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Tout ce qui a été posté par _Dolph
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vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
Commence pas a balancer toi hein ( tu parles de mon ptit con et de sa belle? ) -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
euh moi j'ai Lore comme e-femme et dans la réalité bah il est sur le fofo aussi -
bah j'vois que Baudelaire ne fait pas taire j'voudrais bien vous aider mais la j'suis crevée alors amis de la poèsie bonne nuit... En même temps j'aime les lire j'ai jamais dit que j'étais douée pour en faire hein je sais =======> []
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On s'inquiéte tous de louper un truc et on en loupera même plusieurs... c'est pas le plus important au final. Il a chaque jours ton amour est c'est ça qui le et te fais avancer... Puis t'inquiéte pas aussi pour le cerveau en bordel, je t'assure le mien ( et pas que le mien j'en suis sur) n'est pas mieux rangé Bonne nuit à toi Lari
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Et si j'donne un mot de mon docteur à Phobos j'ai le droit d'en faire? Phobos si t'as besoin d'une malade pour tenir la liste de ceux qui ont le droit (uniquement avec mot des parents ou du medecin ) j'suis là hein (dans la liste je pourrais en faire des fautes? ) @Phobos: j'ai une idée pour recruter les futurs modos Recherchons un 100% Geek Pour faire parti de l'équipe Forumfr il faut: Pas de vie de famille Pas de boulot Aimer corriger les fautes Passer 22h sur 24 h devant son PC Ne pas mettre d'averto quand le forumeurs pense pas le meriter Etre gentil avec les forumeurs tout le temps mais en acceptant d'en prendre plein la tête oula j'fais quoi ici moi , hop hop hop =====> []
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Charles Baudelaire Charles Pierre Baudelaire, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 dans la même ville, est un poète français. Charles Baudelaire n'a jamais accepté le remariage de sa mère avec Aupick alors qu'il n'avait que sept ans. Est-ce là la cause de son esprit rebelle ? Toujours est-il qu'il se fait exclure du lycée Louis-le-Grand, fermement décidé à mener une vie de dandy. Décision contrariée par son beau-père, qui le fait embarquer de force sur un paquebot en direction des Indes, puis qui place sous tutelle judiciaire la fortune héritée de son père et menacée d'être rapidement dilapidée. Contraint de travailler, Baudelaire se consacre à la critique d'art et à la traduction des oeuvres d'Edgar Poe. En 1857 paraissent 'Les fleurs du mal', recueil de vers exaltant la beauté en germe dans toute perversité, dans toute souffrance. L'ouvrage est condamné pour 'outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs'. Il faut dire que le poète fait fi des valeurs bourgeoises triomphantes en ce siècle. Il s'éteint prématurément, le corps rongé par la syphilis, l'alcool et autres substances hallucinogènes. ************* A une mendiante rousse Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de rousseur, A sa douceur. Tu portes plus galamment Qu'une reine de roman Ses cothurnes de velours Tes sabots lourds. Au lieu d'un haillon trop court, Qu'un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ; En place de bas troués, Que pour les yeux des roués Sur ta jambe un poignard d'or Reluise encor ; Que des noeuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ; Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier Et chassent à coups mutins Les doigts lutins, Perles de la plus belle eau, Sonnets de maître Belleau Par tes galants mis aux fers Sans cesse offerts, Valetaille de rimeurs Te dédiant leurs primeurs Et contemplant ton soulier Sous l'escalier, Maint page épris du hasard, Maint seigneur et maint Ronsard épieraient pour le déduit Ton frais réduit ! Tu compterais dans tes lits Plus de baisers que de lis Et rangerais sous tes lois Plus d'un Valois ! - Cependant tu vas gueusant Quelque vieux débris gisant Au seuil de quelque Véfour De carrefour ; Tu vas lorgnant en dessous Des bijoux de vingt-neuf sous Dont je ne puis, oh ! pardon ! Te faire don. Va donc ! sans autre ornement, Parfum, perles, diamant, Que ta maigre nudité, é ma beauté ! ..................................... L'âme du vin Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles : " Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles, Un chant plein de lumière et de fraternité ! Je sais combien il faut, sur la colline en flamme, De peine, de sueur et de soleil cuisant Pour engendrer ma vie et pour me donner l'âme ; Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant, Car j'éprouve une joie immense quand je tombe Dans le gosier d'un homme usé par ses travaux, Et sa chaude poitrine est une douce tombe Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux. Entends-tu retentir les refrains des dimanches Et l'espoir qui gazouille en mon sein palpitant ? Les coudes sur la table et retroussant tes manches, Tu me glorifieras et tu seras content ; J'allumerai les yeux de ta femme ravie ; A ton fils je rendrai sa force et ses couleurs Et serai pour ce frêle athlète de la vie L'huile qui raffermit les muscles des lutteurs. En toi je tomberai, végétale ambroisie, Grain précieux jeté par l'éternel Semeur, Pour que de notre amour naisse la poésie Qui jaillira vers Dieu comme une rare fleur ! " ..................................... Tout entière Le Démon, dans ma chambre haute, Ce matin est venu me voir, Et, tâchant à me prendre en faute, Me dit : " Je voudrais bien savoir, Parmi toutes les belles choses Dont est fait son enchantement, Parmi les objets noirs ou roses Qui composent son corps charmant, Quel est le plus doux. " - é mon âme ! Tu répondis à l'Abhorré : " Puisqu'en Elle tout est dictame, Rien ne peut être préféré. Lorsque tout me ravit, j'ignore Si quelque chose me séduit. Elle éblouit comme l'Aurore Et console comme la Nuit ; Et l'harmonie est trop exquise, Qui gouverne tout son beau corps, Pour que l'impuissante analyse En note les nombreux accords. é métamorphose mystique De tous mes sens fondus en un ! Son haleine fait la musique, Comme sa voix fait le parfum ! " ..................................... A celle qui est trop gaie Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime ! Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie, Le soleil déchirer mon sein ; Et le printemps et la verdure Ont tant humilié mon coeur, Que j'ai puni sur une fleur L'insolence de la Nature. Ainsi je voudrais, une nuit, Quand l'heure des voluptés sonne, Vers les trésors de ta personne, Comme un lâche, ramper sans bruit, Pour châtier ta chair joyeuse, Pour meurtrir ton sein pardonné, Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur ! A travers ces lèvres nouvelles, Plus éclatantes et plus belles, T'infuser mon venin, ma soeur !
- 138 réponses
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discussions ===> Debat ====> Politique
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mourir : c'est pas le moment j'suis fatiguée là manger: c'est déjà fait dormir : j'vais avoir du mal bon j'ai envie de rien j'crois
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+10000000000 tout a fait d'accord avec Fleur
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Merci Chirona, il est magnifique celui là Les assis Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues Vertes, leurs doigts boulus crispés à leurs fémurs, Le sinciput plaqué de hargnosités vagues Comme les floraisons lépreuses des vieux murs ; Ils ont greffé dans des amours épileptiques Leur fantasque ossature aux grands squelettes noirs De leurs chaises ; leurs pieds aux barreaux rachitiques S'entrelacent pour les matins et pour les soirs ! Ces vieillards ont toujours fait tresse avec leurs sièges, Sentant les soleils vifs percaliser leur peau, Ou, les yeux à la vitre où se fanent les neiges, Tremblant du tremblement douloureux du crapaud. Et les Sièges leur ont des bontés : culottée De brun, la paille cède aux angles de leurs reins ; L'âme des vieux soleils s'allume, emmaillotée Dans ces tresses d'épis où fermentaient les grains. Et les Assis, genoux aux dents, verts pianistes, Les dix doigts sous leur siège aux rumeurs de tambour, S'écoutent clapoter des barcarolles tristes, Et leurs caboches vont dans des roulis d'amour. - Oh ! ne les faites pas lever ! C'est le naufrage... Ils surgissent, grondant comme des chats giflés, Ouvrant lentement leurs omoplates, ô rage ! Tout leur pantalon bouffe à leurs reins boursouflés. Et vous les écoutez, cognant leurs têtes chauves, Aux murs sombres, plaquant et plaquant leurs pieds tors, Et leurs boutons d'habit sont des prunelles fauves Qui vous accrochent l'oeil du fond des corridors ! Puis ils ont une main invisible qui tue : Au retour, leur regard filtre ce venin noir Qui charge l'oeil souffrant de la chienne battue, Et vous suez, pris dans un atroce entonnoir. Rassis, les poings noyés dans des manchettes sales, Ils songent à ceux-là qui les ont fait lever Et, de l'aurore au soir, des grappes d'amygdales Sous leurs mentons chétifs s'agitent à crever. Quand l'austère sommeil a baissé leurs visières, Ils rêvent sur leur bras de sièges fécondés, De vrais petits amours de chaises en lisière Par lesquelles de fiers bureaux seront bordés ; Des fleurs d'encre crachant des pollens en virgule Les bercent, le long des calices accroupis Tels qu'au fil des glaïeuls le vol des libellules - Et leur membre s'agace à des barbes d'épis.
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et en plus on est conne super euh.... si tu le dis
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j'ai juste envie de dire que j'aime beaucoup les citations ...... "Le con a toujours un temps d'avance sur la connerie, c'est sa force, son carburant, sa came ! Curieusement, si c'est lui qui se dope, c'est toi qui fait l'overdose"
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J'aimerais vraiment que certaines apprennent à réfléchir plutôt que de lancer des piques incessantes envers les autres....... éa devient gonflant cette méchanceté gratuite....... je dis ça, je dis rien...si seulement tu pouvais ne rien dire ...... cela nous changerait +1 +1000
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Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud (Jean Nicolas Arthur Rimbaud) est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, dans les Ardennes, et mort le 10 novembre 1891 à l'hôpital de la Conception à Marseille. Très tôt, Arthur Rimbaud développe un don précoce pour la poésie. Ecrivant son premier poème à l'âge de treize ans, il remporte l'année suivante le prix du Concours académique. En 1870, il fait la rencontre de Georges Izambard, alors professeur de son lycée. Il découvre avec lui la poésie parnassienne. Mais l'invasion prussienne précipite les événements. Rimbaud fugue vers Paris et, dans l'espoir d'être publié au sein du journal des Parnassiens, il expédie à Paul Demeny sa 'Lettre du voyant'. C'est finalement Verlaine qui l'accueille, bouleversé par la modernité de sa poésie. S'ensuit une relation tumultueuse qui conduit les deux poètes à une fugue anglaise. Leur amitié prend fin lorsque Verlaine manque de tuer Rimbaud d'un coup de pistolet. Par la suite, Rimbaud mène une existence vagabonde, tout en rédigeant les célèbres 'Illuminations' et 'Une saison en enfer'. Il souffre d'une tumeur au genou. Arthur Rimbaud s'éteint en 1891 à l'age de 37 ans. ********** Le Dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. .......................... Ma bohème Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur ! .......................... La maline Dans la salle à manger brune, que parfumait Une odeur de vernis et de fruits, à mon aise Je ramassais un plat de je ne sais quel met Belge, et je m'épatais dans mon immense chaise. En mangeant, j'écoutais l'horloge, - heureux et coi. La cuisine s'ouvrit avec une bouffée, - Et la servante vint, je ne sais pas pourquoi, Fichu moitié défait, malinement coiffée Et, tout en promenant son petit doigt tremblant Sur sa joue, un velours de pêche rose et blanc, En faisant, de sa lèvre enfantine, une moue, Elle arrangeait les plats, près de moi, pour m'aiser ; - Puis, comme ça, - bien sûr, pour avoir un baiser, - Tout bas : " Sens donc, j'ai pris 'une' froid sur la joue... "
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Rhooooooooooooooooooo!!! /me a déjà versé la larmette il sont magnifiques tes ptits ma Violette BRAVOOOOOO. ( derien, te n'aime fooort puis on allait pas priver le fofo de si belles photos )
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Toc toc toc et ouiiiiii, encore pour ma lore et me kinou
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ptdr excellent mamandrinette... plein de bisous a l'adorable et douce forumeuse que tu es..
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Félicitation ma Violette et bienvenue au ptit ange ( moué , je te donne le choix entre deux dates et tu le fais entre le deux , pas grave plein de bisous a la ptite famille ) Moi c'est en signature depuis un moment
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bah oui , encore moi et pour ma lore et kinouuu
