PASDEPARANOIA

Tout est dit. Tiens, il y avait longtemps que la flicaille n'avait pas reçu sa volée de bois vert. Tu as des preuves de ce que tu avances..?? La chose est un peu facile... Pas de preuve, mais ça se voit quand même, c'était des pros...

On devrait censurer tout ce qui ne convient pas à l'UMP. Les livres aussi, faut pas faire de jaloux, critiquant l'action du gouvernement, les appel à l’insurrection, les fictions libertaires. C'est pas en muselant la création artistique qu'on va résoudre les problèmes de banlieue, loin de là.

Un serial killer tue au hasard, et lui a choisi ses cibles en fonction de son combat politique. C'est lié.

Sauf que ce n'est pas le cas ici, on ne parle pas d'un proprio lésé. J'ai participé il y a quelques années à un squat à Montreuil, avec des "autonomes". On avait logé des familles de travailleurs du BTP dans un immeuble vide depuis des lustres attendant d'être rasé pour construire un ensemble de bureaux. Autant dire qu'on ne gênait personne. Une nuit, des gros bras, visiblement des policiers en civil, sont venus pour virer tout le monde, de façon très violente. Et après, on se plaint qu'il y est des gens à la rue...

La maison n'attendait pas son propriétaire non plus, il n'y avait pas urgence pour la société immobilière à faire cela.

Peut être que si les flics avaient arrêté les casseurs, on le saurait

C'est pas le propriétaire mais une agence immobilière qui gère la tutelle d'un vieux. Certainement pour faire fructifier son héritage...

Le nouveau propriétaire d'un logement squatté depuis plusieurs années a envoyé un commando armé de barres de fer pour saccager la propriété et faire fuir les occupants. La scène a été filmée par le voisinage. Armés de barres de fer, de pieds de biches et de gaz lacrymogènes, ils ont tout saccagé pour faire fuir les squatteurs. Plutôt que d'intenter une action légale, le nouveau propriétaire du pavillon du 74 rue des Caillots à Montreuil (Seine-Saint-Denis), occupé depuis plusieurs années par des jeunes autonomes, a envoyé dimanche 25 juillet un commando d'une vingtaine de casseurs pour rendre la propriété inhabitable. Les voisins, choqués, ont filmé la scène. Selon un militant pour le droit au logement interrogé par France 24, le pavillon est squatté depuis 2007. «Le propriétaire était un vieux monsieur qui a été placé sous curatelle il y a peu de temps. Il y a environ une semaine, la maison a été vendue», explique-t-il. Le nouveau propriétaire, qui travaille pour le compte d'une agence immobilière, entend bien déloger les occupants. D'après plusieurs témoignages, il serait venu deux fois à la rencontre des squatteurs pour leur demander de quitter les lieux. «Détruire les points vitaux de la maison» Peu après sa seconde visite, dimanche midi, «quatre véhicules sont arrivés en trombe. Des grands gaillards armés de gaz lacrymogènes, de barres de fer, de massues et de pieds de biche sont sortis. Nous avons à peine eu le temps de réagir qu'ils se sont jetés sur les portes et les fenêtres pour tout casser», raconte à France 24 Bruno Saunier, ex-adjoint chargé de l'urbanisme à la mairie de Montreuil. Les casseurs encagoulés s'en seraient pris en priorité à l'arrivée d'eau, au compteur électrique ou à la porte d'entrée, sous les yeux d'un couple de squatteurs et de leur enfant âgé d'un an. «Leur but était de détruire les ‘points vitaux' de la maison afin de la rendre inhabitable et faire partir les squatteurs», estime un militant du droit au logement. La police est intervenue rapidement sur les lieux, mais des témoins affirment qu'elle aurait laissé faire les casseurs. «Les forces de l'ordre ont formé un cordon de sécurité qui séparait d'un côté les squatteurs et le voisinage et, de l'autre, les casseurs, qui continuaient le saccage», raconte Bruno Saunier. «À aucun moment, les forces de l'ordre n'ont essayé d'arrêter les assaillants ou de confisquer leurs armes.» Plusieurs photos ont été prises par des témoins. Licenciement et procédure de la mairie contre le propriétaire Une dizaine de voisins du squat ont écrit à Dominique Voynet, maire de Montreuil, pour faire part de leur indignation. Cette dernière a adressé au propriétaire du pavillon une lettre lui indiquant avoir engagé contre lui une procédure pour «trouble manifeste à l'ordre public». «Nous sommes dans un État de droit et les méthodes que vous employez sont inadmissibles, quels que soient les motifs et la situation d'occupation de votre bien», peut-on lire dans le document publié par France 24. «La pratique qui consiste à acquérir sciemment et à vil prix des biens squattés pour en évacuer les habitants à coup de barres de fer et de menaces ne saurait avoir de place dans notre commune.» Dominique Voynet indique également «étudier avec la plus grande attention (ses) autres projets d'acquisition sur la commune, car nous ne souhaitons pas que de tels troubles à l'ordre public se reproduisent.» Le propriétaire du pavillon a été suspendu de ses fonctions par I@D France, son employeur. Une procédure de licenciement a également été engagée envers un autre salarié de cette société, présent sur les lieux lors des violences. Quant au pavillon, il continuera à être occupé «tant que la procédure légale n'aura pas été respectée», selon un militant pour le droit au logement. «Nous voulons résister parce qu'on n'a pas le droit de déloger des gens comme ça.» le figaro

L'islamisation de notre société occidentale. Je n'ai pas encore ressenti cette islamisation, mais peut être vis-je dans un quartier où l'héritage judéo chrétien de souche est inébranlable. Quand à la critique, il me semble qu'elle va bon train ces temps si. J'aurai même tendance à croire que c'est justement le débridage de certaines idées odieuse qui a permis à un fondamentaliste chrétien de la "droite populaire", car on ne dit plus "extrême droite" parait il, de passer à l'acte en se prenant pour un héros national, tout fier dans s on costume de militaire. Il a eu le temps d'écrire largement sur le thème de l'islam d'ailleurs, sans être inquiété. Mais j'admire cette piètre tentative de trouver un semblant de justification dans un acte d'une telle ignominie. Comme un poisson qui se débat dans une flaque boueuse. Essaye encore.

Et mal pensant, ça va de soi.

Le racisme, c'est mal. Oui, je reste figé là dessus.

Pas facile, hein, de se débarrasser de cette étiquette. C'est pas la volonté qui manque pourtant. Tout ce travail pour nettoyer l'image de cette ignoble droite et voilà qu'un franc tireur décide d'allumer la mèche avant le "grand soir".

Et si les natios avaient un cerveau ? L’intégrisme religieux associé au communautarisme ne donne rien de bon. Jamais. Là, le fait est qu'il est de votre bord, dommage.

Il n'est pas seul responsable. Tous ceux, qui de prêt ou de loin on ajouté une pierre à l'édifice de la haine ordinaire, le racisme, doivent aujourd'hui mesurer la porté de leurs actes. Cette faculté qu'à la droite décomplexé de s'affranchir de toute responsabilité est sidérante ! Comme un idiot donnant des allumettes à des gamins et s’étonne de voir le feu arriver.

L'intelligence de la rumeur, bravo !

Il n'y a même pas à discuter. Le mec avoue son crime et ses pensées. Ne pas voir le lien entre une certaine idéologie politique et l'attentat odieux, voir le nier, c'est faire injure aux victimes. Mais la droite populiste, puisque paraît il elle n'est plus extrême, commence déjà son travail de falsification de l'histoire en voulant minimiser, occulter, sa responsabilité dans le massacre de dizaines de jeunes innocents.

Le refus de s'intégrer n'implique pas la volonté de désintégrer l'autre.

Haine du musulman, plus du multiculturalisme, plus de droite, plus catholique intégriste, égal terroriste en devenir.

Ca pue du bec ce discours. Je n'ai aucune opposition naturelle avec qui que se soit. C'est ton sentiment, pas celui partagé par de nombreuses personnes. Si le communautarisme par en couille, c'est du à une démission de l'état et de gens comme toi, hermétiques. Tu vas me dire qu'il n'y a pas de musulmans en province ? A la campagne ? Que le crime est une spécialité musulmane ?

J'ai du rêver les apéros saucisson pinard, la soupe au cochon, les multiples condamnation pour incitation à la haine, les prières de rue, les femmes voilées, les paras qui ratonnent les kébabd et autres réjouissance. Quand la gauche ou les verts s'en prennent à un symbole, ils laissent les gens en paix. Et il y a une différence entre" je n'aime pas untel", et : "je vais tuer untel."

C'est pas un anar, il dit lui même qu'il veux dégommer des gens avant d'en finir. Tu vois un projet politique la dedans ? Et Besson, c'est un ministre, charge que Le pen accepterait volontiers...

Non, non, et non. Mélanchon s'en prend au système financier, pas aux banquiers même. La droite populiste elle se braque sur les musulmans, les gauchistes, sur tout ce qui lui permet en gros de glaner quelques bulletins de votes. Voilà le résultat. Un type fini par mettre un visage sur ceux qu'on lui désigne comme les coupables, et passe à l'acte. Dire que la droite populiste dans son ensemble est violente, non. Mais affirmer qu'elle distyle un message de haine ordinaire envers les étrangers, oui. On se rappelle tous cette fameuse caméra cachée où les cadres FN parlaient ouvertement de faire le ménage, avec des armes si besoin. J'ai pas entendu Mélanchon ou les Verts tenir ce discours.

Richard : « ...puisque j’étais devenu un mort-vivant par ma seule volonté, je décidais d’en finir en tuant une mini élite locale qui était le symbole et qui étaient les leaders et décideurs dans une ville que j’ai toujours exécrée... » Il explique vouloir tuer le maire, puis « le plus de personnes possibles » avant de se tuer ou d'être tué. « Je vais devenir un serial killer, un forcené qui tue. Pourquoi ? Parce que le frustré que je suis ne veut pas mourir seul, alors que j’ai eu une vie de merde, je veux me sentir une fois puissant et libre ». Tu vois un combat écologique là dedans ? C'est l'oeuvre d'un fou. Quand aux anarchistes, j'ai mémoire d'un certain type qui passa des mois en prison pour possession de livre. On l'accusa, lui et une certaine "ultra gauche", de toutes les dérives. Tiens, y a Eric Besson qui lui aussi s'interroge sur cette droite populiste qui fait mal aux pensées des jeunes gens manipulables. Eric Besson, c'est pas le MRAP, c'est charter boy.

C'est les vacances, et parler des rois... C'est pas passionnant.

Non, car Richard n'a pas expliqué son geste par une impulsion politique, alors que le droitiste norvégien si. La droite populaire, en incitant tous les jours à la haine, dévoile enfin, un peu tard pour les pauvres victimes innocente, son visage macabre. Des que quelqu'un s'infiltre dans ses milieux, c'est le même constat, les mêmes discours chuchotés prédisant le jour bénis où les vrais français, les gens de souches, seront de nouveaux les maîtres du château. Là, ce qui dégoûte le plus l’extrême droite populiste, c'est que les victimes sont blanches. Si elles avaient été bronzées, nombreux sont ceux qui se frotteraient les mains en pensant : Bien fait pour eux.