Ses choix ? L'enfant n'a pas à dicter ses choix. Il se doit d'obéir à ses parents. Trop de parents laissent tout faire à leurs "enfants rois" au risque d'en faire des monstres.
Il n'est pas question de s'égosiller des heures durant, à s'en abîmer les cordes vocales, pour tenter d'expliquer au petit chéri le pourquoi du comment, comme j'en vois bien souvent. C'est d'un pathétique!
On prévient l'enfant une fois, pas plus. Sinon, le châtiment doit tomber! :smile2:
Qu'elle que soit la punition (privation de dessert, de jeu ou fessée), qu'importe, du moment qu'il y en a une!
Personnellement, je ne suis pas patiente et n'ai pas le temps de l'être. Je refuse de me laisser mener par le bout du nez par un enfant.
C'est l'adulte qui commande. Cela a toujours été et sera toujours ainsi.
Que ceux qui préfèrent se laisser manipuler par plus petits qu'eux le fassent. Quand certains en arrivent à vivre un enfer parce-que maltraités par leurs propres enfants, je ne les plains pas.
Une petite anecdote :
Lors d'un documentaire concernant la jeune délinquance, un père a avoué son impuissance, face à son fils, aux journalistes, en précisant toutefois : "dans mon pays, il se serait déjà pris la raclée de sa vie et n'aurait plus recommencé ses bêtises. Ici (en France), les assistances sociales nous traitent comme des monstres si on corrige nos enfants! Comment faire ? Mon propre père m'a appris le respect. Je ne peux en faire autant avec mon fils, au risque d'aller en prison. Alors, qu'ils se débrouillent, les juges, les assistantes sociales, les flics, le gouvernement, avec mon fils! A force de lui avoir laissé tout faire, il n'a plus peur de moi, c'est lui qui est capable de me frapper! (...)"
A mon tour, je vous conseille de vous débrouiller avec vos lois : ne venez pas vous plaindre du revers de la médaille!
Le problème est que c'est ENCORE le citoyen qui devra payer pour l'ouverture de centres pour jeunes délinquants...