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caloli

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Tout ce qui a été posté par caloli

  1. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    Si c'est être hippie que de refuser de cautionner les marques aux comportements plus que douteux, alors je suis hippie. Mais ma petite fille, c'est toi qui a pris ça pour une leçon. J'ai juste posté un article. S'il te dérange et t'empêche de te regarder dans la glace, c'est ton problème.
  2. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    Elles sont super tes leçons. Et parfaitement débiles. Quel con suis-je de ne pas visiter toutes les usines dont j'achète les produits.
  3. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    Jusqu'à preuve de contraire, le fond de commerce de Greenpeace n'est pas la défense des droits de l'homme. Je ne me dédouane en rien. Quand je sais, j'évite, c'est tout. Je ne demande à personne de faire comme moi. En ce qui concerne Steve Jobs, je suis tout à fait prêt à prendre connaissance des articles qui en feraient l'éloge. Tout ce que j'ai lu concernait son génie marketing ou entrepreneurial, mais je n'ai encore jamais rien lu concernant son altruisme. Donc merci de bien vouloir me renseigner à ce sujet. Je ne suis pas anti-apple, j'ai déjà acheté certains de leurs produits. Depuis que je connais leur manière de traiter leurs fournisseurs, et leurs manières de traiter leur client, ce n'est plus une marque vers laquelle je me tourne.
  4. Quand on entend défendre la France, le minimum, c'est d'en respecter la langue. En Suisse, les ressortissants de l'UE ont les mêmes droits sur le marché du travail que les Suisses.
  5. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    J'ai très probablement acheté des produits fabriqués dans des conditions inacceptables. Parce que je l'ignorai. Pour Apple, je sais. Et donc je boycotte. Te concernant, je n'en sais rien. Mais sinon, bien sûr que les gens défendent Apple parce que c'est sexy. Il n'y a qu'à voir comment a été traité Steve Jobs au moment de son décès. On aurait cru à la mort de Gandhi, alors que c'était un entrepreneur impitoyable.
  6. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    C'est vrai, on ne tape pas sur Apple, c'est une marque vraiment trooooooooop sexy pour ça. J'aime la défense qui consiste à dire "je suis pas le seul", ou "les autres font pire". C'est un bon moyen de s'acheter une conscience pour pas cher. On peut légiférer. Ou en tant que consommateur, on peut aussi choisir de ne pas acheter des produits dont on sait pertinemment qu'ils ont été produits grâce à des esclaves modernes.
  7. caloli

    l'iphone 5g en avant premiére

    Article complet : iPhone 5 : Y'a bon la marge ! Les coûts d'Apple baissent, ses prix, non...
  8. Doué comme tu es, tu n'es pas capable de faire une recherche sur google pour trouver un mail ? Certains écrivent dans le monde, d'autres sur de vagues forums généralistes. On a les tribunes qu'on mérite. Il n'y a pas de bon moment pour faire l'apologie d'un massacre.
  9. Dans ce cas, pourquoi parler des retraites ? La faim dans le monde est largement plus prioritaire.
  10. Cette réponse est totalement débile. Comme il y a des problèmes pire, ça interdit de s'exprimer ?
  11. Tu te re-mords la queue ! Je te rappelle que c'est toi qui m'a parlé d'anatomie. C'est clair !
  12. Tu te mords la queue. Tu dis que les hommes pissent debout pour des raisons anatomiques qui remontent à 2M d'années. Or, avant l’avènement des toilettes, la question de savoir si on pisse debout ou assis est ridicule.
  13. Il y a 2 millions d'années, il y avait déjà des toilettes ?
  14. Tu fondes ta masculinité sur le fait de pisser debout ?
  15. T'as plus qu'à écrire au monde pour leur expliquer que ce ne sont que des vulgaires abrutis, mais que toi tu détiens la vérité. Ca doit être sympa d'avoir un égo aussi surdimensionné que le tien.
  16. Un attentat politique ? Il n'y a vraiment aucune limite à ton abjection.
  17. Il cautionne l'idéologie de Breivik. Or, c'est l'idéologie de Breivik qui l'a conduit à son massacre. Cautionner le discours sans cautionner le massacre, c'est de l'hypocrisie, ou de la lâcheté.
  18. Comme quoi, utiliser un style pompeux n'aide pas forcément à comprendre l'ironie.
  19. "Le pamphlet fasciste de Richard Millet déshonore la littérature" J'ai lu le dernier pamphlet de Richard Millet, Langue fantôme suivi d'Eloge littéraire d'Anders Breivik (P.-G. de Roux, 120 p., 16 €) dans un mélange croissant de colère, de dégoût et d'effroi. Celui de lire sous la plume d'un écrivain, éditeur chez Gallimard, des propos qui exsudent le mépris de l'humanité et font l'apologie de la violence au prétexte d'examiner, sous le seul angle de leur beauté littéraire, les "actes" de celui qui a tué froidement, en 2011, 77 personnes en Norvège. Des propos que je n'avais lus jusqu'ici qu'au passé, chez des écrivains des années 1930. Je ne ferai pas silence sur cet écrit à la raison que réagir renforce la posture de martyr, d'écrivain maudit, qu'il s'est construite. Ou qu'il s'agirait là d'un délire, d'un "pétage de plombs" ne méritant pas une ligne. C'est dédouaner facilement la responsabilité d'un écrivain réputé pour savoir manier la langue à merveille. Richard Millet est tout le contraire d'un fou. Chaque phrase, chaque mot est écrit en toute connaissance de cause et, j'ajouterai, des conséquences possibles. Traiter par le silence et le mépris un texte porteur de menaces pour la cohésion sociale, c'est prendre le risque de se mépriser soi-même plus tard. Parce qu'on s'est tu. Je ne me laisserai pas non plus intimider par ceux qui brandissent sans arrêt, en un réflexe pavlovien, la liberté d'expression et le droit des écrivains à tout dire - on attend donc un Eloge littéraire de Marc Dutroux -, hurlant à la censure pour bâillonner celui ou celle qui, après avoir examiné de quoi il retourne dans cet opuscule, ose - quelle audace ! - s'interroger sur les responsabilités de son auteur au sein d'une maison d'édition. Balayons d'abord la prétendue ironie du titre que, selon l'auteur, les lecteurs, bouchés à l'émeri, n'ont pas perçue. Et pour cause, elle n'y est pas et on en chercherait en vain une once dans la suite du texte. On soupçonne l'adjectif "littéraire" de n'être là que pour la douane - la loi - comme la précaution liminaire, réitérée plus loin par deux fois, dans laquelle Richard Millet déclare ne pas approuver les actes d'Anders Breivik. Et pour se mettre solidement à couvert, il ne craint pas d'user d'un sophisme tellement aveuglant qu'il a ébloui ses défenseurs : 1. La perfection et le Mal ont toujours à voir avec la littérature ; 2. Anders Breivik, par son crime, a porté le Mal à sa perfection ; 3. Donc, je me pencherai sur "la dimension littéraire" de son crime. Inattaquable. Saluez l'artiste qui se flatte d'isoler et d'extraire d'un criminel de masse sa seule "dimension littéraire". En réalité, il n'en est rien. C'est la littérature qui est ici au service d'Anders Breivik : en tant qu'elle est la pièce essentielle du développement de la thèse de Millet. Elle est enrôlée de force dans une logique d'exclusion et de guerre civile, dont la portée politique, à moins d'être aveugle, est flagrante. Article complet
  20. Wahou, le niveau. "C'est celui qui dit qui est !" De mieux en mieux.
  21. En même temps, légiférer pour déterminer comment pisser, fallait pas espérer que ça déclenche de hautes réflexions philosophiques !
  22. Sans viser à coté, quand tu pisses debout, ça gicle partout. Suffit de regarder tes pompes quand tu sors des gogs pour t'en convaincre.
  23. idem. Mais faut avouer que dans les urinoirs, c'est pas très confortable.
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