

Delenda Carthago est
-
Compteur de contenus
4 165 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
3
Delenda Carthago est's Achievements
Baby Forumeur (1/14)
946
Réputation sur la communauté
A propos
Je n'ai pas jugé utile, pendant longtemps, de mettre quelque chose sur cette page. Je n'y voyais pas d'intérêt réel.
Maintenant, je pense que si.
Je crois que la première chose à dire est que je suis étudiant en Histoire. C'est là ma grande et presque unique passion. J'aime bien débattre, j'aime bien certaines activités. Mais ma seule réelle passion est l'Histoire.
C'est quelque chose d'essentiel à mes yeux. Si l'on ne connaît pas l'Histoire, on ne peut comprendre le monde. Et bien plus encore.
Me comprendre nécessite d'avoir à l'esprit ce point. Je me réfère fréquemment à l'Histoire. Et ma pensée en vient en partie, peut-on dire.
Mais passons.
Je ne suis pas quelqu'un que l'on rencontre fréquemment. Politiquement, nombreux sont ceux qui me classent à l'extrême-droite. Ce qui n'est pas exact.
En fait, pour beaucoup, je ne suis pas vraiment compréhensible. L'un des membres de ce forum m'as dit un jour par MP: "J'ai l'impression de parler avec un homme du XVIIe siècle".
Il n'avais pas tort, même s'il n'avais pas tout à fait raison.
La vérité réside dans le fait que je suis un penseur classique. Ou plutôt, néo-classique. La pensée actuelle, moderne, ne me convient pas. Je la comprend, je la connais. Mais elle ne vaut pas grand chose à mes yeux. Mais je ne suis pas totalement un clasique: je vis dans une époque moderne. Je ne peux nier qu'une partie de moi est imprégnée par la pensée moderne.
Mais pour l'essentiel, je suis un classique.
Ce qui explique en fait que beaucoup de concepts utilisés à toutes les sauces aujourd'hui ne valent rien pour moi. Des concepts tels que la tolérance, le multi-culturalisme, l'égalité n'ont pas pour moi l'importance qu'ils ont dans notre société.
Dans le domaine politique, je ne suis guère plus simple. En tant que "néo-classique", la question du régime ne se pose pas pour moi avec la même intensité que pour des modernes. Je serais favorable à un régime qui fonctionne. Si une dictature assurait le bien commun en France, j'y serais favorable.
Je ne considère pas que la démocratie est le meilleur des régimes. D'ailleurs, je considère que ce régime politique ne peut pas fonctionner, du moins en France. Pour diverses raisons.
Bien qu'admirateur de ce que fut la monarchie française, je ne crois guère en la possibilité d'une Restauration. Les temps ont par trop changés, les mentalités aussi.
Pour finir, je souhaitais faire une observations quand à beaucoup de qualificatifs que je reçois fréquemment.
Oui, je suis un nazi. Oui, je suis un fasciste. Oui, je suis un raciste. Oui, je suis un xénophobe. Et j'ajoute que j'en suis fier.
Cela en étonnera plus d'un. Mais voilà: ces mots n'ont plus aucun sens. Ce ne sont plus les qualificatifs qu'ils étaient. Ce sont devenus des insultes, destinées à faire taire, à rabbaisser. Rien d'autre. Ces mots ont perdus leurs sens, leur sens réel et historique. J'ai vu ici quelqu'un dire que le fascisme, c'est le totalitarisme et l'extrêmisme. Il y rangeait même le communisme et l'islamisme.
Ces mots n'ayant plus aucun sens, m'en revendiquer n'est qu'une façon de me moquer de tous ces crétins qui en usent à tort et à travers sans considérations aucunes pour la vérité historique.
Bien sûr, si je prend ces mots, ces idéologies, dans leur sens réel et historique, je ne suis évidemment rien de tout cela. Je ne suis ni nazi ni fasciste. Je n'ai rien de xénophobe ni de raciste. Mais pour comprendre cela, il faut savoir ce que ces mots définissent. Ce que notre société actuelle a oublié. C'est pourquoi j'ose me revendiquer de ces idéologies.
Parce que je n'ai pas peur de ces insultes. Me les lancer à la figure ne me fera que rire aux éclats. A quoi bon me dire "t'est un fasciste" alors que cela n'aura d'autre effet que de me faire rire et de me voir répondre "eh oui!"?
.............................................................................................
Lettre ouverte aux Parlementaires françaisNous avons moins de trente ans. C’est nous qui hériterons de l’avenir que vous préparez aujourd’hui. Or vous serez bientôt conduits à vous prononcer sur l’évolution du mariage, et votre décision comptera pour dessiner cet avenir ; aussi avons-nous notre mot à dire.
Vous pensez peut-être que l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe n’est pas d’une grande importance, et que d’autres sujets sérieux pourraient nous préoccuper. Nous sommes nés dans un monde en crise, et cette crise devrait être l’unique sujet d’inquiétude de notre génération. Mais nous pensons justement que la question du mariage en est l’un des aspects majeurs. C’est cette inquiétude qui nous pousse à parler aujourd’hui, et elle seule : nous refusons une réforme qui ne pourra qu’aggraver la précarité des équilibres sociaux, et dont les plus jeunes seront les premières victimes.
Toutes les formes de la crise que nous traversons sont le résultat d’une même rupture. Au nom du progrès et de la consommation conquérante, l’individualisme de nos sociétés occidentales a partout produit l’affaiblissement des repères fondamentaux. Il y a trente ans, dans le monde de l’économie, appeler à la mesure dans la consommation ou au respect de la nature vous valait d’être considéré comme un rétrograde ou un marginal. Aujourd’hui, c’est une nouvelle forme de dérégulation qui s’annonce, cette fois-ci en matière de droit de la famille : une petite minorité, munie des armes classiques du lobbying politique et médiatique, martèle que la structure ancestrale de la famille, fondée sur l’alliance complémentaire d’un homme et d’une femme, doit être dépassée. Elle exige, sous prétexte de « progressisme », qu’on adapte la définition de la famille à la mesure de son désir, qu’elle prétend, à tort, partagé par toutes les personnes homosexuelles. Et qu’on lui cède, sans discussion, des enfants adoptés, ou fabriqués pour l’occasion s’il venait à en manquer.
Les voix qui alertent ne manquent pas. Des juristes, qui appellent à la prudence avant de bouleverser le socle même du droit de la famille et de la filiation. Des associations d’enfants adoptés, qui, avec les psychologues et les pédopsychiatres, s’inquiètent des conséquences sur les enfants. Des psychanalystes, qui rappellent combien la différence des sexes est nécessaire à la construction des personnalités et des sociétés. Tout cela est balayé d’un revers de main : ceux qui doutent de cette réforme sont taxés en bloc de passéisme. Et pourtant, les rétrogrades ne sont pas où l’on croit : au nom des vieilles revendications d’une idéologie dépassée, certains voudraient refuser un débat nécessaire, et écarter ces voix qui pointent le risque pour les générations futures – pour notre avenir ! Mais comment accepter que le principe de précaution s’applique pour la défense de l’environnement, et non lorsqu’il s’agit de nos enfants ?
Nous ne parlons au nom d’aucun conservatisme, d’aucune haine. Nous serons les premiers à le rappeler, toute personne doit être absolument respectée dans sa dignité ; et nous espérons que notre jeunesse saura toujours se révolter contre le mépris, l’intolérance et la discrimination. L’injustice est scandaleuse quand elle touche les personnes homosexuelles ; mais elle ne l’est pas moins quand elle atteint les enfants. Affirmer que la société doit offrir à chaque jeune, autant qu’il est possible, de grandir avec un père et une mère ; que c’est le bien des plus petits qui doit être notre première préoccupation ; que le droit ne peut réinventer les liens de filiation pour satisfaire le désir des adultes – rien de tout cela n’est homophobe !
Nous voulons parler pour les plus vulnérables d’entre nous. Les jeunes, dans notre pays, sont touchés de plein fouet par la précarité ; comme partout, quand la crise frappe, c’est vers leur famille qu’ils se tournent. Dans les années d’épreuve qui s’annoncent pour notre génération, dans l’instabilité du monde qui vient, nous aurons plus que jamais besoin de la stabilité des repères familiaux. Le bouleversement que susciteraient ces filiations artificielles, séparées de la complémentarité des sexes, fragiliserait définitivement la structure la plus nécessaire. Le mariage pour tous, c’est, en fin de compte, la famille pour personne. C’est le législateur qui fuit son rôle, parce qu’il abandonne, au nom d’un faux progrès, la norme et le bien communs. C’est la République qui perd du terrain, au profit de l’individualisme consumériste et du communautarisme identitaire. Et quand le terrain perdu est celui de la famille, alors, le perdant, c’est l’enfant. Nous ne pouvons prendre ce risque ; nous comptons sur vous !
Tribune parue dans le quotidien Libération, en date du 4 décembre 2012
sous le titre « Mariage pour tous, justice nulle part ! »
http://generationjus...les-signataires
Delenda, lui-même signataire de ladite tribune sous son identité réelle.
.............................................................................................
Vous êtes pédophiles? Vous souhaitez vivre votre amour avec des enfants en toute liberté?Vous pratiquez l'inceste amoureusement et souhaitez voir votre union reconnue?
Faites appel à la team Crabe_frantome and co. A l'aide de ses joyeux camarades, il n'hésitera pas à vous défendre de toutes ses forces. Il suffira de leur dire que vous vous aimez et que vous souhaitez, comme les homosexuels avant vous, avoir l'égalité des droits et mettre fin à cette horrible oppression et persécution qui vous accable.
La team Crabe_fantôme, blatte et casdenor volera immédiatement à votre secours!
.............................................................................................
Sur ce forum, certains peuvent se permettre de publier des tomberaux d'injures à peines voilées sans recevoir la moindre la réprimande. Par contre, d'autres ne peuvent pas répondre à un sujet sans voir aussitôt leurs messages supprimés parce que la "modération" trouve que ça ne passe pas.