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Kégéruniku 8

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Tout ce qui a été posté par Kégéruniku 8

  1. Oui, ce n'est pas dû au soda en lui même mais au sucre qu'il contient. ça marche de la même façon avec des bonbons ou des chewing gum ou même avec du jus de fruit. (même si un peu moins avec ce dernier, puisqu'il est moins sucré.) Mais ça marche avec tout ce qui apporte du plaisir, puisque tout ce qui procure du plaisir peut être addictif, mais contrairement aux drogues cette addiction n'est pas systématique puisque c'est un plaisir que l'on peut trouver ailleurs. La drogue agit comme un ligand, en bloquant les récepteurs d'endorphine, de fait tu finis par avoir besoin de ta drogue pour pouvoir éprouver du plaisir. Laisse des jouets à des gamins, ceux qui ne joueront pas avec seront l'exception, et si tu finis par les priver de ces jouets, cela créera une sorte de manque aussi. Seulement ce manque sera, en réalité, simple à combler. Il suffira de leur trouver une autre source de plaisir. Même sans ça, passera assez rapidement d'ailleurs. Enfin, pour certains soda, il faut admettre que c'est un peu plus complexe, puisqu'ils contiennent de la caféine, qui est une drogue. Je suis pour l'interdiction de l'alcool. L'alcool est une drogue parmi les plus dures et les plus dangereuses. Plus que la cocaïne et bien plus que le tabac ou le cannabis. Il n'y aucune comparaison possible entre l'alcool et le soda. C'est comme comparer l'héroïne au sucre candy.
  2. Oui, tout peut être addictif avec certaines personnes, il y a bien des accrocs aux jeux vidéos, au poker, au sport ou aux timbres, et il y a des gens qui sont accrocs à la bouffe. Mais dans ces cas, ce n'est pas tant le produit qui est addictif que la personne qui est addicte. Pour la drogue c'est différent, puisqu'elle agit directement sur le cerveau, pas en déclenchant la sécrétion d'endorphine, mais en produisant une molécule qui va remplacer l'endorphine, et qui de fait rend l'addiction plus "systématique". M'enfin, ce qui justifie la différence de traitement, selon moi, c'est dans un premier temps, la nuisance pour les autres que provoque la fumée de cigarette, et dans un deuxième temps le fait que la cigarette soit une drogue dure provoquant une dépendance psychique très forte ( plus forte que celle provoquée par la cocaïne et bien plus forte que celle provoquée par le cannabis) ainsi qu'une forte dépendance physique (encore une fois plus forte que celles de la cocaïne et du cannabis). Sans oublier que la toxicité générale du tabac est plus forte que celle de l'héroïne ou de la cocaïne. En fait, si le tabac est légal et pas le cannabis, c'est simplement culturel, puisque le tabac est plus dur à quasiment tous les points de vue. Et si le tabac n'est pas considéré comme aussi dangereux que l'héroïne ou la cocaïne, c'est seulement du fait de sa dangerosité sociale qui est bien plus faible.
  3. La différence entre malbouffe et cigarette c'est qu'un des deux produits est une drogue, provoquant une très forte dépendance psychique. Peu m'importe que la cigarette soit interdite ou non, les lois en vigueur me suffisent. Ce que je voulais dire, c'est qu'il y a déjà une différence de traitement, puisqu'il y a déjà des lois sur le tabagisme. Mais cette différence de traitement est justifiée.
  4. Même sans tenir compte de la nocivité de la cigarette, reste la gène qu'elle engendre. Sans être nocive, la fumée n'en resterait pas moins une nuisance, ce qui justifierait le fait qu'on agisse à son encontre différemment qu'envers la malbouffe. Sans oublier que le tabac est une drogue dure et qu'il mérite donc d'être traité comme tel.
  5. La théorie du dessein intelligent nous vient des Etats-Unis, d'un conservateur chrétien, et on nous dit que c'est de la faute des musulmans si la théorie de Darwin est réfutée.
  6. C'est exactement là où je voulais en venir. Il faut se garder des oeillères. Voilà pourquoi je ne tiens pas compte de l'impact négatif indirect que peut avoir la malbouffe sur la société. Si on se met à tenir compte des impacts indirects, on se met à voir que notre mode de vie est extrêmement nocif, et ça nous trouerait vraiment le cul de le changer, moi le premier. Donc, la malbouffe, contrairement à la drogue, ne créé pas de danger (comprendre pas de danger direct) pour la société, c'est pourquoi, contrairement à la drogue, la malbouffe ne devrait pas être interdite ou taxée, à mon sens. L'impact négatif indirect n'étant pas considéré comme un empiétement sur la liberté d'autrui. De fait, taxer ou interdire la malbouffe reviendrait à priver certaines personnes de leur liberté, et ce injustement.
  7. Tu vois, quand je te disais que tout le monde se complaisait dans la mort. Et pour certains, c'est sous couvert d'un humour douteux. :p Et là on touche à tout ce que le vivant a de plus sacré en soi. Yep, c'est la deuxième partie que je t'explique maintenant pour la troisième fois. Les ressources n'étant pas illimitées, la consommation de celles ci qui est faite par les pays riches cause inéluctablement un manque pour les plus pauvres. Et lorsqu'il s'agit d'un manque d'eau ou de nourriture, cela tue des personnes. Le mode de vie occidental se paye en vies sur d'autres parties du globe.
  8. Je te fais un récapitulatif. Je te dis que vivre par définition c'est tuer. Tu réponds que j'ai de drôles de définitions. Hors, il se trouve que, rien que pour se nourrir, chaque être vivant a besoin de la mort d'un autre. Si tu as bien lu, tu verras bien que j'ai parlé d'êtres vivants, pas seulement d'êtres humains. Ensuite, vu que tu ne comprenais pas en quoi la vie d'un être humain pouvait être nocives pour d'autres êtres humains, je t'ai simplement expliqué que le mode de vie occidental à une forte incidence sur les vies d'autres personnes, et sur le Tiers-Monde, en l'occurrence. La consommation d'eau n'étant qu'un exemple parmi d'autres.
  9. non, pas des cannibales. mais ce que tu remettais en question c'était le fait que vivre, par définition, c'est tuer. tu ne parlais pas de qui est tué. néanmoibs, à ton avis, la vie d'un occidental coûte combien de vies du tiers-monde? rien que par notre consommation d'eau, combien en manquent? tu crois que notre mode de vie n'a aucune incidence?
  10. Tu connais un être vivant qui ne se nourrisse pas?
  11. Ce n'est pas parce que je n'ai pas de réponse à proposer que je ne peux pas voir quand une proposition est mauvaise. Et quand c'est le cas, heureusement que je râle, ça évite de voir accepter toutes les bêtises de ceux qui pensent avoir trouver LA réponse et qui n'ont simplement eu pas assez d'esprit critique pour discerner leurs propres errements. Par définition, vivre c'est tuer. Alors, à moins de se suicider ou d'être monstrueusement aveugle, tout le monde se complet de la mort de ses congénères.
  12. L'accès aux soins, je suis d'accord. Mais l'accès aux soins pour tous, même pour ceux qui se détruisent. Parce que si cet accès aux soins est refusé à ceux qui ne font pas tout pour rester en bonne santé, je n'en vois plus tellement l'intérêt. Si je peux encore comprendre qu'on refuse un foie à un alcoolique sévère, j'ai plus de mal pour ce qui est de blâmer une personne qui ne fait pas scrupuleusement attention à ce qu'elle mange. Tant que ça se passe au niveau de l'information et de l'éducation, je ne peux qu'être d'accord. Pas besoin d'être en bonne santé pour tout ça. Il suffit de ne pas être en trop mauvaise santé. Et encore, ce n'est même pas absolu, puisque la santé n'assure en rien le bonheur, et on peut être heureux en étant gravement malade. Ne pas tenir à la vie, ce n'est pas nécessairement avoir le mal de vivre. Et l'on peut très bien ne pas se préoccuper de sa santé tout en ayant la rage de vivre. C'est l'une des exception à la règle. L'un des cas où on est forcé de faire un choix pour les autres, parce que ces autres sont trop cons. Mais ces cas doivent rester rares, ou alors on doit changer de système, parce que choisir pour les autres, ça ne s'accorde pas trop avec le principe de démocratie. C'est pourquoi on ne choisit pour les autres que dans les cas "extrêmes" où les conséquences sont directes. Et contrairement à la malbouffe, l'héroïne est une drogue dure. L'addiction qu'elle entraîne est très forte, ce qui la rend dangereuse pour celui qui la consomme, mais également pour les autres. L'héroïnoman n'est pas simplement autodestructeur, il est destructeur. De fait, ça change tout. Si le type vivait tout seul, ça ne me dérangerait pas le moins du monde qu'il prenne son pied dans un génocide de neurones jusqu'à l'overdose. Si c'est son choix, grand "bien" lui fasse, un abruti de moins, ça ne peut que me faire plaisir. On peut aller plus loin, doit on laisser n'importe qui avoir des enfants, dans un simple soucis de "liberté" et "d'égalité" alors qu'on sait pertinemment que cela entraîne différents problèmes comme la surpopulation (qui elle même entraîne d'autres problèmes, concernant l'alimentation par exemple), qui sont nocifs pour notre société et pour le reste du monde également/surtout? Ou bien doit on réguler les populations afin de pouvoir vivre plus sainement et sereinement? Le bien de la majorité au détriment de quelques uns, c'est sûr que ça peut paraître tentant, mais ça me semble tout de même un peu abject. Oui, mais là n'est pas l'important. Ce qui importe, ce n'est pas que ça ne te suffise pas, mais que non seulement ça suffise à certains, mais qu'en plus, ça leur plaise. On ne va pas priver quelqu'un de ce qu'il aime sous prétexte qu'on considère qu'il a des goûts de merde. Si on devait interdire tout ce qui est nocif, je me demande ce qu'il resterait.
  13. Lesquelles précisément? Pas nécessairement non, mais si certains peuvent le trouver là, pourquoi vouloir nécessairement leur faire changer d'avis? A partir du moment où le type est averti, qu'il sait qu'il va manger de la merde, si ça lui plait, qu'on le laisse faire. SI c'est occasionnel, ça n'aura que de faibles répercutions et lui aura pris son pied comme il l'entend. Si c'est quotidien, ça fait une retraite de moins à payer et une personne de moins en liste d'attente d'un organe. (les personnes ayant une hygiène de vie trop mauvaise n'étant pas acceptées.) "La santé? Pourquoi faire?" Sartre. Si l'on doit passer sa vie à ne rien faire sinon préserver sa santé, il n'y a pas d'intérêt. C'est pourquoi je fais primer la liberté individuelle sur la santé individuelle. On est pas tenu de s'accrocher à la vie, et encore moins à sa santé. Ils ont leurs raisons de l'accepter, et aussi mauvaises soient elles, ça me suffit. Les gens doivent faire leurs choix, pas les miens ou ceux de je ne sais qui. Et ce même si leurs choix sont mauvais, ou me semblent mauvais. Tout ce qui compte, c'est qu'ils fassent un choix. On peut les informer afin qu'ils aient en leur possession le maximum d'information pour motiver leur choix, mais on ne peut pas faire le choix à leur place. Ni assumer les conséquences à leur place d'ailleurs. C'est pourquoi un alcoolique profite de la sécurité sociale mais se verra recaler quant il visera l'obtention d'un nouveau foie. Qu'importe la bouteille pourvu qu'on ait l'ivresse. Si ça suffit à certains, c'est leur problème. Entre un peu de bien être parce que t'as du vert dans l'assiette et que tu trouves ça trop joli alors tu souris niaisement et une dépression parce que t'as mangé un bigmac, même si dans l'idée ça semble proche, perso j'y vois quand même un monde. Alors si le premier ne me semble pas inenvisageable, j'ai plus de mal avec le second. Un Etat qui informe, ce n'est pas un Etat passif. Et qu'il informe c'est, à mon sens, suffisant. Maintenant, si je ne veux pas d'un Etat qui prenne parti contre les fast-food, je ne veux pas non plus d'un Etat partisan. De ce côté là, je trouve la chose plus problématique, là je suis d'accord. Mais je préfère retirer un privilège que de compenser par une sanction.
  14. Je dis que la société n'est pas juste, pas la sécu. Et ce n'est pas parce que je n'ai pas mieux que c'est bien. Sinon, s'il n'y a plus d'argent à causes des suicidaires égoïstes qui se donnent la mort sans penser au coût de leur acte, qu'elle crève la gamine. C'est pas juste, y a pas d'argent pour elle parce qu'on l'a d'abord dépensé pour le suicidaire. Et ben pas de bol, mais je préfère encore ça à l'interdiction du suicide. Surtout que, contrairement au suicidaire, elle c'est certain qu'elle n'a pas cotisé.
  15. Parce que je fais primer la liberté de l'individu sur la sécurité sociale, et je trouverai aussi absurde que révoltant d'interdire le suicide parce que ce sont les autres qui le payent. SI on fait primer la sécurité sociale, on en fait une sorte de police des moeurs qui édicterait à chacun ce qu'il peut faire ou non en fonction du danger que cela représente pour lui et surtout pour le porte monnaie des autres.A ce jeu, on finit par avoir une vie sans goût, si tant est qu'on lui en trouve déjà. C'est considérer tous les individus comme des êtres similaires, occulter tout antagonisme, oublier les schismes etc. De plus, ce n'est pas parce que la société n'existe pas sans individu qu'elle est forcément bonne pour lui, la nature regorge de parasites qui maintiennent en vie leur proie, la plongeant dans des souffrances indicibles, pour s'en nourrir. Je considère la société comme un de ces animaux. Le fait qu'il soit désormais impossible de vivre en dehors de la société me semble le démontrer. Ce qui peut entraîner une dépression, plus encore que la consommation d'acides gras saturés, c'est l'impression de n'être qu'un numéro (de sécurité sociale? ). Plus sérieusement, je suis sceptique face à cette étude. Que la prise de poids puisse entraîner une dépression, soit. Que ce soit l'aliment en lui même, j'ai du mal à y croire. D'autant plus qu'en lisant l'article, la conclusion tirée ne m'a pas semblé évidente du tout. Au contraire, j'ai eu l'impression d'un gros n'importe quoi. Mais peu importe, au delà de ça, les relations amoureuses causent probablement plus de dépressions que la bouffe, ce qui n'empêche absolument personne d'en vouloir. Même si la malbouffe est une cause avérée de dépression, ça n'empêchera pas les gens d'en manger, puisqu'elle leur procure un plaisir immédiat. Alors que l'hypothétique dépression mettra du temps à venir. L'être humain n'est pas une machine qui compte constamment les pour et les contres, et qui résout toujours l'équation mathématiquement en choisissant l'option qui comprendra le plus de pour. C'est un animal, qui agit à l'instinct et qui choisis le plaisir à court ou moyen terme, le plus grand. Et heureusement, sinon il ne vivrait pas. Un rejet de la malbouffe, je ne suis pas contre, mais si celui ci se fait par l'esprit critique et non par la loi. Tant qu'il y a des couillons, il FAUT qu'il y ait des attrapes couillons. On ne doit pas lutter contre les attrapes couillons, mais contre les couillons. C'est pourquoi je privilégie l'éducation, et ce même si elle s'avère moins efficace.
  16. Yep, en même temps, après 11 semaines, 6 jours 59 minutes et 59 secondes, si tu trouves un doc qui accepte de t'avorter en moins d'une seconde, tu peux appeler le guiness book. Après 90 ans on n'est pas plus considéré comme un être humain, alors je trouve ça normal de ne pas faire d'exception pour le foetus.
  17. Je n'aime pas ce dessin. Comme si le foetus n'évoluait pas. D'ailleurs, s'il nait au bout de 9 mois et pas 6, c'est par flemme, en vrai il ne change pas d'un poil entre temps, c'est même à peine s'il grandit. Les êtres humains sont fénéants de nature. u_u Comme si après la naissance, les êtres humains n'étaient plus des bouts de viande. Si la mort d'une personne était vraiment difficile à supporter, si la vie était sacrée, on ne mangerait pas en regardant les infos.
  18. C'est vrai pour les conséquences sur la sécurité sociale (c'est d'ailleurs ce qui motive principalement l'obligation de port de casque à moto ou de la ceinture en voiture) Volontairement, je ne prend pas ces conséquences en compte. Il me semble évident que, dans le domaine de l'alimentation, privilégier la société sur l'individu frise l'absurde. Avec, dans l'extrême, des lois dictant à chacun ce qu'il doit manger chaque jour, histoire que tout le monde ait un régime équilibré permettant de "soigner" la sécurité sociale et même l'économie dans son ensemble. Ne mangeons que les fruits et légumes de saison et des environs, c'est pour le bien de la société. Sinon, l'idée de la taxation comme palliatif à l'éducation, ça me débecte complètement. D'autant plus que macdo&co ne sont pas nécessaires pour mal manger, y a qu'a regarder les végétaliens. il suffit qu'il y ait de la bouffe, pour que potentiellement ça devienne de la malbouffe. Et puis entre: "tu peux en manger, mais je te conseille de pas absuer sinon c'est mauvais pour toi" et "n'en mange pas", la première option me semble préférable à tous les points de vue. Oui (d'autant plus que le type qui roule sans casque cotise aussi.) C'est l'un des défauts de toutes sociétés. Si parfois l'individu paye pour la société, parfois c'est à la société de payer pour un individu. C'est pas juste, mais c'est le modèle qu'on a choisit. Et je préfère ça qu'une société qui interdirait le suicide parce que ça coûte de l'argent à ceux qui survivent.
  19. La ceinture non, parce que même si le risque de dommages collatéraux liés à une projection est très faible, il existe. Par contre, pour le casque, je suis d'accord. C'est de la surprotection. Et personnellement, si quelqu'un à envie de se fendre le crâne sur le bitume, je suis pour qu'il le fasse.
  20. Yep, mais le tabagisme à des conséquences sur les personnes autour de nous, et qui ne choisissent pas de fumer. La malbouffe n'a d'effets que sur celui qui choisit d'en bouffer. Chercher à protéger quelqu'un qui choisit de "s'intoxiquer" est vain et stupide. C'est ça la surprotection, chercher à protéger quelqu'un qui sait pertinemment ce qu'il risque et qui fait un choix délibéré, c'est aller à l'encontre de son choix pour "son bien".
  21. Qu'importe la couleur pourvu qu'on voit les fesses? :D

  22. Oh, ça me change pas trop de d'habitude en fait. :D

    Et puis, en privé, tu le fais mieux. */me siffle*

    :D

  23. Une conduite qui si elle est prolongée est nuisible à la santé. Donc ce n'est pas seulement une taxe pour les fast-food, mais aussi pour les pâtissiers, les confiseurs, les chocolatiers (d'autant plus que le chocolat est une drogue, lui. ), les producteurs de lait et de produits laitiers (boire trop de lait est mauvais pour les reins et cela augmenterait les risques de cancer de la prostate.) mais aussi les producteurs de fruits et légumes (l'excès de fruits peut causer une dérégulation du taux des lipides transportés dans le sang ainsi qu'un apport important de calories du fait de la présence de fructose, et l'excès de légumes peut provoquer une irritation du colon ainsi que différents troubles digestifs), les producteurs de viandes, etc. Donc, déjà, il faut taxer tout ce qui touche à l'alimentation. Mais bien sûr, il n'y a pas que ça. Puisque des activités qui deviennent nuisibles lorsqu'elles sont prolongées, il y en a dans bien d'autres domaines. Plus de lecture, puisque cela fatigue l'oeil. Plus de jeux vidéos ou de télé, ça peut causer des crises d'épilepsie. Exit le sport, qui peut provoquer des troubles du sommeil, de l'alimentation, des problèmes cardiaques ainsi que des blessures et des traumatismes, voir même la mort subite. Et j'en passe et des meilleurs. Sinon, la différence entre les drogues (alcool compris) et la malbouffe, différence qui justifie la lutte dans un cas et pas dans l'autre, c'est qu'après s'être défoncé le crâne, que ce soit au vin ou à l'héro, on devient un danger potentiel pour les autres. Y a peu de risques que tu renverses un type en voiture parce que t'as mangé chez Ronald. Entre taxer (ou même interdire) la clope et taxer la malbouffe, il y a la même différence qu'entre protéger et surprotéger.
  24. Tu considères la malbouffe comme une drogue? Une drogue dure qui plus est? Les médocs c'est évident, mais je savais pas qu'on pouvait se défoncer le crâne au big mac et au sunday.
  25. En voilà une idée qu'elle est bonne. :D

    Si tu me supplies, je passe quand tu veux. :D

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