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existence

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Tout ce qui a été posté par existence

  1. Notre programme génétique est pourtant écrit avec le même codage, les triplets de nucléotides ayant le même sens quelque soit l'espèce, mis à part quelques petites exceptions.
  2. Tu dis on s'en fout et après tu dis a même chose que moi avec tes mots. Bon ben alors on est d'accord sur cette question.
  3. Belfqih, je trouve ton histoire intéressante, mais je ne vois pas le rapport avec ce qu'on a dit avant. Je comprends ce que tu veux dire DaliS, c'est un peu comme le film Matrix.
  4. "n'est pas définitive" signifie que cette théorie n'est pas fixée de manière qu'on n'y devra plus revenir. Donc, oué, ça veut dire quelque chose, ne t'en déplaise :blush: Peut-être que dans 200 ans, un scientifique réfutera cette théorie : c'est le principe même de la science ! Que tu le veuilles ou non ! Il me semble que Grenouille Verte parle de l'approximation de la réalité. En clair, il y a un pourcentage d'incertitude sur la théorie, mais dans les grandes lignes, c'est juste. On peut faire le parallèle avec la gravitation de Newton et la relativité générale. La relativité générale donne des résultats un peu différent, mais pas tellement dans la plupart des cas. C'est-à-dire que la gravitation de Newton était déjà une bonne approximation au regard de la relativité générale. Et si on trouve un nouvelle théorie, ce sera pareille, cette théorie sera encore plus proche du réel, mais ne dira pas complètement le contraire de la théorie précédente. Non. De pouvoir choisir n'importe quel axiome est réservé aux mathématiques. En physique, les axiomes doivent aboutir à des résultats vérifiables, sinon cela reste des théories pures. En mathématique, le fait que ce soit de la théorie pure fait partie du jeu.
  5. Ben justement, des axiomes différents donnent des mondes différents. La physique consiste à chercher à déterminer les axiomes du monde dans lequel on est.
  6. Oui, c'est une façon de voir les choses, si on veut qu'il y ait une "source". Cela revient à dire que les non-croyants deviennent des diables. C'est confondre la croyance en Dieu et la moralité. Il y a des croyants immoraux et des croyants moraux, tout comme des non-croyants immoraux et des non-croyants moraux. zoltane tu es hors sujet.
  7. Pour moi les mathématiques et les univers multiples sont deux notions proches. On peut imaginer qu'on puisse décrire la structure d'un univers mathématiquement. A partir du moment où ce n'est pas contradictoire, cet univers peut exister. Personnellement, je pars du principe que toute structure mathématique non contradictoire existe, et nous sommes dans l'une d'elle. Mais bien sûr, quand on est dedans, cela nous parle beaucoup plus que des concepts abstraits.
  8. Non, mais il est possible qu'il existe des mondes avec des dieux. Mais un Dieu qui est indépendant de notre monde n'a pas d'influence sur lui. Si un Dieu pouvait bidouiller notre monde, on s'en rendrait compte. La seule hypothèse acceptable d'une extériorité qui contiendrait notre monde est celle d'une simulation comme par exemple la matrice. Mais cette hypothèse également est improbable. étant donné la quantité de données nécessaire pour stocker les informations de ce monde, il faudrait un monde entier. En conclusion ce monde n'a pas d'extérieur, et donc aucune divinité qui l'ait créé. Ce qui n'empêche pas que des êtres incroyables existent dans d'autres mondes, que nous ne verrons jamais vu que nous ne faisons pas partie de la même structure de monde. Tu te prends pour Dieu maintenant ? uno ne faisait que répondre à l'esprit analytique de kyrilluk. D'autre part, que la maman ait un esprit pour deux me semble bien présomptueux. L'esprit d'un enfant est le résultat d'un mélange venant de divers esprits autour de lui.
  9. Ben si l'on suppose que tous les mondes possibles existent, nous sommes simplement dans un de ces monde. Donc l'improbabilité de notre monde n'est plus problématique.
  10. Personnellement, je pense que l'hypothèse des mondes multiples permet de résoudre une problématique, celle de la faible probabilité de l'apparition d'un monde où la vie intelligente est possible. Ce n'est donc pas une hypothèse superflue.
  11. Ben on constate l'existence de la vie, et ensuite on démontre plus ou moins qu'il y a eu une évolution et que au départ, il n'y avait pas de vie. Donc il y a bien un moment où la vie est apparue, même si on n'arrive pas encore à expliquer toues les étapes. cqfd Alors c'est une preuve par l'absurde. C'est vrai que c'est discutable. Par exemple la proposition A qui dit "La proposition A est fausse", on voit qu'elle est ni vraie ni fausse. Donc le principe du tiers exclu est faux. Justement, quand on arrive pas à prouver quoi que ce soit, il y a la présomption d'innocence, c'est-à-dire qu'on ne fait rien. Oui, c'est une forme de confiance. Dans le cas de la Bible, on est censé faire confiance à des curés qui font confiance à un éditeur qui a publié une Bible qui fait confiance aux traducteurs qui font confiance aux gens qui ont recopié les textes qui font confiance aux gens qui les ont écrit qui font confiance aux témoignages qu'ils ont entendu. Là c'est un principe de prudence, quand bien même on arrive pas à démontrer qu'il y a des effets secondaires. C'est pareil avec les OGM, sauf qu'il me semble que là les effets secondaires ont été prouvés, mais pas publiés ou diffusés dans les grands média. Tout à fait. Si on est trop rigoureux, on ne dit plus rien du tout.
  12. Là tu renverses le problème. Le principe de la foi est de croire même si on a pas de preuves. C'est donc bien qu'il n'y a pas de preuve tangible de l'existence de Dieu.
  13. Il est vrai qu'étant donné le caractère invraisemblable de l'existence de Dieu, la charge de la preuve est du côté de ceux qui affirment sont existence.
  14. C'est même pire que ça, s'il existait un Dieu bon et tout-puissant, on serait pas dans une situation aussi catastrophique au niveau mondial. Dieu aurait fait un miracle pour que Bush soit jamais élu. Ce qui est une preuve qu'Obama n'est pas le messie. :blush:
  15. Je vois pas en quoi Descartes démontre quoi que ce soit, mis à part sa connaissance de la grammaire.
  16. J'ai l'impression Belfqih que tu définis Dieu (ou Allah) comme le monde et ses lois. A ce moment-là, le mot Dieu est simplement synonyme de monde.
  17. C'est vrai que c'est un peu gros. Ils cherchent en premier lieu à faire des bénéfices, des parts de marché. Disons qu'ils concilient cet aspect économique et l'aspect de désinformation, quelque part aussi pour préserver leurs intérêts. On ne cherche pas forcément à s'enrichir, on peut simplement vouloir gagner sa vie, vivre bien. Il n'y a pas besoin de manger du caviar pour être confortable. Sinon, tu as raison, ils nous arrivent à tous d'essayer d'influencer les gens autour de nous, et même sans vouloir influencer, notre simple présence est une influence. Mais le problème en question, c'est pas la fait de vouloir influencer, c'est justement que les moyens d'influence sont considérables, et cela pose un problème pour la démocratie. Ou sinon, on considère que la démocratie, c'est la loi des plus forts, de ceux qui ont le plus de moyens pour façonner l'opinion publique.
  18. Ben ça c'est fait : Bush père http://www.dailymotion.com/video/x39yds_ma...pinion-publique Bush fils http://www.dailymotion.com/video/xvqp4_sad...propaganda_news Alors bien sûr, c'est pas vraiment les média qui ont inventé, dans le cas en question ce sont les élites américaines et une agence de relation publiques. Les journalistes ne font que répéter les informations qui leur parviennent, en faisant semblant de pas se rendre compte que c'est de la propagande.
  19. La guerre froide était la propagande d'avant, pour justifier d'un ennemi contre lequel combattre. Et maintenant c'est le réchauffement climatique, le nouvel ennemi étant l'humanité elle-même. Une sorte de retour à la religion (repentance). Effectivement, avant d'aider les pays, il faut commencer par ne pas leur nuire.
  20. Effectivement. Ce dont tu parles JustCrazy, c'est la partie divertissement. L'autre partie, c'est la partie endoctrinement.
  21. Elle est très importante. Voilà ce qu'en dit Alain Minc dans une interview de la Revue des Ingénieurs des Mines de juillet/août 2009 : Les médias se sont imposés comme un pouvoir clé car ils se sont attribués la représentation de l'opinion publique. En se l'attribuant, ils la façonnent. Or nous sommes dans une société où la principale force politique est l'opinion. Cette dictature de l'opinion ouvre un boulevard à l'influence des médias. Les téléspectateurs bien entendu. Par l'organisation d'événements médiatiques avec des personnalités connues, par le lobbying auprès des personnes représentant une autorité morale ou autre dans divers domaines. Un exemple donné par Edward Bernays dans son livre Propaganda : Le propagandiste d'autrefois travaillait en fonction de la réponse psychologique "mécaniste" [...] Imaginons le responsable des ventes d'un grossiste en viande, chargé par ce dernier d'augmenter la demande de bacon. Selon la stratégie alors préconisée, il aurait répété à l'envi ces consignes dans des publicités pleine page : "Manger du bacon, mangez du bacon : bon marché et bon pour la santé, le bacon vous donnera des réserves d'énergie." Aujourd'hui, parce qu'il comprend la structure de la société et les principes de la psychologie collective, le responsable des ventes se demandera d'abord : "Quels sont ceux qui, de par leur position, influencent nos habitudes alimentaires ?" La réponse coule de source : "Les médecins" Ce vendeur d'un nouveau type suggérera alors au corps médical de se prononcer publiquement sur les effets salutaires de la consommation du bacon. Il sait avec une certitude mathématique, parce qu'il connait la dépendance psychologique des patients vis-à-vis de leurs médecins, que la plupart des gens se rangent aux avis de la Faculté. Encore du même livre d'Edward Bernays : Nous sommes pour une large part gouvernés par des hommes dont nous ignorons tout, qui modèlent nos esprits, forgent nos goûts, nous soufflent nos idées. C'est là une conséquence logique de l'organisation de notre société démocratique (note: il parle des états-Unis de 1928, mais bien entendu cela s'applique à d'autres pays et à notre époque). Cette forme de coopération du plus grand nombre est une nécessité pour que nous puissions vivre ensemble au sein d'une société au fonctionnement bien huilé. Le plus souvent, nos chefs invisibles ne connaissent pas l'identité des autres membres du cabinet très fermé auquel ils appartiennent. Ils nous gouvernent en vertu de leur autorité naturelle, de leur capacité à formuler les idées dont nous avons besoin, de la position qu'ils occupent dans la structure sociale. Peu importe comment nous réagissons individuellement à cette situation puisque dans la vie quotidienne, que l'on pense à la politique ou aux affaires, à notre comportement social ou à nos valeurs morales, de fait nous sommes dominés par ce nombre relativement restreint de gens - une infime fraction des cent vingt millions d'habitants du pays - en mesure de comprendre les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. Ce sont eux qui tirent les ficelles : ils contrôlent l'opinion publique, exploitent les vieilles forces sociales existantes, inventent d'autres façons de relier le monde et de le guider. Pour faire valeur des intérêts privés et pour gérer les société et la rendre cohérente, ce qui permet de dominer. Par exemple, avec le terrorisme, on peut maintenant désigner quelqu'un de gênant comme terroriste. Tout le monde comprend instantanément que cette personne est à éliminer. Au sens où les membres de la classe dirigeante font un peu ce qu'ils veulent, oui. Mais les conséquences les plus néfastes ne sont pas à l'intérieur des pays démocratiques, mais à l'extérieur, dans les pays qu'on maintient dans la pauvretés, qu'on détruit par les bombardements ou en fournissant des armes aux guérillas. Il est intéressant que les 5 pays du conseil de sécurité de l'ONU fournissent les 4/5ème des armes dans le monde. Parfois, des affaires arrivent jusque dans les média comme par exemple l'Angolagate. Un des arguments utilisé pour ne pas avoir à s'en expliquer devant la justice est le secret défense, c'est-à-dire qu'on ne répond pas aux questions avec pour argument que c'est pour préserver l'intérêt de la France ou d'un autre pays.
  22. Peut-être que patrice69 parle de critique raisonnables ou rationnelles de l'Islam.
  23. Il est possible que Calvi ne connaissait pas l'organisation en question. Il n'est qu'un présentateur et se fie aux "experts". Une façon de manipuler l'opinion publique est justement de soutenir des "experts" qui soutiennent les thèses qu'on veut diffuser. Par leur ascendance sociale, les "experts" ont une influence, les gens se rangeant à leur pensée. Cela a été étudié notamment par Edward Bernays.Par contre, je pense que Nicole Bacharan est au courant que ces réunions existent. Elle est liée au Cercle de l'Oratoire qui travaille contre l'anti-américanisme. Elle fait là du déni, comme elle l'a fait au sujet de la guerre en Irak en disant que les états-Unis ont menti sur les raisons de la guerre en Irak, mais qu'il ne faut pas chercher plus loin. C'était dans le documentaire Le Grand Complot sur Arte, qui soutenait la thèse opposée, à savoir qu'il y a un complot pour faire croire qu'il y a un complot. Dans l'extrait de C dans l'air, elle dit qu'elle ne dira rien sur ce groupe de personne et après apporte son soutien à Gérard Chaliand qui dit qu'il se méfie des organisations mondiales qui dans l'ombre se réunissent et qui distribuent les rôles. C'est une façon d'inviter les gens à réfléchir au sujet de cette organisation de cette façon, comme si c'était la seule façon d'envisager la question. Il est donc probable que Gérard Chaliand soit au courant ou bien ait intégré le schéma mental anti-conspirationniste. Ce schéma crée une division chez les personnes, certains se posant des questions et grandissant l'importance de ces organisations, les autres n'osant pas se poser de question de peur d'être étiquetés conspirationnistes. Que les média d'un point de vue global fassent de la désinformation c'est un fait : ils parlent des événements les moins importants et ne parlent pas d'autres plus important, ou bien très rapidement, et ne développent qu'en dehors des heures de grande écoute, comme dans Ce soir ou jamais. Maintenant, les média ont-ils ont volonté ? Cela n'est pas évident. Ils sont à la confluence de tous les lobbies qui cherchent à propager leurs messages. Il n'y a donc pas un complot, mais des intérêts, qui parfois trouvent des terrains d'entente, et font appel à des agences de relations publiques. Grosso modo, les personnes qui sont derrière cela sont les membres de la classe dirigeante, politiciens connus ou administrateurs discrets, détenteurs des grandes capitaux, dirigeants de grandes entreprises et intellectuels influents. Ils savent pertinemment que les média sont un quatrième pouvoir. Mais ce n'est pas tout. La propagande, au sens de Bernays permet de vendre un produit ou une politique, à l'aide d'événements médiatiques, de travail auprès des gens qui dirigent les organisations non gouvernementales ou des experts. En d'autres termes, la vérité politique qu'on nous vend est du même ordre que la vérité d'une publicité à la télévision. Elle ne sert pas à informer les gens, mais à convaincre les gens d'acheter les produits, de prendre pour argent comptant les idées proposées. Certains appellent cela la démocratie bourgeoise. En fait tout cela n'est pas très démocratique, puisqu'en ayant une influence sur ce que pensent les gens, on prend indirectement les décisions à leur place. Les problèmes majeurs des théories conspirationnistes sont qu'elles mêlent des délires avec des extraterrestres ou bien affirment que ces organisations contrôlent nos vies comme si on était télécommandés ou encore mêlent cela avec des théories farfelus du genre que la date sur les billets américains est la date de la création des Illuminati de Bavières, alors que bien entendu, c'est la date d'indépendance des Etats-Unis. D'autre part, elles se focalisent d'une façon assez antiaméricaine, puisqu'on ne met en avant que les think tank américains. Or il y en a des français : Cercle de l'Oratoire auquel on à ici affaire, club Le Siècle, French American Foundation. Il y en a aussi des anglais, comme le Chatham House. Il est vrai qu'on a réussi à convaincre que la propagande, ce n'est que chez les autres : chez les chinois, chez les russes, au venezuela, en Iran, ou aux Etats-Unis, mais pas en France ou en Allemagne. L'idée que cette propagande émane d'une seule structure, un seul bureau, est séduisante, mais en réalité, il y a de nombreux "bureaux", de nombreuses structures qui font de la propagande. C'est dans la structure-même de la société démocratique et cela va très loin.
  24. Effectivement, il aurait fallut faire du co-développement avec les pays pauvres plutôt que de leur mettre des bâtons dans les roue.
  25. Ah ben j'ai raté mon effet alors.
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