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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Non. Pas gravier là. Je reconnais quand je me plante. Là je ne me plante pas. ^^ Je n'ai parlé que de truc archi connu, je ne prend pas de risques. Ne prend pas le noyage de poisson de metal guru pour argent comptant. J'évite de creuser, parce que c'est sa technique de faire rentrer dans des petits détails, déjà prouvés des milliers de fois, et qu'il faudrait re-prouver encore, seulement parce qu'il pense que le demander est suffisant… Tout ça pour faire oublier le vide de son argumentation, dans sa tentative d'essayer de faire passer Macron pour un pauvre sans ressources ( parce qu'à la base, c'était ça son argument… Je laisse à tout le monde le soin de juger de sa force… pour le reste, je me suis laissé entrainé dans ses manœuvres. )
  2. Titsta

    legislatives 2017

    Bien de multiples sources. À commencer par une amie qui as fait ES, et ne l'a pas étudié, même un seul instant. Et d'affirmation peu masqués dans des articles sur l'éducation, de ministres qui voulaient "éradiquer" des programmes le contenu trop "connoté" politiquement. ( oué ! Une critique construite, rationnelle et scientifique du capitalisme forcément c'est "connoté" politiquement tu m'étonne. Alors que la finance bancaire… ça c'est pas "connoté" bin voyons. ^^ ) Tiens, ça me fait penser aux autres idiots qui s'imaginent qu'objectif, ça veux dire neutre. Et qui font leur beurre en ce moment avec ça… ( sans se rendre compte que dans quelques jours, ils auront enfin compris et assimilé la nuance. )
  3. Non, je ne prend pas la peine de te montrer les preuves, nuances. Ces faits sont prouvés. Je te les ai rappelés. À toi de faire des recherches ou de me coller un procès. Ces histoires ont assez défrayé la chronique pour que je me passe de la nécessité de te prouver quoi que ce soit. D'autant que j'en ai rien à foutre de la culpabilité de Macron qui est totalement hors sujet… donc tu me lâche avec ton exemple à la con. Tu prenais Macron comme contre exemple au fait qu'il n'y avait pas besoin de capacité financières importante pour avoir une chance d'être élu. Ton contre exemple est totalement ridicule si tu prends deux seconde pour te poser et réfléchir, mais j'ai pris la peine de te montrer pourquoi. Bref. Macon A des capacités financières importantes, et s'est servi des ressources financières de son ministère pour se faire connaître. Il ne serait pas passé par un ministère, il n'aurait eu aucune chance. Voilà. contre exemple trucidé. Maintenant est-ce que tu as autre chose de plus solide que d'essayer de faire passer Macron pour un pauvre sans ressources ? Non du tout. Où ça ? Je dis qu'il y a des biais, et qu'on peut réduire énormément les problèmes en posant des contrôles… je vois pas trop où je m'embrouille. Mais développe. Non, on choisi un programme et on le fait appliquer par des humains élus. ça divise par deux le nombres de vote exclusivement portés sur les humains. Et surtout réduit énormément le biais en question, car le programme et les idées peuvent être jugés rationnellement et intelligemment par les individus, alors que juger des personnes qu'on ne connait pas… ça reste du pifomètre. Il est aussi beaucoup plus facile de contrôler l'exécution d'un programme démocratiquement voté, que le "bon" comportement d'un élu à qui on a laissé toute autonomie sans contrôle et sans nécessité pour lui de faire re-valider ses décisions lorsqu'elles s'écartent de ce qu'il avait dit.
  4. PS : J'aurai un autre avis si la lutte contre la criminalité en col blanc ne se restreignait pas à quelques dizaines de flics maximum sur l'ensemble du territoire. Alors que le coût économique de cette criminalité dépasse très largement celui de la criminalité "de rue", qui investit infiniment plus de ressources policières. Rendre les fonctionnaires de police plus efficace, c'est très simple. Il y a une très grosse marge de manœuvre à tenter de ce côté là.
  5. Sérieux, révise tes définitions. La diffamation doit mentir sur des faits. Porter atteinte à l'honneur des gens n'a rien de diffamatoire. Donc tu te calmes et tu retournes chez ta mère. Ces histoires sont archi connus, et ont assez défrayés la chronique avant que les affaires Fillon dépassent la mesure, pour que tu m'emmerdes avec ta mauvaise foi caractérisée. Au passage, traiter Mélanchon de dictateur communiste, c'est pire comme diffamation. Donc tu t'écrases gentiment et tu te recentre sur le débat. Non, je n'invente pas tes propos. Tu manques juste de capacité à comprendre ta propre ligne de défense. Lorsque quelqu'un a un comportement malhonnête que la justice n'arrive pas à condamner. ça n'est pas une raison pour se comporter comme un débile profond et ne pas comprendre l'enfumage, et croire sur parole ce que peuvent dire les suspects. Exemple : Fillon justifie des trous énormes dans ses ressources, par le fait qu'il n'arrive pas à conserver son argent. Soit ! La justice n'arrive pas à trouver ce qu'il a pu en faire, et n'arrive donc pas à le démentir. Après tu as deux possibilité. Fillon dit la vérité, ou Fillon ment. Tu as le droit d'être con, et de croire Fillon sur parole. Ou tu es pas aussi con que ça, et envisage la très grosse possibilités que Fillon n'est pas un ange, et qu'il est probable et beaucoup plus simple de penser qu'il a simplement cacher ces sommes dans quelques paradis fiscal que la justice n'a simplement pas pu trouver. L'argument que la justice n'a rien trouvé est suffisant pour ne pas enfermer quelqu'un. Pas suffisant pour être un argument prouvant son innocence. Le doute rationnel est parfaitement permis. Pour ma part, Fillon a planqué son argent. C'est mon opinion, et ça n'est en rien de la diffamation. Tu confonds une défense dans un procès, et une argumentation rationnelle et critique. Considérer que le fait que la justice n'ai rien trouvé est suffisant pour éluder l'hypothèse du mensonge de Fillon, revient à considérer que la justice est parfaites, trouve toujours les coupables, et ne laisse rien passer. En matière de criminalité en col blanc, là aussi le doute est largement permis. La pratique de l'évasions fiscale est laaargement assez répandue pour se permettre de suspecter n'importe quel riche qui n'arrive pas à justifier la disparitions de millions d'euros dans leur comptabilités. C'est une simple question de bon sens.
  6. On pourrait aussi faire des vraies peines de non-réélection pendant 10 ans minimum. Voir définitives en fait, pour les situations importante… C'est pas les gens honnêtes qui manquent.
  7. Oui, et l'élection est adaptée à des villages de la taille de celui d'Astérix. On peut donc aussi élaborer un système démocratique qui ne se centre pas exclusivement sur l'élection de personnes. On pourrait élire nous même les ministres à leur poste, ce qui réduirait l'importance d'une seule personnes. On pourrait instaurer des contrôles, comme le droit de révoquer des élus (comme le proposait Mélanchon), ce qui changerai beaucoup la donne. On pourrait considérer que le type ou l'assemblée, est là exclusivement pour appliquer un programme, et si changement de circonstance il y a, que leur autonomie se cantonne à poser une solutions temporaire. Et de faire re-voter le programme ou une partie du programme, avant de pouvoir avoir la possibilité de poser une règlementation définitive. On peut s'arranger pour qu'un élu n'ai pas la possibilité de se re-présenter. ( tout cours ) Il y a pleins de possibilités. Comme je l'ai dis aussi, on pourrait s'arranger pour avoir une presse libre.
  8. Non, le risque se mesure aux conséquences. On peut réduire les risques qu'avoir élu un menteur, un type avide de pouvoir, un faible, un suicidaire, ou un incompétent sur certaines choses aient de lourdes conséquences. Il suffit seulement d'imaginer que ça puisse être le cas, et ce qu'on pourrait faire dans les institutions pour y remédier si ça arrivait. C'est comme ça qu'on construit des institutions solides.
  9. Non, la diffamation c'est mentir sur quelqu'un. Pas dire que les faits en questions ne sont pas suffisant pour le faire tomber. Ensuite, encore une fois, je me fou de la culpabilité de Macron. Votre argumentation d'huitre repose sur l'idée que la justice arrête forcément tous les criminels, surtout de la haute finance… permettez moi de rigoler doucement sur votre naïveté. Je ne suis pas entrain de militer pour ou contre Macron… c'est toi qui en parlais, comme une exception à la nécessité d'avoir de l'argent et du pouvoir pour avoir une chance d'être élu… ( rire… ) Je te rappelais donc toutes les histoires qui tournaient autours de Macron, et que votre mémoire courte à "effacée". Ce qui prouve seulement votre absence de capacité critique. Je ne suis pas en campagne. J'essaye de réfléchir et de débattre sur les défauts et les biais du système démocratique représentatif. ça n'est pas un débat de gauche ou de droite. Si vous n'avez pas d'arguments, et que réfléchir à ces biais vous emmerde, cassez vous et aller militer ailleurs que sur ce fil. Ici, on n'est pas dans une cours de justice, on réfléchit et on débat sur les biais et leur conséquences.
  10. Bien sûr que si. Les risques, ça s'élimine avec des contrôles, et des retours de pouvoir. Il faut seulement commencer par assumer que les êtres humains peuvent être mauvais, magouilleurs, etc… Les grecs qui tiraient au sort leur représentant parmi l'ensemble de la population civile, avaient une foule de contrôle pour éviter que ces personnes tirées au sort puissent faire autre chose que ce pour quoi on les avait nommé. On devrait partir sur le principe que c'est un type au hasard pris dans la population, et penser nos contrôle en fonction de cet état hypothétique. On peut aussi s'arranger pour réduire les coûts et la problématique de se faire connaître pour les candidats. Ce qui réduira la nécessité de magouiller pour se faire connaître. Je sais que la sélection par l'argent est courante dans notre culture en cas de pénurie, mais dans un système démocratique, sélectionner les gens par celui qui a le plus de moyens financier n'est pas une solution acceptable. Si un pauvre n'a pas de chance de réussir, alors le système est mauvais. PS : et on pourrai aussi s'arranger au passage pour avoir une presse libre. ça serait la moindre des choses… Difficile de le faire tomber pour ça. Outre l'immunité présidentielle, il avait le "droit" de consommer cet argent… qui était à disposition du ministère. Mais il a consommé en 8 mois 80% du budget total du ministère pour lui seul… puis a démissionné pour se lancer dans la campagne présidentielle. C'est les chiffres officiels, ils ne sont pas secret. Bon, à un moment, si c'est légal, c'est la loi qui ne va pas. On n'est pas obligé non plus de se comporter comme des débiles pour ne pas comprendre le procédé et ses conséquences. Le trou d'un milions d'euro dans sa compta perso j'arrive plus à retrouver la source. Mais ça n'est pas une "preuve" suffisante non plus pour faire tomber quelqu'un. La preuve des dépenses est nécessaire. Un "trou" est justifiable par une réplique à la Fillons… je n'arrive jamais à faire des économies… (bein voyons… ou tu le planque pour pas te faire imposer sur la fortune, et on n'a seulement pas trouvé où. ^^ ) Bref… Le problème n'est pas ici, l'honnêteté de Macron, mais plutôt la preuve du coût et de ce par quoi il faut en passer pour avoir une chance d'être élus, c'est à dire pour se faire assez connaître pour que les électeurs se disent qu'il est assez sérieux de voter pour lui.
  11. Oui je suis d'accord. C'est pour cette raison que les partis politiques sont si puissants. Et qu'en réalité, ce sont eux qui désignent les candidats. Candidats qui, pour être soutenus par le partit, sont sensé tremper dans des magouilles lourde afin d'offrir une arme aux partit pour les désactiver. ( Ce qu'ils n'ont pas fait pour Macron apparement… Mais Macron ne faisait pas partit du PS, ils ont été pris de court, il a bien joué sa trahison. ) Macron est une exception, mais il a trouvé ailleurs ses financements et ses combines ( et s'est servi du PS qu'il a trahis, et a vidé les caisses de son ministère pour se faire connaître. ) La mauvaise perception de ce que coûte le passage de ce genre de filtre, tant en moyen qu'en argent, nous empêche de changer un truc qui oblige les candidats à magouiller. C'est pas tant que c'est tous des pourris, c'est qu'on s'est mijoté un filtre qui oblige presque à magouiller, et empêche très certainement de faire passer ceux qui ne magouillent pas. Il est là le vrai problème de la moralité de la vie politique.
  12. Je prenais l'exemple concret que tu me présentais. Forcément on parle de cas concret, mais note que c'est valable pour tous. Mélanchon compris. S'il n'était pas déjà un ancien, et s'ils n'étaient pas provocateurs, ils ne seraient pas connu et personne n'aurai voté pour lui. PS pour Macron il n'y a pas diffamation, il y a un millions d'euro qui ont disparu dans sa comptabilité perso… il y a 80% des frais de représentation de l'ensemble de son ministères (120 000€) grillée en quelques mois pour lui seul, afin de financer l'étoffement de son carnets d'adresse en vue de sa campagne… Donc oui, il a réussi à se faire connaître. On le pourrait à moins. Mais comprend tu un peu mieux que ça ne dépend pas des compétences ou de l'engagement des gens, mais plus de ce genre de magouilles ? C'est ceux qui ont la possibilité de tremper dans ces magouilles qui ont des chances de se faire élirs. C'est pour cette raison qu'on se retrouve toujours avec des magouilleurs. C'est pas un hasard. C'est parce que quelqu'un d'honnête ne PEUT PAS passer le filtre, tel qu'il est aujourd'hui. Ce qui devrait être suffisant pour convenir que le filtre tel qu'il est aujourd'hui est peut être un problème.
  13. Non justement. C'est ça le piège. L'élection est bâtis sur le principe que tu connais tes candidats. Alors qu'en réalité, tu ne connais surtout que leur existence médiatique. Et tu es dans l'incapacité totale de les juger en réalité. Si les gens savaient comment il les considéraient, ils ne voteraient pas pour lui. Il y a aussi le problème que les gens n'ont pas forcément le choix, puisque le vote du programme désiré est conjointe à celle de celui sensé l'appliquer. La notion de partit permet aussi de beaucoup simplifier, assister, à la décision. Comme on est incapable de juger de la personne qu'on nous demande de juger… on fait confiance au partit. C'est une confiance assez aveugle… ou lucide, mais on n'a pas vraiment le choix… Puisqu'il est en réalité impossible de le juger.
  14. Le gros problème, par ailleurs, posé par Macron, c'est que pour "suivre le mouvement", la population élis de complets inconnus à des postes de pouvoir, alors qu'il n'y a aucun contrôle de ce pouvoir dans notre système. Qui n'a jamais été conçus pour contrôler les risques, si de sombres inconnus arrivaient au pouvoir. Un système prévu pour nommer des inconnus, est complété d'un paquet d'outils de contrôles ou d'éjection des éléments qui s'éloigneraient trop de leurs prérogatives. Notre système actuel n'est simplement pas fait pour ça. Les abus et gavages seront extrêmement nombreux, car non contrôlé. (et on nome à ces postes des personnes particulièrement compétentes pour se gaver ^^ ) Je n'ai pas dis qu'il ne fallait pas de filtre, je te demande de réfléchir à ce que nos filtres actuels introduisent comme conséquences sur notre système. >_< Avant de réfléchir à d'autres filtre, ou d'autres mécanismes, il faudrai déjà être capable de comprendre les conséquences qu'implique le filtre actuel dans la politique du pays. Si tu n'es même pas capable de réfléchir aux conséquences des filtres ou des mécanismes sur la politique, c'est même pas la peine de discuter avec toi des différents filtre et mécanismes possibles. Il faut déjà que tu comprennes que ces filtres influent fortement sur la politique.
  15. Oui, mais il n'aurait pas été nommé ministre, il n'aurait eu aucune chance Le fait qu'il ai réussi à se faire nommer ministre tenant plus à sa faculté à magouiller avec le PS, et grâces aux soutiens dans la banques. Et il n'aurait pas été soutenu par le système bancaire pour sa campagne, avec des financements occultes à gogo, je t'assure que ça aurait fait une toute autre histoire. ^^ Mais c'est un riche, et un soutenu. D'ailleurs, au delà de ses financements occultes sur sa fortune personnelle, je suis sûr que si, moi, je demande à une banque de me prêter quelques millions d'euro pour mener campagne, faire mes meetings etc… elle me rira au nez. Là, le vois-tu le gros biais dont je parle ? Ou tu penses encore naïvement que c'est la "compétence", et "l'engagement" de quelqu'un dans sa démarche qui suffit à le faire connaître suffisamment pour que les gens se décident à le juger "assez sérieux" pour réfléchir à voter ou non pour lui ?
  16. Mais je ne te parle pas de la compétence des gens… je te parle d'une critique du système lui même et de ce que les filtres favorisent. En particulier d'où tu me parles de compétences ? Ces filtres n'ont jamais éliminé les incompétents, ils éliminent les inconnus. C'est pas parce qu'on est inconnu qu'on est incompétent, et c'est pas parce qu'on est connu qu'on est compétent. Perso, je ne suis pas pour une sélection de gens compétents, mais ce système ne va même pas dans ce sens. Si c'est la compétence qui te bote, une sélection par concourt permet de qualifier les plus compétents. ( enfin, les plus connaissant surtout… la capacité à appliquer les connaissances n'est pas évaluée ) Par ailleurs, ce sont les hauts fonctionnaires qui sont sélectionné ainsi. Précisément pour que les élus, qui ont le pouvoir, n'aient pas à être compétent, et soient secondé par les personnes qui ont les compétences. (mais n'ont pas à décider de la direction)
  17. Mais si. Je sais encore reconnaître quelqu'un qui rit jaune pour essayer de sauver la face. ^^ Si tu avais des arguments, tu les exposerai. Aller, un exemple, es-tu capable de me dire précisément quel point te semble bancal dans le raisonnement et pourquoi ? Un peu d'objectivité que diable, je suis sûr que tu en est capable.
  18. Techniquement, le froid anesthésie, et endort. Donc oui, c'est une technique moins barbare que d'écailler vivant des crevettes ou gambas avant de les frire à la poêles. ^^ ( méthode de cuisson qui donne un goût incomparable…mais pour l'avoir fait une fois, sous la pression sociale, je ne le referai plus jamais… >_< )
  19. ha pardon… j'ai été peut être un peu vite. Toi tu étais resté au point de départ, j'avais pas compris. ^^ Je partais comme d'une évidence qu'il y avait un premier filtre sur ceux qui commençaient une démarche. Celui là me semblait tellement évident que je ne m'étais pas appesantit là dessus. Pour parler du vrai filtre, après, qui se trouve dans la poursuite de la démarche. Toi, tu es resté au point de départ… désolé de t'avoir semé. Et tu as parfaitement raison. On ne sélectionne que ceux qui ont fait la démarche. Ok. on est d'accord. C'est bien. Bon, ensuite, je t'invite à ne pas "demeurer" sur ton point de départ, à poursuivre un tout petit poil ton analyse. Et à t'interroger sur le filtre qui se présente ENTRE ceux qui commencent la démarche, et ceux qui arrivent à se faire connaître suffisamment des électeurs pour avoir la moindre chance d'arriver au pouvoir. Là je pense qu'on va peut être arriver à se comprendre. ^^ Nan mais t'es à côté de la plaque. Je ne parle pas de mon opinion politique, et je ne suis pas entrain de râler sur les gens qui ne votent pas comme moi… >_< Je te parle du principe de l'élection, qui consiste dans le principe à voter pour des gens que tu connais. Ce principe de l'élection fonctionne bien dans les petits groupes, mais se pratique très mal à l'échelle d'une ville. (alors d'une nation…) Oui, c'est un biais sur l'élection aussi. Mais note qu'il se base sur le fait qu'on élit quelqu'un sur "l'impression" qu'on peu avoir de le connaître, ou de le juger. Les gens ne sont pas con, le principe même de notre société ne laisse pas la possibilité de connaître vraiment nos élus, donc limite très fortement la capacité de juger des électeurs. Qui se retrouvent dans l'obligation de tirer des conclusions sur des "presque rien", des "fantasmes" comme dirais Droit de Réponse (qui ne se rend même pas compte que celui qui fantasme, c'est celui qui soutient un candidat qu'il ne connait ni d'ève ni d'adam, en supposant qu'ils se comportera bien. Pas celui qui le critique, ou expose des craintes vis à vis de son comportement possible. ) Forcément, si tu ne fournis pas aux gens de quoi juger, leur jugement sera con. Mais ce que ce candidat n'a pas bien compris dans le phénomène qu'il exploite. C'est que son élection pas lié à la bétise des gens, c'est lié à la connerie du système, qui ne leur demande un jugement alors qu'ils ne sont pas en capacité de juger de sombres inconnus. Le problème n'est pas le nombre, le problème est le filtre avant ce nombre. Et le filtre ne porte pas que sur les candidatures, mais surtout sur notre possibilité de juger réellement des personnes exposés. ^^ Rare (et un peu irresponsables) sont ceux qui votent pour des gens qu'ils ne connaissent pas du tout. Donc on reporte majoritairement notre attention sur les "gros candidats", qui ne sont en réalité surtout que les candidats qu'on connait. Le plus gros filtre dans la démocratie est là. Et c'est ce qui fait que c'est toujours les mêmes qui se représentent. Un des plus gros filtre encore repose sur le fait qu'on élise à la foi un candidat et un programme, ce qui pousse les partit politiques à faire des "primaires" ou à se "regrouper" pour défendre leur programme sur un seul candidat… Donc celui qui arrivera à magouiller dans ce partit mieux que les autres. Alors que si on votait d'abord pour le programme, PUIS ENSUITE pour la personne. Il y aurai moins de mal à présenter plusieurs personnes du même bords politiques. Puisque c'est la personne qu'on choisirait pas le programme. Le choix serait plus concentré sur les éléments que nous pouvons juger, sur cette personne.
  20. J'avais deviné que tu n'avais pas d'enfants et ne comptait pas en avoir. ^^ Le fait de "bruler ses enfant" est évidement une pique, qui révélait surtout que tu n'en avait rien à carrer (puisque tu n'en avait pas). Quand tu en aura, tu comprendra très bien que la notion de famille est beaucoup plus large que tu ne le pensais. Et tu repensera à ce que je te disais, et tu t'exclamera "mais il avait raison ce con"… À priori : De rien. De rien, c'était le but (tu vois que tu aimes mes messages ^^ ) ho je devine qu'il y a surtout de l'hypocrisie dans vos réponses, que vous êtes complètement d'accord avec ce que je dis intérieurement, mais que ça vous fait mal au cul de l'admettre et ça vous ferai surtout mal au cul si les gens s'en rendait compte, parce que ça casserai pas mal de choses que vous voudriez conserver. J'ai l'habitude de discuter avec des gens qui cherchent plus à cacher la réalité pour conserver un pouvoir, qu'à la rechercher et à la diffuser. Si les gens de droites étaient honnète intellectuellement, ça se saurait ! ( déjà que juridiquement, c'est rarement le cas… ) Ce que je renvois de toi n'est que la conséquence de ta position. Mais merci de confirmer que ta position n'est pas vraiment sincère sur ce sujet. J'aime bien la provocation. Menez les gens au bout de leurs propres idées, et constater qu'ils se désolidarisent complètement du point de vu qu'ils affirmait auparavant. ^^ Les gens n'admettent jamais avoir tords officiellement, obtenir d'eux des aveux ne m'intéresse pas, je préfère constater qu'ils ne sont pas aussi cons que ce qu'ils affirment. Et qu'ils se désolidarisent de leur propagande. ( ça me permet aussi de me faire une meilleure idée sur la "croyance" réelle des gens en leurs propres affirmations. )
  21. Alors, le mariage n'est pas mon idée, d'abord. La famille non plus. C'est gentil de me prêter une telle puissance conceptrice, mais je ne suis pas celui que tu crois. Moi je ne fais, justement, qu'observer et décrire objectivement l'humain tel qu'il est. Je comprends qu'aborder des notions nouvelles puisse être difficile. Mais essaye de faire un tout petit effort pour essayer d'articuler le concept de "mariage" et le concept de "famille", et de voir que ça n'est pas la même chose. Une famille, c'est les liens entre les parents et les enfants, et même les grands parents, frères & sœurs, oncles, tantes, cousins etc… Qui eux aussi peuvent être marié ou non. La famille ne disparaît pas parce que tante germaine a divorcé d'oncle Simon. Mes cousins restent mes cousins, mon oncle et ma tante restent mon oncle et ma tante… même divorcé. Divorcer ne rend pas les enfants orphelins, ils ont une famille déchirée, avec des parents divorcés qui ne peuvent éventuellement plus se sentir, mais ils ont quand même une famille. Un père, une mère. Désolé de vous l'apprendre, le divorce ne fait pas disparaître ces choses là. De surcroit, si TU faisais un peu attention à l'humain, tu te rendrai compte qu'il existe aussi des parents responsables et qui aiment leurs enfants, même après avoir divorcé. Qu'ils ne souhaitent pas forcément les couper de leur père ou de leur mère, et qui continuent de prendre des décisions ensemble en commun, pour s'occuper des enfants. ça existe, je t'assure (purée… mais comment votre vision du monde est étriquée ! Vous ne connaissez rien de la vie en fait ? c'est hallucinant, et en même temps assez effrayant de ne pas arriver à ce point à concevoir les différentes façon de fonctionner des humains entre eux. Oo ) Concevoir la famille comme une entité à part entière, c'est pas vraiment une invention de ma part. ça existe dans beaucoup de famille. Tant dans les grande famille très riches et bourgeoises, que dans les familles nombreuses pauvres et extrêmement solidaire. Tout le monde ne vie pas dans une famille mono-nucléaire avec juste 2 parents et des enfants mineur, éjectés dès qu'ils deviennent majeur, où dès que les parents se séparent… Moi je ne dis pas comment devraient se comporter les gens, ça c'est plutôt votre truc, moi je reste objectif, je décris les choses. Donc je comprend que vous soyez totalement déboussolé de découvrir le monde… mais on se calme et on accepte que la famille, pour beaucoup de monde, ça existe bien en dehors de la simple union de deux adultes. Et que la fin de leur relation conjugale ne fait pas disparaître la famille pour autant. Non, c'est le contraire, les cases actuelles mettent les gens dans des situations trop restrictives. Moi je souhaite justement émanciper les gens en leur proposant une modélisation juridique bien plus apte à rendre compte des différentes possibilités humaines. Par exemple différentier les couples divorcés mais qui se soutiennent dans l'éducation de leur enfants, des couples où le mari a abandonné la famille et s'est barré pour refaire sa vie sans donner de nouvelle, des couples où les parents se sont "répartit" les enfants et forment deux familles distinctes avec interdiction de fréquenter l'autre parent ; des couples où la mère à "récupéré" la "propriété" sur les enfants grâce au divorce, et essaye d'évincer contre sa volonté le père de la vie de ses propres enfants. Tout ça, c'est des situations humaine différentes, et pourtant légalement, c'est la même chose actuellement. Ils sont "divorcés" et c'est tout. Parce que la notion de famille n'existe pas comme entité indépendante de la seule volonté des parents. C'est le cas présent qui créent des cases obligatoires, très peu adaptée aux différentes situations. Non, tout travail mérite salaire. Tu confonds le président d'une association, qui la représente mais n'a pas à travailler pour celà, et le directeur qui lui travaille. Tu est bien naïve avec ton idéologie de "bénévolat" mais si les gens ne sont pas payés, ils ne peuvent pas vivre, et ne peuvent pas assurer leur fonctions. Mais bon, ça confirme un peu ce que je disais, vos positions idéologiques reposent sur une ignorance flagrante des réalités du monde du travail, et des possibles. Quand je parlais d'endoctrinement, je ne pensais pas qu'il était aussi aveuglant. C'est assez effrayant en fait. Oo Mais je comprend mieux beaucoup de choses à présent. Je ne généralise pas, je modélise justement les différents possibles. Les grandes familles bourgeoises sont les seule à avoir "conceptualisé" le truc à ce point. Mais ça ne veux pas dire que les familles n'existent pas de façon informelle comme entité indépendante dans les autres structures familiales. Je pense en particulier aux grandes familles pauvres solidaires, avec moults membres travailleurs, tous liés par des liens solidaires (et souvent non déclarés), et qui se sacrifient tous pour leur famille. C'est une autre culture, mais c'est aussi une existence très concrète d'une famille comme entité indépendante des individus qui la composent. Si tu veux mon avis, je pense que la notion de famille est très ancienne, et ce n'est que très récemment qu'on l'a fait disparaître des esprits. Principalement pour pouvoir obtenir une répartition des richesses des individus, par la capture de l'héritage. Qui devient une simple transmission de bien d'individu à individu. Ce découpage part d'une bonne intention, mais je pense que réfléchir à la répartition des richesses entre famille aurait aussi pu être une voie intéressante. Car les soustraire de la loi n'a pas empêcher les familles puissante de continuer à exister par elle-même, mais elle nous empêche de constater leur importance économique, et de mesurer les inégalités à leur sujets. Je pense aussi que la disparition de la famille est une volonté idéologique capitaliste qui permet une plus grande exploitation de la population. Les familles étant solidaires, elles sont une sources de stabilité économique ET par là même de résistance sociales face à l'oppression ou au pouvoir des chefs d'entreprises. "diviser pour mieux régner". Si tu devient la seule et unique source de stabilité pour ton employé, il ne pourra que devenir encore plus dépendant et faible face à l'exploitation. Donner aux pauvres une meilleure vision des mécanismes familiaux, et la plus grande stabilité économique qu'elles apportent permettra d'enrichir la nation par la réduction de l'instabilité économique et la réduction de l'exploitation (qui tiens du processus de pillage, et coûte plus qu'il ne produit en terme de richesse globale)
  22. À la bonne heure ! Tu as compris le principe ! ^^ Mais ça va plus loin encore. Le noble ne dirigeait même pas. Il régnait, grosse nuance. La "direction du domaine" et du cheptel, ça c'est une déformation récente, où on prend les nobles pour des "chefs d'entreprises" de leurs domaines. Non, les nobles pouvaient aussi se foutre royalement (c'est le cas de le dire) de leur cheptel. Et ne s'occuper que de ce qui les intéressaient. ( la guerre, la musique, la construction de leur château, séduire les belles, partir en quête pour aller terrasser le dragon… ) Ce fut d'ailleurs principalement le cas pendant la renaissance, où les nobles se pavanaient à Versailles, et ne s'occupaient absolument pas de l'administration de leurs domaines. Ils avaient des "gens" pour ça, des serviteurs, qui profitaient bien de la situation souvent, mais pouvait aussi se faire zigouiller si le noble constatait que leur serviteur prenaient un peu trop d'embonpoint, ou se mettais à perdre de vue qu'ils ne possédaient rien que ce que le seigneur leur laissait posséder. ça n'est pas pour rien que les bourgeois ont tenu à ce point à coller le droit de propriété dans les droits de l'homme… ils voulaient pouvoir continuer à jouir de biens acquits. Que ça soit définitif quelque part, même si ça déplaisait à qqn. Encore une fois, la notion de propriété, et d'acquisition absolue et éternelle est très récente dans l'histoire.
  23. Donc toi, quand tu divorces, tu brûles les enfants. Ok, je comprend… un peu expéditif mais perso, ne pas imaginer qu'il puisse y avoir d'autres solutions me fait un peu peur… Remarque, avec notre culture de plus en plus capitaliste, ça ne m'étonnerai pas que les adultes finissent par "s'approprier" les enfants, et considèrent leur répartition dans le divorce comme on considère la répartition des meubles et du capital… ( monde de merde >_< Tu m'étonnes que les enfants se flinguent après… ) Donc arrêtons de dire des conneries, ça n'est pas parce que les adultes se séparent que la famille n'existe plus. Tu confond complètement la famille et le foyer. Les gens peuvent être divorcés, vivre leur vie de leur côté, même s'être re-marier… et continuer de devoir prendre des décisions en commun pour les enfants. D'ailleurs, dans notre monde vieillissant, les gens se séparent même à la retraite, avec des enfants adultes, en fonction, qui ont eux même des enfants… donc la famille n'existe plus dès que grand papa et grand maman ont décider de divorcer… c'est du grand n'importe quoi. Tu peux avoir des cas où un des parents se barre et abandonne la famille, tout autant que le foyer. Mais ça n'est pas nécessaire. La "personne sociale" est ce que je proposais pour définir une entité juridique familiale qui aurait une capacité de propriété en nom propre. ( tout comme la personne morale a la capacité juridique de propriété. ) Le fait de vivre en commun n'a absolument rien à voir avec l'histoire. Disons que parfois, réfléchir un peu aux concepts permet d'éviter d'avoir à bruler des enfants seulement parce que les parents ne sont plus d'accord pour vivre ensemble… C'est pas si inutile je t'assure. ça pourrait même permettre aux parents de se séparer plus facilement. Puisque la famille ne reposerait plus sur leur foyer. Ce foyer ne deviendrait plus autant nécessaire. Ne nous leurons pas, faire tout reposer sur le foyer (et donc donner tant de pouvoir au patriarcat) c'est une idée religieuse et bourgeoise pour soumettre les femmes (et enfants) au chef de famille.
  24. Un profiteur a toujours le pouvoir de profiter. Même l'handicapé mental qui profite de la société a le pouvoir de nous émouvoir. Mais la capacité à diriger une entreprise n'a pas forcément à voir avec ce pouvoir là. Mettons que je sois un noble. Je me doute bien qu'il faudra des entreprises pour fabriquer des téléphones portables par exemple. Ou pour fabriquer de la pâte à pizza, ou diriger un supermarché… Il n'y a pas besoin d'idée particulière, encore moins de travail pour ça. D'ailleurs, il y a même déjà des entreprises de portables, de pâte à pizza, ou de supermarché. Si je désigne quelqu'un pour s'occuper de ces entreprises. J'ai le pouvoir, mais je ne dirige aucune entreprises. Le mec en question, il a le pouvoir de diriger l'entreprise, mais pas forcément celui de décider de son salaire. Avoir le pouvoir de décider de son salaire, ça n'a rien à voir avec le pouvoir dont il a besoin pour diriger une entreprise. Et effectuer son métier. C'est tout de même assez fou que vous ayez autant de mal à comprendre ça. Je suis un peu effaré. @DroitDeRéponse Non, le pouvoir du patron d'une assoce dépend des status, pas de sa volonté. Il n'est pas forcément libre, il peut être embauché comme n'importe quel employé, il ne décide pas de son revenu. Les membres de l'assoce font passer des entretiens d'embauche de patron. C'est d'ailleurs un processus assez marrant, (et tellement salutaire, tu n'imagines même pas). Les membres se choisissent celui qui correspond le mieux à la tâche. Et comme il y a une sacrée concurrence, je t'assure que ça n'a rien à voir avec les incompétents notable qui sont à la tête des grandes entreprises privées. Les mecs ils ont de sérieuses compétences. vous ne pouvez pas vous en rendre compte parce que vous considérer qu'avoir de l'argent et du pouvoir est suffisant pour légitimer la compétence de quelqu'un… et vous considérez que la capacité à piquer dans la caisse est une preuve de compétence salutaire pour l'entreprises >_< (faut quand même être bien endoctriné quand même) Après, le chef est investit de ses fonctions, et il dirige les établissements en question. Avec les compétences qu'il a. Il est bel et bien le directeur qui dirige "l'entreprise", la fait aller dans telle ou telle direction, prend les initiatives, décide des postes et des embauches ou des licenciement… tout quoi. Mais il n'a pas le pouvoir de "profiter" de l'entreprise. Et les membres ont le pouvoir de décider qu'ils vont changer de patron. Dans les coopératives, c'est la même chose, mais avec les employés et les clients eux-même, qui décident qui sera leur chef. C'est aussi un fonctionnement très différent de vos habitudes dans le privée. ( pourtant, les coopératives sont une idée de droite… ça vient de la culture paysanne, profondément chrétienne-démocrates, donc de droite… ) Il y a une séparation stricte entre le pouvoir nécessaire à effectuer son métier, et son pouvoir à profiter de la situation. Note que c'est aussi le cas dans le monde privée, lorsque les propriétaires d'une entreprise décident d'un dirigeant pour leur entreprise, sans prendre eux-même ce pouvoir. Bref, non, le pouvoir de profiter d'une entreprise n'a rien à voir avec le pouvoir de la diriger. Je te rappelle que je répondais à Morfou qui me disait que sans "dirigeant-profiteur", tout le monde crèverai de faim parce qu'il n'y aurai aucune entreprise… et qui confond la nécessité d'une organisation, avec le pouvoir de profiter de cette organisation. Non. Que les chefs puissent abuser de leur pouvoir dans l'entreprise, c'est juste un choix politique, rien de plus.
  25. Je ne t'ai pas dis ce que je préférais, dont on n'a que faire ici. Je n'ai pas de solution. (enfin, j'en ai, plusieurs même, mais ça serait trop long à expliquer). Je te fais juste remarquer le biais qu'introduit le principe d'élection dans les personnes élus. ça n'est certainement pas un filtre sur le sérieux des idées, ça n'est pas un filtre sur l'engagement personnel, ni sur les compétences, encore moins sur la responsabilité… c'est un filtre qui porte exclusivement sur la célébrité, et la capacité à être présent sur les plateaux télé pour se faire connaître. Tu comprend le principe du filtre au départ qui a une influence considérable sur le résultat, ou il faut vraiment que je t'explique ? Comme ce filtre est totalement connu, il introduit un autre biais plus sévère encore dans le mécanisme même du système. Les gens vont transformer leur comportement politique pour se conformer au filtre. Il ne sera plus question de promouvoir des idées, mais de se promouvoir sois-même. Les gens qui font de la politique ne vont plus chercher à affiner les idées, à les confronter, ou à comprendre le monde… il vont surtout se consacrer à "incarner", eux, quelque chose. Ce qui apporte un comportement délétère sur la capacité de réflexion politique. Un des meilleurs exemple est Le Pen père, qui a parfaitement compris et tiré profit de ce biais : lancer des provocations les plus débiles possibles, histoire de se faire connaître, afin de récupérer des voies. Ce système a une influence directe sur les idées elles-même qui vont se transmettre et se discuter au seins de la population. Avant de parler de solutions, il faudrai déjà être capable d'un diagnostique sur le biais de ce système.
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