il voyait le bonheur des autres. Son physique ingrat ne lui permettait pas d'avoir une vie amoureuse. Qui aurait voulu de lui ? Il était un fantôme qui longeait les murs de la vie. Un simple passant de l'existence qui ne laisserait aucune trace. Pas même l'écho d'un rire.

Pourtant, dans son poing serré, il tenait un papier froissé, sur lequel une adresse était griffonnée.

Ce jour là, il se sentait plutôt serein. Il longeait la 42ème, le bruit des voitures ne lui fouettait plus les oreilles, la journée s'achevait enfin. La nuit s'emparait petit à petit de la lumière du jour et le halo des automobiles lui donnait un regard vide. Pour une fois il ne pensait pas à ce physique qui l'avait toujours empêché de vivre. Il n'y pensait pas, d'ailleurs il ne pensait plus à rien.

Il voyait le bonheur des autres. Son physique ingrat ne lui permettait pas d'avoir une vie amoureuse. Qui aurait voulu de lui ? Il était un fantôme qui longeait les murs de la vie. Un simple passant de l'existence qui ne laisserait aucune trace. Pas même l'écho d'un rire.

Pourtant, dans son poing serré, il tenait un papier froissé, sur lequel une adresse était griffonnée.

On le lui avait glissé sous la porte la nuit dernière. Il était 23h58 quand il s'était mit en tête de se la faire exploser, il y aurait laissé une trace, sur les murs au moins. C'est lorsque le canon de son arme caressa ses longs cheveux gras qu'il entendit le bruit, le bruit qui allait changer sa vie. C'était le bruit d'une petite enveloppe qui se glissait délicatement dans son existence.

Sur le moment, ce fut seulement la surprise de la lettre glissée sous la porte qui lui fit reculer le moment de l'irréparable.

Il posa l'arme sur la table de chevet dans un bruit mat.

Il marcha lourdement vers le petit rectangle beige, à peine éclairé par la lumière qui filtrait sous la porte.

Il tourna et retourna l'enveloppe dans sa main, un peu étonné. Puis il se décida à l'ouvrir.