Aller au contenu

metal guru

Membre+
  • Compteur de contenus

    33 560
  • Inscription

  • Jours gagnés

    97

Tout ce qui a été posté par metal guru

  1. Il y a beaucoup de femmes qui comprennent que leur parole ne suffira pas devant un tribunal ( ici deux à visage découvert et sept anonymes ) , d'autant plus si les faits sont prescrits. Elles utilisent la dénonciation publique pour faire payer leur bourreau, et si ce n'est pas crédible comme tu le prétends, alors pas de souci personne ne les croira !
  2. Elles sont neuf à l'accuser en décrivant des pratiques et des approches similaires à des époques différentes ! Sinon il peut lui aussi porter plainte pour dénonciation calomnieuse !
  3. Dans « Elle », plusieurs femmes accusent le producteur de 72 ans de faits susceptibles d’être qualifiés de viols, d’agressions sexuelles, ou de harcèlement, entre 1983 et 2003. Par Le HuffPost METOO - À la veille de l’ouverture du Festival de Cannes, la parole des femmes continue de se libérer. Une enquête du magazine Elle, publié ce lundi 13 mai au soir, révèle des témoignages glaçants de neuf actrices à propos d’Alain Sarde, producteur de 72 ans aux deux cents longs-métrages. . Plusieurs d’entre elles l’accusent de viols, de harcèlements et de chantages entre 1983 et 2003. Aucun des faits décrits n’a fait l’objet de plaintes, selon nos confrères. Le producteur de David Lynch réfute ses accusations. Lire aussi Judith Godrèche devant le CNC, pour demander la démission de Dominique Boutonnat mis en examen pour agression sexuelle L’une des femmes interrogées raconte avoir été violée alors qu’elle n’avait que 15 ans, et Alain Sarde le double de son âge, 33 ans. Un après-midi de 1985, l’actrice qui préfère rester anonyme se rend chez le producteur, près du parc Monceau à Paris, pour décrocher le rôle pour un film du réalisateur Robin Davis. Alain Sarde la complimente, lui offre des chocolats, avant de l’entraîner sur son lit, dit-elle. « Il m’a sauté dessus. Je me souviens très bien de ses lèvres, de sa bouche dégueulasse. Il était laid malgré ses mains manucurées. C’était bestial ! Il m’a maintenue et m’a violée », se souvient-elle avec dégoût. Fellation imposée dans les locaux de sa boîte de production De la même manière, une autre actrice raconte s’être vue offrir des chocolats avant de se faire agresser. « Soudain, il m’a fourré le morceau [de chocolat] restant dans la bouche, tout en me renversant en arrière et en se vautrant sur moi. », décrit celle qui avait 21 ans à l’époque et se rendait chez Alain Sarde pour jouer dans un long métrage de Jean-Luc Godard. Elle réussit à s’échapper, le producteur la traite de « salope » dans son dos. Une autre femme confie à Elle avoir été piégée, en 1990, dans les locaux de sa boîte de production, Sara Films, située avenue des Champs-Élysées. Celui qui a remporté la Palme d’or à Cannes en 2002 avec Le Pianiste de Roman Polanski lui aurait imposé une fellation, « avant de s’essuyer avec un mouchoir ». Ce qui ressort de ces témoignages, c’est l’emprise du producteur sur de très jeunes femmes. Comme l’atteste le témoignage de cette autre victime présumée qui n’avait que 15 ans quand elle côtoyait « le roi du cinéma » en 1985 : « très vite, il m’a expliqué que si je voulais percer (...), je devais être gentille avec lui. Je n’avais pas le choix, je me sentais coincée. J’étais paralysée par la peur, il en a profité pour me violer brutalement par-derrière. Je me suis sentie fautive ». Mis en examen en 1977 pour « viol et tentative de viol » « Nous, les actrices, nous n’étions que de la chair fraîche. Les producteurs avaient sur nous un pouvoir de vie et de mort », constate, elle aussi, avec aigreur Laurence Côte, César du meilleur espoir féminin en 1997, qui dit eu affaire à Alain Sarde, en 1996, lorsqu’il produisait Les Voleurs, d’André Téchiné. Alain Sarde l’a invitée au restaurant avant d’insister pour « aller plus loin ». Par la voix de son avocate, Alain Sarde a réfuté ces allégations « toutes mensongères, qui lui prêtent des comportements qu’il réprouve et qui lui sont totalement étrangers », écrit Jacqueline Laffont dans un communiqué cité dans Le Parisien. https://www.huffingtonpost.fr/culture/article/avant-le-festival-de-cannes-alain-sarde-le-producteur-de-polanski-doillon-et-godard-accuse-de-viols_233861.html
  4. Parler de rigolades c'était ironique, le fait qu'une seule accusatrice ne soit pas honnête, et mente sur un viol ou une agression, et on pourra se retrouver avec un innocent qui pourra être condamné parce qu'il n'aura pas pu prouver qu'il y avait consentement, c'est contraire aux principes de la justice ! Et puis il y a aussi cette naïveté ambiante qui voudrait que toutes les femmes qui portent plaintes sont des victimes incontestables et que la manipulation, le chantage ou la vengeance n'existent pas chez celles-ci ! Si la justice condamne si peu des personnes accusés de viol ou d'agression c'est parce que souvent les faits sont prescrits, ou parce que ils sont anciens et qu'il est quasiment impossible de trouver des preuves qui attestent des dires de la victime présumée ! En 2023, les services de police et de gendarmerie ont enregistré près de 84 000 plaintes pour des faits de violences sexuelles, physiques ou psychologiques. C’est ce qui ressort d’un rapport du service de statistiques du ministère de l’Intérieur publié jeudi 7 mars 2024. Les victimes sont à 85 % des femmes, et les agresseurs à 96 % des hommes. https://www.ouest-france.fr/faits-divers/violence-sexuelle/nombre-de-plaintes-age-des-victimes-lieux-les-chiffres-des-violences-sexuelles-en-2023-e5bd76ac-dc80-11ee-a79f-2312009be08f
  5. Ça change qu'il n'y a plus besoin d’être frère ou de se cacher, il suffit de payer quelques centaines d'euros d’adhésion dans l'année et un restau par mois avec les membres du cercle , et les loges ne sont pas uniquement des endroits de trafic d'influence, certaines le sont mais dans le fantasme de certains ça ne servirait qu'à ça alors qu'il y en a plein qui y sont pour des trucs spirituels ou pour des discussions philosophiques !
  6. Et " Je peux pas j'ai grand frais ! " Pour moi c'est le slogan le plus nul qui existe, mais ça doit marcher puisqu'on le retient et qu'ils l'impriment même sur leurs sacs, je crois que je préférerais encore me balader avec un tote bag " Dragées Fuca " !
  7. Si la loi passe, ce n'est plus la victime qui devra prouver le viol mais l'accusé qui devra prouver le consentement ! Tous les mecs qui ont trempé leur biscuit dans beaucoup de tasses vont commencer à trembler ! Ça sera la fin du one shot, ou alors il faudra que les mecs qui sortent le vendredi ou le samedi aient sur eux des autorisations comme pour le covid, il faudra faire signer le document à la nana rencontrée avant de la toucher, et lui faire préciser ce qu'elle accepte comme pratiques sexuelles et ce qu'elle refuse ! Et même avec ça le mec n'est pas à l'abri puisqu'elle pourra toujours affirmer qu'il lui a imposé un acte non consenti !
  8. Bravo, surnommée '" Le plus bel animal du monde ", épouse de Sinatra, héroïne de la comtesse aux pieds nus ou de Pandora deux films magnifiques ! Oui, Titenath t'a devancé d'un cheveu , tu peux relancer ?
  9. Non, un peu plus jeune mais ça se rapproche !
  10. Faudrait se renseigner sur les méthodes modernes, avec tous les cercles d'influences qui existent les gens qui veulent faire du réseau pour leurs affaires n'ont plus besoin d'aller dans une loge.
  11. D'après ce que j'ai compris, elles voudraient l'inversion de la preuve en ce qui concerne le viol ou l'agression sexuelle, c'est à dire que ça serait à l'accusé de prouver qu'il y avait consentement de la part de la victime présumée. L'accusé ne serait donc plus innocent mais coupable présumé, si un jour une loi comme celle ci passe, ça nous promet de bonnes tranches de rigolades !
  12. Non, pas spécialement ! Par contre adulte elle n'était pas blonde, c'est plutôt le symbole de la femme fatale brune !
  13. Non, c'est une américaine qui est morte depuis une trentaine d'année, elle avait un surnom qui la caractérisait bien je trouve !
  14. Ils avaient la même tronche, mais c'est vrai que la photo parait très ancienne ! Une photo de mon actrice préférée, une star mais difficilement reconnaissable sur cette photo !
  15. Claude ou Pierre Brasseur, suivant !
  16. T'es trop forte , c'est bien lui ! Tu relances stp ?
  17. Un peu de tout, il a une longue carrière, des dizaines de films sur plus de 50 ans, il est mort récemment !
  18. Les signataires jugent notamment "inacceptable" que le taux de classement sans suite des plaintes pour violences sexuelles "ait atteint le taux délirant de 94% en 2022." "Qui nous écoute vraiment?": sept ans après le lancement du mouvement #Metoo, cent personnalités, dont de nombreuses actrices, appellent, dans une tribune publiée ce mardi 14 mai, à une loi intégrale contre les violences sexuelles. "Nous sommes 100, mais en réalité, nous sommes des centaines de milliers", écrivent les signataires de ce texte assorti d'une pétition initiée par La Fondation des femmes, #Metoomédia et l'actrice Anna Mouglalis et publié à quelques heures de la cérémonie d'ouverture du Festival de Cannes. "Nous ne sommes pas des chiffres" Et les signataires de poursuivre: "nos prises de parole #Metoo ont révélé une réalité plongée dans le déni: les violences sexistes et sexuelles sont systémiques, pas exceptionnelles. Pour autant (...) qui nous écoute vraiment?", peut-on lire dans la tribune également publiée sur le site du quotidien Le Monde. Parmi les signataires, figurent les actrices Isabelle Adjani, Charlotte Arnould, Emmanuelle Béart, Juliette Binoche, Emma de Caunes, Judith Godrèche, Isild Le Besco, Muriel Robin, les autrices Leila Slimani, Christine Angot, Vanessa Springora ou encore le comédien Philippe Torreton. "Depuis sept ans, nous parlons pour nous et pour toutes les femmes, hommes et enfants qui ne peuvent pas le faire", écrivent-ils. "Nous ne sommes pas des chiffres: femmes et hommes de tous milieux professionnels, nous nous rassemblons pour demander une loi intégrale contre les violences sexuelles et sexistes, ambitieuse et dotée de moyens. Car malgré le courage des victimes, c'est l'impunité qui grandit." Les signataires jugent notamment "inacceptable" que le taux de classement sans suite des plaintes pour violences sexuelles "ait atteint le taux délirant de 94% en 2022" et préviennent qu'ils n'acceptent plus "les effets d'annonce sans suite". "Retard abyssal" "L'ajout du seul mot consentement dans la loi ne permettra pas de rattraper le retard abyssal de la France en la matière", estiment-ils, en référence à l'engagement pris en mars par Emmanuel Macron. Les signataires demandent "une loi intégrale qui permettra de clarifier, entre autres, la définition du viol et du consentement, introduire celle de l'inceste, de juger les violeurs en série pour tous les viols connus, d'élargir les ordonnances de protection aux victimes de viols, de faciliter la collecte de preuves, de créer des brigades spécialisées, d'interdire les enquêtes sur le passé sexuel des victimes". Cette loi doit également permettre "un accès immédiat et gratuit à des soins en psycho-traumatologie, de donner enfin les moyens financiers à cette politique publique et aux associations qui la mettent en place", ajoutent-ils. La publication de cette pétition survient après plusieurs mois de révélations sur des violences sexuelles commises dans le milieu du cinéma, avec les témoignages notamment de Judith Godrèche ou d'Isild Le Besco. https://www.bfmtv.com/people/metoo-une-loi-integrale-sur-les-violences-sexuelles-reclamee-par-100-personnalites-avant-le-festival-de-cannes_AD-202405140072.html
  19. Non français ! Non plus âgé ! Je ne sais pas s'il a mauvais caractère, il semble plutôt sympa dans les interviews ! Un indice, ses trois enfants sont aussi des acteurs connus !
  20. Non français, par contre pour le reste ça sera demain, bonne nuit !
  21. Je l'ai vu uniquement dans Millenium et vite fait parce que je préférais de loin Noomi Rapace dans ce rôle ! Comme Demsky ne peut pas relancer je le fais à sa place :
×