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Membre+, Chercheur de saveur et rimeur de gout, 41ans Posté(e)
bibi07 Membre+ 5 261 messages
41ans‚ Chercheur de saveur et rimeur de gout,
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Le Bannissement


06 Février 2008

Titre original : Izgnanie

Réalisateur: Andrei Zviaguintsev
Pays: Film belge, français, russe
Genre: Drame
Duré©e: time.jpg 2h 30min
Acteurs: Konstantin Lavronenko, Maria Bonnevie, Alexander Baluyev

Synopsis Un homme, sa femme et leurs deux enfants, quittent une cité industrielle pour la campagne d'où est originaire le mari et s'installent dans la vieille maison du père de celui-ci.
En contraste avec le lieu d'avant (la ville qui enjolive les rapports entre les personnages), le nouveau lieu est donc la Nature, une nature envoûtante.
Et personne ne retiendra la main du père levée sur son fils. Aucune voix ne sera entendue, le fils ne sera pas remplacé par l'agneau. Car celui qui brandit le couteau n'entend pas, ses yeux ne voient pas, son coeur est sec. Mais sa foi en la "loi" de la fierté humaine est aussi violente qu'insatiable.
Comme n'importe quel film, Le Bannissement parle, quelle qu'en soit la manière, de nous tous : de gens beaux et charitables plongés dans des circonstances tragiques et sans issue.

En attendant Notre Avis pour amateur de la bible :snif:

Notre Note : /5

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VIP, Mangeur de fromage, 45ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
45ans‚ Mangeur de fromage,
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Le «Bannissement» révélé


Mercredi 06 Février - 10:59

Western. Prix d'interprétation à Cannes, le deuxième film, complexe, du Russe Zviaguintsev.



Successeur d'un premier film surestimé (le Retour), le Bannissement a reçu à Cannes sa volée de bois vert. L'écho critique lui a reproché d'être complaisant avec la durée, d'abuser du bras de fer avec le spectateur, de s'être perdu dans une démonstration de savoir-faire. Coupable d'être en lice la même année avec un Reygadas abusif et un Bela Tarr au summum de son propre système extatiquo-dépressif, Zviaguintsev a pris sa raclée avec les autres. En faisant le ménage dans notre mémoire embuée, on devrait même pouvoir se souvenir d'un imbécile heureux tout en eau, s'ébouriffant en déclarant qu'«à ce rythme-là, c'est tout le cinéma qu'on assassinait».



Suite de l'article...
Source: Libération


A lire aussi :
"Le Bannissement" : récit solennel d'une damnation(Le Monde)
Andreï Zviaguintsev: «Nous sommes tous bannis» (Le Figaro)
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