Pheldwyn

Et comme je le disais, ça dépend des boîtes. A la limite Microsoft a de quoi mettre des ressources. Une PME avec 5-6 développeurs, ce n'est déjà plus la même histoire.

Euh ce n'était pas mon propos. Je vote à gauche, clairement. Je mettais juste ta caricture sur ce que pensent les sales gauchiste en cause. En l'occurrence, ton message allait dans le même sens que le mien : plutôt voir si on ne peut pas exiger davantage de suivi. break; return;

Et en faisant compliqué ? Mais je n'ai pas dit cela. Mais tu nous expliquais que le "gratuit" n'existait pas. Et pourtant l'outil fondamental de ton propre travail, le développement en C# et C++, n'est pas payant. Qu'après tu t'appuies sur des librairies payantes, c'est autre chose, mais ces librairies sont elles aussi basées sur des langages gratuits

Bah voilà, c'était mon propos en tant que "sale gauchiste"

Le C++ et le C# sont gratuits. Les compilateurs également. Le framework .NET est lui aussi gratuit. Ce qui est payant, c'est ton environnement de développement (Visual Studio... Et encore, il existe une version gratuite pour les particuliers) et certaines librairies. Non, je pense à la quasi-totalité des langages : C, C++, C#, Java, Python, PHP, Ruby, Javascript, Kotlin, Swift, Flutter, ... des frameworks (symfony, Laravel, react, zope, .. )... Tu as aussi des serveurs web (nginx, apache, ...), serveurs de base de données (mysqli, marieb,...) et plus largement tout un tas de technos utilisées gartuitement en milieu professionnel.

Bah le "tu te démerdes tout seul reste quand même du gratuit Dans mon ancienne boîte, nous vendions des NUC sous Linux avec notre logiciel pour de l'affichage dynamique. Le Linux (et bon nombres d'applications utilisées) avaient un coût de 0€. D'ailleurs... Que dire des langages de programmation, framework et environnements ? La quasi-totalité d'entre eux sont totalement gratuits (dis, ça ne t'embêtes pas de travailler sur le boulot des autres... Tu n'en profite pas pour te rouler un joint ? ).

Au contraire. C'est se baser sur la réalité des choses que de rappeler que : - la base fondamentale d'une activité économique reste encore le travail (la production de biens et de services), et donc les travailleurs. Ce qui d'ailleurs fait tourner la société concrètement, ce sont avant les travailleurs : médecins, agriculteurs, boulanger, policier, professeur, commerçant, infirmier, indépendant, etc ... - la destinée au sein des entreprises n'est pas la même pour tous ses acteurs : un salarié ne vit que de son travail. Un actionnaire, c'est beaucoup plus flou : il peut être salarié, rentier ou plus vraisemblablement être une société qui fait des bénéfices sur le jeu financier. Toujours est-il qu'il est moins directement impliqué, et qu'il est moins investi humainement. Cela reste une mise, que personne ne les a contraint à faire. De plus, perdre une mise et prendre un emploi ne sont absolument pas comparables. Encore un fois, l'impact est fondamentalement différent !

Ne le prends pas mal, mais je crois qu'ils ne pensent absolument pas à cela. Que le sujet toi t'intéresse et que l'idée fait écho... Mais je ne crois pas que ce soit les enjeux. L'idée c'est plutôt de lutter contre l'obsolescence volontaire, par rapport au droit des citoyens et pour les enjeux environnementaux. Cela vise sans doute Apple, qui lie le fonctionnement de ses appareils à son seul OS. On peut aussi évoquer peut être Windows 11 qui au départ n'etait compatible qu'avec certains PC récents, qui au final exclue malgré tout une frange importante de machines qui n'ont que 5,6 ans, avec un Windows 10 qui n'assurera plus de support après 2025, poussant certains a changer de machine. Et plus largement des produits rendus inutilisables par leur absence de suivi... Mais encore une fois, j'aurais bien voulu avoir des cas concret. Je ne pense pas que 4 députés fassent un amendement pour cette niche.

Je ne crois pas que cet amendement viennent d'un mélenchoniste ? Sinon, je suis d'accord, j'ai moi même pointé cet aspect. C'est malheureusement souvent le cas, et de tous les partis. La technocratie quoi. C'est pour cela que je m'interroge sur les motivations : droit du consommateur, volonté d'augmenter la pérennité des produits pour l'environnement ? Les motivations ne sont pas forcément à jeter, c'est les solutions pointées qui ne sont pas forcément judicieuses.

Ça n'a pas réellement de sens. Encore une fois, pour un logiciel, la question est complexe. Je pense que l'on peut juste agir sur une durée de suivi minimale. Et même cela, ce n'est pas évident à gérer pour de petits éditeurs... Lorsqu'apparaissent de nouvelles contraintes, de nouvelles failles de sécurité, de nouveaux besoins, etc... Il arrive que cela soit intégré dans une nouvelle version, justement mieux architecturée, mieux pensée, basé sur de nouvelles technologies qui permettent la prise en compte de tout cela. Bref, si tu mises sur le développement de cette nouvelle version, il est difficile de mobiliser dans le même temps du monde pour mettre l'ancienne version en conformité, surtout que techniquement ce n'est pas toujours évident, que tu finis avec des usines à gaz, etc .... Mais encore une fois, j'ai l'impression que le projet de loi ne vise pas les logiciels applicatifs, mais plutôt des logiciels ou système embarqués (et sans doute des drivers comme je l'évoquais, dans l'idée), bref des briques associés à un matériel ou un produit, qui par leur obsolescence ne permettent plus d'utiliser ce produit pourtant fonctionnel par ailleurs. Mais ça reste flou, puisqu'ils parlent d'OS par exemple. Baser l'économie et la vie des gens sur des paris et jeux d'argents, c'est quoi du coup ?

Parce que ton entreprise est loin d'être la généralité. Et que si elle adopte une stratégie de fidélisation envers ses salariés, c'est qu'en termes d'offre et de demande, elle a tout intérêt à le faire ... Et surtout les moyens. Et si elle t'offre tout cela, c'est qu'à l'autre bout elle marge d'autant plus sur ton travail. La question n'est pas de savoir si les patrons sont des salauds, c'est de s'interroger sur la répartition : quelle part as tu eu dans les bénéfices (en termes d'invrstissement personnel, de temps) de ton entreprise, quelle part en reçois-tu, quelle part ont eu les actionnaires, quelle part en recoivent-ils. Et tu es dans le cas où apparremment il y a de la thune, donc il y a de quoi refiler, mais dans la plupart des boîtes ce n'est pas le cas et les différences sont plus criantes : des travailleurs, investis tout comme toi, qui vont bosser tous les jours, tout comme toi ... Mais qui au final ne gagnent pas de quoi finir le mois. Et des invistisseurs qui eux continuent d'amasser. Encore une fois, depuis 30 ans, la part des bénéfices est allée bien davantage vers les dividendes que vers le salariat.

Tu sais, dans l'absolu, sans actionnaire ou investisseur, on aurait toujours les gens capables de mener a bien l'activité. Cela imposerait de s'organiser différemment, de trouver des moyens de financement ou de ressources différemment, mais dans l'absolu ce qui crée l'activité et qui rapporte de l'argent, ce n'est pas l'investissement (ça, c'est ce qui permet la mise en place et l'évolution dans notre société), c'est bel et bien le travail réalisé concrètement par les salariés. L'inverse n'est pas vrai : tu peux avoir des milliards, si tu n'as personne pour faire le boulot... Bah tu ne fais rien.

Et ils seront quittes à un moment ... Où ils continueront à toucher indéfiniment ? C'est beau. J'espère pour toi que tu ne te rendras jamais compte que ce n'est pas réciproque.

Bon, j'ai lu l'article (c'est mieux ). Ils évoquent les logiciels ou système embarqués davantage qu'autre chose. L'exemple de l'OS est très mauvais, car pour un ordinateur il y a toujours la possibilité d'installer un OS libre (bon même s'il y'a toujours eu le débat sur la vente liée) et que pour les portables ou tablettes, la majorité est basé sur un OS libre. Sauf, bien évidemment Apple qui pourrait poser question, en effet. Pour le reste, ça se discute. Surtout, on évoque le cas des particuliers, mais tout cela prend également une autre dimension dans le monde dans l'entreprise : si vous vendez un produit a un client, que vous le remplacer par un autre embarquant un nouveau logiciels, de nouvelles normes et contraintes, devriez vous lâcher l'ancien code source à votre client qui veut garder l'ancien modèle, alors que ce code source renferme une partie de votre expertise dans le domaine. A l'inverse, cela est souvent en effet utilisé comme levier commercial par nombre d'entreprises.

Bah ce n'est pas rien foutre que de reprendre un logiciel, d'assimilet le code source, et le maintenir alors que l'éditeur n'avait plus forcément les moyens ou l'intérêt. Après... J'aimerais bien connaître les exemples concrets qui ont mené à cette réflexion... Pensent-ils aux logiciels totalement abandonnés, ou aux anciennes versions de ces logiciels remplacées par des nouvelles ? Dans ce dernier cas, c'est plus complexe, une partie des sources demeurent généralement, ce sont souvent de nouvelles fonctionnalités qui sont ajoutées ou refondues... Mais donc le code source reste utilisé en grande partie par l'entreprise. Peut-être dans ce cas faudrait-il plutôt imposer aux entreprises un suivi d'une certaine durée des versions précédentes ? Je pense également à un autre cas, celui des drivers matériels. Là, oui, lorsqu'un matériel est ancien et plus du tout maintenu par le fabriquant (exemple typique : une imprimante qui ne fonctionnerait pas sous windows 10), peut-être faudrait-il que certaines informations soient publiées pour permettre la mise à jour de ces drivers par des tiers, ça ne me semblerait pas déconnant. Bref, j'avoue que tout ça manque cruellement de détails pour savoir ce que l'on vise et pourquoi, et dans quels cas ? Quand tu es pété de thunes, est-ce un risque d'investir un chouilla de ces thunes, surtout que tu sais que globalement en multipliant ces placements, ce que tu risque le plus... C'est de t'enrichir. Par qu'un actionnaire ne pari pas dans le vide, il investit vers ce qui lui semble rentable. Sa démarche n'est pas d'aider à développer des projets, mais avant tout de gagner des thunes. Et donc tu compare ça avec le fait de créer des richesses en travaillant concrètement ? Étrange ton idéologie.

Bah faut pas se forcer non plus

Déjà, c'est quoi être pro-immagration ? C'est tout faire pour mettre en place une immigration et aller chercher des gens ? Non, parce que je ne crois que personne n'est dans cette démarche. Ensuite, je ne sais pas si les immigrés qui arrivent ici viennent majoritairement d'une culture ultra patriarcale et conservatrice, et encore moins si eux même sont ancrés dans cette culture. Puisqu'ils quittent leur pays pour aller ailleurs, c'est peut être qu'il ne sont pas forcément des défenseurs acharnés de cette culture. Ensuite, ils arrivent en France, qui fait tout de même partie des états où les droits des femmes sont le plus mis en avant. Quelle que soit leur culture patriarcale et conservatrice, ils ne seraient donc pas tomber dans le meilleur endroit pour la perpétuer si telle était leur intention. Leurs filles fréquenter ont une société (via l'école, les médias, leurs amies) avec d'autres moeurs, et auront bien davantage la possibilité d'adopter de nouveaux codes. Et a moins que tu penses que l'intégralité des réfugiés soient des tortionnaires, elles auront bien davantage le possibilité de faire ce qu'elles veulent. Enfin, s'il s'agit de considérer le féminisme en France et ou perdurent encore les problèmes, les inégalités ou le sexisme quotidien... On a vite fait de voir que les problématiques posées dans notre société résultent en effet du patriarcat, mais pas du tout d'un quelconque patriarcat importé par des vagues migratoires, non, d'un patriarcat historique, ancré dans notre société, et bien français. Bref, au final, l'impact de ces réfugiés (qui représentent un pouillème de la population et de ses moeurs, a moins que tu parles plus largement des immigrés) est assez anecdotique dans la lutte féministe, mais doit être combattue de la même manière. Ce qui a bien l'air d'être le cas (on sent bien que leur aspiration est tout autre que féministe) tel que tu les présentes (mais ce qui ne justifie aucunement des agressions physiques). Parce que ton propos est une déformation de la réalité : tu parles d'accueil massif, mais qu'en est-il réellement ? Tu pars du principe que tous les immigrés (parce que je suppose qu'au final tu parles d'immigrés, pas de réfugiés) seraient issus forcément d'une culture patriarcale forte, qu'ils seraient tous sur cette ligne, et qu'ils empêcheraient tous leur femme et leur fille d'etre autrement. Bref, tu imagines des caricatures, des clones presques, avant de voir des gens, par nature différents. Et enfin, ces immigrés ont au final assez peu de poids dans les moeurs du pays : de par leur nombre, leur influence plutôt infimes. Et mêmes parmi ceux qui seraient conservateurs et etoufferaient la liberté de leur femme ou de leur fille, combien cherchent à imposer cela aux autres ? Ils vont tenir éventuellement un discours, mais en face tu as une société qui prône d'autres valeurs. Bref, le meilleur moyen de lutter contre ces conservateurs, c'est bien de mixer le plus possible les quartiers, les écoles, les cultures, casser toute forme d'enfermement communautariste, histoire que chaque individu, chaque enfant, puissent avoir accès à des valeurs émancipatrices, puisse se voir enseigner l'esprit critique. C'est au final comme cela que l'on a fissuré le conservatisme catholique par exemple.

J'adore sa voix, j'avais adoré son premier album. Un peu moins fan du second.

Bah en même temps, j'aurais pas foutu grand chose pour l'avoir cet argent ! Et quand bien même, elle peut prendre une partie, il m'en restera toujours suffisamment.

Ah bah ... tant pis L'intrigue devient normalement bien plus intéressante et foisonnante par la suite, chacun des protagonistes va suivre une voix très différente. On découvre également le fonctionnement des Aes Sedai et la Tour Blanche, et les oppositions politiques qui existent entre chacune des Ajah (les couleurs des Aes Sedai), ainsi que d'autres peuples, etc ... Mais bon après, j'avoue que je ne suis pas forcément objectif, j'ai le plaisir de voir à l'écran une histoire que j'ai lue, et j'avais peur que ce soit bien pire dans la retransription (même s'il y a des trucs bofs, genre le 3ième épisode avec Dana). Avec le recul, et en essayant de me mettre à la place de quelqu'un qui ne connaît rien de l'histoire, peut-être sont-ils allés trop vite (mais en même temps, le début de l'intrigue est assez banal).

J'aime bien sa reprise :

Je ne suis pas dépositaire, tu n'as toujours pas compris. Je souscris à des valeurs de gauches, j'aspire à ce que la société soit plus égalitaire, solidaire, offrant la liberté et la dignité à chacun. Bah on peut être catholique en ne souscrivant absolument pas aux actes de l'institution. Mais ton analogie est faussé : le catholicisme, c'est reconnaître une institution qui dit comment vivre sa foi, avec des représentants, etc ... ce serait davantage l'équivalent d'un parti. Si tu veux une véritable analogie, ce serait associer les valeurs de gauches avec le fait de croire en Dieu : et croire en Dieu n'impose absolument pas d'être catholique. Mais c'est qui "on", encore une fois ? Tu me mets dans ce "on" ? Tu sais que je n'ai pas mythifier un prolétariat pendant 150 ans, que je n'ai beaufiser ni rejeté personne, moi ? Et je ne suis, à mon niveau, pas plus responsable que toi, ni des réussites, ni des tares. Je n'étais pas né à l'époque pour supporter cette "gauche" dans un sens ou dans l'autre. Bref, je te renvoie à ma réponse précédente que tu n'as apparemment pas du tout intégrée. Mais parce que la gauche ce n'est ni des gens, ni un camp : c'est ce que je me tue à te dire. Ce sont des valeurs, des choses auxquelles on aspire lorsque l'on est de gauche. Et les valeurs, ça n'agit pas. Ce sont les hommes qui agissent. Encore une fois, des tas de gens qui se réclament d'une cause et qui la trahissent, ou l'interprètent à leur façon, il y en a des tas. Si je te dis que Staline, par exemple, n'était pas de gauche, c'est tout simplement parce que ces actes n'allaient pas dans le sens des idées humanistes de la gauche (c'est le moins qu'on puisse dire). Après, les idées c'est aussi condamnables et discutables : le nazisme, par exemple, n'est rien sans les nazis. Il serait resté enfermé dans un bouquin si son auteur n'avait pas réussi à prendre le pouvoir. Et là, les idées et les valeurs nazies sont absolument condamnables. Bref, si tu veux critiquer les idées de gauche, fait le sur la base de ces idées, pas sur les personnes qui les ont fourvoyées ou trahies. Mais qui parle d'être le plus pur ? Encore une fois, j'aspire à des idées de gauche, justement parce que je connais l'homme et son individualisme, moi compris. Si demain je gagnais au loto, je filerais à mes proches, peut-être à quelques assocs pour me donner bonne conscience, mais je conserverais la majeure partie pour moi, très certainement. Parce que l'on ne vit qu'une fois. C'est pour cela que j'aspire à un système où l'on ne compte pas sur le bon coeur des individus pour aider les autres, mais plutôt qui soit de base plus juste pour chacun en redistribuant les richesses de manière équitable.

C'est assez surprenant et déroutant ta manière d'essentialiser, de confondre les gens avec un concept, un camp. Cela me fait penser aux supporters de foot qui se lancent des "vous vous étiez faits laminés par telle autre équipe", "on vous avais battu" ... comme s'ils avaient été eux-mêmes membre des équipes en questions, alors qu'ils n'étaient même parfois pas nés à l'époque ou n'ont quasiment jamais joué au foot eux-même. Bref, de la logique de clan, de camp. Tu m'excuseras de ne pas avoir cette logique un peu bizarre de considérer les pensées ou les actions des gens. Je ne suis pas la gauche, je ne suis pas membre du "camp de la gauche" ... j'ai juste des idées ou des valeurs de gauche, ce n'est pas pour autant que je fais partie d'une grande famille où tout le monde serait d'accord ou responsable des actes des autres. Mais tu es tellement emberlificoté dans ta vision, dans ta manière de voir les choses, qu'expliquer un truc aussi simple me semble impossible. C'est comme si tu avais besoin de voir "la gauche" comme un ensemble d'individus semblables, homogènes, qui seraient les membres d'une secte millénaire, d'un club, qui se mettrait d'accord entre eux et seraient comptables de tous les autres membres de ce même club. Cela te permet de créer un tout où tu peux à loisirs généraliser des critiques de quelques uns à l'ensemble. Toujours et encore, dans une logique de clan. Tu sais que c'est à des kilomètres de la réalité quand même ?

Encore une fois, tu fais comme si "la gauche" était une personne. Or, aucun qui se revendiquent de gauche, modéré ou pas, n'a connu ou suivi quiconque en 1917, par exemple. Ils n'étaient pas nés. La pensée de gauche est toujours là, elle peut-être révolutionnaire ou plus modérée (enfin, lorsque modéré signifie "centre-droit", c'est déjà autre chose), ceux qui se revendiquent de cette pensée ne sont pas responsables des déviances d'autres personnes qui se sont par le passé revendiqués de gauche pour au final arriver à des dictatures sans respect de l'humain (qui est, encore une fois, à 180° des valeurs de gauche). Politiquement elle n'est pas morte, elle est juste en très mauvais état. Par contre, oui, culturellement - et c'est le paradoxe - la gauche est bien présente dans l'opinion. C'est juste que les repères ont été démolis politiquement, essentiellement par le PS.

Ce qui ne répond pas à ma question. Tu penses qu'ils mentent ? Ou tu penses qu'il a pu falsifier ces données comme ils le disent ?