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-stephanie-

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À propos de -stephanie-

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  1. ;)et en plus il a inventé les faux seins...humour quand tu nous tient...
  2. c'était une blague imagé un peu gentille histoire d'essayer de faire comprendre une idée... j'ai mis un smillé, il me semble que c'était clair mais bon ça va j'arrête mes blagues, ça fait rire que moi apparemment.
  3. bon je préviens j'ai eu un problème de balise fermées ouvertes, je sais pas quoi. donc j'ai viré les balises. excusez la présentation du message. (y a pas le grand carré avec les petits carré dedans) j'ai mis en italique mes réponses. j'espère que c'est compréhensible. "La nature, c'est le hasard et la sélection naturelle.". non c'est soit le hasard soit la sélection naturelle Le hasard, ce sont les mutations aléatoires. je ne pense pas que les mutations soit aléatoire. on peut croire au hasard à deux conditions : - on ne voit que les conséquences sens voir les causes - on ne croit que ce qu'on voit le reste on le suppose inexistant. Je ne dirais pas ça comme ça. - Tu jettes des dés, il y a un tas de causes qui feront que ce soit un tel ou tel résultat, tu ne peux pas le calculer, j'appelle ça le hasard (même si dans ce cas, il est déterministe). - OK tout est plan divin, etc... Mais ça n'explique pas par "quel hasard" il y a un Dieu donc tu reconnais que ce que tu appelle le hasard est en fait une multitude de causes agissent simultanément, avec une importance plus au moins grande, en ayant des conséquences plus ou moins contradictoires, et que étant donnée que tu as un trop "petit cerveau" pour tout analyser tu ne comprends pas les causes et que puisque ça "t'emmerde" de pas comprendre tu préfère dire que tout ça n'a pas de sens alors que ça en à un? après je suis d'accord c'est à chacun de trouver un sens à ça vie : certains peuvent le trouver dans la foi Et je n'y vois aucun problème, je respecte les croyants. dieu est silencieux, oui. est il absent? il serait plus juste de dire que toi, personnellement tu n'arrive pas concevoir cette idée (je suppose que tu n'y voit pas d'utilité?). C'est pas ça, c'est que les religieux ont tellement repoussé Dieu en dehors de notre Univers pour qu'il colle avec l'observation qu'on a de notre monde, que, s'il existe ou pas, ça devient la même chose. donc tu n'y vois pas d'intérêt, donc tu choisis de ne pas y croire. c'est en ça que ton raisonnement est moderne, matérialiste, individualiste..... tu ne pense et tu ne conçois que ce qui pourrait avoir une utilité (matérialisme) pour t'as vie (matérialisme) personnelle (individualisme). utilité = matérialisme vie = matérialisme personnelle = individualisme on peut penser que tout les hommes (...) sont tous, de manière égale soumit à quelque chose qui leur est supérieur. j'appelle ça dieu, car je suis quelqu'un de logique (une cause = une conséquence Si tu es quelqu'un de logique pour qui une cause = une conséquence, qu'est ce qui a causé Dieu ? Et si Dieu dit rien et ne se manifeste pas, comment être soumis à lui ? Et si ton Dieu à toi n'est pas le même que les dieux des gens qui sont au-dessous de toi, qui a raison ? Autant de questions qui me confortent dans l'idée de la laïcité. rien n'a causé dieu puisque il est à la fois sa propre cause et conséquence (il se suffit en lui même, il n'a pas besoin de cause pour être), et qu'il n'y a rien avant lui ni après lui (dans le temps et dans l'espace) puisqu'il n'est ni soumis au temps ni à l'espace ni à d'autres dimensions que nous ne connaissons même pas. a priori dieu s'est déjà manifesté au travers des prophètes. vue que les prophètes ne sont que des hommes ils ont peut être involontairement modifié le message que dieu leur avait donné. donc la soumission à dieu est quasiment impossible au vu de nos connaissances. c'est pour ça que je te répondrai que la soumission à dieu est à la fois le chemin et le but. le but car c'est ce que tu souhaite atteindre, le chemin parce que quand tu penses te soumettre à dieu ça n'ait peut être pas le cas. mais bon t'essaies quand même. je pense que dans la vie le tout n'est pas d'y arriver c'est d'au moins se donner les moyens d'essayer d'y arriver. les religions sont différentes mais l'idée de dieu, la croyance reste groso-merdo la même. même si les gens ne conçoivent pas dieu de la même manière ça ne l'empêche pas d'exister. "la vérité est un éléphant touché par trois aveugles. le premier touche la trombe et dit : c'est un serpent ; le deuxième touche une patte et dit : c'est un arbre ; le troisième touche la queue et dit : c'est un ver de terre" tu vois bien que tous les trois se trompent, que tous les trois ont touché la vérité, et que même si personne n'a comprit que c'était un éléphant au final l'éléphant existe quand même. donc dans la forme toutes les religions ont tords et dans le fond elles ont toutes également raison. imagine que là un quatrième aveugle arrive et dit : "vous dites que des conneries : le serpent, l'arbre et le ver de terre n'existe pas.". et ben lui c'est l'athée : il a rien touché du tout et il a rien comprit le pauvre.:D
  4. C'est ton interprétation et je ne m'y retrouve pas du tout. Non, la religion, c'est une idéologie avec sa dogmatique, comme les autres. C'est surtout comme ça qu'on a créé des bains de sang !Le christianisme est un échec. L’islam est un échec. Le communisme est un échec. Le capitalisme est un échec. Pas vraiment. La nature, c'est le hasard et la sélection naturelle. On peut souhaiter la liberté sans être utopique. Dieu ne donne pas de sens, c'est à chacun de trouver un sens à sa vie. Mais le gros problème de la soumission à Dieu, c'est qu'Il est silencieux, Il est absent. On se retrouve au final obligé à se soumettre à des hommes, ceux qui ont écrit des textes "saints", ceux qui les interprètent, ceux qui se disent messagers, ministres, exécutifs, porte-parole, représentants - et avec l'infaillibilité qui va avec - donc "se soumettre à Dieu", ça ne veut rien dire du tout, on fini toujours soumis à une autorité humaine, qu'on en soit conscient ou pas. Moi, je préfère en être conscient.Bonne journée. bonjour, je me permet de commenter deux ou trois détails. "La nature, c'est le hasard et la sélection naturelle.". non c'est soit le hasard soit la sélection naturelle : la sélection naturelle ne se fait pas au hasard, elle se fait en fonction des capacités d'une l'espèce. ça ne laisse pas de place au hasard : par exemple, lors d'un changement climatique certains individus d'une même espèce seront mieux adaptés et survivront, les autre disparaitront. ça n'est pas le hasard : c'est une cause (changement climatique) et une conséquence (survie d'une seule partie de l'espèce en fonction de critères bien définit). on peut croire au hasard à deux conditions : - on ne voit que les conséquences sens voir les causes - on ne croit que ce qu'on voit le reste on le suppose inexistant. après je suis d'accord c'est à chacun de trouver un sens à ça vie : certains peuvent le trouver dans la foi, ça n'est pas une obligation mais c'est un droit, une liberté et je souhaite comme toi la liberté.:) dieu est silencieux, oui. est il absent? il serait plus juste de dire que toi, personnellement tu n'arrive pas concevoir cette idée (je suppose que tu n'y voit pas d'utilité?). en effet, on finit toujours soumit à des hommes. (c'est comme ça, ça s'appelle vivre en société). après on peut penser que tout les hommes quelque soit leur place dans cette société (et donc quelque soit leur degré de soumission vis à vis des autres hommes) sont tous, de manière égale soumit à quelque chose qui leur est supérieur. j'appelle ça dieu, car je suis quelqu'un de logique (une cause = une conséquence (même si la cause semble abstraite)). tu peux appeler ça le hasard ( tu accepte les conséquences sens les causes, chacun sa logique, je respecte même si je comprend pas). en effet, qu'on ait conscience ou pas d'être soumis à des hommes, on l'est de toutes manières, la conscience n'y change rien. le fait de vouloir essayer de se soumettre à quelque chose de supérieur (et silencieux, et invisible) n'enlève pas le fait d'être conscient de vivre en société et toute la soumission vis à vis des autres hommes que cela comporte. par contre cela peut permettre de relativiser, d'avoir plus de recul sur cette soumission et même dans prendre plus conscience. voilà, j'ai fini. bonne soirée à toi.
  5. l'athée ne conçoit que ce que j'appelle "la science des choses matérielles" ou science moderne. par "choses matérielles" j'entend tout ce qui est quantifiable, tout ce à quoi on peut donner une unité de mesure (mètre, gramme, calorie, mètre/seconde ...). le croyant est capable de concevoir qu'il existe des choses non quantifiable (dieu, l'âme...). les religions sont donc "des sciences des choses immatérielles". cela n'empèchera pas aux croyants de reconnaitre l'existence ou l'intérêt des choses matérielles. l'athéisme n'a prie son essor qu'au moment où le matérialisme est apparue, ce qui est logique puisque l'un ne va pas sens l'autre. (biensur il existait des cas exceptionnels avant) C'est une vision par trop inexacte. Un scientifique, athée ou non, accepte beaucoup de choses qu'il ne pourra jamais quantifier avec certitude. Par exemple, en astrophysique on parle de matière noire et de masse manquante. 9/10e de l'Univers visible serait constitué d'une matière noire jamais observée... En outre, on accepte, toujours en astrophysique que l'Univers s'étend au-delà de l'Univers observable, la partie inobservable derait plus grande que la partie observable de centaines d'ordres de grandeur. De même, la notion de vide, de dimension, de temps sont acceptées alors qu'en physique quantique ils n'existent pas. L'Univers n'est pas séparable selon les expériences sur l'intrication quantique, donc : tout n'est que quantité d'informations. L'athée qui croit aux sciences croit donc en des choses qu'il ne pourra jamais voir, en des choses qu'il croit voir mais que la science lui démontre que ce sont des illusions produites par lui-même (dimension, temps, matière, couleur, odeur, saveur, goût etc.). Quand à l'âme etc., nous sommes d'accords que la science a prouvé que son existence n'est pas nécessaire pour expliquer quoi que ce soit dans un organisme biologique. Si nous pouvions constituer Claudia Schiffer particule par particule, elle serait l'exacte clone quantique de l'originale et vivante... le problème n'est pas de quantifier avec certitude ou sens certitudes, le problème c'est de n'accepter que des choses quantifiables ou possiblement quantifiables (peut importe la marge d'erreur). matière noire, masse manquante : qu'elle soit noire ou manquante ou invisible ou jamais observée (pour l'instant mais on pense qu'elle le sera un jour) ou ce que tu veux ça reste interprété comme de la matière et dans ce cas là l'athée l'accepte. il y a plein de chose qu'on ne peut pas voir mais auxquelles on peut donner des unités de mesure : air (concentration des différents gaz, mouvement dans l'espace...), les réactions chimiques se produisant à l'intérieur du corps (masse moléculaire des molécules inter-agissants, vitesse des réactions selon qu'il y est un catalyseur ou pas...), l'apesanteur (on voit le résultat mais pas la cause elle même). la science veut expliquer se qui se passe dans un organisme. organisme = atomes = molécules = tissus...bref l'organisme c'est la partie matérielle d'une personne. son âme est sa partie immatérielle. donc tu es d'accord avec moi pour dire que la science moderne ne s'intéresse qu'aux choses matérielles : le reste est soit inexistant soit inintéressant. particule par particule : soit matière par matière. et une fois que tu as recréé de manière identique un tas de matière, pense tu que l'âme qui si logera sera la même?
  6. Je ne sais pas quand le matérialisme est apparu, mais Démocrite, un des plus célèbres matérialistes, c'était 4 siècles avant JC, période où l'athéisme était marginal. L'athéisme s'est surtout développé aux XVIIIème/XIXème siècles. biensur il existait des cas exceptionnels avant.
  7. l'athée ne conçoit que ce que j'appelle "la science des choses matérielles" ou science moderne. par "choses matérielles" j'entend tout ce qui est quantifiable, tout ce à quoi on peut donner une unité de mesure (mètre, gramme, calorie, mètre/seconde ...). le croyant est capable de concevoir qu'il existe des choses non quantifiable (dieu, l'âme...). les religions sont donc "des sciences des choses immatérielles". cela n'empèchera pas aux croyants de reconnaitre l'existence ou l'intérêt des choses matérielles. l'athéisme n'a prie son essor qu'au moment où le matérialisme est apparue, ce qui est logique puisque l'un ne va pas sens l'autre. (biensur il existait des cas exceptionnels avant)
  8. je cite ton message parce qu'en deux lignes tu as réussi à résumer toute la mentalité moderniste, laïciste et individualiste (je fais ce que je veux même si c'est n'importe quoi, je suis soumis à la société de consommation, à mon patron mais surtout pas à quelque chose d'immatériel, l'immatériel n'existe pas, dieu n'existe pas....). c'est impressionnent. la religion est au dessus d'un idéal. (exemple d'idéal : société capitaliste, communiste....bref rien à voir avec la religion). mais bon c'est vrai qu'on confond souvent les deux quand on est laïque. tu es anti-idéaliste... super : c'est comme ça qu'on a fait avancer le monde, qu'on a créé des civilisations : en ne suivant strictement aucun idéal... stabilité et fixation... rapport avec la saucisse...la stabilité permet la continuité, l'ordre, la logique, elle donne un sens à une vie personnelle, à un peuple, à une société, à une civilisation. l'instabilité, qu'est ce que ça peut apporter? dans t'as vie personnelle par exemple : trois divorces, 6 licenciements, 8 déménagements...chouette alors qu'est ce qu'on s'amuse.... la nature c'est la stabilité : elle obéie à des règles, à des lois immuables; les mouvements, les changements sont ordonnés et logiques, ils ont un sens. ce sens ne change pas : tout dans l'univers à sa raison d'être, rien n'est laissé au hasard. botter l'arrière-train d'un dictateur, biensur c'est extrêmement facile : il suffit juste de risquer ça vie pour un idéal. oups...tu n'en as pas. "l'athéisme c'est vivre debout"??? non c'est vivre soumi à autre chose que dieu : cela peut être la nature (vivre comme un animal, dans une grotte, sans amis, sans amour, sans art, en mangent par terre comme un chien), un autre homme (dictature), à une matière (l'argent), ou tout simplement à ses instincts (en gros la nourriture et le sexe). c'est pas joli, joli. mieux vaut être soumis à dieu, c'est à dire à ce qui donne sens à toutes choses.
  9. -stephanie-

    Autoriser l'euthanasie ?

    si mais c'est pas moi qui décide des termes... à la limite tu peut dire : "j'ai fait piquer mon chien, tu comprends il souffrait trop". pour un membre de t'as famille, tu pourrais dire "on a abrégé les souffrances de mon grand père, tu comprends il souffrait trop", ou "j'ai fait piquer mon grand père"... mais bon c'est moins politiquement correct.:D mais c'est intéressent de remarquer que : - dans la première phrase tu es actif dans l'euthanasie (c'est toi qui fait piquer), alors que dans la deuxième tu ne désigne même pas la personne qui fait l'action : c'est juste "on"; - dans la deuxième phrase tu sort des grands mots (abrégé les souffrances), ça donne l'air plus humaniste (tu peux même rajouter que c'était par respect par sa dignité, ça donne l'air d'être un intellectuel/philosophe); - dans la première et la deuxième phrase, l'excuse est la même, dans les deux cas ça passe bien.
  10. mais si t'es homosexuel ou polygame rien ne t'en empêche, on ne va pas te jeter en prison pour ça : tu es libre de le faire. pour l'héritage tu peux faire un testament, non? et pour ce qui est du manque de reconnaissance sociale : je pense pas que ça t'empêche d'avoir les relations que tu souhaite. c'est plus difficile si c'est pas reconnu, et? d'accord je compati à la souffrance des gens, y a pas de problème. mais on gère pas une société en ayant une vision juste sentimentale/émotionnelle des choses. le mariage est un élément de notre civilisation, une structure de base, évitons d'en faire n'importe quoi. c'est un repère pour la société ça permet aux gens de se situer. je ne pense pas que le problème soit d'être libre ou pas, le problème c'est dans quelle civilisation voulons nous vivre? si on ouvre le mariage à l'homosexualité et à la polygamie (si on fait l'un, pourquoi pas l'autre?) ça ne serait pas une évolution des mœurs, ça serait un changement de civilisation. c'est pas juste une question de sentiments, de liberté (à savoir si ça existe réellement) ou d'argent (bonus fiscaux, héritage...).
  11. -stephanie-

    Autoriser l'euthanasie ?

    salut, alors moi j'ai voté contre. déjà comparer l'euthanasie des animaux et des humains c'est... inhumain. comme dit plus haut les gens se débarrassent facilement d'un animal : les soins coutent trop cher, et ils ont pas forcement envie de garder un animal malade à la maison (donner les médicaments, ramasser les excréments, aller chez le véto tout les deux jours...). ensuite je pense que si on ne pratique pas d'acharnement thérapeutique (laisser quelqu'un branché à plein de tuyaux pendant 50ans alors qu'il ne peut pas bouger, manger, respirer seul) déjà il y aurait beaucoup moins de "légumes". je crois qu'il y a déjà une loi contre l'acharnement thérapeutique. si on autorise l'euthanasie il y a forcement des risques de dérive : - la famille qui veut toucher l'héritage ou simplement se débarrasser d'un "fardeau" - les hôpitaux qui ont peu de personnel et de moyen (libérer un lit, diminuer la charge de travail) en sachant qu'il y a la possibilité d'euthanasie on peut supposer que sur le long terme : - on investira moins dans les soins palliatifs (prix plus élevé qu'une euthanasie) - les gens supporteront de moins en moins la "dégradation" du corps (la vieillisse, la maladie) ce qui est déjà le cas (lifting, ne plus faire de veiller avant un enterrement) - on pratiquera l'euthanasie de plus en plus et de plus en plus facilement et rapidement (j'ai plus de 70ans, je ne supporte pas de voir mon corps dans cet état de délabrement, hop! euthanasiez moi, vite, je souffre trop, je suis un boulet : je ne travail plus, je ne peux plus faire du ski, ni de moto quelle horreur...) un peu comme pour l'avortement (le délai légal augmente, ça ne devait concerner que quelque exception) j'ai déjà travaillé à l'hôpital et vu des gens dans un sale état qui n'avait aucune chance de s'en sortir : personne ne m'a jamais dit "tuez moi, je veux mourir". les gens disent quand ils souffrent, ils demandent des médicaments pour être soulagé mais pas pour mourir. après le suicide n'est pas interdit par la loi. donc moi je suis contre l'acharnement thérapeutique, contre l'euthanasie, pour l'amélioration des soins médicaux, pour un suivi psychologique de la famille et du patient. je pense qu'il est indigne pour une société civilisée, moderne, possédant toute la technologie nécessaire de ne pas accompagner jusqu'au bout les personnes mourantes.
  12. C'est absolument terrible ce que tu dis là ! Ca veut dire que tu es contre toute évolution des moeurs et l'adaptation de la société à ces évolutions. L'homosexualité était considérée comme "bizarrerie personnelle" il n'y a pas si longtemps (plus précisément maladie mentale) de même que le divorce, le droit des femmes etc je suis contre le clientélisme. on n'a pas besoin de faire des lois pour tout. par exemple le Pacs au final n'était pas si utile que ça : la majorité des couples pacsés sont hétérosexuels pourtant au départ c'était prévu pour reconnaitre les couples homosexuels...mais bon pour les hommes politiques ça leur fait de la pub pour les quelques centaines de couples homo qui se sont mariés... légaliser la polygamie c'est pareille : un petit coup de pub, du clientélisme... je pense pas que ça correspondrait à une évolution des mœurs... l'évolution des mœurs c'est dans la tête des gens, ça ne nécessite pas forcement de nouvelles lois. parfois c'est les lois qui change les mœurs : par exemple l'avortement quand ça à été autorisé ça ne devait concerner que quelques cas exceptionnels, finalement la limitation du délai légale d'avortement à augmenté, le nombre d'avortement aussi......est ce les mœurs qui ont changé? ou quelques personnes qui ont changé les lois petit à petit et les gens qui si sont habitués? là si tu légalise la polygamie au départ ça va être que quelque cas puis de plus en plus. les personnes qui ni auraient pas pensées d'elles même vont le faire... si la quasi totalité des francais pratiquaient la polygamie (être en couple en même temps avec plusieurs personnes dans le but de fonder une famille) là oui la société devrait s'adapter. mais c'est pas le cas à l'heure actuelle.
  13. je pense que c'est plutôt la conséquence directe de la non-assimilation. il y a deux solutions : soit ces personnes sont étrangères et dans ce cas elles n'ont pas à toucher des aides sociales (on est en crise à ce qu'on m'a dit) soit elles sont françaises est devraient donc adhérer à un ensemble de normes nationales permis lesquelles le mariage monogame. ça fait des années qu'on assimile plus les nouveaux français... après comment on assimile les gens, je sais pas trop, mais je pense par exemple à l'école : on y apprend des choses non? pour ceux qui sont polygames maintenant, je pense qu'il doit y avoir des moyens de s'en apercevoir et de supprimer les aides perçus en trop? en tout cas détruire le mariage n'est pas une solution aux problèmes de justice sociale. on ne crée pas un nouveau problème pour en supprimer un ancien.
  14. je pense que ce n'est pas à la société de s'adapter aux bizarreries personnelles mais aux personnes de s'adapter à la société. on peut pas faire du cas par cas au niveau des lois. en France c'est pas autorisé. point. faut faire avec. après dans les pays où la polygamie est autorisée je suppose qu'il y a un certain nombre de conditions : c'est un homme et plusieurs femmes (peut être qu'il y a une limitation du nombre de femme....), c'est une autre forme de mariage et il y a avec un ensemble de valeurs et de morales (surement différentes des notres mais il y en a). dans votre débat tout est autorisé plusieurs femmes, plusieurs hommes, hétérosexualité, homosexualité...c'est du grand n'importe quoi. le mariage et les aides sociales qui en découlent ne sont pas là pour reconnaitre toutes les formes de relation qui peuvent exister entre adultes consentants. le mariage est une norme : si il n'y a plus de norme dans le mariage, ça ne veut plus rien dire autant interdire le mariage. ou alors on le laisse pour ceux qui veulent et les autres qui n'entre pas dans cette norme ne se marient pas : après tout c'est pas dramatique il y a plein de gens qui ne sont pas marier et ils s'en portent très bien. ce que je dit c'est qu'on n'a aucun intérêt à détruire une norme vieille de plusieurs siècles qui est un des fondements de notre civilisation. si en plus c'est pour la remplacer par quelque chose qui ressemble à rien.
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