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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Titsta

    Attentat à Nice

    Un seul homme peut faire de nombreuses victimes car nous n'avons pas l'habitude. Le problème vient plus du fait que nous n'avons pas la culture de faire attention, que nous utilisons des outils extrêmement dangereux, quotidiennement, et sans plus même avoir conscience de leur dangerosité. Le gros défaut de notre culture, c'est que nous avons toujours été sur-protégés. Et je penses qu'une des racines les plus profondes des bouleversements que ces situations suscite, c'est la prise de conscience de la dangerosité réelle du monde. Un camion (ou une voiture) est quelque chose d'extrêmement dangereux… tous ceux qui ont des proches victimes d'accident de la route le savent. Le simple fait que nous acceptions de faire cohabiter piétons et véhicules aussi dangereux dans les villes est la marque d'un aveuglement puissant. Le problème, c'est que l'ensemble de notre mode de vie devrait être repensé du point de vu de la dangerosité des éléments qui nous entourent. ( indépendamment du problème du terrorisme notez bien. )
  2. Titsta

    Attentat à Nice

    Mon impression sur tout ça : ça n'a rien d'un acte de terrorisme. C'est un malade mental en instance de divorce, violant et désaxé, pas croyant, pas pratiquant, qui a voulu se suicider et en emporter le maximum avec lui. Il ne s'est pas "radicalisé rapidement" (c'est quoi cette expression à sensation médiatique débile… ) Il a pété un plomb, a décidé d'en finir, et cherché comment faire le plus de mort possible… et toute cette merde habituelle lui ont simplement donné des idées de mise en pratique. TOUT le reste, n'est que de la récupération. Autant ces revendications bidons que toute cette propagande. Il n'y a, à l'heure actuelle RIEN qui avantage la piste terroriste. Si ce n'est le gros intérêt politique derrière. Si ça avait été le cas, croyez moi, tous les média officiel les diffuserait, ces preuves. Pour qu'il n'y ai à ce point pas le moindre éléments, c'est vraiment qu'il n'y a pas le moindre élément… ( à cet instant de l'enquête, tout du moins. ) ( Et me sortez pas que parce que les imbéciles de l'autre côté de la méditerranée l'ont revendiqué ça prouverai quoi que ce soit… évidement qu'ils vont le revendiquer, vous croyez vraiment que ce sont des gens honnêtes qu'on peut croire sur parole ? >_< Ils l'ont pas revendiqué avant, il l'ont revendiqué après… À ce titre n'importe quel imbécile sur son blog peut le faire… ) Je ne tiens en rien à réduire la tragédie que ça a été. C'est tragique à cause des victimes, pas parce que ce serait un acte terroriste. ça commence même à en devenir tragique à cause de toutes ces récupérations débiles. ça commence à me souler sévèrement toutes ces conneries. >_< Si l'enquête dévoile qu'il n'y avait en fait aucun lien avec aucun terrorisme, et que le mec n'avait aucune intention de convertir qui que se soit à une religion quelconque, ou à leur faire adopter des valeurs importante pour lui… juste en finir en emportant le max de gens… Ce qui semble quand même vachement probable… Vous allez faire vos excuses publiques à toutes les victimes que vous avez instrumentalisé pour servir vos positions politiques et vos petites haines personnelles ?
  3. J'aime bien ta réponse :) Déjà, tu ne pars pas sur le principe que je fréquentes les mêmes femmes. L'hypothèse que je sois attiré par des femmes comme ça, si elle est recevable, me semblait improbable, vu la variété des milieux et des personnalités que je fréquentais. D'où ma préférence pour l'hypothèse d'une culture commune, générant ainsi des comportements spécifiques communs, même sur des femmes très différentes. Par contre, il est certain que j'ai une façon d'interagir avec les autres très particulière. ( Et que j'ai une maladresse sociale certaine aussi :s ) En soit, le fait de ne pas me comporter comme tout le monde doit induire naturellement une certaine méfiance (pour ne pas dire une méfiance certaine)… et de fait, face à l'inconnu, il est habituel d'avoir recours aux préjugés pour "juger" de la situation, et du comportement a adopter. ( J'avais lu quelque part un éloge des préjugés. Car c'est ce qui nous permet d'appréhender l'inconnu, en se basant sur la multitude d'expériences que nous avons vécu. Les préjugés n'étant un problème que s'ils s'enfermait en jugement et qu'ils n'étaient pas ré-analysé à la lumière des expériences réelles, par la suite. ) ça me semble effectivement très probable que mon propre comportement induise un recours au préjugés, bien plus que ces personnes ne le feraient d'ordinaire avec des personnes suivant plus les "personas" habituels. Avec lesquelles elles ont l'habitude d'interagir. Préjugé, forcément partagé culturellement, que je retrouve donc de façon assez semblable chez un grand nombre de femmes. Je ne me trompe donc pas en constatant ces préjugés, ni la culture commune. ( et je ne pensais effectivement pas me tromper dans mes observations. J'ai assez de rigueur pour ça. ) Mais je me trompe peut être dans l'étendue de leur application. Ta remarque m'a fait penser aussi à autre chose. J'ai bien l'impression, parmi les hommes, à ne pas être le seul à penser comme je le pense. À avoir les mêmes valeurs que les miennes. C'est pour ça que je n'envisageai pas la possibilité d'une innhabitude à croiser des gens qui pensent comme moi… Et c'est aussi pour ça que je considère qu'il y a un problème important, qui dépasse le cadre de mes simples échanges individuels. Mais là où je me trompe, c'est que ces hommes interagissent avec moi, un homme, sans avoir besoin d'entrer dans leur stéréotypes. Alors que ces mêmes hommes se plient majoritairement à ces stéréotypes lorsqu'ils interagissent avec les femmes. Donc les femmes ne les perçoivent certainement pas de la même façon que moi, et de surcroit n'interagissent pas avec eux forcément en suivant les mêmes scénari. Si elles croisent nécessairement beaucoup d'hommes qui pensent comme moi, elle ne croisent pas nécessairement beaucoup d'hommes qui se comportent comme moi. Il est très probable que peu de personnes soient aussi buté que moi à refuser d'entrer dans ces rôles. Y voyant une forme de soumissions. Bien que, je le comprenne, il s'agisse plus d'une soumissions à la société qu'une soumissions aux femmes. Une soumissions aux archétypes, pour monter aux femmes que nous correspondons à ce qu'elles connaissent, et les rassurer… pour après leur permettre de découvrir nos valeurs. (ou notre bite diraient certains… ) ( remarque, j'ai toujours perçu que, s'agissant d'un problème culturel, cet état de fait était entretenu aussi bien par les femmes que par les hommes. ) J'ai bien trop conscience de ces comportements "d'adaptation", mais leur manichéisme me fait flipper. Car il s'agit bel et bien d'adopter consciemment un comportement masquant qui nous sommes, afin de se faire accepter. Je suis peut être trop attaché à la valeur sacrée de la Parole ( en considérant que notre personnalité profonde est une Parole dans ce monde. Et donc une chose sacrée. ) Masquer ou travestir cette Parole (qui nous sommes) me semble malsain. Attention, j'accepte très bien ce genre de comportement manichéïstes. Que nous passions notre temps à nous manipuler les uns les autres. Mais je considère que ce genre de travestissement de ce que nous sommes ne devrait être qu'un pis-aller. Quelque chose de temporaire, ou plutôt d'utilitaire, donc ciblant des choses très précises. J'ai mis de l'eau dans mon moulin. Dans un rapport de séduction, j'ai appris à le comprendre. J'ai compris et accepté que la séduction n'était qu'un mot plus convenable pour parler de manipulation mentales réciproques. Mais des tentatives de manipulations conscientes et acceptées de part et d'autres. Comme un jeu, et finalement assez cadrés dans ses formes et même ses lieux. Mais ce rapport de séduction me semble rester quelque chose "d'utilitaires" et ciblant une chose très précise. Mais en dehors d'un rapport de séduction… En permanence en réalité, dans l'ensemble de nos interactions avec tout le monde… ça me semble démesuré, effrayant. :-/ Je n'en comprend même pas l'utilité en fait, car nous nous enfermons nous-même en permanence dans une image. Alors que le besoin d'être accepté est tout de même très relatif. Je n'en meurt pas que des gens comme titenath me voient comme un monstre effrayant. ^^ Je trouve même ça plutôt amusant, compte tenu de ma réalité totalement bienveillant et respectueuse des autres. ça donne aussi un poids à la culture (à l'ensemble de nos personas et stéréotypes) que je n'imaginais pas aussi colossal, dans le moindre de nos comportements et relations. Dans la façon de diriger nos vies. Si ce que tu soulève est vrai, ça signifie alors que nous adoptons les uns les autres tous des comportements, des sentiments, des but de vie, des façons d'être, infiniment plus semblables et mécaniques que tout ce que j'imaginais. :-/
  4. Insignifiant comparé au viol… oui je maintiens. Voué ^^ bien sûr. ^^ Mais j'ai juste l'impression qu'on dilue le sujet là. Ce qui m'embête parce que dans ces cas, on ne retiens plus que la première et la dernière page, alors que c'étais les arguments au centre qui étaient les plus intéressants, pas mon coup de gueule de départ. edit : remarque, j'ai rien dis… tout es sur la première page… j'avais l'impression qu'on en avait fais plus que ça. ça a changé le nombre de messages par page non ? vaaaala à la demande générale, j'ai édité ma première phrase. ( Je n'ai pas supprimé l'ancienne, sinon plus personne n'aurai rien capté à la suite des remarques) Après correction de ce petit détail, j'espère que vous serez plus partante pour parler du fond.
  5. Je suis complètement d'accord avec toi. On exerce un métier (surtout celui de flic) pour être utile à la société, pas vraiment pour être aimé… Et je pense que si on faisait un sondage pour savoir si les flics sont utiles ou non… On exploserait le score. ^^ Je vois mal, même parmi ceux qui leur sont hostiles, des gens d'assez mauvaise foi pour nier leur utilité sociale. ( Ce pourquoi d'ailleurs, je ne m'intéresse pas vraiment à la popularité des flics… Mais plus à leur libertés, et à leur indépendance. C'est un métier digne, on est pas dans une émission de télé-réalité. >_< )
  6. Non, parce que la popularité de la police ne m'intéresse pas tant que ça. J'ai le droit d'avoir des ressentis à ce sujet. Et je sais très bien que mon hypothèse sur ce que pourrait être l'origine du désamour de la police pourrait très bien être contesté (ce que d'ailleurs personne n'a fait, tu remarquera) et je le prendrai très bien. As tu d'autres suggestion à ce sujet, ou es tu simplement d'accord avec moi ? Je n'ai pas argumenté sur la popularité de la police, dont nous avons très peu parlé. À peine une phrase dans l'ensemble du topic. Et tu ne cites même pas la réponse que je t'avais déjà faite que je parlais annecdotiquement de l'origine probable du désamour, et pas d'une mesure de sa quantité. Et ce n'était qu'un simple avis, certainement pas une position argumenté. Position que je tiens toujours puisque ton sondage ne l'a en rien contredite. Ne présentant pas du tout les raisons pour lesquels les gens y seraient hostiles ou auraient des craintes à son encontre. ( ce qui serait d'ailleurs un sondage vachement plus intéressant. Mais un sujet trop politique pour un journal… ^^ ) Bref, tu déformes les discours en essayant de faire croire que j'étais au courant d'un sondage montrant que la police n'était (avec des pincettes) pas si impopulaire que ça, avant que tu ne le présentes. Ce qui est juste crétin. Et essaye de faire je ne sais pas trop quoi depuis en essayant de montrer de fausses incohérences dans mes propos, parce que tu n'a visiblement plus moindre argument à m'opposer. C'est jute de la malhonnêteté intellectuelle… Tu pourrais au moins essayer comme les autres d'argumenter des points de vu. Le tiens par exemple. J'ai agréablement appris grâce à ton sondage que la police n'était pas si impopulaire que ça… cool. Je ne m'y suis pas opposé. Donc arrête de faire comme si c'était le cas. Je m'oppose aux autres intervenant, mais eux au ils me présentent leur point de vu, et apportent des arguments. (ou tentent d'abattre mes arguments avec d'autres arguments)
  7. J'ai aussi répondu qu'il y avait l'indépendance entre les pouvoir (qu'on pourrait qualifier d'horizontale), mais aussi l'indépendance face au pouvoir hiérarchique par le corps des fonctionnaires. (qu'on pourrait qualifier de verticale) Que l'ordre direct est toujours possible pour la hiérarchie, mais très difficile à mettre en œuvre en pratique si la base n'est pas d'accord avec quelque chose, surtout si la base n'est pas d'accord en nombre. L'indépendance des fonctionnaires-citoyens vis à vis de leur supérieur changent radicalement les rapports de force, par rapport à ceux trop pris comme référence d'un supérieur dans le privé. Car la hiérarchie ne peut pas licencier quelqu'un, ni changer son salaire. La possibilité de résistance est donc structurellement importante, et à été conçu et pensé pour ça. Après la possibilité c'est une chose, la pratique et la culture une autre. Pour le reste on est d'accord, en pratique il y a très très peu d'opposition. Et c'est précisément sur cette nuance que jouent les gouvernement successifs pour asservir la police et les transformer en petit toutou obéïssant. Reste que votre métier n'a pas été conçu comme ça, et vous offre bien plus de pouvoir et d'indépendance que vous le pensez, même si vous n'en avez pas conscience. Ce à quoi j'ai rétorqué que c'était le même principe chez les médecins, et qu'il y avait pourtant des spécialités poubelles, dont personne ne voulait, et des spécialités très valorisées que les mieux classés choisissent en premier. Et que ce système provoquait au contraire une différenciation très importante entre les spécialités "prisées" qui se retrouvent avec les meilleurs éléments, et les spécialités peu prisés qui se retrouvent avec tous les mauvais. Avec une simple orientation des concours, on peut très facilement choisir quelle population ira où. De surcroit, même si le choix était total et complet (et même pas dans l'ordre des réussite au concourt) Ceci n'invaliderai en rien qu'il puisse y avoir des différences culturelles importante entre ces milieux. ça n'invalide en rien le fait que je choisirai évidement le métier qui correspond à ma propre vision de la culture. Et que ceux qui sont les plus apte à obéïr aveuglément irons chez les CRS, alors que ceux que ça rebute irons ailleurs. Ex : Je peux totalement et librement choisir de bosser comme informaticien dans un bureau ou comme maçon dans un chantier… et c'est pas parce que je suis libre de choisir que ce sera la même culture dans les deux domaines. Donc non, ça n'est pas invalidé un argument. Pour invalider qu'il n'y a pas de différence de culture entre les différents métier de la police, il faudrait au moins me montrer qu'il y a autant de mouvement d'un métier à l'autre, que ces métiers sont également choisis par les sélectionnés (et pas majoritairement les premier dans l'un, et majoritairement les derniers dans l'autre), ou que les populations sont très régulièrement et totalement mélangée. Ce qui n'est pas le cas. Tu joue sur les mots, mais puisque tu le prend comme ça, non il est impossible à la hiérarchie de virer un fonctionnaire. Pour la simple et bonne raison qu'un fonctionnaire n'est pas un emplois mais un statut. On peut destituer un fonctionnaire, et ça n'est certainement pas sur décision de la hiérarchie que ça se fait. Mais sur un jugement qui porte sur tout sauf sur les envies, volonté ou jugement de la hiérarchie à l'encontre du fonctionnaire. (contrairement au privé) Mais sur des comportements factuels dudit fonctionnaire, qu'il va falloir prouver. Donc non, la hiérarchie ne peut pas virer un fonctionnaire. Il peut être destitué, par un jugement indépendant, s'il n'a pas respecté la loi ou les procédures réglementaires. Et c'est tout. Donc la réalité que tu souhaite (je ne sais pas pourquoi) ignorer, c'est qu'un fonctionnaire de police, tant qu'il reste dans le respect de la loi et des procédures, et obéis aux ordres directs peut se foutre royalement et totalement de sa hiérarchie. ça n'est pas courant, mais c'est possible. Et ce que je te dis, c'est que ça n'a pas été rendu possible par hasard. Mais bien dans l'idée de rendre les fonctionnaires indépendants et seul responsable de leur administration propre.
  8. Apprenez à lire. deux message plus haut. On a déjà évoqué le sujet.
  9. ( t'as vraiment pas encore capté que je parlais de fantasme de peur… ) Alors "l'idée toute faite", ça s'appelle un préjugé. :) Quand tu aura un peu plus d'expérience, tu te rendra compte que les préjugés sont trompeur. ça va un peu aussi avec les fantasmes. Mais c'est des fantasmes préfabriqués. ( Apprend les mots avec titenath :D ) ( pour ceux qui n'auraient pas lu le sujet, et pour éviter qu'ils se fourvoient… Je disais que les mains au cul devaient être combattu vigoureusement en autorisant et encourageant les femmes à foutre des baffes immédiatement aux mecs qui abusaient, et pas en criminalisant l'acte en justice. Car la charge de porter la plainte devrait être effectuée par la victime qui ne fera pas cette démarche lourde pour une main au cul, qu'on ne retrouvera pas le type, et que ça ne pourra que conduire à une forme d'impunité, donc à les encourager… Mais titnath ayant le fantasme et le préjugé facile en a déduit que je souhaitais que les mecs soient libre de mettre des mains au cul… >_< ) Et oui, elle est assez énervante à coller ses fantasmes partout et à les prendre pour des réalités… >_<
  10. Oui, j'ai des tendances provocatrice… et j'étais en colère. J'aurai du dire "qu'autant de femmes soient"… Tu aurais peut être plus approuvée. Après, j'aimerais pouvoir parler du comportement des femmes dans notre société sans qu'on me soupçonne de considérer qu'elles se comportent toutes absolument de la même façon, qu'il n'y aurai aucune exception, et que j'aurai l'idée absurde de croire que toutes on les mêmes idées, le même comportement et la même personnalité. Je n'ai pas le langage très politiquement correct de préciser à chaque fois que je parle d'un comportement global et courant des femmes, dans notre culture. C'est évidement un raccourci de langage. Mais je comprend que la formulation énerve. ça n'est qu'un problème de formulation. J'ai vérifié pour tes dires car j'ai eu un doute, et je m'étais effectivement trompé. Je penses que tu étais d'accord que le problème de fond n'était pas que je ne baisais pas ou que je m'étais pris un rateaux. Et qu'il y avait quand même un fond réels à ce dont je parle. C'était ce que je voulais dire. Mais tu ne l'avais pas affirmé directement. Restant concentré sur le fait que je devrais changer de disque. Et te contentant de commentaires personnels, et pas sur le fond du sujet. Moi je sais que ta pensée est nuancée, mais certains ne le captent pas…
  11. Tu n'es pas rejetée pour ça il me semble, ni accusée à tors. De surcroit, je n'ai jamais nié que les femmes étaient victimes elles aussi de certains stéréotypes. Mais je croise souvent l'idiotie qui consisterai à croire que seules les femmes subiraient ce genre de problème. Et que dès qu'on tourne la chose au masculin d'un coup, les femmes trouvent ça ridicule…
  12. Edit… Le sujet à évolué. La thèse de Cricket a été éludée depuis longtemps. La société n'a pas changé entre temps il me semble. Et je ne vous accuse pas "des pires maux". Je parle du stéréotypes dont les hommes sont victimes dans notre société, et de votre trop grande facilité à faire des procès d'intentions basé sur de simple fantasmes.
  13. (qui sais … ^^ ) Après je ne me base pas sur cette histoire pour dire que tu me fais flipper, je t'ai suffisamment lu sur le forum.... Voui, je sais Tu as beaucoup fantasmé sur d'autres sujets. Je fais facilement fantasmer les nanas dès que j'aborde des questions philosophiques sensibles. Mais je penses que tu serais surprise si tu me rencontrais vraiment, de voir que je ne correspond pas du tout au grand méchant que tu t'imagines.
  14. Je n'ai rien proposé pour les précédents parce que je n'avais pas encore eu l'idée. L'idée m'est venu après qu'on discute, en groupe à table, d'un camion que j'avais offert à une amie. La stagiaire elle-même a dit : ha bah moi aussi j'aimerai bien qu'on me fasse des cadeaux comme ça tiens ! :D ça m'a vaguement donné l'idée de faire aussi un truc pour elle. Mais ce qui m'a conforté dans l'idée, c'est d'avoir constaté la gueule qu'elle tirait devant le prix de la bouffe qu'on mangeait, et réalisé que ça lui bouffait les ¾ de son salaire. De la voir attendre qu'on arrive sur le pas de la porte, parce qu'elle n'avait pas les clefs pour entrer, et il parait qu'elle avait l'habitude de ça. (moi c'est rare que j'arrive le premier) D'entendre une collègue la traiter comme une conne ( là où je me suis dis qu'elle avait vraiment pas un boulot facile… ) Et surtout d'avoir appris qu'elle devait réviser des cours passés il y a 6 mois, le soir, en rentrant chez elle à 22h pour son exam… après une journée de travail éreintante. Là je me suis dis qu'il y avait un problème. Et j'ai eu l'idée de monter cette caisse. Mais comme je ne savais pas comment ça allait être pris, j'ai demandé à une des commerciales ce qu'elle en pensait. Elle m'a répondu très aimablement que c'était très généreux, mais une mauvaise idée, que personne ne participerai à ça… Et qu'il vaudrait mieux que je donne mon argent à des organismes de bienfaisance… Donc j'ai abandonné l'idée. Sauf que rago faisant, elle s'est empressée de tout dévoiler aux autres et à ses chefs… c'est monté jusqu'à la direction, et on m'a convoqué. J'ai été assez outré que les choses se soient débattus dans mon dos pendant 3-4 jours sans qu'à aucun moment, personne ne me demande mon avis ou ce que je voulais vraiment faire. Il parait que cette collègue m'a plutôt défendu. Reste que je me sens un peu trahi, et que je me sens surtout insulté par les autres qui ont fantasmé (comme toi) que je devait être un gros monstre ou un truc dans le genre. Évidement que si j'avais été une femme, ce genre de fantasme n'aurait pas eu lieu.
  15. On ne parle pas de ressenti, on parle d'intention. ça n'est pas la même chose. Je ne me plaint pas du fait que ce que je fais sois ou non apprécié. Je ne suis pas entrain de dire que les femmes devraient forcément apprécier ce que je fais. Quand on fait un cadeau, des fois l'autre n'apprécie pas, je n'ai pas de problème avec ça. En l'occurence, le cadeau en lui même a toujours plus. (c'est même d'ailleurs pour ça qu'on me le reproche… en me prêtant de mauvaise intentions. Parce que je fais des cadeaux qui touchent et plaisent énormément. ) Le problème porte sur l'erreur des intentions qu'on me prête. C'est tout simplement une erreur. (mais tu as du mal avec l'idée qu'on puisse se tromper toi…) J'aime bien les nuances et réflexion que tes remarques apportent, mais je pense que ta conception peut être dangereuse, en relativisant nécessairement la vérité à ce que décide la majorité. Comme je t'ai dis, dans une tournante, où une fille se fait violer par une majorité de mec, ça n'est pas parce que la majorité présente était d'accord sur le fait que la fille était consentante (moins une voie) qu'elle l'était. L'intention, (et le consentement), son seuls décidé par celui qui les a. Pas par les autres. C'est la fille qui décide si elle était consentante ou non, pas la majorité. Point barre. Il faut te coller ça dans la tête. C'est aussi pour cette raison que les procès d'intention sont illégaux. Et ceci fait simplement parti des procès d'intention. ça n'est pas aux autres de décider de ce que serait ou non mes intentions. Ils peuvent essayer de se les imaginer, et aussi se tromper. Quels fantasme : De ta peur. (tu as affirmé que je te faisais flipper…). Le fantasme ne concerne pas toujours un objet de désir ou de plaisir. La peur aussi peut être un pur fantasme. C'est quand ton imagination construit pleins de choses et que tu laisses ces choses prendre le pas sur tes décisions et comportement, sans aucune (ou sans grande) considération pour la réalité et les faits. Les gens prennent souvent leur fantasmes pour la réalité, certains étant plus aptes que d'autre à le faire. Mais en général, il est communément admis que ceux qui "fantasme" ont un mauvais discernement. ( À pars expresso qui considère que quand un fantasme est tenu par une majorité de personnes, alors ça devient la vérité. ) Pour la stagiaire, c'est la dernière dans la boite. Il n'y en a pas eu d'autre depuis. Et je ne le re-proposerai pas parce qu'on m'a expressément fait comprendre qu'il ne fallait pas que je le fasse. Je ne tiens pas à entrer en conflit avec ma direction pour cette histoire… (même si ça pourrait être intéressant) Ceci dis, j'avais conçu et prévu la caisse de solidarité pour qu'elle couvre l'ensemble des stagiaires à venir, et que la répartition soit égalitaires entre eux. Mais j'accepte tes excuses pour les mauvaises intention que tu me prêtaient (prête ?). Tu vois, tu t'es trompée. >_< En tout cas, si une caisse de solidarité, monté légalement, issue des cotisations des employés de l'entreprise, te fournissait un complément à ton salaire, tu aurais peur aussi ? Moi je pense juste que tu serais contente et reconnaissante pour les employés. Mais si cette situation te fais peur, j'aimerai bien que tu m'expliques pourquoi, si tu peux. Si tu n'as pas peur de ça, alors tu n'avais pas peur de ma proposition. Tu avais peur d'un fantasme, et des fruits de ton imagination qui ont "imaginé" une scène plutôt glauque, qui n'avait absolument rien à voir ni avec ce que je proposais, ni avec ce qui s'est passé.
  16. Je n'ai pas proposé ça à la stagière. J'ai demandé à une collègue ce qu'elle en pensais, et si elle serait partante pour participer à une caisse commune. Puis j'ai abandonné l'idée car elle pensait que c'était une mauvaise idée. Puis, j'ai été convoqué par les big boss qui m'accusait à mot couvert de harcèlement sexuel… Donc freine tes fantasmes, et regarde les faits ok ? PS : C'est un salaire pour un travail, pas de l'argent de poche. Elle bossait pas 2h dans la journée. Elle était la première arrivée, la dernière partie… Et devait en plus après à 21h chez elle faire ses révisions pour son exam. Et si tu vis chez tes parents, j'ai le droit de dire à ton employeur de faire passer ton salaire à 400€ par mois ? C'est de l'argent de poche après tout. >_< Et à aucun moment tu te dis que si les gens restent vivre chez leur parent, c'est parce qu'on ne les paye pas assez pour pouvoir vivre de façon indépendante ? Tu n'as pas conscience que ce mode de fonctionnement favorise les familles riches ? et que les pauvres ne peuvent pas se permettre de faire de stages… donc doivent aujourd'hui renoncer à une vie professionnelle prometteuse, seulement parce qu'ils n'ont pas papa et maman pour leur payer le loyer et la bouffe ? C'est un système de merde. Fait pour favoriser les riches et exploiter des gens.
  17. Expresso, d'une part ces filles (ou mec en ce qui concerne la stagière) finissent par reconnaître qu'elles se sont trompée. D'autre part, comme le dis Virtuose, ça n'est pas parce que les autres se trompent sur mes intentions qu'ils avaient raison. Juste ils se trompent. C'est pas une décision qui serait prise à la majorité, c'est une vérité. Je connais mes intentions. Je suis mieux placé qu'elles pour savoir qui a raison ou non. Si elles me prêtent d'autres intention que les miennes, et ce en plus à priori et sans le moindre fait incriminant… Elles se trompent, c'est tout. Si tu inverses les rôles avec ton raisonnement, tu considère que les femmes violées en tournantes étaient consentantes, parce que les mecs avaient tous décidé en majorité qu'elle l'étaient. Bah non, ça marche pas comme ça. Il y a une vérité, et les autres se trompent, même s'ils sont en majorité. Note que ce que je reproche n'est pas le fait qu'on puisse se tromper. C'est le fait que cette erreur de jugement sois portée par des préjugés, et qu'il n'y avait de fait rien de récriminable dans mes comportements réels, au contraire même. On en arriverai à interdir des comportements très bien et très corrects en eux même, simplement parce que les femmes ont des fantasmes… Et bien moi je dis non. C'est aux femmes de calmer leur fantasmes quand ils n'ont pas lieu d'être. Pas aux hommes de ne plus vouloir leur offrir une bouteille de champagne le jour de leur anniversaire, ou de leur proposer un café pour se revoir après une très longue période d'absence. Ces comportements sont respectueux, et n'ont pas à être interdit. Ce sont tous des procès d'intention. ça ne me dérange pas d'être jugé sur ce que j'ai fais. Je suis quelqu'un de profondément responsable. (ni même d'ailleurs avec le refus d'une proposition, ça ne me dérange aucunement) Mais j'ai plus de mal avec le fait de me voir coller le jugement d'un fantasme qui n'a rien à voir ni avec moi ni avec ce que j'ai fais. Mais avec une idée préconçu de l'abomination que serait les hommes et que je n'aurai pas réussi à effacer de la tête des femmes. Je n'ai pas à être responsable des fantasmes des autres, c'est eux qui se sont trompés. L'existence de ce préjugé sur les hommes me dérange. Et je suis désolé, mais considérer que de base je serai un violeur, je prend ça comme une insulte. Car c'en est une. ça va quand même sacrément loin ! Une femme pour qui on partirai sur le principe que c'est une pute, et qu'elle devrait avoir à démontrer que ce n'en est pas une avant d'être simplement considéré normalement, et ce à chaque rencontre, ou à chaque fois qu'elle fait un truc qui sort un peu de l'ordinaire, elle le prendrait très mal. Et une pute est un métier bien plus respectable qu'être un violeur. L'insulte est donc bien plus forte. C'est seulement que les hommes ont pris l'habitude d'essuyer quotidiennement cette insultes en se laissant faire et en s'écrasant. Alors que les femmes protestent si on les considère à priori comme des putes jusqu'à preuve du contraire. On n'accuse pas les gens comme ça, sans raison. C'est devenu beaucoup trop facile d'accuser et de demander à l'autre après de se justifier. Et les femmes en particulier, on bien trop pris l'habitude de se permettre d'accuser à tors et à travers les hommes, et d'exiger des justifications.
  18. J'ajoute aussi que si j'avais été une nana, ça aurait été nettement moins "creepy". Ce sentiment de "creepy", bien trop facilement associé aux hommes, fait à mon avis aussi partit du problème. Pour ne pas dire, est le problème. La détérioration de l'image des hommes dans la société, comme étant "de base" des gens corrects, honnête, voir protecteur. Et pas "de base" des monstres qui devraient prouver qu'ils n'en sont pas avant de leur faire confiance. La peur n'est pas une bonne conseillère, et si elle peut être une excuse, elle n'est pas pour autant une justification suffisante. C'est le fait que les gens aient à ce point peur que je ne trouve pas normal. Surtout qu'il s'agit d'un procès d'intention, donc des préjugés, pas du tout basé sur des faits répréhensibles, mais sur une imagination débordante, et même insultante si tu creuses un peu à quoi on m'associe. En l'occurence il s'agit précisément d'erreur de jugement. Le problème de la peur comme justification, c'est que c'est une fuite en avant. Si ce genre de comportement fait peur, et que plus personnes ne le fait, par la suite c'est simplement dire bonjour qui va finir par faire peur… Il y a un problème avec ça. La peur doit se raisonner. Être un homme est suffisant pour être "effrayant" aujourd'hui. Et être effrayé devient suffisant pour "taper". (symboliquement parlant) Non, je m'insurge. Autrefois, le fait d'être un gentleman, ou simplement quelqu'un de bien, suffisait pour dissiper ces peurs, et se permettre d'être simplement compris dans notre absence de mauvaise intention pour nos actes. Avant d'être inquiétant, on se rassurait en se disant que c'était quelqu'un de bien… on ne se laissait pas penser que c'était un monstre, avant d'avoir un minimum de preuve. Au pire, on laissait le bénéfice du doute sur les intentions, avant de se permettre des remarques désobligeante, ou un rejet. De surcroit, cette peur est un très mauvais indicateur. Les vrais gens dangereux savent au contraire parfaitement bien se comporter socialement pour n'inspirer aucune de ces peur. Mais ce sont eux qui ont les comportements répréhensible par la suite.
  19. Merci d'avoir apporté cette expérience. :/ J'ai l'impression quelque part que les gens sont tous tellement frustré, d'un côté comme de l'autre, que la sexualité devient la focale de tous les échanges. Il y a peut être quelque chose de plus profond que l'image de l'homme et les préjugés qu'on lui colle. Mais un rapport à la sexualité et l'exploitation de l'autre d'une façon générale. (car ça reviens à ça en fait… exploiter les "propriétés" de l'autre) Je commence à me demander si, loin derrière tout ça, il n'y a pas la conséquence de la sur-exploitation de chacun. L'omniprésence et le débordement des logiques professionnelles sur les logiques sociales (et même intime) Et l'exacerbation des comportements de rejets individuels ne serait alors qu'une résistance plus ou moins consciente et pas forcément bien placée, de cette sur-exploitation des logiques professionnelle. C'est sûr que vu le contexte, il devient difficile de croire en son prochain, de croire que les comportements ne visent pas à te baiser… ( de croire aux comportement sociaux en fait… et pas "professionnels". ) J'avais déjà remarqué que la culture jouait beaucoup sur la différence de perception. Les gens ayant baigné dans une culture solidaire, (genre paysanne, ou pays de l'est) perçoivent et reçoivent considérablement mieux mes comportements. Je penchais pour des différences culturelle, mais il s'agit peut être aussi de cultures "lointaines" et ayant peut être vécu plus pauvrement, mais moins vécu dans l'exploitation permanente. (en tout cas depuis moins longtemps, ce qui fait que la culture n'a pas encore été trop altérée. )
  20. Ata, je comprend ce que tu veux dire. Mais remet les choses dans leur contexte quand même. Ses parents vendent via leur site des bouteilles de champagne. Je n'ai pas été les fréquenter dans l'intimité pour leur demander un service personnel. J'ai acheté une de leur bouteille, avec uniquement un petit message pour leur expliquer la raison, la nuance est de taille quand même. Je ne les ai jamais croisé, je leur ai commandé un truc. Je ne fais aucune blague. Encore moins grasse. (on n'est pas sur le tchat…) Je ne commente pas leur fringues ou leur tenue, (si ce n'est de temps en temps pour leur dire un "c'est joli ça"… ) et je ne fais aucune allusion sexuelle. ( Justement, un comportement sexué n'est pas un comportement sexuel… et ce que je vise est un comportement digne, soutenu, noble… rien a voir avec de la graisse testostéroné ) ça se restreins à leur servir le thé. (et à leur avoir acheté du thé et une théière aussi… ) À faire un petit cadeau au moment des anniversaires ( ce que je fais aussi pour les hommes d'ailleurs ) J'ai aussi de temps en temps acheté une fleur en revenant du super marché où on fait nos courses. ( pour la comptable qui se plaignait de la déco très vide de son bureau. ), et une de temps en temps pour les mecs (les nanas, jamais… je prend pas le risque… )… même si au final, c'est les nanas qui se les approprient et les mettent sur leur table. Donc non, c'est subtil. Ceci dit, ce comportement là ne s'est pas vu "rateaufié". Et à la longue les femmes ont commencé à comprendre. Je remarque simplement que ça a été très difficile à obtenir. Il ne s'agit pas de "récompenser", mais de fournir une rémunération digne correspondant au métier réellement exercé. L'entreprise ne peut pas le faire, et je comprend très bien leur logique. Ce qui n'empêche pas les initiatives individuelles. Je ne l'ai pas fait, mais dans la forme que je voulais lui donner, c'était une sorte de caisse de communauté, (extérieure à la boîte), avec des règles claire, à laquelle chacun aurait pu librement cotiser, ce qu'il voulait pour effectuer une répartition des salaires. Je sais très bien qu'il y a une grosse différence entre verser des sous directement à quelqu'un, qui se sentirai alors redevable, et créer une structure légale qui le fait à ta place. ( et sans information sur les versements de chacun. Juste un total versé au nom de la communauté des participants ) ( PS : C'est une chose que j'ai très bien pensé, car un des mes objectifs à long terme dans cette vie, est de fournir un ensemble d'outils informatique permettant à chacun de générer ce genre de caisses. ça aurait aussi été une expérimentation concrète de l'implantation de ce genre de structure d'initiative individuelle au sein d'une entreprise. Je ne renonce d'ailleurs pas à l'idée, mais je comprend mieux les logiques et réticences qui peuvent se trouver concrètement sur le terrain. L'expérience ne fut dont pas inutile. )
  21. C'est une bonne remarque. Je suis assez d'accord. Le monde commercial a pris une telle ampleur, et les logiques non-commerciales un tel recul qu'elles ont peu à peu totalement disparu de nos vie et de nos consciences. Nous sommes poussés en permanence à adopter un comportement de consommateur ( consommateur / jeteur ) ça se répercute dans l'ensemble de la société. La valeur principale exigé de l'autre deviennent la "capacité à se vendre" (et à se jeter…) À provoquer la "sensation", le "frisson", le "wouua" comme le définissent les publicitaires. Et ce au dépend des critères plus stables, plus profond et nettement moins superficiels. J'ai parfois l'impression que les femmes aujourd'hui se comportent avec les hommes comme avec les chaussures. Ou comme s'il s'agissait de prestataire de voyage, devant leur faire vivre une aventure. (service service…) Il me semble aussi évident qu'aujourd'hui, les hommes et femmes se rencontrent de plus en plus dans un "cadre" visant à baiser. Que les relations se cadrent, avec une logique de castration dans toutes relations extérieure (la relation sexué dont je parlais), et de sexualité confinée à la relation-consommation. ( le plan cul… ou les rencontres "à but sexuel" réelle mais pas du tout avoué comme tel. ) Je suis souvent gêné dans mes rapports avec les femmes (et je suis loin d'être le seul mec dans ce cas), parce que j'ai besoin de les fréquenter comme des individus à part entière avant même d'envisager l'éventualité d'une relation. ça casse le carcan du mec qui ne cherche qu'à baiser, mais le problème est qu'aujourd'hui, c'est obéïr à ce carcan ou se la coller sous le bras et repartir avec… Notre société a construit une culture adapté à la rencontre-consommation, beaucoup moins à la rencontre amicales, on tisses des liens d'abords, on découvre l'autre, et plus tard ont tissera peut être quelque chose. Les hommes qui pensent comme moi (et encore une fois, il y a en a beaucoup) sont défavorisés dans notre société. Les femmes aussi, à force de se conformer à l'idée dominante que les hommes ne cherchent qu'à baiser, s'adaptent à ce comportement cliché… Favorisant ceux qui se comportent ainsi, (quand elles ont envie de baiser elle cherchent un mec qui a envie de baiser) et défavorisant les autres (quand il ne vient pas les baiser de suite alors que c'est ce qu'elles attendent… elle le jettent ou mettent mentalement définitivement une croix dessus. ) C'est comme ça que le cliché devient un stéréotype. Le stéréotype, c'est quand le cliché est tellement présent dans les esprits que se forcer à y correspondre apporte une meilleur correspondance sociale et donc des avantages. Le cliché est donc simplement faux. Le stéréotype s'observe bel et bien dans la population. Il est faux à la base, mais devient vrai par la pression sociale. Exemple : Les femmes ne savent pas parler politique… c'est un cliché. Mais lorsque le monde était construit autours de ça, de fait, les femmes ne savaient pas parler politique. Parce que parler politique procurait un désavantage social certain. Elles se conformaient au cliché, qui devenait peu à peu réalité. La "friend zone", ça n'est que l'application de ce cliché par les femmes. Soit c'est un mec, et il a envie de baiser tout de suite, soit c'est pas vraiment un mec ( un mec sans queue, du moins dans la tête de ladite nana… Discutes avec des nanas qui ont des "amis", tu verra la castration dans leur tête est flagrante… ) Cette "friend zone" est une aberration culturelle considérable, (car les femmes se privent de tisser des relations de couple avec des mecs stables, qui s'occupent vraiment d'elle, et avec lesquelles elles peuvent avoir une intimité réelle), mais c'est un comportement social très clairement établis. Résultat, les mecs se conforment à ce cliché, et deviennent "castré" dans cette zone, et "chasseur" ne devant surtout pas tisser d'amitié à l'extérieur… Personnellement, je trouve ça très con. Mais étant un mec, crois moi sur parole, on la sent très bien la pression à devoir se conformer au stéréotype du "chasseur", ou au stéréotype du "castré".
  22. J'en ai donné un, qui a le mérite d'être professionnel. Donc de montrer que le problème n'est pas qu'un problème de cul. Étant une femme, tu ne subits pas ce que subissent les hommes régulièrement. (d'ailleurs, eux-même en ont rarement conscience tellement c'est devenu "normal") C'est un argument très souvent employés par les femmes pour faire comprendre aux hommes qu'ils devraient être attentif à ce qu'elles disent lorsqu'elles parlent de ce qu'elles subissent régulièrement. Je vous retourne le devoir d'écoute et de prise au sérieux. Et j'aimerai qu'on arrête, lorsqu'on dénonce ces choses, de dire qu'il ne s'agit que de "frustration", de "râteau", de "tire ton coup ça ira mieux". Il y a des gouttes qui font déborder le vase, et provoquent ce genre de ras-le bol. Mais ça n'est pas la goute qui importe. Et le ras-le bol est réel, et porte sur un problème réel, qu'il serait peut être temps de prendre un minimum au sérieux. En l'occurence, et malgré ce que pense l'intéressée, il ne s'agit pas d'un râteau. Dans le sens justement qu'il ne s'agissait en rien d'une tentative de séduction, de drague… et encore moins de manipulation. Le problème réel vient du SEUL fait qu'étant un homme, tout ce que je propose est perçu par les femmes comme une tentative de manipulation. Le vrai problème, vient que du seul fait qu'étant un homme, on considère que mes comportement seraient nécessairement guidé par ma queue et mon envie de baiser. Or ça n'est absolument pas le cas. Je ne fréquente pas les femmes que pour les baiser ! Il est là, le problème. Et toute ici, mesdemoiselles, vous êtes tombé dans ce plis. Et remarquez bien, la moitié des hommes qui ont répondu ne sont pas "sauté" sur "l'envie de se reproduire" comme base du problème. Vous vous pensez exclus de ce que je raconte, mais regardez vos propres comportements. Ce carcan de l'homme qui n'adresse la parole aux femmes que pour les baiser, qui ne peut pas être sincère s'il propose quelque chose… Qui, s'il est gentil, c'est forcément qu'il a de mauvaises intention… et si on n'arrive pas à les discerner, c'est forcément louche et c'est sûrement un connard qui se cache. ça va vous étonner, mais je fréquente des femmes parce que je les trouves intéressantes, intelligente, parce qu'elles ont une personnalité et un point de vu sur le monde qui m'intéresse, parce qu'elles m'apprennent et me font découvrir des choses. Oui, il y a une petite composante que j'apprécie d'attirance et de séductions qui font le charme des relations homme-femme. Composante qui font que j'ai tendance à privilégier ce genre de relation, et à fréquenter plus de femmes que d'hommes. Mais ça ne veux pas dire que ma motivation est de baiser. Que ce serait l'objectif, ni même quelque chose qui aurai la moindre importance. Vous allez probablement me traiter de primitif archaïque et sexistes… mais j'aime bien être galant, prendre soins des femmes, leur faire plaisir, passer de bon moment avec elles. J'ai un rapport sexué avec les femmes, (pas sexuel, sexué… Je suis un homme, et c'est pas une tare. ) Parce que j'aime bien ce comportement, parce que c'est ce que j'ai envi d'être. Et je le fais même avec la comptable de la boîte qui approche des 60 ans… Et qui est une des seules d'ailleurs dans la boîte à comprendre que ce genre de comportement n'a rien de tentative de séduction, que je ne cherche pas à la baiser. Mais que c'est juste une manière d'être. Tiens, tu veux un autre exemple ? Il y avait une dispute dans la boîte à propos d'une collègue issue d'une famille qui possède un bon vignoble de champagne. Elle pensait avoir déjà ramené une bouteille, et personne dans la boîte ne se souvenait qu'elle l'ai fait… Bref, ça tournais au vinaigre car si c'était un doute au départ, à force d'y penser elle s'est persuadé l'avoir ramené et que personne ne s'en souvenait. Et les autres se sentaient mal de ne pas se souvenir… bref, ça mettais une mauvaise ambiance. Donc, pour régler le problème, pour la fête de son anniversaire dans la boîte, j'ai été contacter secrètement ses parent, pour leur acheter un magnum de ce champagne. Et je l'ai ramené à cette fête. ça a règlé l'ambiance autours d'une bonne bouteille de champagne… Par contre, le soir, cette fille m'est tombé dessus comme si j'avais cherché à la draguer (comme si j'avais essayer de me rapprocher de ses parents pour mieux la séduire… >_< ) et je me suis fait proprement engueulé pour ça… Et j'en avais rien à foutre de cette nana. Mais rien du tout… (c'est plutôt une autre commerciale qui m'intéressait) Et vous avez beau dire que je fantasme… c'est arrivé seulement parce que je suis un homme. Et que rien de ce que je fais ne peut être perçu comme non motivé par mon envie de baiser… J'en ai juste raz le bol que vous nous considériez systématiquement comme des êtres primitifs. Uniquement motivé par leur couilles… Des exemples comme ça, j'en ai des centaines.
  23. Pas faux. Je découvre récemment les relations avec les mecs. J'ai très certainement bien trop négligé les échanges avec d'autres hommes. Une femme peut "être une femme" et valorisé comme telle indépendamment de l'avis des hommes. Et je penses aujourd'hui nécessaire pour devenir un homme (sans majuscules) d'avoir des échanges avec d'autres hommes, indépendamment des femmes. J'ai toujours trouvé déséquilibrés qu'aujourd'hui, les femmes avaient un peu trop pris le monopole de la décision de ce que devait être "un homme un vrai"… Alors qu'autrefois, être un homme était une notion qui se décidaient entres hommes. (peut être à tors, il y aurait un problème à ne pas intégrer leur point de vu) Mais il y a aujourd'hui une dépendance implicite et nécessaire à leur volonté et leur "approbation" qui ne me plait pas tant que ça. Après tous, "être une femme" ne se décide pas aujourd'hui d'après l'avis des hommes. Je ne suis pas certain que définir la "masculinité" d'après seulement ce qui plait aux femmes, ou ce qui "marche" auprès des femmes, soit une si bonne idée que ça. Le féminisme est une très bonne chose, notons bien. Je suis totalement pour une libération des femmes en tant qu'individus pensant, intelligent et indépendant. Il y avait une énorme connerie à nos ancêtre à les négliger comme telle. (alors qu'elles sont tellement plus intéressantes avec de la personnalité et de l'indépendance.) Mais les hommes aussi sont des êtres intelligent et sensibles, sans pour autant être des femmes. Il y a, j'en suis certain, une compréhension mutuelle à obtenir. Ou du moins à viser. Mais j'ai un peu trop l'impression que nous somme devenus trop dépendants des femmes, trop "individualistes" donc faible (et compétiteurs les uns avec les autres… diviser pour mieux régner), pour arriver à résister à leur revendications communes de ce que "devrait" être un homme pour être un homme bien. Un homme homme honnête, intègre, sincère. Bref honorable en réalité. Je suis persuadé que nous avons perdu un peu trop de ce que nous étions, à force de donner une importance plus que "moitié" à l'avis des femmes sur ce qu'était un homme bien.
  24. Quand on est sur un sujet sur "l'islamisation" de la France, ça ne me semble pas tant hors de propos. Et effectivement, je pense très sincèrement que la religion sert de rempart pour masquer les réels problèmes et mécanismes en jeu derrière le terrorisme. Donc que des sujets se plaignant de "l'islamisation de la France", surtout sur des trucs aussi con, font partit des leures qui nous font perdre de vu que les réels enjeux derrière tout ça sont l'industrie de l'armement, la guerre du pétrole, et les guerres de type "on détruit tout puis on impose la reconstruction avec nos entreprises, pour pomper ce qu'il reste à une population déjà ruinée". Et certainement pas des problèmes théologiques ou de divergence de point de vu sur le fondement des libertés individuelles. Personne ne se fait sauter la gueule parce que dans un pays, ils auraient trop de liberté… Tu irais te faire sauter la gueule parce qu'au Cambodge ils auraient plus de libertés que toi ? Par contre, se faire sauter la gueule parce qu'on a détruit ta maison, trucidé ta famille, imposée des entreprises qui pillent le reste pour reconstruire, et piquer toutes les ressources de ta nation sans te laisser un seul centime… Le tout en ayant même pas pris la peine de justifier cette guerre par un mensonge crédible… Et que pendant ce temps, le peuple de ces pays ayant envoyé leur militaire faire ces guerres, (peuple sensé être en démocratie, donc sensé avoir voulu ces guerres), n'en a rien à foutre, s'amuse et fait la fête… Et ose même se plaindre qu'on l'empêche de faire la fête… Oui, je comprend que ça colle la haine. J'ai même du mal à comprendre pourquoi il n'y en a pas plus que ça, très sérieusement. Mais une chose est sûr, il n'y a rien de religieux dans ces histoires. L'islamisation de nos contrées a plus à voir avec un autre phénomènes. Celui qui fait que les "banlieues" étaient bouffées par des problèmes de drogues, d'alcool, de violences et d'abus sexuels, et même simplement de respect des uns et des autres… le tout face à un gouvernement qui s'en fichait royal, et avait même plutôt tendance à accuser ces "immigrés" d'être responsables. Les isolants et les culpabilisant. La solution qu'ils ont trouvé ? La religion qui interdit, l'alcool, les drogues, qui impose un respect des femmes (oui, mieux que ce qu'elles avaient avant dans des tournantes…), et des homes entre eux (vieux, jeune etc…). Le tout formant une communauté qui peut se regrouper dans la dignité d'une morale commune. Donc en chemin (dans leur vision des choses du moins ) vers une amélioration de sois et de l'humanité… ( comme le sont toutes les religions. ) Le tout avec une pointe très Française d'anti-conformisme, de lutte contre les institutions et contre l'américanisme et la société de consommation… (parce que ça reste des Français de culture… donc butés, râleur, et très revendicateurs sur leur libertés de faire ce qui leur plait. ) Oui, la solution religieuse pour régler le problème est loin d'être idéale. Elles entraine un paquet de problèmes… et va pas vraiment dans le sens de la laïcité. On récolte ce qu'on sème à ne pas s'être vraiment occupé laïquement de ces problèmes. Et je te ré-affirme que ces problèmes (qui ont un peu plus à voir avec les valeurs et la religion), n'ont aucun lien avec le terrorisme.
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