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EDGART MILLEN

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Réputation sur la communauté

  1. ^^ Sacré magus...

    Ben oui, je crains hélas qu'il ne soit pas dispo avant, heu...!? Avant je ne sais trop quand...

    reviens mon vieux !! ...^^

  2. Salut, en mp ça fonctionne pas donc voici un com'...

    Je suppose que tu as été vicitime de ton style au vitriole, désolé

    Heu ben dès que possible donne des nouvelles...^^

    Joyeuses Fêtes...!

  3. Edgart est mort, vive Edgart!

  4. Les astres qui brillaient pour d'autres, je les porte,

    Et je vais, attentive, à travers les humains,

    Songeant que mon étoile, un autre me l'apporte,

    Et nous échangeons nos astres en chemin.

  5. Quand le jour insolent raille mon stratagème,

    Je montre à son soleil les misères que j'ai ;

    Et pour parer mon deuil, je porte en diadème,

    La clarté que j'ai prise aux astres étrangers.

  6. Dans l'espace, mes sens érigent leurs antennes,

    Pour distinguer le bruit qui naît du bruit qui meure ;

    Je cherche dans le ciel quelle étoile est la mienne,

    Je cherche des oublis qui sont toujours ailleurs.

  7. Je m'en vais dans le soir comme un fiévreux qui rêve,

    Et qui monte très haut, flottant dans un linceul,

    Et qui voudrait qu'enfin le vertige s'achève,

    Mais qui monte toujours, étonné et tout seul.

  8. Or voyez qui je suis, ma mie,

    Car je vous pardonne pourtant

    De vous être hier endormie

    Sur mes lèvres, en m'écoutant.

  9. Donne-moi, ma belle maîtresse,

    Un beau baiser, car je te veux

    Raconter ma longue détresse,

    En caressant tes beaux cheveux .

  10. Car sais-tu, seulement pour vivre,

    Combien il m'a fallu pleurer?

    De cet ennui qui désenivre

    Combien en mon coeur dévorer ?

  11. Oh ! viens ! dans mon âme froissée

    Qui saigne encor d'un mal bien grand,

    Viens verser ta blanche pensée,

    Comme un ruisseau dans un torrent !

  12. Restons ! L'étoile vagabonde

    Dont les sages ont peur de loin 1

    Peut-être, en emportant le monde,

    Nous laissera dans notre coin.

  13. Pose ton souffle sur ma bouche,

    Que ton âme y vienne passer !

    Oh ! restons ainsi dans ma couche,

    Jusqu'à l'heure de trépasser !

  14. Car toute chose nous convie

    D'oublier tout, fors notre amour:

    Nos plaisirs, d'oublier la vie,

    Nos rideaux, d'oublier le jour.

  15. Gais chérubins ! veillez sur elle.

    Planez, oiseaux, sur notre nid,

    Dorez du reflet de votre aile

    Son doux sommeil, que Dieu bénit !

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