Corto Maltese

Exactement. Si au moins c'était aussi passionnant que ta signature

Si on dressait la liste si longue des choses qui désormais ne se font plus, on saurait pourquoi. J'apporterai, quand même, une nuance, les hommes qui viennent du passé, draguent toujours.

Dites-moi, est ce qu'on traite du sujet ? Ou est ce qu'on illustre la pertinence du contenu soumis à débat ? Enfin cela peut être pour démonter un peu les mécanismes de l'exclusion, qui toujours est fondée sur la difficulté de comprendre l'autre et sur une approche quasiment taxinomique. A mon opinion et quelles que soient les définitions qu'on peut donner à l'antisémitisme et à l'islamophobie (quant à moi je ferais remarquer la construction "idéologique" du premier concept et celle "psychique" du second), il faut les dénoncer comme des ségrégations foncièrement haineuses.

Ce n'est pas parce que on a un pied dans la tombe, que pour autant on se laisse marcher sur l'autre.

La réincarnation suppose l'existence d'un Réincarnateur, dans ce cas seules les religions porteuses de cette croyance, s'avéreraient "vraies" et les monotheistes auraient tout faux. Sauf que quasiment tous ceux qui relatent leur expérience de la réincarnation sont issus des rangs de ces derniers. Seraient-ils inspirés pour prêcher la bonne parole du Dieu réincarnateur.

Reggiani : "Je voudrais être ce monsieur qui passe"

J'en ai beaucoup. Allez au hasard de ce matin : John Irving, Michel Zévaco (celui des romans de cape et d'épée, oui), Camus, Moravia, Jorge Amado et ... tiens, Umberto Eco. Bon il y a aussi les poétes, je n'en mettrai qu'un Eluard, certainement.

Le passé nous émousse, il ronge notre enthousiasme et fragilise, parfois en le durcissant, notre coeur et notre intelligence. Il a été, il est, il sera. C'est nous, nous le portons, comme un croix, même en ses moments de bonheur, il est toujours regret, car nous savons qu'il a été consommé de ce qui nous restait. Le passé revient toujours, dans nos rêves, pour le mieux, dans nos cauchemards pour le pire. Il est la jeune fille que le héros de La Chute n'a pu sauver, aurions nous voulu le faire, que nous n'aurions réussi, au mieux nous ferions un cadavre de héros. Il n'y a point de héros contre le temps qui passe, coule alors la Seine de notre existence, sous le pont de l'irréversible. Reste la nostalgie. Cultivons là. Comme ici.

"Que serais-je sans toi ?" pour qu'aux vers d'Aragon chantés par Ferrat tu donnes vie !

Brel : De chrysanthème en chrysanthème. Triste mais vraie, d'une lucide beauté.

La belle affaire !

C'est comme une caresse du bout des doigts sur le dos.

Fumer c'est peut être bon, mais c'est pas bien.

Moi aussi , ça m'interesse, vas-y donc.

Coupons court ! (si je puis dire) : Ne te marie pas, la question ne se posera plus.

Moi je suis contre, c'est une misère, une déchéance.

Chemise blanche, pantalon noir, comme d'habitude.

Désolé de jouer les trouble-fête, mais n'aimant pas les films d'horreur, je n'en préfére aucun. Pourquoi participer alors ? Peut être pour conjurer mes peurs ? J'ai vu Shining très jeune il me hante jusqu'à présent. Je réponds à la question là...

Je peux pardonner à ceux qui me font du mal, je ne peux le faire à qui en font à ceux que j'aime, surtout aux plus vulnérables.

Je ne sais, chaque expérience étant personnelle, les situations dépendant de nombre de facteurs, variables selon les individus. Dans le cas visé par la question, la problématique n'est posée, de prime abord, qu'à l'aune, que selon la perspective, d'un seul acteur vis-à-vis de lui même. Vous me direz qu'on se doit nécessairement de se poser comme sujet pour appréhender une situation, j'en conviens mais souligne, que les autres acteurs le conjoint potentiel et les enfants entités autonomes et pensantes nonobstant leur jeune age, aussi refont leur vie et en toile de fond peut-être la figure de l'ex. absente-présente. Je voudrais aussi souligner, que la situation ne saurait être réduite à un figement temporel ou psychique, elle sera fluctuante et évolutive. Comme toute vie d'ailleurs. Bon courage.

Y a un côté show, qui doit quand même gêner les croyants, quoique le catholicisme a toujours cultivé l'apparat et les attributs du pouvoir césarien.

En tout cas, même si on n'est pas d'accord avec Bigard, il faut reconnaitre que s'il avait soutenu une position conforme aux canons de la pensée politico-méditique, il aurait été porté au pinacle, sans que personne ne s'offusque de l'intervention d'un humoriste dans les grands débats, bien au contraire les marionnettistes de l'opinion publique font tout pour que tel soit le paysage -nivelé- de référence de notre époque.

Paradoxalement un chanson triste : "La ville s'endormait" de Jacques Brel.

Quelques nuages passagers, mais hauts, très hauts. Sinon dégagé, lumineux.