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Tout ce qui a été posté par Fiphi
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Je vous plains en Bretagne. Vive l'amour platonique !
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"la guerre est au mieux le moyen de la paix" ....
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Pardonnes moi Simplicius mais je ne vois guère de différence entre une guerre juste et une guerre légitime ! Disons que les guerres ne sont pas raisonnables. L'homme est plein de vices, le plus cruel d'entre eux est celui de se faire la guerre et de s'entretuer. Disons que le progrès et la technique ont conduit la guerre à être particulièrement meurtrière. Distinguons les conséquences de la guerre à l'échelle de l'homme (mort, folie meutrière, sang, cadavre, souffrance) et à l'échelle d'un peuple (libération, liberté retrouvée, nouvelles institutions, nouveau départ). J'en reviens à ce que j'ai dit : les guerres ne traduisent que le vice de l'homme. C'est particulièrement regrettable mais c'est ainsi. Mais il y a des guerres bienfaitrices comme autant de guerres inutiles ! Les peuples se sont faits et défaits ainsi ! Il ya des peuples forts, d'autres qui le sont moins, des peuples éclairés et d'autres agressifs, des peuples éduqués et d'autres vindicatifs. la raison et la vertu gagnent elles toujours ?
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De l'altruisme ? c'est une idée interessante et je ne l'avais pas envisagé comme cela. Comme le dit si bien Pheldwyn, les raisons de ceux qui montrent leur corps sont multiples et nous les interpretons chacun de manière différente. Aussi nous connaitrions ces raisons que nous les comprendrions peut-être. Si une adolescente montre son corps vulgairement, peut-être est-elle en souffrance ?
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Ce que vous dites ressemble beaucoup à un slogan de gardes rouges pendant la Révolution culturelle maoïste, êtes-vous au courant? Non, je n'étais pas au courant. Loin de moi cette idée ! Tous ces termes politiques, toutes ces étiquettes sont pénibles. J'ai le sentiment que ça ne veut pas dire grand chose. C'est du "blabla" ; je dirai exagérement "on s'en fou !" Ces concepts idéologiques sont de vrais carcans. Le personnage politique est aujourd'hui étiqueté, classifié ou il n'existe pas ! Pauvre commun des mortels, il suffit qu'il exprime une opinion pour que l'on se dise qu'il est de conviction d'un parti ou d'une idéologie. A un point tel que parfois les idées exprimées semblent "empruntées" à l'idéologie dont on se dit appartenir ; si bien qu'elles ne semblent plus venir d'un sentiment rationnel et personnel. D'où le déni du jugement, la "pensée unique"... Je m'estime "électron libre" ; mes idées sont tout autant de droite ou de gauche. En fait, généralement, je dis d'abord "non", par principe. Surtout lorsque la majorité dit "oui". Dire "non", c'est tout simplement d'une excélente hygiène intelectuelle et surtout morale. Ca conduit à une reflexion plus approfondie...j'ai le sentiment qu'on décèle la "vérité" lorsqu'on commence par dire "non".
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Il me semble que le socialisme, la social-démocratie ne sont que des mots. Rien n'est plus vrai que dans l'action !
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Il m'est arrivé d'être gêné de regarder une fille tant elle me paraissait belle . J'en détournais le regard. Je me refusais à la regarder par pudeur. Je le regrettai aussi un peu. Mais je la respectais tant, dans sa beauté. Une fois qu'elle avait disparue, je la cherchais à nouveau du regard. C'était trop tard, je n'avais plus qu'un bref souvenir. Ce comportement doit être un signe d'éducation. Je ne me suis pas attaché uniquement à sa tenue vestimentaire. Tout son être me paraissait beau. Elle avait une chevelure magnifique, un visage lumineux, une prestance éblouissante. Elle dégageait de la sensualité. J'ai bien conscience que d'autres hommes ne se comportent pas comme moi. Je constate avec regret le comportement de certains de mes homologues. fallait-il que cette personne ne paraissent pas comme elle est apparue brievement à mes yeux !?
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Donc tu ne tenterais pas d'en apprendre un peu plus ou de draguer une femme habillée comme un sac? Tout n'est qu'apparence... Trouves tu normal qu'une femme aille faire les courses en mini jupe et décolté plongeant? Ce n'est vraiment pas tres pratique... a part si l'on souhaite se faire mater. Tous les hommes ne sont pas comme toi, ils n'admirent pas la beauté artificielle créée grace aux vetements. Certains touchent ou regardent d'un air concupiscent, je ne comprends pas que l'on puisse ciamment dans cette situation. Rien de mieux que des vetements suggestifs -et pas affichant- portés avec élegance. Tout ce qui montre trop n'est que provocation et vulgarité pour moi. Rien ne me dérangerait d'en apprendre un peu plus sur une femme habillée comme un sac. Mais le chemin est plus difficile, voire plus long, sauf si elle avance des atouts sérieux : élégance, prestance, tenue et maintien du corps. Où est le jeu de la séduction si l'on s'habille comme un sac ? Car pour plaire à l'autre, il doit y avoir séduction. Ce qui ne veut pas dire que la femme doit absolument porter une mini jupe et un décolleté. Certaines femmes qui s'habillent, disons normalement, séduisent parce qu'il y a aussi l'allure, la prestance, l'éloquence ... Tu ajoutes que certains hommes touchent ou regardent d'un air concupiscent. Oui, et alors ? Faut-il pour autant interdire à la femme de s'habiller comme elle l'entend parce qu'elle veut séduire. Ces hommes là sont frustrés, vicieux, obsédés voire obcènes. Ils peuvent être même dangereux. Ils ont un problème qu'ils doivent régler. Mais ce n'est pas à ceux qui souhaitent montrer leur corps dans ses meilleurs atouts à modifier leur comportement et à restreindre le champ de leur liberté !
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Vous ne considérez la guerre que dans ce qu'elle a de destructeur, momentanément. On ne prend donc aucun risque à dire qu'une guerre est injuste ou injustifiée. Et vous ne parlez de la guerre qu'au sens stricte du terme. Utopie de croire que le genre humain s'accomoderait de ses semblables. Puis il y a la guerre conventionnelle, militaire puis d'autres guerres, civiles, "froides"... A l'echelle des peuples, et d'un point de vue historique, peut-on considérer que des guerres apparaissent bienfaitrices ? Je le crois.
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Faut-il être celle que les autres aiment ou être soi-même?
Fiphi a répondu à un(e) sujet de elene dans Philosophie
Etre soi-même, c'est être libre ! Si l'on plaît aux autres en restant soi-même, on reste libre. Si on modifie son jugement, son discours ou son comportement pour plaire à d'autres, on restreint sa propre liberté. Cependant nous avons tous un amour propre. Nous souhaitons que les autres nous jugent "bien". Lorsque je dis les "autres", ce sont ceux que nous fréquentons régulièrement, avec lesquels nous avons des rapports continus, dans le travail, dans la vie, dans un groupe, sur un forum même. S'il y a affinité ou corrélation, il n'est pas necessaire de ne pas être soi-même. On peut s'exprimer librement, se comporter librement sans avoir peur du jugement. S'il n'y a pas de corrélation, en toute intelligence, sans trahir notre volonté, nous pouvons nous adapter à l'autre, aux autres, rechercher la conciliation ou l'empathie. Si pour satisfaire cet amour propre, on est pas soi-même, il s'agit selon moi d'une attitude "liberticide". On se corrompt. On se supprime. On y gagne rien car tôt ou tard, on est rattrapé par ce qui est vrai. Ne dit on pas que chasser le naturel, il revient au galop ! -
Avant de découvrir l'esprit de l'autre, on juge le corps dans son ensemble. Ne remarquez vous pas le regard de celui qui vous découvre. Avant la moindre parole, la bise ou la main, il vous regarde de bas en haut. C'est un instinct naturel et l'aube du premier jugement. Pour ma part, j'attache beaucoup de considération à la prestance, la tenue, l'élégance du corps. Une même robe, une même jupe pourra paraître vulgaire sur une femme et rendre plus belle une autre, l'embellir. Il y a une sorte d'alchimie entre le corps et le vêtement. Je suis d'accord ; un corps nu n'est pas "beau". Il y a également une sorte d'alchimie entre le corps et l'esprit. J'ai pu être attiré par un corps et ne l'être plus parce que l'esprit qui l'accompagnait ne me convenait pas, ni le regard, ni la parole. Le corps entre bien dans le jeu de la séduction. Mais pas le corps au sens stricte, le corps et ses atouts : l'habit, l'élégance, la prestance, la proportion, le regard, la voix... Je ne suis pas aussi catégorique que Circée. Des femmes portent très bien la mini jupe ou le décolleté plongeant sans que l'on y perçoit une once de vulgarité. Il s'agit là du génie de l'air féminin (sylphide).
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Donc seul le corps est le seul attout d'une femme pour séduire? C'est bien ce que je condamne! Montrer son corps, etre superficielle, c'est ca, séduire? Pas dans ma vision des choses! Voir une paire de fesses et de seins etalés au grand jour n'a rien de séduisant, mais de racoleur et de vulgaire! Je ne dis pas que c'est le seul atout ! Mais il fait parti du jeu de la séduction. Et le corps est selon les circonstances le premier atout à entrer dans le jeu de la séduction. Et comme le précise Simplicius, nul n'est besoin qu'il soit déshabillé, nu. Sur une plage, une piscine, une soirée, le corps n'est-il pas le premier atout que l'on mette en valeur !? Pour quelle raison, quelle intention ?
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La séduction, tout simplement la séduction. Nous avons tous l'exigence de séduire. C'est naturel, on ne peut pas lutter. C'est un de nos vices, mais il procure aussi quelques plaisirs quelques satisfactions. Nos sens mâles ou femelles sont toujours en émoi. Nous avons toujours en arrière pensée la recherche de l'autre pour la copulation. Mais nous avons l'intelligence de réfréner nos désirs. Nous séduisons donc...la meilleure manière étant de montrer son corps, ses atouts.
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Sur le vif, je commencerai par déboulonner François Hollande qui fait beaucoup de mal au parti. Il divise pour régner, est opportuniste et n'est pas enclin à se remettre en question tant d'un point de vue idéologique que du comportement, de l'attitude, du discours. J'entamerai une profonde reflexion idéologique ; en conséquence je mettrai fin à ce louvoiement entre l'économie de marché, le capitalisme, le communisme, le marxisme.... Ne dit-on pas que la gauche française est la gauche la plus bête du monde ! Je commencerai par dire que l'argent public, l'argent du contribuable ne m'appartient pas, que ce n'est pas un du et qu'il n'est pas question de le dilapider sans reflexion, ni calcul electoraliste. Compte tenu de ces observations, je dirai la vérité aux français, dont certains se leurrent des vertus du parti. Je fixerai des objectifs sérieux et incontournables basés sur la sagesse et la vertu. Je ne manquerai de replacer les syndicats et associations dans leur rôle et leur rappelrai qu'ils n'ont jusqu'à présent aucune ou peu de légitimité. Je remettrai en question la politique financière des collectivités territoriales dont l'impôt direct devient insupportable, toutes majoritairement de gauche, et dont on ne mesure pas bien les effets. Je cesserai de croire ou de faire croire qu'il suffit d'amuser le peuple pour le satisfaire au prix de dépenses inconsidérées (foires, fêtes, festivals, manifestations sportives) ; lesquelles sont subventionnées par ces mêmes collectivités aux dépends d'autres dépenses bien plus necessaires.
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Moi j'ai une question à poser à Corentin12 : A-t-il vécu ce qu'il dit ? Quant à la loi qu'il évoque, peut-il dire de quelle loi il s'agit ? J'ajoute enfin que la police porte des faits à la connaissance du magistrat, lequel apprécie les poursuites, et que sil il y a poursuite, le présumé innocent est jugé devant un tribunal, correctionnel si c'est un délit, cour d'assises si c'est un crime. Le présumé innocent a des droits dont celui de se faire assister d'un avocat. J'ajoute que les juges sont très sensibles à la preuve matérielle, à la preuve irréfutable. J'ai assisté à des comparutions immédiates ; je n'ai jamais rencontré le cas de Corentin12. Aussi je le soupçonne d'une tentation polémique et démago. Le procès pénal est bien plus efficace que le procès civil, lequel fait les choux gras des avocats.
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En matière de police judiciaire, les policiers ont un devoir de recherche et d'enquête, non un devoir de résultat. Ce devoir de recherche et d'enquête, ils le doivent aux victimes. Ceux qui s'investissent dans ce rôle sont d'autant plus méritants. Le problème, c'est que beaucoup d'entre vous voient la police dans son rôle repressif sur les routes. Qu'est ce que représente cette activité par rapport aux autres ? Je le redis et je l'affirme je suis pour récompenser ceux qui s'investissent dans des enquêtes difficiles, car il ya des enquêtes qui leur demandent beaucoup d'efforts, de conscience, du temps. Ce ne sont pas uniquement des grattes papiers. Et sans un travail remarquable de la police, il ne peut y avoir une bonne justice. En ce qui concerne la repression sur les routes, je suis pour punir ceux qui font du zèle dans l'espoir d'avoir une prime. Laissons le zèle aux machines ; elles sont sans âme.
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Pourquoi ne pas juger la police sur ses résultats ? et attribuer une prime aux plus méritants ! Ca se fait dans le secteur privé. On devrait également juger d'autres admnistrations sur leur efficacité, les collectivités sur la politique qu'ils mènent. Pour ma part, j'associerai les communes et les services sociaux aux résultats de la délinquance. Car tout est lié. Enfin, le fonctionnaire qui ne fait rien devrait être sanctionné autant que celui qui fait du zèle dans l'espoir d'une prime ! Car forcément l'un et l'autre agissent au détriment de ceux qu'ils doivent servir : les gens.
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On discute depuis quelques temps de la colonisation ; je me demande finalement si on sait reellement ce qu'est la colonisation. Et c'est peut-être là le point de désaccord. Qu'entend-on par colonisation ? La définition se réduit à celle-ci : action de coloniser, coloniser : peupler avec une colonie, colonie : territoire occupé et administré par une nation étrangère qui y joue un rôle culturel, politique et social considérable. Si on entend colonisation au sens stricte des définitions que je viens de donner ; alors oui, la colonisation se fait dans la douleur pour le peuple occupé parce qu'il n'a pas forcément la volonté d'être administré par un étranger ni d'adhérer à sa culture social, politique et économique. D'autant plus lorsque le colonisateur se comporte en vrai brute. Mais la colonie n'aurait-elle pas également quelques vertus : libérer un peuple du joug d'un despote, rendre à ce peuple sa liberté et l'assimiler à des valeurs communes ou au moins qui prônent la liberté, la raison, l'éducation...La colonisation, au fil du temps, ne pourrait-elle pas se traduire par une assimilation d'un peuple à un autre peuple ou à une élévation du peuple vers une société cohérente, construite, équilibrée. Les bienfaits de la colonisation, son rôle positif ou négatif, dépendent non seulement du peuple qui colonise mais aussi du peuple occupé. Les territoires occupés par les huns n'étaient plus que désolation ; les romains en revanche avaient élevé certains peuples, certaines tribus vers une société organisée en créant une admnistration, des lois...et leur réussite n'a pas été la même partout parce que certains peuples ne l'entendaient pas de la même manière. L'histoire prouve que la colonisation a pu avoir quelques bienfaits pour certains peuples, et qu'elle a eu également, malheureusement, des conséquences négatives pour d'autres. Il n' y a pas une même règle pour tous. On peut également s'interroger sur l'interruption rapide de la colonisation. En ce qui concerne l'Afrique, que seraient devenus ces peuples, ces pays s'ils n'avaient pas obtenus leur indépendance et si au contraire nos démocraties les avaient guidées, sans se comporter comme des goujats ? Avec leur indépendance, ils ont perdu au change car nous occidentaux avons continué à exploiter leurs richesses alors que les peuples n'ont toujours aucune souveraineté. Ils en sont encore loin ; ils auraient fini par l'obtenir et l'auraient peut-être même déjà si ils étaient restés colonies. Et ayant cette souveraineté, ils auraient peut-être demander leur autonomie... Je me souviens d'une amie qui avait vécu quelques années à Madagascar. Elle me disait que ce peuple regrettait de n'être plus une colonie française. A cette période, les colons avaient construit des chemins de fers, des routes, des bâtiments publics. Suite à leur indépendance, ils sont passés sous influence communiste. Ils n'ont su que construire des blokaus et vivre sur les infrastructures acquises. Aujourd'hui, c'est un pays pauvre, en pleine désolation.
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Depuis que les anciens pays colonisés ont gagné leur indépendance, je ne suis pas certains qu'ils y aient gagné en liberté. Presqu'aucune des anciennes colonies sont des pays stables, démocratiques. Je crois que la décolonisation s'est faite dans une période qui n'était pas idéale, au moment de l'opposition des deux blocs. De nombreuses anciennes colonies se sont abandonnées au pouvoir communiste et mal leur en a pris. Ils sont aujourd'hui plus pauvres qu'ils ne l'étaient lorsqu'ils étaient colonisés ! Je ne dédouanne pas les anciens colons du comportement qu'ils ont eus avec les populations locales. Ils se sont parfois comportés comme des esclavagistes ! Le drame algérien en est la preuve. Mais en dépit du comportement des colons, les pays colonisés bénéficiaient du régime du pays colonisateur. Ce régime, occidental, était démocratique. Ils en tiraient bien quelques avantages. C'était le bien le plus précieux.
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Jusqu'à preuve du contraire, les pays sous développés sont équipés de kalachnikov et non de fusils M16 ! Leurs missiles sont également de technologie russe et non américaine...Mais il s'agit là d'un autre débat.
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Voilà donc l'amendement qui crée la polémique ! Je ne sais pas la valeur qu'à cet amendement ; je ne connais rien au système juridique et constitutionnel des Etats Unis. Effectivement, comme je le soulignais, cet amendement doit daté de la déclaration d'Indépendance des Etats Unis...il y environ deux siècles ! Le terme de milice me surprend également car dans notre république, il n'existe pas de milices qui soit investi de pouvoirs judiciaires. Le milicien est-il ce que nous appelons plus vulgairement un sherif. Lorsque j'évoquais le terme de cows boys, c'était en référence aux films de western et à la conquête de l'Ouest. On se situe bien dans une période qui suit la déclaration d'Indépendance des Colonies ; et effectivement on peut comprendre la necessité de milices dans des états et des villes nouvellement créées. Je m'en remet à l'analyse d'un américain ou d'un forumeur qui connaît bien le pays. On peut conclure qu'il est très difficile, qu'il faut être prudent, de transposer le droit français dans le droit d'un autre pays, notamment les Etats Unis, qui n'ont pas la même histoire et dont le système démocratique s'est construit autour d'autres valeurs, et de manière bien différentes, où les mentalités sont différentes.
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Que faisait Malik Oussekine au milieu d'une manifestation violente ? N'avait-il pas entendu les avertissements, les appels à la dispersion ? N'avait-il pas vu ses camarades jeter des projectiles pour les condamner et se mettre à l'abri ?
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On est d'accord, les policiers ne sont pas tous les mêmes, et ne sont pas tous doués des mêmes compétences et du même sens de l'éthique...Mais de façon générale, je trouve qu'être critique et remettre toujours en cause les institutions coercitives (donc y compris les personnes qui les représentent), garantes de l'ordre établi, me semble une attitude assez saine. C'est sans doute désagréable quand on est policier. Mais personnellement, dans la vie de tous les jours, ça ne veut pas dire que j'ai été agressif ou impoli les fois ou je me suis fais controler arbitrairement (j'imagine bien que c'était parce que j'étais jeune, dans la rue, le soir...). Bon je ne vais pas me plaindre, je ne me suis pas pris de balle dans la jambe la fois où j'ai été un peu agacé, et que j'ai demandé pourquoi en insistant... Cette profession est certainement la plus contrôlée dans son action parce qu'elle obéi ou agit sous plusieurs autorités : celle de son ministère, celle du préfet, celle de la justice (Procureur). Il y a peu d'administrations qui sont ainsi surveillées par divers organes de l'état et ont trouve toujours des raisons de les critiquer. Ce qui me choque c'est l'hypocrisie ambiante. Tous les acteurs sociaux, pompiers, médecins urgentistes, samu constatent la violence de la rue, l'existence des zones de non-droit. Tous font appel aux flics pour se sentir protéger et en sécurité à présent pour l'exercice de leurs missions. Pourquoi ne le dit-on pas ? J'ose espérer que le tazer servira aussi à maîtriser les fous furieux, toujours plus nombreux, et contre lesquels nous sommes tous démunis. Plus il y a de risques, plus les situations sont risquées et dangereuses, plus il y a des risques de dérapage. Et si il y a dérapage, c'est forcément la cause du flic alors qu'en face ils se trouvent des gens prêt à en découdre, prêt à tuer le flic. Le tazer permettra certainement de désamorcer des situations explosives avant qu'elles ne dérapent.
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J'ai souvent entendu parler du racisme anti-blanc dans les antilles. Je ne l'ai pas constaté moi-même mais on me l'a rapporté. Pour quelle raison ? Enfin y a t-il du racisme anti-blanc dans les pays africains ? Il devait y en avoir à l'époque si bien que de nombreux pays ont réclamé leur indépendance. Mais qu'en ait-il aujourd'hui ? Il y a beaucoup d'ambiguité dans nos relations avec ces pays là. On entend souvent dire que nous européens exploitons l'Afrique, l'appauvrissons, hors j'ai parfois le sentiment que nous aparaissons aussi comme des vaches à lait. Nous leur rapportons aussi de l'argent. A la réunion, j'entendais parler de "l'argent braguette" et les blancs étaient surnommés "les zoreilles".
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Je n'en pense pas grand chose car je n'en suis pas. J'ai connu des homosexuels qui étaient trés sympathiques et trés appréciés des jeunes et jolies filles. Ils sont d'ailleurs toujours bien entourés de très belles femmes. Plus sérieusement, l'homosexualité ne me dérange pas, si ce n'est que je l'imagine moins entre deux hommes qu'entre deux femmes !? Je préciserai également que je suis un peu embêté quant à me prononcer sur la possibilité du mariage et de l'adoption pour ces couples. En l'état, je considère qu'ils ont choisi de vivre ainsi, c'est très bien, mais je préfère m'opposer au mariage et à l'adoption considérant que le mariage n'est pas convenu voire inutile et que l'adoption pose une reflexion sérieuse sur les conséquences sur un enfant.