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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Titsta

    legislatives 2017

    J'y travaille. Réponse dans quelques années. ( 2 ou 3 maintenant. ) Je dois avancer prudemment si je ne veux pas être bouffé par la concurrence. ^^ ( Remarque, si je continus de tergiverser sur des forums plutôt que de bosser, ça pourrait prendre une année de plus >_< ) En fait, attendre les prochaines élections présidentielles & législatives (si elles ont lieu) pourrait être une bonne idée pour lancer mon truc. ça risquerai de foutre un sacré bordel Et ça serait une bonne idée pour faire buz.
  2. Celui qui mélange tout, c'est celui qui pense que que quand je dis que l'héritage n'est pas un mérite, il considère que je suis contre l'héritage. Je n'ai rien contre l'héritage. Les gens qui considèrent que ceux qui héritent, c'est grâce à leur mérite personnel son sois des crétins fini, sois des enfumeurs. L'héritage c'est une transmission. À la limite, celui qui mérite, c'est celui qui meurt et décide de céder sa fortune… Celui qui reçois, je ne vois pas une seule seconde ce qu'il mérite dans l'histoire. Tu confond être aimé et mériter quelque chose. Celui qui reçois un héritage (ou un don) est aimé par ses parents… (enfin, c'est obligatoire… mais on va simplifier), ça ne veux pas dire une seconde qu'il mérite ce qu'il reçoit. ça ne veux pas dire que je suis contre le principe des dons ou de l'héritage. C'est juste que c'est des choses qui n'ont rien à voir avec le mérite… ( C'est quand même dingue que je sois obligé d'énoncer de telles évidence. >_< ) Pour ce qui est des banques, je n'y avais pas pensé effectivement… donc j'ajoute : Les banques ont pris un risque (très relatif) en prêtant de l'argent à l'histoire. Mais comme elles ont récupérés des intérêts (très) supérieurs au risque encourus, elles n'ont aucun mérite non plus. Même principe. Quand un gouvernement fait un près à taux 0, et ne récupère que la somme prêté, là il y a du mérite. Oui, autre chose ? Tu essayerai de faire croire que lorsque tu te paye quelque chose, tu le mérite seulement parce que tu avais l'argent pour le payer ? Mmmm je ne vois pas de mérite à s'acheter des choses, même à crédit… Mais penser qu'on aurait du mérite à s'acheter des choses à crédit… heu… Là, avec des idées pareille, je pense qu'on touche à un enfumage encore plus profond et nauséabond… ( puré, laver toute la crasse de l'endoctrinement capitaliste sur les esprits, c'est plus que salutaire, c'est presque de la salubrité publique à ce niveau… )
  3. Non, c'est pas le fait d'hériter en sois. Tu mélanges mes propos. Hériter d'un bien, ça n'est en rien une récompense du mérite. C'est comme ça c'est tout. L'héritage n'est pas un mérite, ( sauf si tu as assassiné ton père, à la limite… ) Si tu hérite de la maison de tes parents, c'est pas du mérite, c'est de l'héritage. Le mérite actuel du fils, c'est à dire le fruit de son travail actuel, et la fortune qu'il a pu accumuler jusque là grâce à son salaire, il l'a mérité. Je n'ai jamais dis le contraire. Exactement au même titre que n'importe quel employé, qui aurait fourni le même travail. Ok ? Pas plus, pas moins. Faut savoir de quoi tu parle, si tu parle du travail, alors un autre employé ayant fourni le même travail a le même mérite. Question : Est-ce que son père va transmettre des parts de son entreprises aux autres employés qui auront autant bossé que son fils ? Non. Donc la transmission de l'entreprise n'a rien à voir, mais rien du tout, avec le mérite. Ni le travail. C'est juste du maquillage. Son salaire, il l'a mérité. L'héritage de la propriété de la boite, et donc sa valeur, il ne l'a pas mérité. C'est une transmissions arrangée. En fait, tu es SOIS obligé d'admettre qu'un autre employé ayant fait le même travail mériterai tout autant que lui la même part de l'entreprise ! Et là on parlerai de mérite. SOIS obligé d'admettre que ça n'est pas pour le mérite, mais bien parce que c'est son fils qu'il lui transmet sa boite. Ce qui me semble quand même assez évident, si tu redescend un peu sur terre. Alors je reconnais qu'avec tous les liens affectifs que tu peux avoir, c'est difficile pour toi d'être clair dans ces notions de "mérite", et qu'il est très facile de te laisser enfumer. Mais de l'extérieur, je t'assure, c'est très clair. Il n'hérite pas de l'entreprise parce qu'il le mérite par son travail, il hérite de l'entreprise parce que c'est son fils, c'est tout. Son père répartirai également les parts de son entreprise entre tous les employés qui auraient autant travaillé que lui, là ça serait une récompense au mérite. ça n'est pas le cas. Voilà pour ce qui est de l'héritage. Ensuite, pour ce qui est de la "moralité transmise" Le père ne mérite que le dixième de la valeur de son entreprise, et le reste est la simple récupération de la valeur générés par les employés. ( parce que tu te trompe, si l'entreprise est ce qu'elle est maintenant, ça n'a que peu à voir avec ses seules main, et beaucoup plus à voir avec le travail de nombreuses personnes. ) Parce que c'est comme ça une entreprise. Le propriétaire récupère une partit de la valeur produite par les salariés. Les salariés ont le mérite, parce qu'ils ont reçu moins que la valeur de leur travail, c'est ça le mérite. Et le propriétaire récupère l'argent généré par leur travail. C'est tout. C'est la simple analyse économique purement objective des choses. Arriver à prendre de l'argent aux employés, c'est une faculté, une compétence même, mais ça n'est pas un mérite si c'est pour toi que tu le fais. ( après, on pourrait discuter de la moralité des managers qui bossent pour d'autres… <_< mais c'est pas le sujet. ) Et tu es gentille avec le côté "artiste", mais c'est pas le fait d'avoir créé la boite qui a rapporté de l'argent, c'est le travail qui a été fait. TOUT le travail. Son enrichissement, il ne le doit pas à son propre travail, il le doit majoritairement au travail de ses employés. Donc je t'en pris, laisse le mérite à ceux qui le méritent réellement. Et assume simplement qu'il n'est pas le seul employé de sa boîte, et que sa fortune actuelle, il l'a acquise grâce au travail de ses employés. ça c'est être honnête intellectuellement, c'est tout. ET pareil, son fils, lorsqu'il héritera de cette somme, il ne recevra RIEN du mérite de son travail personnel, il recevra un dixième de la valeur par le mérite du travail de son père, et 90% de sa valeur il le devra au travail des employés de son père. C'est tout, c'est ça la réalité économique, crue, simple et totalement objective de la situation. ça ne te fait pas plaisir parce que tu es complètement amoureuse du fils de son père, et que tu t'imagine que c'est lui tout seul, sans aucun employé qui a fait tourné la boite… mais je t'assure, la réalité est totalement différente. Ils n'ont jamais été tout seul. Et si, eux même, se permettaient de penser qu'ils avaient été tout seul, là ça serait du mépris profond pour ses employés et le mérite réel que eux ils ont dans l'histoire. Après, encore une fois, je ne blâme pas les profiteurs. C'est le système qui est comme ça. Il y a des gens qui méritent, c'est ceux qui gagnent moins que la valeur de leur travail, et ceux qui profitent du mérite des autres contre de l'argent. Faut assumer, c'est tout. C'est les deux facettes de la motivation humaine, le mérite ou l'argent. Je n'ai pas un discours haineux envers les profiteurs. Je dis que j'en ai marre de la propagande et qu'une petite douche de vérité et d'analyses objective des choses, ça vous ferait pas de mal. Parce que là, vous partez sur une autre planète avec vos délires de mérite. Tu veux qu'il ai du mérite ? Qu'il vendent son entreprise, et verse la totalité de la somme à une œuvre de bienfaisance. Là il aura du mérite. Tant qu'il garde l'argent, il ne mérite rien du tout.
  4. Titsta

    legislatives 2017

    C'est vrai qu'entre ça, et le fait que ça n'est même pas des élus qui écrivent les lois… Et que ces gens même pas élus écrivent à la fois les lois et les fond exécuter… Je ne comprend même pas qu'on ose encore se considérer en démocratie en France. >_< C'est vraiment dommage d'être passé à côté de la proposition de refaire notre constitution et nos institutions. Qui était la seule solution intelligente proposé dans cette élection présidentielle. Plutôt que de "dégager" les anciens partis pour en re-créer aussitôt d'autres identiques. Finalement, il n'y a que la révolution qui pourra instaurer une démocratie en France, je le crains. C'est pas manifester, ou organiser des "troubles à l'ordre publique" qu'il faut faire, ça ne peut que conduire Macron à la prise de pouvoir définitive. C'est une véritable révolution démocratique qu'il faudrait arriver à organiser. Mais comme je le disais plus haut… je doute que la culture démocratique soit assez répandue en France pour être capable de mettre une démocratie au pouvoir par une révolution mettant à bas ce système dictatorial.
  5. Titsta

    legislatives 2017

    Non mais c'est le contraire ! C'est quoi cette inversion des pouvoir ? Que le gouvernement, qui est sensé être l'exécutif je rappel, n'ai simplement plus le moindre pouvoir d'écrire la moindre loi. Et qu'il se contente, en tant qu'exécutif qu'il est, d'exécuter les lois construite par l'assemblée élue. Là tu aura une réelle stabilité ! Et ça commencera déjà un peu plus à ressembler à une démocratie représentative… Avec des élus qui débattent et décident des lois. Pas des guignolito combinards et magouilleurs, qui arrivent à leur poste grâce à des tambouilles politiciennes obscure et totalement anti-démocratique. Ou à la limite, si tu tiens à ce point à mélanger le pouvoir législatif et exécutif, qu'on élise les ministres, dans chacun des ministères. On fait une élection par ministère, et on choisi tous, sans impasse sur les questions importantes, celui qui porte la solution qu'on juge la plus efficace dans ce domaine. Là aussi, ça serait un brin plus démocratique. (donc plus stable) Le vrai problème de fond en France, c'est que c'est pas des élus qui écrivent nos lois. Ouvrez les yeux bordel ! Elle est où la démocratie là dedans ?
  6. Titsta

    legislatives 2017

    Tu sais quoi, j'ai eu un gros blocage sur un mot anodin… et ça a fait déclic. "Le mode de scrutin majoritaire, par son effet d'amplification des victoires, présente l'avantage de désigner une majorité stable." C'est complètement con quand on y réfléchi, cette notion de "stabilité". Il n'y a pas de stabilité dans l'histoire, les mecs sont élus pour le même temps qu'ils soient majoritaire ou non… Avec pleins de "minorité", c'est pas plus instable, c'est qu'ils sont obligé de discuter entre eux pour se mettre d'accord … c'est un peu leur taf au passage, d'ailleurs. De débattre ensemble, et d'enrichir la solution de l'ensemble des points de vus. C'est quoi ces glandu d'élus fainéant qui considèrent que débattre, réfléchir ensemble aux solutions, c'est un problème ? Ils ont qu'à faire un autre taf si ça leur déplait tant que ça. En fait, c'est pas une question de stabilité, c'est une question de démocratie. Avec une majorité, le groupe n'a pas besoin de discuter entre eux, d'échanger des points de vu, d'améliorer et de faire des synthèses… bref, pas de démocratie. C'est quand même dingue quand on y pense de considérer que, pour hémicycle dont c'est le taf exclusif de débattre, de dire que la démocratie est une source d'instabilité… et que la seule "stabilité" qui permet de gouverner, c'est la dictature de la pensée unique. Bah non, on peut aussi gouverner démocratiquement … C'est quoi cette idée à la con en fait ? Comment on a pu en arriver, au seins même du parlement, à qualifier la démocratie elle-même comme étant une "instabilité", ou une "impossibilité de gouverner" ? C'est effrayant quand on prend du recul, de voir à quel point les idées fascistes ont déjà totalement gangrenée la société, jusqu'au fin fond de ses institutions démocratique…
  7. Titsta

    legislatives 2017

    Si je m'insurge du fait que tu me juge plus intelligent que ces cons. Et que je représenterai une élite apte à les éclairer, et que ça constituerai une intelligence collective. Je te faisais remarquer que d'une, je n'étais pas une élite, et de deux cette notion n'a rien à voir avec les élites. Mais avec la notion d'émergence de l'intelligence. Pas du tout, l'intelligence collective est supérieure à la somme de ses parties. Une multitude de cons, auront une intelligence collective supérieur à celle de n'importe quel spécialiste ou élite à la noix, faible de son petit cerveau humain solitaire. ^^ Note que l'intelligence collective, ça marche aussi avec des robots avec des fonctionnement basique très simple, ou des fourmis. L'intelligence à la base n'a rien de nécessaire. Voué… mais non. L'intelligence collective nécessite un minimum de processus démocratique. Là, on possède surtout un système de décision collectif, il n'y a ni démocratie ni intelligence là dedans. évidement, tu confond le vote et la démocratie, donc je comprend l'erreur. Mais retiens juste qu'un système qui ne fait interagir aucun de ses neurones ne représente qu'une "moyenne" des intelligences individuelles. En général, avec des système basées sur d'aussi faibles interactions dans la prise de décisions, ça révèle surtout que les "foules" ont des comportements plus cons que les individus eux-même. En d'autres termes, le vote actuel, c'est plutôt la connerie collective. Le système soviétique était très intéressant dans son fonctionnement même. Car il était profondément basé sur la démocratie représentative. Chaque individu votaient entre eux pour élire le représentant de son quartier, chaque représentant de quartier votait entre eux pour élire le représentant de l'arrondissement, chaque représentant d'arrondissement votaient entre eux pour élire le représentant de la ville… etc… etc… jusqu'à l'échelon final. C'était ça le système électif de l'URSS et rien d'autre. Le fait qu'on ai abouti à une dictature, où le dirigeant final pouvait faire à peut près ce qu'il voulait sans être destitué ne tenais en réalité qu'à un tout petit détail. Lorsque tu votes dans une élection, le sortant a un tout petit peu plus d'avantage que les "challangers". Une simulation mathématique montre que si tu accorde UNIQUEMENT en cas d'égalité stricte le pouvoir à celui qui était là avant… avec 7 ou 8 niveau de représentativité, il faut plus de 80% de personne à la base qui veulent un changement pour que le changement se retrouve à la tête du système. Avec le seul et unique petit avantage d'accorder le poste au sortant en cas d'égalité, c'est une expérience mathématique effectué sur ordinateur. Par contre, lorsque ce changement arrive, l'ensemble de la classe politique est totalement remplacée. C'est aussi la raison pour laquelle l'URSS s'est effondrée d'un seul coup, sans donner le moindre signe avant-courreur. Ils ont juste atteins leurs 80% à la base, et le reste à suffit. Tu vois, comme quoi la démocratie, ça dépend de petits rien dans le système de vote. Là, comme on parlait de système décisionnels, je te faisais remarquer que les soviétiques avaient des systèmes basés sur les élections démocratiques, donc des représentant élus à chaque niveau avec des mandats. Ce qui reste pour chacun un fonctionnement plus proche d'une démocratie représentative que d'une aristocratie, du point de vu de la corruption. La "stabilité" n'apparaît qu'à travers les nombreux niveaux. À chaque niveau, si tu ne plaisait pas à ton électorat, tu pouvais être remplacé au cours des élections. Rien à voir avec une aristocratie qui n'a pas de compte à rendre à ceux du dessous. (seulement à ceux du dessus) Au passage, ça n'a rien à voir avec les concepts de démocraties des pays d'Amérique centrale, qui sont fortement lié à l'implantation d'une dictature forcé par la nécessité de la résistance à l'amérique, dans le but de protéger les droits et la richesse de la population de base. C'est assez paradoxal, mais c'est un fait. Dans ces cas là, tu as des dictatures pure et simple, mais qui assurent les droits des peuples à la base… c'est un peu le contraire en fait de l'URSS qui avait un système démocratique, mais qui assurait surtout l'exploitation individuelle, et la disparition des droits.
  8. Tu deviendrais communiste Morfou ? Les employés, ils retrouverons un taf. D'autant plus facilement que je ne vois pas pourquoi la fermeture serait un secret. Et il ne s'agit pas d'une idéologie anti-fric. Si l'entreprise a atteinds sa raison d'être, elle n'a pas à continuer. Une entreprise n'a pas vocation a être éternelle. De surcroit, si mon système marche, les grandes multinationales auront explosé en myriade de petites entreprises. Et la libre entreprise sera rétablie. Donc le chômage, on n'en entra plus parler. Il sera seulement répartit sur l'ensemble des entreprises de chaque branches. Tu sais, le chômage n'existe que par ce qu'il y a planification du marché de l'emplois par les grands groupes. ( oui, par le smic aussi, mais logiquement, c'est aussi un truc qui pourrait sauter avec mon système… :-/ ) Heu… d'une, tu sais, les gens qui se plaignent de payer trop d'impôt, c'est de l'esbrouffe hein. Je n'en ai jamais vu qui acceptaient de réduire ses revenus pour payer moins d'impôt. ^^ De deux, je n'ai jamais dis que ça ne serait pas volontaire. Et de trois, s'il faut répartir sur quelque millions ou milliards de clients une valeur, avant de leur faire crever à tous le plafond de leur impôts, y a de la marge. Déjà, si je leur fille à tous une action de 10€, l'entreprise capitalisera déjà très largement ce dont elle pourrait avoir besoin. Non, la stabilité budgétaire est parfaitement viable. Les bénéfices ne sont en rien obligatoire. Et c'est d'autant plus viable si c'est un équilibre volontaire. Les entreprises classique, cherchant à maximiser le plus possible leur bénéfices, oui, si elles se retrouvent tout juste à l'équilibre, c'est qu'elle ont un gros problème. Si c'est une position volontaire, c'est qu'il reste pas mal de levier et de marge de manœuvre pour assurer la stabilité. Je sais que la névrose classique vise à chercher systématiquement à faire des bénéfices, mais ça n'a rien d'une nécessité. Viser l'équilibre budgétaire est aussi une stratégie raisonnable. Il existe aussi d'autres méthodes de croissances que par le ré-investissement de bénéfices. De surcroit, vu qu'il s'agit d'une entreprise avec un but déterminé, elle verra aussi très certainement une période de décroissance volontaire en fin de course. Je n'ai pas dis qu'il y aurai un CA nul non plus. Et il y aura constitution de réserve et d'assurance pour compenser les aléas. Tu sais, normalement, le salaire d'un dirigeant n'a pas une telle influence que ça sur une entreprise. Y a pas de raison qu'elles fonctionne si différemment que ça des autres, si ce n'est la vocation à rester à l'équilibre budgétaire. Ha ? Je ne pensais pas que les études de marchés étaient de moins en moins pratiquée. Mais ça me confirme quelques soupçons que j'avais par ailleurs ^^ Avant la technique marketing, la technique commerciale marchait très bien. Si ça se trouve, la capacité des grands groupes de générer la demande par la publicité leur évite le problème d'avoir à trouver une quelconque correspondance avec une demande pré-existante. C'est peut être ça qui rend obsolète les études de marchés. Question petits entrepreneur, c'est toujours très recommandé… même si je pense que dans certains cas, ça n'est pas forcément très adaptés. ( dans tous les cas où il s'agit de générer une demande notamment. Et non se conformer à une attente ou un besoin conscient pré-existant ) Les start-up par exemple ont beaucoup de mal à faire des études de marché, puisque par définition, elles sont confronté à un marché qui n'existe pas encore. Comme c'est un peu la mode des starts-up, ceci explique peut être celà ^^
  9. Non, très sérieusement DDR, renseigne toi avant de dire des conneries. C'est pas un argument d'autorité. Je te demande d'aller te renseigner sur les principes du libéralisme. Et en particulier sur la notion de base du marché libre, qui implique qu'il n'y ai aucune influence extérieur aux marché sur les prix. sinon, par définition, il n'est pas libre. La publicité n'est pas une information sur un produit, c'est une influence d'une organisation très clairement identifiée, qui tente très clairement, d'augmenter les prix en influant sur la demande, et ceci sans passer par une modification de ses prix. ça n'a rien à voir avec une demande intime, ou avec une mode ou même une organisation religieuses qui dicterai d'adopter tel ou tel comportements. Ce sont des manipulations directes et explicites de la demande, par des organisations qui cherchent à influencer le marché autrement que par la livraison de marchandise à un prix donné. Ce sont des procédés incompatibles avec le libéralisme, c'est tout, c'est pas toi qui va ré-inventer les principes du libéralisme. Le principe majeur du libéralisme, c'est le marché libre. ça veux pas dire la loi du plus fort ou la dérégulation, je vais finir par te prendre pour un endoctriné communiste… C'est pas "tout le monde fait ce qu'il veux", comme menacer d'un flingue des gens pour augmenter la demande… Non. Le libéralisme c'est précis et régulé. ça veux dire que seul l'offre et la demande doit influencer les prix. C'est pour ça que la concurrence est faussé quand tu mens, et c'est exactement pour la même raison que la concurrence est faussée quand tu as influencé la demande AVANT qu'elle arrive sur le marché. C'est quelque chose de très clair DDR. Toutes tes pseudos argumentations n'y changerons rien. Essayer de faire croire que la publicité n'est pas une tentative d'influence de la demande par des organisations tentant d'influencer le marché autrement que par les prix de leur produit, c'est juste d'une mauvaise foi démesurée… même pour toi qui est pourtant un expert en mauvaise foi. Dans un système libéral, libre aux acteurs de monter ou baisser leur prix, mais ils ne sont pas libre d'influencer la demande, autrement qu'en changeant leur prix. Tout autre mécanisme n'est pas autorisé par le libéralisme. C'est tout. Sinon, ça n'est plus du libéralisme, c'est de la planification du marché, par de la propagande. Espèce de petit communiste ! PS Au passage, la publicité n'est pas un acteur, c'est une méthode d'influence sur un des acteurs du marché : l'acheteur. La publicité à un commanditaire et a une cible. La publicité n'a pas lieu sur le marché, puisqu'elle est antérieure à la demande. Or le marché, et c'est toi qui le dis, c'est le lieux de la rencontre de l'offre et de la demande. Les choses sont claire dans le libéralisme, l'offre et la demande sont antérieur au marché, et le marché est exclusivement le lieux de l'échange. Toute tentative d'influence de l'offre ou de la demande AVANT le marché, et autrement que par la mise en concurrence par les prix (et spécifiquement par de la propagande planifiée) n'est pas autorisée dans un système libéral.
  10. Titsta

    legislatives 2017

    Merci pour la vidéo très intéressante. Mais désolé, je ne valide pas le comporement. Le vote blanc est là pour différentier ton choix véritable de la masse des fainéant, ou des gens en déplacement qui ne peuvent pas voter. C'est une chose que de constater qu'on ne vie pas en démocratie. C'en est une autre de ne pas se servir du faible pouvoir qu'on te laisse, même dans un système non-démocratique, en boudant dans ton coin et en laissant le pouvoir à ceux qui l'ont pris, sans même exprimer clairement ton avis. Pire, pendant le deuxième tours, c'était une chose qui se défendait, (de vote blanc) pendant le premier tours des législatives, ça n'est pas la même situation. Si tu veux changer les choses, tu dois te servir de tous les pouvoirs dont tu disposes. C'est d'autant plus vrai pour le premier tours des législatives, ou tu avais au moins le pouvoir de voter symboliquement pour quelques gugus étranges qui peuvent proposer des choses qui approcheraient de ce que tu penses. J'ai croisé un "candidat" qui parlait de nommer au hasard un quidam. Ne serait-ce que pour présenter le principe du tirage au sort. Et si ça ne te plait pas, tu pourrais au moins te présenter comme candidat, tu sais ça n'est pas très dur. Après, je ne te connais pas, tu es peut être très engagé, mais de mon point de vu, par préjugé je considère surtout que c'est de la flème "idéologiquement justifiée" à postériori.
  11. Titsta

    legislatives 2017

    héé faut pas être défaitiste. Ce ne sont que des projections, et avec plus d'un français sur deux qui n'a pas voté, les jeux sont loin d'être fini. La seule certitude, c'est qu'ils ont un seul élu pour l'instant. Tout le reste est totalement hypothétique. Il ne faut pas se laisser influencer par les médias qui "projettent" sans même expliquer comment ils peuvent déterminer ce que souhaitent réellement les 50% de personnes qui n'ont pas voté. N'oublions pas que dans ces conditions, un score de 30 ou 40% d'un député au premier tours ne représente que 15 / 20%… rien de très difficile à battre en réalité. Après, si tu veux mon avis, les gens qui n'ont pas été voté son des cons qui auraient intérêt à ne pas se plaindre par la suite s'il leur arrive des embrouilles… ( enfin, je dis ça… si, il y a toujours intérêt à se plaindre. Mais ils sont juste con parce qu'ils auraient mieux fait d'aller se bouger le culs quand on leur laissait pour une fois le pouvoir réel sur la France. ) Les Français ont abandonné le pouvoir. Tout simplement. Après je comprend le gavage ou la déception. Les campagnes sont lourde et chiante à long terme. Et la multitude de candidats qui se présentent doit sufir à décourager plus d'un… ( 22 candidats dans ma circonscription >_< Et il a fallu que j'explique leur programme et leur position à mon frère handicapé, pour qu'il puisse faire son choix convenablement. >_< misère Oo! ) Mais ne t'inquiète pas, l'avantage des cons, c'est qu'on peut compter sur eux pour continuer à l'être pour la suite. Comme par exemple aller râler et lâcher le président qui se retrouvera avec une côte de popularité inférieur à 2% dans quelques mois… Quand ils découvrirons la réalité de ce qu'on leur expose depuis un moment… La question, c'est est-ce qu'il sera encore temps de revenir en arrière… non je ne pense pas. Macron aura déjà accaparé tous les pouvoirs grâce aux renouvellements massifs et à ses ordonnances, et sera largement en position de lancer un putch. La seule façon de l'éviter seraient que les gens n'aillent pas tout casser pour râler… En donnant la justification nécessaire à Macron pour prendre le pouvoir. Mais je ne crois pas qu'une telle lucidité soit possible dans une population en colère.
  12. Titsta

    legislatives 2017

    La vraie démocratie s'incline devant sa disparition, si elle est souhaitée par la population. Ne pas confondre les tentatives autoritaires de stabilisation du pouvoir, dans les démocraties moderne, avec des principes démocratique. La démocratie ne doit en aucun cas interdire les opinions, ou les décisions du peuple, même anti-démocratique. Elle cesse juste alors d'être une démocratie, c'est tout. Il ne faut pas confondre démocratie et système stable. Ce sont deux choses différentes. Même si j'accorde qu'en pratique, il peut être intéressant de tenter de stabiliser le principe démocratique par des principes qui ne le sont pas (donc) Au passage, ne confond pas être démocrate et être aveugle et endoctriné. Un vrai démocrate à réfléchi à pourquoi il défend la démocratie, et possède un certain esprit critique sur les défauts de ce système et les avantages d'autres systèmes. C'est en particulier intéressant si tu souhaite réellement la défendre. ( connait ton ennemi, et connait tes faiblesses. ) Quelqu'un qui est pour la démocratie, sans même savoir ce que c'est, en pensant que c'est la perfection, et sans avoir le moindre esprit critique dessus n'est pas démocrate, c'est juste un endoctriné de base. Qui pourrait très bien être un soviétique endoctriné de base, ou un capitaliste endoctriné de base, en d'autres temps et d'autres lieux, sans même remarquer la différence.
  13. Titsta

    legislatives 2017

    C'est pas faux. Je reconnais Toutefois, tu remarquera que l'influence économique reste assez négligeable comparé aux conséquences économiques des décisions du gouvernement. C'est donc, à proprement parler, une mesure plus économique pour éviter la ruine du pays. Après, je le conçois, ça reste suspendu à la croyance dans l'éventualité de cette ruine ^^ Le "calcul économique" (désolé pour l'oxymore) n'est certainement pas le même pour tout le monde. ha bah non… tu sais moi les sources c'est pas mon fort. :-/ Je les vérifies avant d'intégrer leur connaissances, mais je ne les retiens jamais. Alors d'une, le fait que je connaisse quelques principes démocratiques ne signifie pas que je sois moins con que les autres, sur d'autres choses. Puisqu'on parle démocratie, il est important de considérer la limite des points de vu individuels. ( Et d'autre part, je ne m'estime pas être une élite… et je cherche encore moins à représenter plus que moi même. Le fait d'avoir une grande gueule et d'affirmer mes positions de façon péremptoire ne fait pas de moi une élite. ^^ ) Ensuite, je m'insurge ^^ L'intelligence collective, et le processus démocratique, n'a rien à voir avec les décisions d'une élite sois disant-éduquée. Ou qui serait plus apte que les autres à convaincre qu'elle est mieux qualifiée. ça c'est l'aristocratie, pas la démocratie. (et si, l'aristocratie contrairement à la noblesse, est désigné comme le pouvoir aux plus "méritant" ou aux plus "capables". Une décision par un collège d'experts est donc un processus aristocratique. ) La démocratie est un processus en trois temps. - D'abord, constatation des différences de point de vu. (donc certainement pas la pensée unique de spécialistes) - Ensuite, mais ensuite seulement, débat et discussions pour élaborer des synthèses. qui ne doivent en aucun cas être l'expression d'un unique point de vu, sinon il n'y a pas synthèse et le processus démocratique est bloqué. - Enfin, proposition des différentes synthèses trouvées (parce qu'il ne doit en aucun cas y en avoir une seule), et décision de l'ensemble des participants (souvent par le vote… mais ça n'est qu'un outils, il peut en exister d'autres. ) Nulle intervention d'un "expert", ou d'une "élite"… si ce n'est en tant que simple avis de même poids que n'importe lequel des personnes qui auront éventuellement à subir les conséquences des décisions. (et qui donc on souvent un avis un peu mieux éclairée que les élites en réalité. ) C'est d'autant plus important que la décision n'a pas à faire intervenir de compétence particulière (contrairement à l'élaboration de synthèse par exemple), mais un choix qui peut porter sur des considérations subjectives, ou non-rationnelles. (éthique, morale… ) Oué… je t'arrête. Je pense qu'on ne parle pas des mêmes empires. Je pensais plutôt aux systèmes aristocratiques, de types napoléoniens. Pas aux dictatures militaires ou aux systèmes démocratiques de type soviétiques. Mais j'admets qu'empire, c'est un peu un mot-valise qui ne veux pas dire grand chose.
  14. Tu devrais approfondir le sujet avant de dire des bêtises DDR. D'une part, le capitalisme est antinomique du libéralisme, dès que le capital devient tellement concentrée qu'il débouche sur des situations d'oligopoles. Ces deux modèles idéologiques ne peuvent s'entendre que si le capital est suffisamment déconcentrés. Si tu ne sais pas ça, c'est que tu connais très mal le principe du libéralisme à la base. (d'autant que ça n'est pas la première fois que je te le signale ) Ensuite, ça n'est pas parce que la tradition libérale tape systématiquement contre l'état, qu'il s'agit de la seule organisation qui devrait cesser d'influencer le marché et de fausser la concurrence. TOUTES organisation, interne ou externe à la nation, capable d'influencer le marché autrement que par la loi de l'offre et de la demande doit être démantelée. Se focaliser exclusivement sur l'état est une déviance sévère du principe du libéralisme. Poussée par le capitalisme en réalité, qui n'aimerai pas qu'on applique le libéralisme sur leurs grandes organisations anti-libérale concentrant le capital. C'est valable autant pour les puissance étrangères, que les organisations entrepreneuriales ou même religieuse. Il n'y PAS de limites posé dans le concept sur la nature de ces organisations. Aucune, c'est aucune. Ensuite, le principe même du libre marché, c'est que seule l'offre et la demande doivent influencer le prix et inversement. TOUTE intervention directe d'une organisation visant, SANS PASSER PAR LE MARCHÉ, à influencer la demande est interdite par ce principe. Pour ce qui est de la publicité, c'est déjà une exception à ce principe. Le vrai et pur libéralisme se contente de l'observation du produit et du prix. Le libéralisme ne la justifie que dans le cadre de l'information sur les biens et services échangés sur le marché. Une influence subjective, et les tentatives de manipulation de masse, organisée par de grande organisation visant à influencer les prix du marché par d'autre moyen que par la variation du prix sont expressément LA chose qui justifie au yeux des libéraux l'intervention de l'armée s'il le faut pour l'interdir. Donc désolé de te contredire, mais la publicité dans son état actuel est l'exemple même de ce que le libéralisme interdit mordicus ! La déformation plus si récente que ça, tentant de justifier la publicité comme valide dans les mécanismes du libéralisme, sont des déviations très lourdes et bourrées d'hypocrisies des principes du libéralisme. Confondant information sur le produit et publicité. Alors que la publicité est tout sauf une information sur le produit. C'est une influence, qui s'adresse plus à l'inconscient et vise à provoquer la demande, et non à informer à posteriori de la demande, sur le produit qu'elle tente d'acheter. ça n'est pas le mensonge qui est interdit, c'est d'influencer le marché autrement que par la loi de l'offre et de la demande. Interdir le mensonge n'est qu'une des conséquences de ce principe. ( sinon, pourquoi interdir le mensonge ? Tu m'explique ? ) Ensuite, définir clairement les espaces qui sont des marchés et ceux qui n'en sont pas restent à l'appréciation politique. Le libéralisme parle de la liberté du marché, mais n'impose pas que tout espace public doivent être un marché. Il ne parle que des achats et ventes de produits. Il n'y a rien d'anti-libéral à délimiter clairement les espaces qui sont des marchés, ceux qui n'en sont pas. Ce qui permettrai aussi plus facilement d'appliquer le principe libéral d'interdir toute influence des prix en dehors du marché. Notamment par la sur-représentation de la publicité.
  15. Titsta

    legislatives 2017

    Bah je suis démocrate par nature, si le peuple ne veux plus de la démocratie, la démocratie n'a plus à exister. Sinon, ça ne serait pas la démocratie, justement. Je parlais de l'organisation démocratique. Pas du "système" dans le sens institution. Toutes les études montrent que ce système décisionnel (démocratique) prend un peu de temps, mais pond toujours les solutions les plus élaborées, intelligentes et adaptées au maximum de situations. Simple, il s'agit d'intelligence collective. Et ça oblige à la synthèse de multiple point de vu (et de donc de désaccords) Alors que les système autoritaires seront toujours limité par la taille de l'unique cerveau et l'unique point de vu du type qui prend la décision. Les seuls avantages des décisions autoritaires sur les décisions démocratiques, c'est la rapidité de la prise de décision. Ha non… désolé, je ne m'estime pas capable d'éduquer la population. ^^ Je vais seulement tenter de leur offrir les outils démocratiques de façon ludique, pour qu'ils ré-apprennent par l'expérience à faire un peu de démocratie. Au train ou je découvre l'étendu de l'ignorance actuelle de mes semblables dans le domaine, je crains que ça ne prennent malgré tout plus d'une génération avant qu'ils y re-captent quelque chose. Certes. Je parlais dans les nouveaux empires. Toute révolutions qui aboutis à la création d'un empire commence par flinguer tous les corrompus de l'ancien système. ^^ Un système autoritaire ne peut s'instaurer durablement que s'il se repose sur la légitimité d'une justice populaire. (pas faite par le peuple, mais plaisant au peuple) Après, le temps faisant, la corruption ré-apparait. Mais c'est une corruptions un peu différente… puisque le fonctionnement est autoritaire par nature. C'est le principe même quelque part de plaire à celui qui prend la décision, pour le faire décider de ce qu'on veux. C'est plus vraiment de la corruption dans ce cas là. La corruption n'a de sens que s'il y a mandat dont on pourrait abuser, pas pouvoir inconditionnel. ^^ Le gros défaut des démocraties, c'est surtout la corruption. Le défaut des autocraties, c'est surtout la connerie potentielle de ceux qui ont du pouvoir. Voui, tu as probablement raison là dessus. :-/ Tu va me déprimer… je commençais à me faire à l'idée du nouvel empire. ^^
  16. tsss tsss, là tu t'engouffre sur un terrain capitaliste qui hérisse le poil du libéral que je suis. ^^ Tu as raison, la publicité influence le désir, donc le besoin, et donc la valeur. Mais normalement, dans le principe même du libéralisme, la condition siné-quoi none du libre marché, c'est que le marché seul doit déterminer les prix. Et toute organisation visant à influencer les prix du marché en dehors du marché lui même, est à détruire par l'armé s'il le faut. La "publicité" dans son acceptation libérale, est seulement une information objective sur les produits proposés. Et certainement pas la manipulation subjective, (qui ne parlent même plus des produits eux même d'ailleurs), organisée par les grandes puissances financières et industrielle. Grande puissance financière et industrielle qui, ça ne t'aura pas échappée, devraient être détruite (par l'armée s'il le faut) dans un système libéral. Où aucune organisation ne doit être puissante sur le marché. Puis que c'est le marché qui doit être puissant sur ses acteurs. Donc déjà, pas de grande entreprises pour orchestrer des manipulations de masse sur l'ensemble de la population pour créer des besoins totalement artificiels. (et un peu plus de tranquilité pour tous). D'autre part interdictions des publicités en dehors des espaces du marché. Et obligation d'une information objective et sur les produits. Libre donc aux grandes entreprises de tenter de faire de l'influence de type religieuse, (car la religion n'est pas incompatible avec le libéralisme) mais à condition de renoncer à toute activité commerciale. Le libéralisme, c'est pas l'anarchie. Il y a des règles stricte à respecter. C'est un peu la différence d'avec le capitalisme. Un marché libre et non faussé, ça ne s'obtient pas sans une règlementation stricte de tout ce qui pourrait (justement) le fausser.
  17. Titsta

    legislatives 2017

    voué voué voué… je cries toujours à tue tête que nous ne sommes pas dans une démocraties. Mais y a des mesures quand même dans le respect des libertés des individus. La Corée du nord, c't'un peu exagéré ^^ Je connais personnellement quelqu'un qui y a mis les pieds, c'est pas jojo… Macron a quelques chance aujourd'hui de prendre définitivement le pouvoir, et de fonder un énième empire. Et le peuple aujourd'hui semble assez con et fasciné par un sombre inconnu qu'il est bien capable de le laisser faire. Après tout, ça fait tellement longtemps que les seules références d'organisation publique connue des citoyens, c'est la dictature absolue de l'école, suivie de la dictature absolue de l'entreprise, pour qu'ils aient totalement oublié jusqu'au principes même de démocratie. Où en tout cas, qu'ils n'aient jamais pu constater que dans tous les cas, c'est toujours le système qui pond les solutions les plus intelligentes et les plus adaptés. ( Démocratie qu'ils appellent aujourd'hui "communisme" tu aura remarqué. Parce que la notion du communisme, c'est encore plus inaccessible dans leurs esprits peu éduqués. ) Mais les empires, l'aristocratie tout ça, c'est pas forcément si mal non plus. ^^ Même si je préfère les démocraties. Y a pleins d'avantages aux empires. À commencer par la diminution de la corruption, et la clarification des positions de pouvoir réelles dans la société. ( Au moins on arrêtera l'hypocrisie. Et toutes les conneries pondue pour faire semblant. )
  18. Il n'y a pas de surplus. Le dirigent détermine aussi le prix de vente de ses biens. Il n'est pas "obligé" de vendre au maximum du prix qu'il peut en tirer. Nul besoin d'exploiter les clients en leur vendant un bien au dessus de ce qu'il coûte à fabriquer. Mon but, je le rappel, est l'émancipation des êtres humains contre les grandes organisations privées, certainement pas leur exploitation par une énième que j'aurai créé. (ce qui pose problème d'ailleurs, pour faire appel à des business angels mais ils ne sont pas indispensables. ) Tu sais, augmenter son salaire, ou faire des profits c'est difficile à faire, mais les réduire, c'est rarement un problème. Comme le dis prouhdon une organisation privée pourra toujours faire mieux qu'une organisation publique. (note que la réciproque est vrai aussi…) Pour ce qui est de l'augmentation de capital de l'entreprise, elle n'a pas à se faire par mon enrichissement personnel, tant que j'en garde le contrôle. (ce qui peux se faire avec des architectures particulières). Je peux donc veiller à ne pas m'enrichir personnellement. Tant qu'on paye ses impôts, la distribution du capital en surplus aux employés, aux clients ou aux fournisseurs ne pose aucun problème. Et peuvent constituer une part des échanges conjointement à l'échange de l'argent et des biens échangés. Le seul problème viendra du fait que le processus assez peu habituel pourrait poser un problème à la justice. (qui respectent rarement la loi, et bien plus souvent les habitudes) Mais j'ai ma petite idée pour générer de la jurisprudences apte à régler le vide juridique du procédé. ^^ Et le contrôle lui même, indépendamment du capital, je l'abdiquerai quand je serais sûr de la pérennité de l'histoire, voir je fermerai purement et simplement l'entreprise, car si mon truc marche, elle n'aura plus de raison d'être. Après, on reste encore pour l'instant dans le domaine du rêve. ^^
  19. Non DDR, la valeur est créé par le paysan équatorien (et le soleil). L'échange commercial (sur un marché) ne crée aucune richesse, il permet seulement des transferts réciproques bien(ou service) contre de l'argent. Si tu occulte le transport et la transformation du produit originel en salade de quinoa, (qui sont aussi des créations de valeur) le processus de l'échange est totalement transparent. Il ne faut pas confondre le processus d'échanges de la valeur avec une création de valeur. Au cours de cet échange, on peut effectivement arriver à soutirer plus ou moins d'argent. Le processus commercial par la déformation de l'information et par des effets subjectifs au moment de la vente est propice à changer le prix du produit, mais pas la valeur du bien qui circule dans l'autre sens. Car lui n'a pas changé. Au cours du processus, le paysans à transformé la valeur de son quinoa en argent. Si le marché est équitable, il ne s'est ni enrichi, ni appauvri dans le processus. ( C'est pendant la pousse du quinoa qu'il s'est enrichi )
  20. L'état, n'est qu'une des organisations interne à la nation. La nation, c'est l'ensemble des personnes qui se reconnaissent mutuellement comme faisant partit du même peuple. En France, ou il n'y a qu'une nation, et ou notre tendance communiste nous fait prendre l'état pour la nation… On joue souvent sur les confusions. En politique, surtout à droite, c'est très courant. ( pas que la gauche soit plus honnête, mais elle a plus l'habitude de parler du "peuple" contre les élites de l'état pourri et défenseurs des bourgeois… ^^ ) Non, je montre un mépris envers la propagande qui fait passer des profiteurs parasites, pour des gens méritant. ça s'appelle l'honnèteté intellectuelle. C'est toi qui fonctionne au mépris, moi je fonctionne à la recherche de la vérité. Je n'ai aucun mépris, même pour les pires salopard de la terre, tant qu'ils assument. Je ne méprise jamais les gens, je méprise les idées. J'ai un langage tranché, je ne mâche pas mes mots, ça n'est pas du mépris, c'est du rétablissement de la vérité crue. Si tu as du mépris envers les parasites, c'est ton problème. Personnellement, je n'en ai pas, tant qu'ils l'assument. Je n'ai par ailleurs jamais méprisé le beau frère de Jacky29, j'ai qualifié, très justement de profiteurs, les gens qui récupèrent 30 millions alors qu'il n'ont pas humainement pu créer plus du dixième de la valeur par eux-même. Tout en ajoutant que ça n'était pas très grave en sois de profiter du système. Pour que je le méprise, il faudrait : 1 : Qu'il ai effectivement une entreprise de 30 millions de capital, et pas seulement de CA, or la question reste en suspend. 2 : Qu'il revendique lui-même l'avoir mérité. Et pas qu'on le revendique pour lui… Oui, moi je ne méprise pas les gens qui sont salis par les autres comme vous le faîtes. Je ne sais rien de sa propre estime de lui-même dans l'histoire, il assume peut être clairement avoir profité du système. Et vraiment avoir été aidé par les employés sous ses ordres, sans qui il n'aurait rien eu… etc… Non, je suis pour une allocation universelle permettant d'assurer la survie basique (logement, eau, nourriture), au nom de l'équilibre de la concurrence du marché du travail. Qui dans le cas contraire est déséquilibré par sa nature vitale pour le salarié. ça s'arrête là. Toutes les autres défenses des travailleurs me semblent inutiles, car une réelle concurrence libre et non faussées entre employeurs et employés me semble largement suffisante à supprimer toute forme d'exploitation au travail. Donc la nécessité de toute autre juridiction. Là où j'ai des limites sur mon côté libéral (car les extrémistes sont tous des imbéciles), c'est que je considèrerai que certains domaine ne peuvent pas être des marchés. - L'argent. Pour des raisons purement technique, car l'argent est un outil qui mesure la valeur, pas une valeur elle-même (je sais que les économistes disent le contraire, mais parce qu'ils sont con. L'Histoire le leur rendra bien, plus tard). Confondre l'outil de mesure pour un bien, et l'échanger sur un "marché" en se servant de l'argent pour mesurer sa propre valeur… est une pure connerie (à but très lucrative). Qui conduit nécessairement à casser tout le système économique. - L'armée. ( ainsi que toutes les formes sous-tendant l'emplois de la force physique : police, justice etc… ) - L'éducation, et en particulier de l'esprit critique ( sinon, la démocratie ne pourrai jamais tenir … et je suis aussi partisans de la démocratie, pas que du libéralisme. ) - Les médias ( je n'ai rien contre le fais que ce soit un marché, mais seulement pour déconnecter totalement les propriétaires des médias des autres organisations économiques ou politiques. ) - La santé. Pour des raisons éthiques, et le fait que la santé est un bien commun qui n'obéi par principe pas aux logiques de marché. ( Les microbes ne "vendent" pas leur services, il s'agit d'une puissance extérieur à l'humanité. Un ennemi commun à l'humanité. Qui par ailleurs influe fortement sur les marchés. ) - Et une partie des assurances, pour des raisons éthique ( on parle de faire de l'argent sur les destructions naturelles ou accidentelle), et aussi d'efficacités économique globales. Toute l'économie ayant besoin de stabilité et de confiance pour fonctionner. ( Je ne considère toutefois pas qu'elles doivent être obligatoire. Seulement une simple répartition des risques à but non lucratif. ) Bien sur, ceci dans la mesure où un vrai libéralisme serait établis. Visant selon sa doctrine principale à défendre le marché roi, et à détruire toutes forme d'organisation puissante sur le marché. ( entreprises ou puissance étrangère ). Tant que de grandes organisations resterons puissante sur le marché, l'état devra jouer un rôle temporaire de contre-pouvoir vital pour l'équilibre du marché, jusqu'à leur destruction finale. Je n'ai pas du mépris, je dis que quelqu'un qui fait fortune au delà d'un certain seuil n'a évidement pas fait fortune sur sa propre création de valeur. Et que le mécanisme de vol ou de pillage de la valeur est très largement majoritaire dans la constitution de sa fortune. Nul mépris, c'est une constatation crue et purement objective. Que vous prenez super mal, car c'est vous qui avez une vénérations religieuses envers toutes personnes qui a fait fortune… Et qui prend mal toutes forme d'objectivité et de critique raisonnable sur la base profonde de votre foi. D'où tout le baltringue de la propagande habituelle, pour essayer de faire croire à tout prix que, si, c'est par le mérite qu'on fait fortune uniquement… Qu'il est impossible que quelqu'un qui ai fait fortune ne mérite pas la fortune, puisqu'il a réussi à l'obtenir… ( du coup facile, l'obtenir suffit à le mériter. Facile… et la négation même du principe de mérite. ) Je n'ai rien contre ceux qui entreprennent. Je pense toutefois infiniment plus méritant ceux qui entreprennent dans l'idée d'apporter quelque chose de réel à l'humanité, plutôt qu'uniquement pour un interêt personnel. Qui devrait, sois disant, être illimité pour motiver les êtres humains. Mouaif. Passé un certain seuil, je pense les êtres humains plus motivés par la gloire ou la postérité que par la fortune… D'où toute la propagande pour essayer de faire passer les grands nuisibles pour des bienfaiteurs de la nation ! Note qu'en situation de concurrence réelle, (donc de petites entreprises soumise au marché, et pas puissante sur le marché) je n'ai rien contre ceux qui arrivent à piller leur entreprise. Je crois le marché assez puissant pour limiter cette capacité de nuisance des dirigeants d'entreprises dans des limites respectables. ( ça reste à surveiller toutefois… j'en mettrais pas si rapidement ma main à couper. ) Mais je n'irai pas pousser le vice jusqu'à considérer que ces gens sont utile à leur entreprise ou à la nation. Et dans une concurrence réellement non faussée, les médias vous éduqueraient un peu mieux que ça. Ce qui pourrait suffire à nuire à l'image des entreprises dont le dirigeant serait un simple profiteur. (et en concurrence du marché du travail non faussée, ça ferai aussi partir les salariés). Un peu d'honnêteté intellectuelle ne ferai pas de mal. Cependant, au delà des entrepreneurs, si tu restes objectives, tu constatera que ceux qui s'enrichissent sont rarement ceux qui entreprennent. Mais infiniment plus souvent ceux qui ont seulement assez d'argents pour piquer l'entreprise de ceux qui ont entreprit. Ou pour la parasiter, en laissant "l'entrepreneur" originel en tête d'affiche pour masquer leur (cette fois ci total, tu en conviendra) manque de mérite en quoi que ce soit. ^^ Un investisseur n'est pas un entrepreneur, qu'on se le dise. ( ça a aussi à voir avec la notion de récupération du mérite des autres… ) Gagner au loto, c'est de la chance, pas du mérite. Encore plus quand les jeux ne sont pas égaux, et que le pouvoir d'influencer les règles du jeu en ta faveur dépend de ton portefeuille (et non de tes compétences). Sache qu'un dirigeant décide lui même de sa rémunération. ça va t'époustoufler, mais il y a des dirigeants responsables qui ne coulent pas leur entreprises en se versant des rémunérations démesurée. Parce que je ne suis pas un ange. C'est tout. J'ai fais une promesse, et ça tiens plus dans mon échelle de valeur que l'équité de mes rapports avec la nation. Et je ne revendique pas un poste de sain. J'ai seulement l'honnêteté intellectuelle de ne pas essayer de me faire passer pour ce que je ne suis pas. Je fais aussi une différence entre la loi ou la morale, qui devrait s'appliquer à tous, et ma petite ambition personnelle que je revendique. C'est bien évidement pour lutter contre les petites ambitions personnelles que la loi devrait exister, et la morale populaire juger des excès. Je n'ai pas non plus la malhonnêteté intellectuelle de prétendre que la loi ou la morale servirai mes intérêts personnels. Je n'ai jamais pensé que réussir à conserver une entreprises ne demandait pas un minimum de savoir faire (ou suffisamment d'argent pour payer ceux qui ont le savoir faire). Je dis juste que l'argent donne du pouvoir et c'est le pouvoir qui donne de l'argent, pas le mérite. En particulier dans une entreprise qui est une collectivités regroupant le mérite de l'ensemble des travailleurs. le propriétaire ne faisant que capturer systématiquement une partie de la valeur sans mérite aucun, et le dirigeant ne faisant que répartir selon son bon vouloir la valeur collectivement générée. (pouvoir de répartition qu'il tiens du droit légal de dirigeants, et qui n'a absolument rien à voir avec son propre mérite )
  21. @cheuwing Je parle de l'enrichissement personnel, en argent (ou capital), mis en rapport à la valeur du travail fourni à la nation en échange. L'échange est équitable lorsque l'enrichissement en argent (ou patrimoine), a la même valeur que la valeur du travail fourni à la nation. C'est le principe d'équité… (voui… quelque part… que la propagande de droite provoque quelques problème avec la compréhension de la notion d'équité, c'est logique. triste, mais logique… >_< ) Si tu récupère plus de valeur de la société que tu ne lui en a fourni, alors tu appauvris la nation à ton avantage. Si tu fournis plus par ton travail que ce que tu récolte par tes revenus, tu enrichie la nation (ou l'entreprise qui t'empois) à ton désavantage. Comme il y a plus de salariés (non dirigeant ou pote de dirigeant) que de big-boss, le big bosse peut ponctionner considérablement plus en valeur que ce qu'il apporte. Sans que ça se voit trop sur le compte final global de l'entreprise (ou de la nation…) Ensuite, je n'ai pas nié l'enrichissement de nation à l'aide du marchandage, mais il ne s'agit pas d'enrichissement par création de valeur, il s'agit d'enrichissement par la capture de la valeur d'autres nations. Le marchandage "pur" s'il produit des enrichissement personnels, ou même globaux s'il est effectué à l'échelle d'une nation, ne produit absolument aucune valeur. Attention, le service de déplacement des marchandises d'un point à un autre par contre, c'est une autre histoire. Les armateurs marchands, effectuaient une réelle création de valeur. ( pas forcément aussi importante que leur bénéfice… mais passons ) Mais à notre époque de boursicotage, il est très important de comprendre la différence entre le service de déplacement des marchandise d'un point A à un point B, et l'activité qui se résume à acheter et revendre plus cher. Cette dernière, en elle même, ne produit absolument aucune valeur. C'est du pur parasitage, elle ne fait que prélever une "taxe" entre le fournisseur initial et l'acheteur final. Plus nuisible encore qu'un impôt, finançant un service public vendu sur le marché en dessous de sa valeur réelle. ( Donc ré-enrichissant la nation par une "perte programmée" du service public… que d'aucun appellent concurrence déloyale, pas tout à fait à tord. ) ha mais je fais la différence. profiteur n'est pas un statut binaire, il y a des petit profiteur, et des profiteurs considérables. Mais je fais encre plus de distinction que ça, puisque je soutiens mordicus qu'une société aura toujours des profiteurs, autant que des gens altruïstes qui donnent plus qu'ils ne prennent. En soit ça n'est pas un problème qu'il y ai des profiteurs. Éthiquement, j'ai un peu plus de mal à conserver mon calme quand on essaye de faire de la propagande pour faire passer ces profiteurs pour des gens "méritant"… comme si c'était les mecs altruïstes qui fournissent plus à la nation qu'ils ne leur prennent. Non, ces gens profitent, point. Qu'ils assument. Pleins de gens vivent très bien en assumant qu'ils ont pris plus à la nation qu'ils lui ont fourni. Quelque part, c'est une bonne chose qu'une nation soit capable de permettre à certain d'avoir une belle vie. Et je pense même, fondamentalement, que ce genre de "possible" est nécessaire pour motiver l'esprit humain dans son ensemble. Se dire que, quoi que tu fasse, la société te prendra plus qu'elle ne te fournira ne me semble pas un modèle de société motivant. Par contre, et c'est pour ça que ça m'énnerve, c'est que la propagande déversé pour déculpabiliser les petits profiteurs "bénéfiques moralement" à la nation, permet à de vrais grand nuisibles de se vendre comme des gens "super utiles", alors que leur ponction devient telle qu'elle ruine véritablement les nations. (et les entreprises au passage… surtout les petites) Je vais essayer de ne pas pondre de trop gros pavé, mais il y a un stade supérieur au simple "vol" de la valeur. Il y a ce que j'appelle le pillage. Le vol, par le marchandage par exemple, permet de prendre de la valeur à quelqu'un. (en lui vendant plus cher que sa valeur quelque chose, par exemple). Il y a enrichissement personnel, mais comme tu l'avait très justement fais remarquer, il n'y a pas appauvrissement global. Juste des transferts interne. Le pillage, en revanche, ça consiste à détruire de la valeur globalement, pour créer un petit enrichissement personnel. Exemple, investir 1 pièce d'or dans une épée et une armure, et pour payer un mercenaire qui va aller bruler un village complet, et récupérer 10 pièces d'or. Localement, la petite entreprise de pillage a investit un peu d'argent à la base, et a fait un bénéfice de 10 pièces. Avec notre comptabilité actuelle, ne mesurant que les enrichissement personnel, et pas l'impact sur la société. On a l'impression qu'elle a créé de la valeur, multipliant par le travail du mercenaire une pièce d'or en 10… alors que globalement la destruction de valeur causé par le pillage du village de la même nation, a pu être très largement supérieur à des milliers de pièces d'or. Tu as donc un enrichissement personnel, basé non sur une création, ni sur un simple vol, mais sur une destruction de valeur. C'est malheureusement, et de très loin, le procédé le plus rapide et le plus rentable. La majeur partie des très grosses entreprises ou des fonds de financement, utilisent des processus de pillage légaux pour leur enrichissement personnel. Par exemple, si contre 1 pièce, tu augmente la productivité de 10 pièce, mais que tu augmente le stress des employés, leur usure physique qui coûtera des centaines ou des milliers de pièces à la société globale en soins de santé, ou en perte sèche par la mort des individus (qui ont coûté très cher à la nation pour être formé)… Tu es dans un processus de pillage de la société, et non d'enrichissement global. Et je ne te parle là même pas des problèmes de santés publiques, de pillage de l'environnement, ou de pollutions… Ou d'évasion fiscale, qui réduisent encore plus la part qu'apporte ces entreprises à la nation. Note que le pillage ne concerne pas que les employés dont j'ai pris l'exemple, mais aussi les fournisseurs (surtout en position de faiblesse) et les clients de ces grandes entreprises. Si les petites n'arrivent pas à tenir le bon bout, c'est parce qu'elles sont pillée. Infiniment plus qu'à cause de l'impôt, qui reste proportionnel à ce que tu gagnes. Ces grandes structures économiques provoquent par une planification du marché une généralisation des méthodes de pillage les plus efficace possible des nations qui les accueillent. C'est actuellement ce à quoi on assiste en Europe, dont la "matière première" pillée, c'est le capital des habitants. ( alors que dans le tiers monde, c'est des matières plus "physique" qui sont pillée ) La vraie nuisance provient de la généralisation de ces méthodes de pillage. Et surtout de l'absence de mesure réelle de ce que coûte ces sociétés aux état qui les accueillent. Nous limitant seulement à la mesure de leur enrichissement personnel, et leur prenant une des dix pièces qu'ils ont pillé, en pensant nous enrichir en tant que nation par ce biais. Macron, au passage, cherche à travers son programme à faciliter et étendre encore plus la généralisation de ces méthodes qui vont piller la France. En les faisant passer pour des "bénéfices" locaux. (les une pièce récupéré sur le pillage par l'impôt) Le problème n'est pas que ça ne va pas marcher, le problème c'est que ça va marcher son histoire. Il va réussir à organiser le pillage de la France en le faisant passer pour des bénéfices… et personne ne comprendra pourquoi tout le monde se retrouve ruiné. Il n'auront "pas eu de bol", globalement, alors que certains qui se seront fortement enrichi auront "eu du bol". Mais le problème ne provient pas vraiment des dirigeants, contre lesquels ont focalise artificiellement la lutte. (pour la détourner des problèmes réels) Évidement, avec la planification et la superstructure de ces immenses entreprises, le simple "vol" du dirigent sur les bénéfices issu du pillage, est d'autant plus multiplié que dans une petite structure à taille humaine. Il ne mérite pas plus, est souvent bien moins compétent qu'on le pense, mais il peut voler (en plus de la perte du pillage qu'il a organisé) des millions de travailleurs. Capturant le capital, et l'empêchant de servir l'ensemble de la nation. ( par exemple pour créer des entreprises, ou pour permettre aux travailleur d'être moins exigent en terme de salaire ou de protection contre le licenciement ) Oups… bon, j'arrête le pavé… je crois que j'en ai fais déjà pas mal >_<
  22. Voui, si je deviens le dirigent d'une multinationale, (c'est bien mon but), ça sera une forme de vœux de pauvreté. Surtout que je ne te parle pas de "rente", mais bien d'un travail réel, fourni en échange. Le pauvre faisant vœux de pauvreté vie de l'aumône publique, et peut consacrer son temps entier à "dieu", il n'a pas besoin de travailler. Et je considère que tout travail mérite salaire. Note que j'assume bel et bien le vol d'un théâtre tout de même ! ^^ Mais à la différence des autres glandu, j'assume qu'il s'agit bien de vol.
  23. PS : au passage, je prévient les attaques d'imbéciles. Je n'ai jamais dis que j'étais contre l'héritage. Je suis contre le fait d'essayer de faire croire que l'héritage, c'est du "mérite". Vous savez ce qui m'énerve le plus dans votre propagande de droite débile ? C'est tout ce bourrage d'hypocrisie, qui essaye de donner du mérite à ceux qui n'en n'ont pas. Ils ont déjà l'argent, y a t'il vraiment besoin en plus de mentir ouvertement, pour en plus leur faire profiter de la gloire ? À moins que vous supposiez que sans ce mensonge et ces endoctrinements, le monde ne tiendrai pas, et qu'ils ne pourraient pas garder longtemps leur privilèges ? Mmm moi j'y crois. ^^ Et en vrai libéral, je suis pour l'absolution des privilèges de ceux qui ne sont pas capable de s'enrichir par leur propre mérite, face à une vraie concurrence non faussée. Et je respecterai plus les gens de droite quand ils arrêterons de prendre le monde pour des imbéciles. Et assumerons que, oui, le fil à papa, il gagne pas sa fortune par son mérite personnel. Admettre la réalité… arrêter la propagande. ça devrait être un début de commencement pour retrouver une dignité.
  24. Je ne sais pas de qui tu te moque, mais pas de moi visiblement. ^^ Je suis content qu'on soit d'accord. Tant que quelqu'un produit plus qu'il ne reçois, ça n'est pas un parasite. S'il s'enrichit plus qu'il n'a fourni, ça en deviens un. C'est pas une constatation affective, c'est de la simple logique. Ce fils n'est pas un parasite, il vie de son travail, et ne s'enrichie par outre mesure soit ! très bien, on est parfaitement d'accord ! Selon mes propres termes, ça n'a rien d'un parasite, mais un mec méritant ! Bon… au moment de l'héritage, il en deviendra un. Parce que d'un coup, il va recevoir un gros pactole qui n'aura rien à voir avec son travail, mais bien à voir avec les sous-sous piqués par le papa à la société. ^^ Mais comme il aura travaillé toute sa vie, on pourra "maquiller" le vol, en vantant tout le mérite de ce petit promu à la carrière si brillante… et qui aurait évidement aussi bien réussi dans une autre entreprise sans aucun lien avec la direction ! bien sûr ! Écoute, qu'on cherche à maquiller les choses aux yeux des glandu de bases dans l'entreprise, c'est de bonne guerre… mais hypocrisie mise à part, tu n'y crois quand même pas réellement, toi, à ces conneries ? Tu ne vois pas que c'est du maquillage en prévision de la grosse transmission de capitaux à venir, qui elle n'a absolument rien à voir avec le mérite ?
  25. Je parle de création de valeur. >_< Le marchandage ne crée aucune valeur. Il permet de faire monter les prix, mais ne change en aucune manière la valeur de ton produit. Tu confonds la création de valeur et la "valeur ajoutée". Ou dis autrement, le prix et la valeur. Le marchandage est une façon de monter artificiellement les prix, sans qu'il n'y ai en aucune manière création de richesse. Le commerce ne crée pas de richesse, il la prend. L'enrichissement par le commerce est typiquement un enrichissement par déplacement de valeur, certainement pas par création de valeur. La nation s'enrichi du travail de l'ensemble de sa population. ( et du vol par le commerce de la richesses d'autres nations… ça je te l'accorde. ) La nation - le type qui a pris les sous s'est appauvris. Au temps pour moi, je n'ai pas été assez précis. Après, c'est sûr, si un voleur vole quelques milliards, ou quelques centaines de milliards soyons fou, mais qu'il fait toujours partit de la nation, il n'y a pas eu "appauvrissement" de la nation, c'est vrai ! Seulement appauvrissement du reste de la nation. Note que dans ce cas, filler du fric gratuitement aux RSA, au chômage etc… ça ne coûte rien non plus à la nation. ^^ C'est vrai ! Ces gens appauvrissent seulement l'ensemble restant de la population. Mais "mis à part ça", ils ne nuisent pas à la nation. Du moins, tant qu'ils ne consomment pas ce qu'ils ont gagné. Tu as raison. Donc interdisons aux riches d'utiliser leur argent, et tout ira bien, c'est une idée… ridicule mais ça se tiens. Bon écoute, là je ne peux plus rien pour toi… le CA ne mesure en rien la valeur d'une entreprise. Si tu ne sais pas ce que c'est que le CA, je ne peux vraiment plus rien pour toi. >_> Tu fais encore partit des innombrables qui confondent les flux et les réserves. Je vais pas te refaire un cours de bases j'ai autre choses à faire que d'éduquer les gens de droite sur des notions élémentaires. >_< T'en démord pas de ta jalousie ! Moi c'est le gaspillage et l'inefficacité qui m'embêtent. Surtout quand on essaye d'encenser de grand gaspilleur comme étant de grand "économe"… La vérité et l'exactitude des modélisations économique m'importe. C'est mon côté scientifique. Qui plus est, j'ai un peu du mal avec ceux qui créent autant de malheur pour justifier d'une idéologie du gaspillage et de l'inefficacité économique. Pour le seul plaisir de voir des riches super riche bruler de l'argent et faire rêver la populaille des jaloux dans ton genre, qui, eux, ne rêvent que d'une chose, c'est d'être à la place de ces très riches. Mais tu te trompe de cible, c'est toi le jaloux, c'est comme ça que ça marche. ^^ Mais je comprend qu'il soit difficile à certains de comprendre que l'argent ne soit pas la motivation première de tous. Mon but dans la vie n'est pas de m'enrichir. Si mes "rêves" aboutissent, il y a des chances que je brasse beaucoup plus d'argent que vos petits "grand patrons" préférés, mais je ne m'enrichirai pas personnellement dans le processus. Je fais même de nombreux efforts pour qu'il soit impossible que qui que ce soit s'enrichisse démesurément, au cas où on me piquerai le contrôle de mon petit joujou. Je n'ai pas besoin de plus de deux ou trois fois le smic actuel pour vivre. Et mis à part un "théatre" que j'ai romantiquement promis à une nana il y a longtemps, je ne volerai pas d'argent si j'en avais la possibilité. (et ça reste du vol j'assume ) Pour le reste, j'ai fais vœux de pauvreté. Mon but, c'est d'enrichir l'humanité. ( Un peu plus que la nation… comme souligné plus haut, le commerce international inégal, soutenu par la seule force militaire en réalité, me dérange aussi… )
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