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sid-ali

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  1. Je donne ce que j'ai vécu et je vie, je donne ce qui me viens à l'esprit, je sais que vous êtes libre de vos raisonnements, j'ai sais parfaitement assumé mes erreurs, mais à quoi me sert il de les assumer devant vous, vous n'avez pas le pouvoir de guerrir mon coeur et de le nettoyé. Tu as raisons ! l important c est de te sentir bien. et la foi est une chose qui fait pleurer les coeurs. et le coeurs ne ment jms. et quand on se raproche de Dieu , Dieu se raproche de Nous encore plus vite. Contrairement au passions , les hommes courent toutes leur vie aprés leurs passions et finalement ils n ont rien car ils en veulent toujours plus. il faut remercier Dieu d avoir la foi. regarde certaint ni pense meme pas , ils sont trop occuper essayer de se sortir des galeres de ce bas monde , jusqua ce qu ils rencontrent ange de la mort. Vous pouvez me prendre pour un fou. Beaucoup d hommes ont traiter les prophetes de fou et de menteur ! en realité c est vous qui vous mentez a vous memes ! bonne nuit a tous.
  2. comment des gen qui ont tant de delfaut pourait admettre leur tord. jamais ils ne le feront. et c est pourquoi je quite ce Forum a cette instant. biensur , ils reviendront surment a leur argument . je me demande si ce n est pas Harun yahia qui a decidé lui meme de sortir de la sois disant communauté scientifique. si ces gens la sont tous comme ceux qu je voi sur ce forum, je compren pourquoi il urait decidé de partir . enfn bref la science ne leur apartient pas, elle aparin a Dieu. l homme ne conait pratiquement rien en realité. Adieu. que Dieu vous guide vers le droit chemin , et qu il vous fasse misericorde.
  3. Oui donc la theorie dez Darwin n est pas une theorie scientifique car elle n a jamais etait verifié!!! arretez de la fair passer pour de la science donc . je pense que c est vous qui n avez meme pas lu. en realité. on ne peux pas juger un texte sans le lire.
  4. ertaine pour toit et tes adeptes!!! 2 milliard de Musulman. un nombre fou de chretien , si on ajouteles juif , et les boudiste. et toute les autres religion. regardez le nombre de gens qui croi. alor ne prenez pas votre cas pour une generalité.
  5. Quand ça t'arrange les scientifiques comme Einstein ou Newton ont raison, quand c'est contraire à tes idées ils ont tord... Tous ça sans preuve. Tu nous prendrez pas pour des naïfs? on peux aussi voir ca d un autre point de vu . si je vous dit que c est vous qui prenez uniquement ce qui vous arange. lol . mais arretez vous faite pitié. tenez au lieu de dire nimportequoi la . prenez les arguments que je vous ai donné . et refuté les un par un si vous dites qu ils sont faux , il ne devrait pas etre dur a refuté. meme si vous ne croyez pas en Dieu. prenez juste ls arguments qui refute la theorie de l evolution et essayez de les contredir. en plus vous etes nombreux a vous acharné. prenez chacun un argument et expliquer moi. je nattend que ca , une explication claire!!!! Oui j'avais compris cel, mais je ne comprend pas pourquoi dieux n'est pas dans le coeur de tous les hommes alors qu'il est omniscien, omnipotent et infini ? (au passage sa interessera quelque fanatique, descarte a aussi demontré l'existence de dieux) moi non plus je ne comprend pas pourquoi vous ne croyez pas en Dieu. l homme est orgeuilleux. que voulez vous que je vous dises. je ne peux vraiment plus repondre a tout le monde la je crois que ca va me depassé. vous etes nombreux. et vos questions prouve votre manque de foi. Et c'est exact. Je ne croyais pas en dieu, je ne crois pas en dieux, et je ne croirais jamais en dieux. la derniere phrase prouve bien que tu es quelqun de borné.
  6. Oui j'avais compris cel, mais je ne comprend pas pourquoi dieux n'est pas dans le coeur de tous les hommes alors qu'il est omniscien, omnipotent et infini ? (au passage sa interessera quelque fanatique, descarte a aussi demontré l'existence de dieux) moi non plus je ne comprend pas pourquoi vous ne croyez pas en Dieu. l homme est orgeuilleux. que voulez vous que je vous dises. je ne peux vraiment plus repondre a tout le monde la je crois que ca va me depassé. vous etes nombreux. et vos questions prouve votre manque de foi. tout a fait daccord un foi de plus. ca devient du nimportekoi leur argument. on voi bien qu il ne recherche que la negation. mais je ne peux pas leur repondre a tous. la j ai un mur en face de moi. un mur sans fondement.lol. enfin bref voila moi j ai passé le message c est tout.
  7. J'ai indiqué pourquoi cela était du bidon : il n'y a pas d'étude scientifique derrière, tout simplement. Il est très facile de critiquer en raccontant un peu n'importe quoi, il est plus dur d'être rigoureux. Tu conais ces 2 mots: PROUVE LE lol. comment pourai je croire une partie et laisser l autre. juste parceke l autre partie me di que l autre c est du bidon?? lol je m exprme mal mais enfin je pense que vous m avez compri grenouille verte. apres vous pouvez me dire que tous les creationiste ne sont pas des scientifique si ca vou rend heureux. lol
  8. laisse moi le temp de repondre a toutes tes questions sinon ca va etre trop long. a merci Alicia , je dois admettre qu un peu de soutien sa augmente le morale.
  9. Bin montre moi mon erreur, et sans critiquer, donne moi des textes scientifques ou sérieux si tu prèferent qui réfutentes ce que je pense, et pas un texte comme celui de tout a l'heure, sinon je commence a argumenter a disant: -si dieux existe pourquoi est ce que tout mal dans le monde, -et pourquoi il nous convaint pas tous pour qu'on soit pas tous dans le bon chemin -et pourquoi il c'est embetté a faire un univers si complexe au lieu de tout expliquer dans les écritures saintes -d'ailleur pourquoi y a t il autant d'erreurs dans les ecritures saintes -et pourquoi l'église nous a menti -pourquoi dieu laisse l'homme détruire le monde qu'il a lui même crée -pourquoi ils laisse des scientifiques essayer de faire sortir les autres du droit chemin -pourquoi il laisse des hommes traiter si mal des femmes -si il peut nous punir quand on va au paradis ou en enfer, pourquoi ne nous explique t il pas a tous els regles du jeu avant qu'on commence, sinon c'est oblige qu'on perde. -pourquoi il n'a fait precher ses prophetes que dans une toute petite partie du monde laissant des peuples entiers dans l'ignorance et les condammenant donc a aller en enfer ? pas de problem , moi je t ai donnez les faits scientifique. maintenant je vais essayez de epondre a chacune de tes reponses. pour la premiere question voici une petite reponse qui pourait te satisfair. Le mal existe-t-il ? Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question. Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ? Un étudiant a bravement répondu, oui, Il l'a fait ! le professeur a dit, Dieu a tout créé ? Oui, monsieur, a répliqué l'étudiant. Le professeur a répondu, « si Dieu a tout créé, il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.» L'étudiant était silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même. Un autre étudiant a levé sa main et a dit, « Puis-je vous poser une question, professeur ? » Bien sûr, a répondu le professeur. L'étudiant a répliqué: « Professeur, le froid existe-t-il ? » « Quel genre de question est-ce, cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous n'avez jamais eu froid ? » a répliqué le professeur. Le jeune homme a répondu: « En fait monsieur, le froid n'existe pas. Selon la loi de physique, ce que nous considérons le froid, est en réalité l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'énergie. Le zéro Absolu (-460°F) est l'absence totale de chaleur; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur. L'étudiant a continué. « Professeur, l'obscurité existe-t-elle ? » Le professeur a répondu: «Bien sûr qu'elle existe ! » L'étudiant a répondu: « Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de lumière. Nous pouvons étudier la Lumière, mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous savoir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de lumière. » Finalement, le jeune homme a demandé au professeur, « Monsieur, le mal existe-t-il ? » Maintenant incertain, le professeur a répondu: « Bien sûr comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme. C'est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal ! » L'étudiant a répondu, « le Mal n'existe pas Monsieur, ou au moins il n'existe pas de lui-même. Le Mal est simplement le manque de Dieu. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu. Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas comme la foi, ou l'amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune lumière. » Le professeur s'est assis. Le nom du jeune homme ? Albert Einstein.
  10. sid-ali

    qu en pensez vous ?

    Nimportequoi. vous le faites expres ou quoi. un homme ne peut t il pas se tromper. ok alor regardez les erruers des darwiniste , et je garde le meilleur pour la fin. DES FAITS SCIENTIFIQUES REFUTENT LA THEORIE DE L'EVOLUTION Les fossiles réfutent la théorie de l'évolution La théorie de l'évolution suppose qu'entre les espèces vivantes, un grand nombre de formes intermédiaires existèrent autrefois, et que leurs restes doivent se retrouver dans les fossiles. Mais les fouilles menées par les évolutionnistes dans l'espoir de confirmer leur théorie sont restées vaines. L'évolutionniste David Kitts, un Professeur de l'Université d'Oklahoma, admet que : "L'évolution nécessite des formes intermédiaires entre les espèces, et la paléontologie ne les a pas fournies". (David B. Kitts, "Paleontology and Evolutionary Theory", Evolution, vol. 28, septembre 1974, p. 467) A ce jour, quelques 100 millions de fossiles de 250.000 espèces différentes ont été déterrés et chacun d'entre eux fournit la preuve de la création. Quels faits provenant des strates fossiles invalident l'évolution ? Dans les couches fossiles, on rencontre deux faits importants prouvant que l'évolution n'a jamais eu lieu : 1) Constance - la plupart des espèces ne montre aucun changement directionnel au cours de leur existence sur terre. Elles apparaissent dans les enregistrements fossiles de forme identique qu'au moment de leur disparition, les changements morphologiques sont souvent limités et sans direction. 2) Apparition soudaine - dans n'importe quelle zone localisée, une espèce n'apparaît pas graduellement par la transformation régulière de ses ancêtres ; elle apparaît tout d'un coup et "pleinement formée". (S. J. Gould, "Evolution's Erratic Pace", Natural History, vol. 86, mai 1977, p. 14) Les affirmations d'une "évolution humaine" sont invalides L'arbre généalogique de l'homme s'est révélé être une construction totale de l'imagination des évolutionnistes. Les évolutionnistes ont proposé que les êtres humains ont évolué graduellement, de l'Australopithèque en Homo habilis, en Homo erectus et finalement en Homo sapiens. Ils ont donné l'impression que chacune de ces espèces d'hominidés était le précurseur de celle qui a suivi. Les dernières découvertes des paléoanthropologistes, cependant, montrent que les Australopithèques, Homo habilis et Homo erectus vivaient en fait à la même époque, mais dans des endroits différents du monde. Cela invalide totalement le mythe évolutionniste - qu'ils étaient les précurseurs et les descendants des autres dans l'arbre généalogique de l'homme. Jouer au jeu de reconstruction des fossiles Une indication que la théorie de l'évolution est fondée sur des tromperies, plutôt que des preuves scientifiques, est la préparation d'images et de modèles d'espèces éteintes dont seuls quelques fragments d'os ont été découverts. Dans de telles reconstructions, les tissus mous comme les lèvres, le nez et les oreilles sont généralement représentés de telle manière à suggérer que la créature vivante ressemblait à un homme-singe. Cependant, le fait est que de tels tissus ne se fossilisent pas et qu'il est impossible de déterminer leur structure à partir des os. Ces caractéristiques sont les seuls produits de l'imagination préconçue des évolutionnistes. Les formes de vie du Cambrien réfutent la théorie de l'évolution Des catégories principales d'animaux (phylums) telles que les mollusques et les chordés, pratiquement toutes sont apparues au cours de la période cambrienne, il y a quelques 530 millions d'années. Tandis que seulement un ou deux phylums existaient à la période précambrienne, plus de 50 phylums apparurent soudainement à cette époque, dans de nombreuses régions du monde. Tandis que les formes précambriennes affichaient des structures simples, celles du Cambrien sont incomparablement complexes - la preuve que ces êtres vivants sont apparus d'un seul trait, sans suivre d'évolution. Les "fossiles vivants" réfutent la théorie de l'évolution La seule existence de ces créatures réfute de manière frappante la théorie de l'évolution. Ces espèces sont connues sous le nom de "fossiles vivants" puisqu'elles sont restées inchangées après des millions d'années, leurs représentants modernes étant identiques aux spécimens des enregistrements fossiles. Les fossiles vivants d'aujourd'hui incluent un grand nombre d'espèces, des fourmis aux arbres, et des chauves-souris aux requins. Cela confirme définitivement qu'au cours de l'histoire de ces espèces, aucune évolution n'a eu lieu. L'imposture de "l'homme de Piltdown" Ce fossile est le résultat d'une grande imposture qui a trompé le monde scientifique durant des années. Les évolutionnistes affirmèrent qu'un crâne découvert près de Piltdown en Angleterre était celui d'un homme-singe. Ce crâne avait des caractéristiques humaines, et la mâchoire ressemblait à celle d'un orang-outang. Pendant 40 ans, le célèbre British Museum l'exposa en tant que preuve de l'évolution. En 1953, cependant, la vérité éclata au grand jour : l'homme-singe était une imposture. Un crâne d'humain et une mâchoire d'orang-outang avaient été combinés pour donner l'impression d'un homme-singe ! (Kenneth Oakley, William Le Gros Clark & J. S., "Piltdown," Meydan Larousse, vol. 10, p. 133) Le scandale de "l'homme du Nebraska" Une molaire fossilisée découverte dans l'état américain du Nebraska en 1922 montre comment les évolutionnistes utilisent leur imagination pour interpréter les découvertes. Ils affirmèrent que la molaire appartenait à un homme-singe, et même si, à part cette dent, aucun autre reste de ce soi-disant homme-singe ne fut découvert, les évolutionnistes n'eurent aucun scrupule devant les interprétations artistiques le reproduisant, en même temps que sa famille. Cependant, l'affaire éclata avec un grand embarras cinq ans plus tard quand on détermina finalement que la dent en question était celle d'un cochon ! La vérité à propos de l'ancêtre imaginaire des oiseaux Les évolutionnistes ne font plus référence à l'Archæoptéryx comme une "forme intermédiaire" entre les reptiles et les oiseaux. Des études sur ce fossile montrent maintenant que ce n'est pas une forme de transition, mais définitivement une espèce éteinte d'oiseau, malgré certaines caractéristiques différentes de celles des espèces modernes. (Pendant de nombreuses années, le fait que l'Archæoptéryx ait des serres était considéré comme une preuve importante de son statut de forme intermédiaire. Mais l'Hoazin, un oiseau vivant encore de nos jours, possède aussi des serres et c'est un oiseau normal sous tous les angles) La présence d'un sternum prouve que l'Archæoptéryx avait de puissants muscles de vol, et la structure asymétrique de ses plumes, identique à celle des oiseaux modernes, montre que de toute évidence cette créature était capable de voler parfaitement. La sélection naturelle ne mène pas à l'évolution ! La sélection naturelle n'a pas le pouvoir de faire évoluer les êtres vivants. Elle signifie simplement la survie des individus les mieux adaptés à leurs conditions environnementales. Par exemple, quand un prédateur menace une horde de cerfs, ceux qui sont capables de fuir survivront, et la horde se réduira au final aux animaux les plus rapides. Mais ce processus est limité, et il ne provoquera pas l'évolution des cerfs en d'autres espèces. Car l'information génétique concernant le squelette et la physiologie musculaire du cerf est stockée dans son ADN, et la lutte contre les prédateurs ne change en aucun cas cette composition génétique. Les erreurs concernant l'embryon humain Au 19ème siècle, les évolutionnistes présentèrent la théorie erronée de la récapitulation. Ils affirmèrent qu'au cours de son développement dans l'utérus de sa mère, l'embryon humain montre d'abord les caractéristiques d'un poisson, puis celles d'un reptile, avant de prendre finalement les caractéristiques humaines. Comme l'embryologie avança, des études approfondies des tissus réfutèrent cette théorie. Les supposées "ouïes" au cours des premiers stades de l'embryon se sont plus tard avérées être les précurseurs des glandes parathyroïdes et du thymus, et du canal moyen de l'oreille. La portion de l'embryon qu'ils décrivaient comme une "queue" est en fait la colonne vertébrale. Et ainsi la théorie que le développement embryonnaire d'un individu reflète les prétendues étapes évolutionnaires a été condamnée à la poubelle de l'histoire. La "bipédie" invalide la prétendue évolution humaine Les êtres humains peuvent marcher debout grâce à l'arrangement très sensible de leurs muscles, de leurs nerfs et de leurs os qui sont attachés les uns aux autres. Selon les évolutionnistes, les êtres humains ont du acquérir la marche debout à travers un processus au cours duquel les singes ont adopté une posture droite via des mutations dues au hasard (!). Cependant, la complexité biomécanique de la bipédie ne peut apparaître via une évolution, car la moindre mutation apparaissant dans un groupe d'os ou de muscles interférera avec un système qui fonctionne comme un tout. Tout comme un changement aléatoire au mécanisme d'une montre l'endommagera, la bipédie n'a pu se développer au moyen de mutations aléatoires. Les découvertes de la biomécanique confirment cela, en montrant qu'un être vivant peut soit marcher debout, soit sur quatre pattes. Un type de marche entre les deux est impossible. La "série" de chevaux est une tromperie En face des faits scientifiques, les évolutionnistes ont été forcés d'abandonner le mythe de "l'arbre généalogique" du cheval. La série de chevaux a été produite par l'imagination des évolutionnistes, et plus tard invalidée par la découverte que les créatures dont les évolutionnistes arrangeaient les fossiles en séquence étaient en fait contemporaines, vivant au même endroit simultanément. Cela montre l'invalidité de l'affirmation qu'une espèce peut être l'ancêtre évolutionnaire d'une autre. L'erreur du coelacanthe : les poissons ne se sont pas développés en amphibiens à quatre membres Les évolutionnistes considéraient autrefois les fossiles du coelacanthe - un poisson rhipidistien que l'on pensait éteint depuis 70 millions d'années - comme une forme intermédiaire entre les poissons et les amphibiens, dans leur scénario de transition de l'eau vers la terre. En 1938, cependant, un spécimen vivant de coelacanthe fut péché dans l'Océan Indien. Jusqu'à maintenant, plus de 200 spécimens ont été attrapés. Les études de ces coelacanthes modernes ont révélé que ce poisson n'a rien de transitionnel, mais qu'il possède une structure complète parfaite, et que les interprétations précédentes basées sur ces fossiles sont entièrement erronées. La distorsion des similarités entre l'homme et le singe L'affirmation que les êtres humains et les singes sont similaires à 99% est basée sur la similarité des séquences d'acides aminés dans quelques 30 à 40 protéines fondamentales qui se retrouvent à la fois chez l'homme et chez les singes. Mais les êtres humains possèdent environ 30.000 gènes, et ces gènes codent environ 100.000 protéines. Sur la base de 40 protéines sur 100.000, il n'y a aucun fondement scientifique pour affirmer que 99% des gènes humains et de singes sont identiques. Cette généralisation est aussi absurde que de dire que deux livres épais, dans lesquels seulement trois phrases sont identiques, doivent représenter le même texte. La complexité irréductible La théorie de l'évolution est basée sur l'idée d'un développement graduel. Mais le concept de la complexité irréductible l'invalide. Par exemple, des structures telles que les glandes lacrymales, la rétine et l'iris, qui forment ensemble l'¿il humain, n'ont pu se former via un processus graduel où chacune d'entre elles apparaît l'une après l'autre. Car la vision ne peut fonctionner que lorsque tous les composants de l'¿il sont pleinement formés. Si un seul est absent, alors l'organe ne sert à rien et il dégénèrera jusqu'à l'élimination par la sélection naturelle. Le mécanisme imaginaire des mutations Les mutations sont des erreurs de copie dans les séquences nucléotidiques de la molécule d'ADN. Elles peuvent survenir suite à des radiations ou à des produits chimiques. Ces séquences de nucléotides sont extrêmement complexes. Tout comme les lettres doivent être placées dans un ordre spécifique pour composer un long texte, des millions de nucléotides doivent être placés selon une séquence spécifique pour composer un gène. Des mutations aléatoires ayant lieu dans les gènes ne causeront que des dommages, généralement trop importants pour être réparés par la cellule, menant à des difformités et même à la mort. Les gens exposés aux radiations à Hiroshima, Nagasaki et Tchernobyl sont des exemples vivants de cela. L'adhésion des évolutionnistes à un tel mécanisme dont les effets destructeurs sont flagrants est en soi une indication de la situation désespérée dans laquelle ils se trouvent. Les variations ne signifient pas évolution Grâce aux variations, les individus de n'importe quelle espèce vivante affichent des caractéristiques différentes les uns des autres. Par exemple, certaines personnes ont les cheveux roux alors que d'autres sont blonds ; certains sont grands, d'autres petits - cette variété est permise par le potentiel de leur ADN, exprimé par différentes combinaisons d'information génétique. Cependant, de telles variations ne peuvent mener à l'évolution, car elles ne produisent pas de nouvelles informations génétiques. C'est pourquoi, quel que soit le nombre de croisements effectués par une personne pour améliorer des pigeons voyageurs, elle ne produira jamais une espèce différente, comme des hirondelles. La merveille chez les mouches Une mouche peut battre ses ailes 500 fois par seconde, simultanément. Il n'y a jamais le moindre incident dans le mouvement de ses deux ailes, et la mouche ne perd jamais l'équilibre. Cette capacité est rendue possible par des mécanismes merveilleux à une échelle microscopique. Dans les cellules des muscles des ailes de la mouche, les filaments d'actine et de myosine se tirent et se poussent, et font se déplacer les ailes. De plus, les mouches apparaissent soudainement dans les enregistrements fossiles. Aucune forme de transition entre des formes sans ailes et avec ailes n'a été trouvée. Comme tous les autres êtres vivants, les mouches n'ont pas évolué, mais sont apparues par la création de Dieu Tout-Puissant et Omniscient. L'évolution ne peut expliquer l'origine du moindre gène L'ADN humain contient quelques 30.000 gènes, et il est impossible qu'un seul d'entre eux ait pu apparaître par hasard. Le biologiste évolutionniste Frank Salisbury admet : "Une protéine moyenne peut comporter environ 300 acides aminés. Le gène de l'ADN contrôlant cela aura environ 1.000 nucléotides dans sa chaîne. Puisqu'il y a quatre types de nucléotides dans une chaîne d'ADN, une chaîne constituée de 1.000 liens peut exister sous 41000 formes. En utilisant un peu d'algèbre (les logarithmes), on peut voir que 41000 = 10600. 10 multiplié par lui-même 600 fois donne le chiffre 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension." (Frank B. Salisbury, "Doubts about the Modern Synthetic Theory of Evolution", American Biology Teacher, septembre 1971, p. 336) L'échec de l'expérience de Miller Depuis des années, l'expérience de Miller était présentée comme une preuve pour la théorie de l'évolution, mais elle a du être abandonnée suite aux découvertes scientifiques concernant l'atmosphère primordiale de la Terre tout autant qu'aux imperfections de l'expérience. Ces recherches sur l'origine de la vie - auxquelles les évolutionnistes attachaient une énorme foi - furent menées en 1953 par le scientifique américain Stanley Miller. Miller obtint quelques acides aminés après avoir chauffé un mélange de gaz dont il supposait l'existence dans l'atmosphère primordiale de la Terre. Mais en 1985 il admit que ses conditions expérimentales ne reflétaient pas précisément les conditions de l'atmosphère primitive. Par conséquent, son expérience était invalide. (Stanley Miller, Molecular Evolution of Life: Current Status of the Prebiotic Synthesis of Small Molecules, 1986, p. 7) L'expérience de Fox : une autre tentative vaine Influencé par le scénario d'évolution de Miller, Sydney Fox mena des expériences au cours desquelles il combina différents acides aminés en molécules qu'il nomma "protéinoïdes". Cependant, ces chaînes d'acides aminés, qui ne servent à rien, ne ressemblaient en rien aux protéines habituelles présentes chez les êtres vivants. Ce n'était rien d'autre que des tâches chimiques irrégulières. De plus, on a expliqué que même si de telles molécules s'étaient formées durant les âges primaires, elles auraient finalement été détruites. (S. W. Fox, K. Harada, G. Kramptiz, G. Mueller, "Chemical Origin of Cells", Chemical Engineering News, 22 juin 1970, p. 80) La preuve que les affirmations "d'organe vestigial" sont fausses L'affirmation d'organe vestigial, dans les textes évolutionnistes, a maintenant été abandonnée en face des découvertes scientifiques modernes. Les évolutionnistes affirmaient autrefois que des organes comme l'appendice, le semi-luminaris et le coccyx étaient des vestiges, simplement du fait qu'ils ne connaissaient pas les fonctions de ces organes. Dans les paroles du zoologiste évolutionniste S.R. Scadding : "Au fur et à mesure de l'augmentation de nos connaissances [en biologie] la liste des structures vestigiales a diminué." (S. R. Scadding, "Do vestigial organs provide evidence for evolution?", Evolutionary Theory 5 : 173, 1981) Le dilemme de la transition de l'eau à la terre Les êtres vivants, tellement complexes physiologiquement, sont divisés en groupes avec des barrières insurmontables entre eux. Des découvertes montrent que le scénario où un poisson sort de l'eau et se transforme en créature à quatre pattes n'est pas scientifique. Puisqu'un poisson ne peut survivre plus d'une minute ou deux hors de l'eau, tous les poissons quittant l'eau mourront en quelques minutes, un par un. Même si cette situation se poursuit pendant des millions d'années, elle ne changera pas. Les poissons mourront tous, car un organe aussi complexe que les poumons ne peut se former suite à un "accident" soudain via une mutation. L'invalidité du scénario du "monde de l'ARN" Les expériences ratées de Miller et Fox ont mené les évolutionnistes à chercher de nouveaux modèles expérimentaux. Ils en sont ainsi venus à théoriser que la vie commença avec des molécules d'ARN (une forme d'acide nucléique), capables de se copier elles-mêmes. Selon eux, dans le monde primordial, l'ARN pouvait se répliquer sans l'assistance de protéines et était capable de mener chaque étape de la synthèse protéinique. Mais sur les quadrillions de molécules d'ARN synthétisées artificiellement en laboratoire, aucune n'a montré de telles caractéristiques. La chimie a révélé que la thèse du "monde de l'ARN" est complètement impossible. Les protéines défient le hasard Les protéines constituent les briques de base de toutes les cellules vivantes et elles assument un grand nombre de fonctions dans celles-ci. Les protéines sont constituées d'un nombre et de variétés spécifiques de molécules d'acides aminés arrangées selon une séquence particulière. Cette séquence est tellement précise que si un seul acide aminé manque ou n'est pas à la bonne place, alors la protéine entière ne servira à rien. Par conséquent, chaque acide aminé doit être exactement à la bonne place, dans la séquence correcte. Il n'y aucune possibilité qu'une telle séquence survienne par hasard. Par exemple, la probabilité qu'apparaisse une protéine de 288 acides aminés de 12 types différents, ayant la bonne séquence, n'est que de 1 sur 10300 - en d'autres mots, pratiquement nulle (en mathématique, les probabilités inférieures à 1 sur 1050 sont considérées comme étant "0") Voir Emile Borel, Elements of the Theory of Probability, Prentice Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1965) Le "flagelle bactérien" donne un coup fatal à l'évolution Un autre exemple frappant de complexité irréductible est le flagelle, utilisé par certaines bactéries pour se déplacer dans leur environnement liquide. Cet organe est attaché à la membrane cellulaire de la bactérie, et la bactérie le bouge en rythme comme une nageoire pour se propulser dans la direction et à la vitesse qu'elle choisit. Cet organe fonctionne via un "moteur organique" très complexe, composé de quelques 240 protéines. Si la moindre partie du flagelle manque ou possède un défaut, la structure ne fonctionne pas. Le flagelle bactérien doit avoir fonctionné sans défaut depuis le moment où il est apparu. Cela prouve que la bactérie, comme tous les autres êtres vivants, a été créée dans sa globalité. L'évolution ne peut expliquer l'information de l'ADN L'information génétique déterminant le plan structurel d'une personne, depuis son apparence externe jusqu'à ses organes internes, est enregistré avec un système d'encodage spécial dans l'ADN. Pour écrire cette information génétique sur papier, il faudrait une librairie gigantesque comprenant environ 900 volumes de 500 pages chacun. Mais cette quantité incroyable d'information a été encodée dans notre ADN. Affirmer que l'information de la "librairie" de l'ADN humain soit apparue par hasard est aussi irrationnel que de croire que les cailloux jetés sur une plage par les vagues pourraient écrire l'histoire entière de l'humanité. Les médias: un terrain fertile pour l'évolution La théorie de l'évolution, à la lumière des preuves précédemment examinées, ne repose sur aucune base scientifique. Pourtant, la majorité des gens, et ce dans le monde entier, ignore ce fait et tend à croire que l'évolution est un processus scientifique. Cette erreur trouve sa principale raison dans l'endoctrinement systématique et la propagande que mènent les médias au sujet de l'évolution. Aussi, devons-nous mentionner les caractéristiques particulières de cet endoctrinement et cette propagande. LA PROPAGANDE EVOLUTIONNISTE Les revues de vulgarisation scientifique, qui ont repris le flambeau de la propagande évolutionniste, jouent un rôle important dans la dissémination des idées évolutionnistes parmi le public. Lorsque nous consultons les médias occidentaux de près, nous trouvons fréquemment des documents traitant de la théorie de l'évolution. Les principales organisations médiatiques ainsi que des magazines réputés et "respectables" mettent périodiquement ce sujet à la une. Quand on étudie leur approche, on a l'impression que cette théorie est un indiscutable fait établi. Les gens ordinaires qui lisent ce genre de presse commencent à penser tout à fait naturellement que la théorie de l'évolution est un fait aussi certain que n'importe quelle loi mathématique. Les informations qui paraissent dans les importants médias sont récupérées par les médias locaux, ceux-ci impriment en gros caractères des titres du genre "Selon le magazine Time, un nouveau fossile a été découvert, complétant le puzzle de la chaîne des fossiles"; ou encore le magazine "Nature" indique que "les scientifiques viennent de mettre la lumière sur les dernières questions de la théorie de l'évolution". La trouvaille du "dernier maillon manquant à la chaîne de l'évolution" ne veut absolument rien dire car aucun fait n'a été prouvé au sujet de cette évolution. Tout ce qui a été montré comme une preuve est faux tel que nous l'avons démontré dans les chapitres précédents. Par ailleurs, les encyclopédies et les ouvrages de biologie, tout comme les médias, sont considérés comme la bible des sources scientifiques. En bref, les médias et les cercles académiques, qui sont à disposition des centres de pouvoir antireligieux, maintiennent leur vision entièrement évolutionniste et l'imposent à la société. Cette imposition est tellement efficace qu'avec le temps l'évolution est devenue une idée que l'on ne doit jamais rejeter. Le fait de nier l'évolution est considéré comme contradictoire à la science et une ignorance des réalités fondamentales. C'est pourquoi, et malgré les multiples déficiences qui ont été révélées jusqu'à présent (et surtout depuis les années 1950) et le fait que ces révélations aient été confessées par des scientifiques évolutionnistes, il est impossible aujourd'hui de trouver des critiques envers la théorie de l'évolution dans les cercles scientifiques ou médiatiques. Reconnus partout comme les plus "respectables" publications sur la biologie et la nature en Occident, des magazines tels Scientific American, Focus, et National Geographic adoptent la théorie de l'évolution comme une idéologie officielle et essaient de présenter cette théorie comme un fait établi. LES FABLES DES EVOLUTIONNISTES L'évolution, comme remarquait un éminent scientifique, est un conte de fées pour adultes. C'est un scénario complètement irrationnel et non-scientifique qui suggère que des matières non-vivantes sont dotées d'une sorte de pouvoir magique et d'intelligence leur permettant de créer des formes de vies complexes. Ce conte très long raconte quelques fables très intéressantes sur des sujets particuliers. L'une de ces curieuses fables sur l'évolution est le conte sur "l'évolution des baleines" qui a été publié dans la revue National Geographic, largement reconnue dans le monde comme l'une des meilleures publications scientifiques et sérieuses: "La dominance des baleines dans le monde des immenses créatures a apparemment commencé il y a soixante millions d'années, lorsque des quadrupèdes mammifères poilus se sont aventurés dans l'eau à la recherche de nourriture ou de sanctuaire. Avec les années qui passaient, des changements se sont produits. Les pattes postérieures sont disparues, les pattes frontales se sont transformées en nageoires, les poils ont cédé la place à un épais et doux manteau blanc, les narines se sont déplacées vers le haut de la tête, les pattes se sont élargies en queue, et dans ce monde d'eau flottable, le corps est devenu énorme." 1 En plus du fait qu'il n'existe aucun fondement scientifique qui prouverait tout cela, un tel événement est contraire aux principes de la nature. Il est intéressant de relever cette fable, publiée dans National Geographic, qui démontre l'ampleur de la perfidie des prétendues sérieuses publications évolutionnistes. Une autre fable évolutionnistes à retenir concerne l'origine des mammifères. Les évolutionnistes avancent que les mammifères descendent d'un ancêtre reptile. Mais lorsqu'il s'agit de détailler cette prétendue transformation, d'intéressants commentaires fusent de part et d'autre. En voici un: "Quelques reptiles des contrées froides ont commencé à développer une méthode pour maintenir la chaleur de leur corps. Leur production de chaleur augmentait lorsqu'il faisait froid et la perte de chaleur a été réduite lorsque les écailles ont rétréci et sont devenues plus pointues, puis elles ont évolué en fourrure. La transpiration était aussi une adaptation afin de réguler la température du corps, une astuce pour refroidir le corps, en cas de nécessité, à travers l'évaporation de l'eau. Accidentellement, les jeunes reptiles léchèrent la transpiration de leurs mères pour se nourrir. Quelques glandes de la transpiration ont commencé à sécréter un liquide de plus en plus riche, qui allait devenir du lait par la suite. Ainsi, les jeunes de cette première génération de mammifères ont eu un meilleur départ dans la vie." 2 Cette idée qu'une nourriture aussi bien élaborée que le lait proviendrait des glandes de sudation et tous les autres détails susmentionnés ne sont que le bizarre produit de l'imagination des évolutionnistes, qui ne se base sur aucun fondement scientifique. -------------------------------------------------------------------------------- 1 Victor B. Scheffer, "Exploring the Lives of Whales", National Geographic, vol. 50, December 1976, p. 752 2 George Gamow, Martynas Ycas, Mr. Tompkins Inside Himself, London: Allen & Unwin, 1968, p. 149 Des mensonges bien emballés Les évolutionnistes profitent de l'avantage que leur offre le programme du "lavage de cerveau" des médias. Beaucoup de personnes croient à l'évolution sans conteste et ne pensent même pas à demander "comment" ni "pourquoi". Ce qui veut dire que les évolutionnistes peuvent assembler leurs mensonges afin qu'ils soient facilement convaincants. Par exemple, même la "transition de l'eau à la terre", qui est l'un des plus grands mystères de l'évolution, est "expliquée" dans la plupart des ouvrages "scientifiques" évolutionnistes avec une simplicité effarante. D'après l'évolution, la vie a commencé dans l'eau et les premiers animaux développés étaient les poissons. Cette théorie avance qu'un beau jour, les poissons ont commencé à s'éjecter vers la terre pour une raison ou une autre (la plupart du temps, la sécheresse est retenue comme cause), et qu'il est avéré que les poissons, qui avaient choisi de vivre sur terre, avaient des pattes en guise de nageoires et des poumons à la place des branchies. La plupart des ouvrages évolutionnistes n'évoquent pas le "comment" de ce phénomène. Même dans les sources les plus "scientifiques", l'absurdité de cette assertion est cachée derrière des phrases telle "le transfert de l'eau à la terre a eu lieu.". Comment ce "transfert" s'est-il produit? Nous savons que les poissons ne peuvent pas vivre hors de l'eau plus de quelques minutes. Si nous supposons que ladite sécheresse a eu lieu et que les poissons ont eu à emménager sur terre, que serait-il arrivé à ces poissons? La réponse est évidente: tous les poissons sortis de l'eau mourraient l'un après l'autre en quelques minutes. Même si ce processus avait pris une dizaine de millions d'années, la réponse serait toujours la même: les poissons mourraient l'un après l'autre. La raison en est qu'un organe aussi complexe que des poumons entiers ne peut se former soudainement par "accident", mais plutôt par une "mutation"; par ailleurs, même la moitié d'un poumon ne servirait à rien. Toutefois, c'est cela que proposent les évolutionnistes. Le "transfert de l'eau à la terre" et le "transfert de la terre à l'air" ainsi que d'autres prétendues et soudaines transitions sont "expliquées" dans ce genre de termes illogiques. Les évolutionnistes préfèrent ne pas se prononcer quant à la formation d'organes vraiment complexes comme l'oil et l'oreille. Il n'y a rien de plus facile que d'influencer l'homme de la rue avec le label "scientifique". Vous dessinez un tableau imaginaire représentant le transfert de l'eau à la terre, vous inventez des termes latins pour l'animal dans l'eau, un autre pour son "descendant" sur terre et un autre terme pour la "forme transitionnelle intermédiaire" (qui est un animal imaginaire), puis vous élaborez un mensonge bien tissé: "L'Eusthenopteron s'est d'abord transformé en Colacanthe (Rhipitistian Crossopterigian) pour devenir l'Ichthyostega après un long processus évolutif". Si vous faisiez dire ces mots à un scientifique, portant des lunettes à verre épais et une blouse blanche, vous réussiriez à convaincre beaucoup de gens, car les médias dédiés à la promotion de l'évolution annonceraient la bonne nouvelle au monde entier avec un grand enthousiasme. Conclusion: l'évolution est une imposture Il existe bien d'autres preuves, outre les lois scientifiques, qui réfutent l'évolution. Mais dans ce livre, nous n'avons pu en critiquer que quelques-unes. Elles devraient être suffisantes pour révéler une vérité primordiale: bien qu'enveloppée dans une étoffe scientifique, la théorie de l'évolution n'est rien d'autre qu'une fourberie; une supercherie défendue pour les intérêts d'une philosophie matérialiste, une tromperie fondée, non sur la science, mais plutôt sur le lavage de cerveau, la propagande et la fraude. Nous résumons ce que nous avons abordé jusqu'à présent ainsi: La théorie de l'évolution s'est effondrée La théorie de l'évolution est une théorie qui s'effondre au premier obstacle. Et ce parce que les évolutionnistes sont incapables d'expliquer la formation d'une simple protéine. Aucune des lois de la probabilité ni les lois physiques ou chimiques ne rendent possible la formation fortuite de la vie. Est-ce qu'il paraît logique ou raisonnable quand même pas une seule protéine apparue par hasard ne peut exister, que des millions de protéines se soient combinées afin de produire la cellule d'une matière vivante; que des milliards de ces cellules aient réussi à se former et s'assembler pour créer miraculeusement des êtres vivants, qui ont donné naissance aux poissons, qui à leur tour ont atterri sur terre, sont devenus reptiles, oiseaux, et que c'est ainsi que des millions d'espèces différentes sur terre ont vu le jour? Même si cela vous paraît illogique, les évolutionnistes croient en cette fable. Cependant, ce n'est qu'une croyance ou plutôt une foi car ils ne possèdent ne serait-ce qu'une once de preuve pour étayer leur histoire. Ils n'ont jamais trouvé la moindre forme transitoire telle qu'un mi-reptile/mi-poisson ou un mi-reptile/mi-oiseau. Par ailleurs, ils n'ont jamais été capables de prouver qu'une protéine ou même une seule molécule d'aminoacide qui compose la protéine, ait pu se former sous ce qu'ils appellent les conditions terrestres primaires. Ils n'ont même pas réussi à le démontrer malgré leurs laboratoires ultra-sophistiqués. Au contraire, à chaque effort, les évolutionnistes ont démontré qu'il ne s'est jamais produit de processus évolutif ou qu'il ait pu se produire sur terre à n'importe quelle époque. L'avenir non plus ne peut confirmer la théorie de l'évolution Les évolutionnistes peuvent seulement se consoler en rêvant que la science, avec le temps, résoudra en quelque sorte tous ces dilemmes. Toutefois, il est hors de question que la science puisse vérifier ces présomptions entièrement infondées et illogiques malgré les années qui pourraient s'écouler. Au contraire, les progrès de la science dévoilent l'absurdité des présomptions des évolutionnistes. C'est le cas à ce jour. Depuis que nous possédons plus de détails sur la structure et les fonctions des cellules vivantes, il apparaît plus clairement que la cellule n'est pas une simple composition fortuitement formée, comme l'on s'accordait à le croire d'après la conception biologique primitive du temps de Darwin. La situation étant si évidente, en refusant de croire en la création et en basant les origines de la vie sur des coïncidences improbables, les défenseurs acharnés de ce genre de présomptions peuvent plus tard devoir faire face à une grande humiliation. Puisque le vrai visage de la théorie de l'évolution est en train de voir le jour et que l'opinion publique commence à connaître la vérité, les défenseurs obstinés et fanatiques de l'évolution n'oseront bientôt plus montrer leur visage. Le plus grand obstacle de la théorie de l'évolution: l'âme Il existe dans le monde plusieurs espèces qui se ressemblent entre elles. Par exemple, il se peut que plusieurs êtres vivants ressemblent au cheval ou au chat, et plusieurs insectes peuvent se ressembler. Ces similitudes ne surprennent personne. En revanche, les analogies superficielles entre l'homme et le singe attirent plus d'attention. Cet intérêt va parfois jusqu'à faire croire aux gens à la fausse théorie de l'évolution. Ces ressemblances superficielles entre l'homme et le singe ne signifient rien. Le coléoptère rhinocéros et le rhinocéros possèdent quelques similitudes superficielles mais il serait ridicule de chercher à établir sur la base de cette ressemblance un quelconque lien d'évolution entre ces deux créatures, l'une étant un insecte et l'autre un mammifère. Outre les similitudes superficielles, le singe ne peut être considéré plus proche de l'homme que d'autres animaux. En fait, si le critère de l'intelligence est pris en considération, l'abeille, qui produit la miraculeuse structure géométrique, en l'occurrence le nid d'abeilles, ou encore l'araignée, qui construit une miraculeuse architecture qu'est la toile, peuvent être considérées plus proches de l'homme. Elles lui sont même supérieures sur certains points. Il y a une très grande dissemblance entre l'homme et le singe en dehors de la simple ressemblance extérieure. Le singe est un animal et ne diffère aucunement du cheval ou du chien si l'on considère leur niveau de conscience. Mais, l'homme est un être conscient, volontaire, qui peut réfléchir, comprendre, décider et juger. Tous ces aspects sont les fonctions de l'âme que l'homme possède. L'âme est la plus importante différence, un gouffre immense qui sépare l'homme des autres créatures. Aucune ressemblance physique ne peut combler ce gouffre entre l'homme et tout autre être vivant. Dans la nature, la seule créature vivante qui possède une âme est l'homme. Dieu crée selon Sa volonté Est-ce que cela changerait quelque chose si le scénario que proposent les évolutionnistes avait réellement eu lieu? Nullement, car chaque étape avancée par la théorie de l'évolution et basée sur la coïncidence n'aurait pu se produire que par miracle. Même si la vie a pris place graduellement en respectant une telle succession d'étapes, chaque phase successive n'aurait pu se faire qu'à travers une décision réfléchie. Il est invraisemblable que ces phases se soient produites par hasard, c'est impossible. Si l'on assume que la molécule de la protéine s'est formée sous les conditions atmosphériques primordiales, il faut se rappeler que les lois de la probabilité et celles de la biologie, ainsi que les lois physiques et chimiques ont démontré qu'une telle chose ne pouvait se produire par hasard. Mais si l'on doit supposer qu'elle a été produite, alors il n'y a pas d'autre choix que d'admettre que l'on doit son existence à la volonté d'un Créateur. Cette logique s'applique à toutes les autres hypothèses avancées par les évolutionnistes. Il n'existe, par exemple, aucune preuve paléontologique ni physique, chimique, biologique, ni aucune justification logique qui prouverait une transition comme celle du poisson passant de l'eau à la terre et constituant ainsi les animaux terrestres. Mais la personne qui doit concéder que le poisson a sauté hors de l'eau vers la terre se transformant en reptile, la personne qui croit en cette présomption doit également accepter qu'il existe un Créateur capable de faire sortir du néant ce qu'Il veut par un simple mot: "Soit". Toute autre explication d'un tel miracle est consubstantiellement en contradiction avec soi-même et une violation des principes de la raison. La réalité est claire et évidente. Toute vie est le produit d'une parfaite architecture et d'une création supérieure. Cela prouve concrètement l'existence d'un Créateur, le Détenteur du pouvoir infini, de la connaissance et de l'intelligence. Ce Créateur est Dieu, Seigneur des cieux et de la terre, et de tout ce qui se trouve entre eux.
  11. je pense aussi que nous allons discuter , et encore discuter de chose qui n ont rien a voir , jusqua oublié . lol. et oui l homme oubli vite. Mais quelles erreurs ? Tu n'a montré que des textes de propagande, aucun texte sérieux, scientifique, établi avec rigueur qui monrerait une erreur. Bref, tu ne critiques l'évolution que sur des préjugés. Oui c est ca , si t le dit. le pire dans tous ca c est que des gens te croi. tu es de mauvaise foi. ok alor si t es veridique reprend chaque argument et prouve que c est du bidon.
  12. Mort e rire , a croire q il faut juger l personne et pas le texte. mais c est grave ca . c est vous le scientifique ??? vous etes des hiterique , pourquoi n agissez vous pas en veritable scientifique. vous voulez peutetre que je reprenne le texte et que je le retape tout en entier. lol on poura ire qu il vien de moi. monsieur Sid Ali celebre teologien de France , a 18 ans il reussi a renre fou tous les sois disant scientifique du forumfr qui n ont rie d atre a faire que de crtitiquer tout ce qu il voi. et bien les rgeux , critiquer donc le texte et pas l auteur , c est tout ce que j attend de vous. mais vous etes surement trp faible pour pouvoir le fair. Il n y a pas que les darwiniste dans la vie. et si je regarde toutes les erreurs qu ils ont faite , je prefere encore lire Harun yahia. Vous etes injuste , au Lieu de critiquer les erreurs minimes que les autres ont peu faire , regardez vos erreurs. voila une valeur que ma Maman m a dicté. toujour se regarder sois meme avant de critiquer les autres. votre Maman ne vous l a t elle pas dit. evidemment si c etait un singe votre Maman j igonore comment elle auraitpu vous fair passer le message. enfin c est pas grave moi je vous le dit. arretez de critiquez , regardez vos erreur avant de critiquer celle des autres!!!!!
  13. Le racisme de Darwin et le colonialisme Le professeur Adam Sedgwick. Le professeur Adam Sedgwick, un proche ami de Darwin, est l'un de ceux qui avaient prédit les dangers que la théorie de l'évolution provoquerait. Il a remarqué, après la lecture et la digestion de The Origin of Species, que "si ce livre se faisait accepter par l'opinion publique générale, il mènerait à un abrutissement de la race humaine sans précédent".7 Et, en effet, le temps a donné raison à Sedgwick. Le 20ème siècle a depuis pris sa place dans l'histoire de l'homme en étant considéré comme un âge sombre où les gens se sont faits massacrer pour leur race ou origine ethnique. Bien sûr, la discrimination et l'éradication basées sur de telles notions existaient longtemps avant Darwin. Cependant, le darwinisme a offert une fausse respectabilité et légitimité scientifique à cette discrimination. "La conservation des races favorisées" La plupart des darwinistes prétendent aujourd'hui que Darwin n'a jamais été raciste. Ils disent que les racistes ont extrapolé d'après les idées de Darwin d'une façon biaisée afin de soutenir leurs propres vues. Ils affirment que le sous-titre "la conservation des races favorisées" de The Origin of Species, n'est applicable qu'aux animaux. Cependant, ceux qui avancent cette assertion semblent ignorer ce que Darwin dit dans son livre au sujet de la race humaine. Dans ce livre, Darwin avance que les races humaines représentent les différentes étapes de l'évolution et que certaines races ont évolué et progressé plus que d'autres. Certains humains seraient ainsi proches des singes. Darwin prétendit que "le combat pour la survie" était applicable aux races humaines. "Les races favorisées" sortiraient victorieuses de cette lutte. Selon Darwin, cette race favorisée était celle des européens blancs. Les races asiatiques et africaines, elles, seraient restées en arrière dans le combat pour la survie. Mais Darwin alla encore plus loin et prétendit que ces races perdraient bientôt complètement le combat mondial pour la survie et disparaîtraient: Dans le futur, les races humaines civilisées vont certainement exterminer et remplacer les races sauvages du monde entier. Les singes anthropomorphes seront alors sans doute aussi exterminés. La rupture entre l'homme et ses alliés les plus proches sera alors plus large. Elle séparera les hommes civilisés, (encore plus civilisés que le Caucasien, nous l'espérons) des singes comme le babouin, plutôt que de séparer, comme aujourd'hui, le nègre ou l'australien du gorille.8 Dans un autre chapitre de The Origin of Species, Darwin prétendit qu'il était nécessaire que les races inférieures disparaissent et qu'il n'était pas du tout nécessaire que les peuples développés essayent de protéger les faibles ou de les maintenir vivants. Il compara cette situation à celle des éleveurs d'animaux reproducteurs: Les sauvages, les faibles de corps ou d'esprit seront bientôt éliminés; ceux qui survivront possèderont généralement un état de santé vigoureux. Cependant, nous, les hommes civilisés, nous faisons tout notre possible pour freiner le processus d'élimination car nous construisons des asiles pour l'imbécile, le mutilé et le malade; nous passons des lois d'assistance publique; et nos médecins prouvent leur extrême habileté en cherchant à sauver la vie de chaque malade. Il existe une raison pour croire que la vaccination a sauvé des milliers de personnes qui auraient autrement succombé à la petite vérole. C'est ainsi que les membres faibles des sociétés civilisées parviennent à propager leur genre. Quiconque s'est occupé un jour de l'élevage d'animaux domestiques ne peut douter de la conséquence hautement nuisible que cela engendrera à la race humaine.9 Comme nous l'avons vu, dans son livre The Origin of Species, Darwin considéra les aborigènes d'Australie et les nègres comme étant autant développés que des gorilles. De plus, il en défendit aussi l'extermination. Quant aux autres races "inférieures", il maintint qu'il était essentiel d'en empêcher leur multiplication et, ainsi, de favoriser leur extinction. Le racisme et la discrimination que nous rencontrons encore aujourd'hui ont été approuvées et justifiées de cette manière par Darwin. Les voyages de Darwin révélèrent son côté raciste au monde. Il utilisa par exemple le terme "animaux sauvages" pour décrire des tribus dont la culture et les capacités furent soulignées par bien d'autres chercheurs. De plus, selon Darwin, comme nous le verrons, le devoir de l'"homme civilisé" est d'accélérer cette période évolutionniste. Dans un tel contexte, il n'existait aucune objection "scientifique" à ce que les races qui allaient de toute façon disparaître soient supprimées. Le racisme de Darwin est présent dans la plupart de ses écrits et observations. Il a par exemple ouvertement exposé ses préjugés racistes en parlant des indigènes de Tierra del Fuego (Argentine) qu'il a eu l'occasion de voir lors d'un long voyage commencé en 1871. Il les a décrits comme étant des créatures vivantes "complètement nues, submergées de teintures, mangeant ce qu'ils trouvaient tout comme des animaux sauvages, incontrôlables et cruelles envers tous ceux qui ne font pas partie de leur tribu, prenant plaisir à torturer leurs ennemis, offrant des sacrifices ensanglantés, assassinant leurs propres enfants, maltraitant leurs femmes, et adeptes de superstitions gênantes". Cependant, le chercheur W. P. Snow, qui visita la même région dix ans auparavant, en présenta une image très différente. Selon Snow, les indigènes de Tierra del Fuego étaient "des gens délicats d'apparence puissante; ils aimaient leurs enfants; certains des objets qu'ils fabriquaient étaient ingénieux; ils reconnaissaient un certain droit de propriété et ils acceptaient de se soumettre à l'autorité de certaines femmes âgées".10 Comme ces exemples le prouvent, Darwin était raciste. En fait, d'après Benjamin Farrington, auteur du livre What Darwin Really Said (Ce que Darwin a vraiment dit), Darwin a fait beaucoup plus de commentaires concernant "les grandes différences entre hommes de races distinctes" dans son livre The Descent of Man (La descendance de l'homme).11 En outre, la théorie de Darwin a poussé l'homme à oublier qu'il avait été créé par Dieu, et que tous les hommes avaient été créés égaux. C'est un des facteurs qui explique la montée du racisme et l'accélération de son acceptation mondiale. Le scientifique américain James Ferguson énonce ainsi le lien étroit qui existe entre le rejet de la création et la hausse du racisme: La nouvelle anthropologie est bientôt devenue un contexte théorique entre deux écoles de pensée opposées quant à l'origine des hommes. La plus anciennement établie prônait le "monogénisme", soit la croyance que l'humanité entière, sans tenir compte de la race ou d'autres caractéristiques, descendait directement d'Adam; ceci n'est rien d'autre que l'acte unique de la création de Dieu. Le monogénisme fut promulgué par l'Eglise et accepté universellement jusqu'au 18ème siècle. Ensuite, le rejet de l'autorité théologique a commencé à alimenter la théorie rivale appelée "polygénisme" (la théorie de l'évolution) qui soutient que les communautés de races distinctes ont des origines différentes.12 L'anthropologiste indienne Lalita Vidyarthi indique comment la théorie de l'évolution de Darwin a fait que le racisme soit accepté en tant que concept par les sciences sociales: Stéphane Jay Gould ainsi que son livre qui révéla le côté raciste de Darwin. La théorie de la survie des mieux adaptés a été chaleureusement accueillie par les savants des sciences sociales de l'époque. Ils ont accepté l'idée que l'humanité ait traversé divers stades d'évolution dont le point culminant est la civilisation des blancs actuelle. Dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, le racisme a été accepté comme un fait par une grande majorité des scientifiques occidentaux.13 Les darwinistes se sont alors engagés dans une grande lutte pour prouver les vues racistes de Darwin. Pour atteindre ce but, ils n'ont pas hésité à inventer des tromperies scientifiques. Ces mensonges une fois démontrés, ils espéraient avoir scientifiquement prouvé leur propre supériorité et leur "droit" d'opprimer, de coloniser et d'exterminer, s'il le faut, d'autres races. Dans le troisième chapitre de son livre The Mismeasure of Man, Stephen Jay Gould indiqua que certains anthropologues falsifiaient leurs données pour prouver "la supériorité" de la race blanche. Selon Gould, la méthode la plus employée était la falsification de la dimension cérébrale des crânes fossilisés trouvés. Dans son livre, Gould mentionne que beaucoup d'anthropologues avaient assumé que la dimension cérébrale avait un rapport avec l'intelligence, et avaient intentionnellement exagéré la taille des crânes caucasiens et sous-estimé la taille des crânes des noirs et des indiens.14 Dans son livre, Ever Since Darwin (Depuis Darwin), Gould décrivit les outils incroyables utilisés par les darwinistes afin de démontrer que certaines races étaient inférieures. Haeckel et ses collègues ont aussi invoqué la récapitulation pour affirmer la supériorité raciale des blancs d'Europe du Nord. Ils sont partis à la recherche de preuves anatomiques et de comportement humain en se servant de tout ce qu'ils ont pu trouver, des cerveaux aux nombrils. Herbert Spencer écrivit que "les capacités intellectuelles du non-civilisé¿ ne sont pas plus évoluées que celles se trouvant chez les enfants du civilisé". Carl Vogt l'a dit d'une manière plus explicite en 1864: "Les capacités intellectuelles d'un adulte de couleur noire sont comparables à celles d'un enfant¿ Quelques tribus ont certes fondé des petits états possédant une organisation particulière. Pourtant, en ce qui concerne tout le reste, nous pouvons sans risque affirmer que cette race entière n'a rien réalisé de progressiste et de valable pour l'humanité ou rien n'étant simplement digne de conservation ni dans le passé, ni dans le présent." 15 L'anatomiste français Etienne Serres a par exemple vraiment soutenu l'idée que les mâles noirs étaient primitifs parce que leurs nombrils se trouvaient à un niveau inférieur de celui des blancs. L'évolutionniste Havelock Ellis, un contemporain de Darwin, a soutenu ce concept de races supérieures et inférieures par une explication soi-disant "scientifique": L'enfant de race africaine est, à la naissance, à peine moins intelligent que l'enfant européen. Pourtant l'africain devient plus il grandit stupide et obtus et puis toute sa vie sociale tombe dans un état de routine bornée. De son côté, l'Européen conserve la plupart de sa vivacité enfantine.16 L'anthropologue darwiniste français Vacher de Lapouge a suggéré, dans son travail intitulé Race et milieu social essais d'anthroposociologie (Paris 1909), que les races non-blanches descendaient de sauvages qui n'avaient pas appris à se civiliser et qu'ils étaient les représentants dégénérés des classes de sang mixte. Il proposa de mesurer la taille des crânes des classes supérieures et inférieures présentes dans un des cimetières de Paris. D'après ses conclusions, certaines personnes étaient enclines, en raison de la taille de leur crâne, à être riches, sûres d'elles-mêmes et libres alors que d'autres étaient vouées à être conservatrices, à se contenter de peu, à posséder en quelque sorte toutes les qualités nécessaires d'un bon domestique. Les différentes classes étaient donc le produit de la sélection sociale. Les classes supérieures de la société correspondaient aux races supérieures, leur degré de richesse étant proportionnel à la taille de leur crâne. Lapouge déclara plus tard: "Je pense que dans les années à venir, les gens s'entretueront pour la forme de leurs têtes, qu'elles soient rondes ou pointues."17 Comme nous le verrons en détail dans les pages suivantes, cette prophétie s'est réalisée, le 20ème siècle ayant été témoin de nombreux massacres justifiés au nom du racisme¿! L'effet ne s'est pas limité aux anthropologues; les entomologistes (ceux qui étudient les insectes) se sont aussi embarqués dans le chemin tracé par Darwin. Donnons l'exemple d'un entomologiste anglais qui, en 1861, est arrivé à la conclusion, après avoir rassemblé différents poux vivant sur le corps de personnes dans différentes parties du monde, que les poux se nourrissant d'une race ne pouvaient pas vivre sur le corps d'une autre race. Considérer cette affirmation comme étant scientifique nous semble aujourd'hui tout à fait ridicule. 18 Considérant que des scientifiques ont pu faire de telles remarques, il n'est pas surprenant que les racistes dogmatiques aient employé des slogans tels que "même les poux des nègres sont nègres" qui sont illogiques, absurdes et complètement insignifiants. En bref, le côté raciste de la théorie de Darwin a trouvé un terrain très fertile dans la deuxième moitié du 19ème siècle. A cette époque, "l'homme blanc" européen cherchait alors encore une théorie pour justifier ses propres crimes. Le colonialisme britannique et le darwinisme Le pays qui a le plus profité des vues racistes de Darwin est la propre terre de Darwin, la Grande-Bretagne. Dans les années où Darwin a avancé sa théorie, la Grande-Bretagne avait fondé le plus grand empire colonial du monde. Toutes ressources naturelles de l'Inde à l'Amérique Latine furent exploitées par l'empire britannique. "L'homme blanc" pillait le monde pour son propre intérêt. LE MASSACRE DES INDIGENES AMERICAINS Un massacre effroyable d'indiens américains suivit la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Néanmoins, en commençant par Grande-Bretagne, aucun empire colonial ne voulait être considéré comme "pilleur". C'est pour cette raison qu'ils cherchaient une justification à leurs actes. Une telle justification leur servirait à présenter les peuples colonisés comme étant "des gens primitifs" ou "des êtres vivants similaires aux animaux". De cette façon, ceux qui étaient massacrés et soumis à des traitements inhumains n'étaient pas considérés comme des hommes, mais comme des créatures mi-animales/mi-humaines; la violence contre un individu colonisé n'était dès lors plus considérée comme un crime. En réalité, la recherche de cette justification n'était pas nouvelle: la première vague coloniale dans le monde remonte en effet aux 15ème et 16ème siècles. L'idée que certaines races portaient des caractéristiques animales avait déjà été avancée par Christophe Colomb lors de ses voyages en Amérique. Selon ces hypothèses, les indigènes américains n'étaient pas des hommes, mais une sorte d'animal développé. C'est pour cette raison qu'ils pouvaient facilement être mis au service des colonialistes espagnols. Bien que Colomb soit dépeint dans les films sur la découverte de l'Amérique comme ayant une attitude cordiale et humaine à l'égard des indigènes, en vérité il n'a pas considéré les indigènes comme des humains.19 Christophe Colomb fut la première personne à provoquer un grand massacre. Après avoir établi des colonies espagnoles dans les endroits qu'il a découverts, il a fait des indigènes des esclaves, et est donc responsable du début de la traite d'esclaves. "Les conquistadors" espagnols ont compris l'importance de la politique d'oppression et d'exploitation mise en place par Christophe Colomb et l'ont adoptée: les massacres perpétrés atteignirent des dimensions incroyables. Prenons l'exemple d'une population d'une île de 200.000 habitants avant l'arrivée de Christophe Colomb. Et bien celle-ci fut réduite à 50.000 habitants 20 ans après son arrivée; cinquante ans plus tard, en 1540, il n'en restait plus que mille. Quand Cortes, le plus célèbre des conquistadors espagnols, a conquit le Mexique depuis février 1519, la population locale totale était d'environ 25 millions d'habitants. En 1605, il ne restait plus qu'un million d'habitants. Sur l'île de Hispaniola, la population de 7-8 millions en 1492 a diminué à 4 millions en 1496 et à plus que 125 personnes en 1570. Selon les chiffres des historiens, moins d'un siècle après que Christophe Colomb a posé pied sur le continent, 95 millions de personnes furent massacrées par les colonialistes. Quand Colomb a découvert l'Amérique, il existait 30 millions d'indigènes sur le continent. Le résultat des massacres qui furent perpétrés depuis cette époque-là et aujourd'hui fait qu'il ne reste plus que deux millions d'indigènes. Ces massacres ont pu atteindre de telles proportions parce que les peuples indigènes n'étaient pas considérés comme des hommes mais comme des animaux. Pourtant, les assertions de ces premiers colons n'ont pas attiré beaucoup de partisans. En Europe, à cette époque, la croyance que tous les hommes avaient été créés égaux par Dieu et que tous étaient descendants d'un ancêtre commun -Adam- était largement acceptée. L'Eglise catholique avait alors pris une position claire contre les invasions et les pillages perpétrés par les colonialistes. L'un des meilleurs exemples connus est la réaction de l'évêque du Chiapas, Bartolomé de las Casas, qui mit pied sur le Nouveau Monde en même temps que Colomb. Bartolomé de Las Casas a alors dit que les habitants locaux étaient "des êtres humains réels". Ceci, évidemment était contraire à l'approche des colonialistes qui considéraient les indigènes comme étant "une espèce animale". Le Pape Paul III a maudit le traitement sauvage des indigènes dans une bulle papale émise en 1537 dans laquelle il déclara que les habitants locaux étaient des êtres humains réels ayant la capacité de détenir la foi.20 Pourtant, la situation a changé au 19ème siècle. La propagation de la philosophie matérialiste a éloigné les sociétés de la religion; l'idée de Création Divine a commencé à être rejetée. Cela, comme nous venons de le mentionner dans les pages précédentes, a permis une hausse sans précédent du racisme. La propagation de la philosophie darwiniste-matérialiste au 19ème siècle a permis au racisme de prendre encore plus d'ampleur. Ceci a fourni un énorme soutien au développement du système impérialiste européen. James Joll, qui enseigna l'histoire pendant de longues années à Oxford, Stanford et Harvard, décrivit dans son livre intitulé Europe Since 1870 (L'Europe depuis 1870), le rapport idéologique entre le darwinisme, l'impérialisme et le racisme. Ce livre est aujourd'hui encore utilisé comme un livre de base pour les études universitaires. Le darwinisme social peut être considéré comme la source principale d'inspiration de l'impérialisme. Sous le prisme du darwinisme social, les relations internationales prirent la forme d'une lutte perpétuelle pour la survie. A la suite de cette lutte, certaines races supérieures survivront dans un processus évolutionniste au sein duquel les plus forts devront constamment s'affirmer. Les livres du naturaliste anglais Charles Darwin, The Origin of Species, publié en 1859, et The Descent of Man, publié en 1871, ont lancé des controverses qui ont affecté plusieurs branches de la pensée européenne¿ Les idées de Darwin et de certains de ses contemporains comme le philosophe anglais Herbert Spencer furent rapidement appliquées à des questions qui n'étaient pas directement scientifiques¿ L'élément du darwinisme qui a paru le mieux applicable au développement social était la croyance que l'excès de population devait forcément engendrer une lutte constante pour la survie. Seul le plus fort ou 'le mieux adapté' sortirait vivant de la lutte. Dès lors, il fut plus facile pour certains philosophes sociaux d'ajouter un contenu moral à la notion du 'mieux adapté'. En suivant cette logique, les espèces ou les races victorieuses devenaient celles qui possédaient les qualités morales les plus élevées. LA FALSIFICATION DE L'HOMME DE PILTDOWN Une des sources les plus intéressantes de la théorie de l'évolution dont l'impérialisme britannique s'est inspiré, fut le scandale qui se développa autour de l'homme de Piltdown. En 1912, un crâne étrange fut trouvé à Piltdown, en Angleterre. Charles Dawson et son équipe, les scientifiques qui découvrirent le crâne, déclarèrent que celui-ci avait appartenu à une créature mi-homme mi-singe. Arthur Keith, anatomiste évolutionniste renommé, examina le fossile et en confirma les résultats. Cependant, Dawson et Keith avaient souligné un détail important: le cerveau du fossile était aussi grand que celui de l'homme moderne mais son os maxillaire avait des caractéristiques identiques à celles d'un singe. Cette découverte devint soudainement une question de fierté pour les Anglais. En effet, avant toutes choses, puisque ce crâne avait été trouvé en Angleterre, il devait être un ancêtre des Anglais. Selon les Britanniques, le volume plus grand de son cerveau indiquait que les Britanniques s'étaient développés plus vite que d'autres races et étaient donc supérieurs à elles. C'est pour toutes ces raisons que la découverte de l'homme de Piltdown causa une grande excitation en Angleterre. Les journaux la titrèrent partout et des foules immenses la célébrèrent joyeusement. Le gouvernement britannique accorda d'autre part l'ordre de chevalerie à Arthur Keith pour sa fabuleuse découverte. Don Johanson, le célèbre paléontologiste évolutionniste, décrivit le lien qui se tissa entre le fossile de l'homme de Piltdown et l'impérialisme anglais: La découverte de Piltdown fut très eurocentriste. Par la prééminence de la taille de ce cerveau, l'Anglais obtint aussi une prééminence.* Cette source d'inspiration que les Anglais tirèrent de l'homme de Piltdown ne dura que jusqu'en 1953, lorsque Kenneth Oakley, un scientifique qui réexamina le fossile en détail, l'exposa comme étant la plus grande contrefaçon du 20ème siècle. Le fossile avait été en fait créé en fixant une mâchoire d'orang-outan à un crâne humain. *Don Johanson, In Search of Human Origins, 1994 WGBH Educational Foundation La doctrine de la sélection naturelle a ensuite facilement pu être associée à une autre pensée développée par l'auteur français, Comte Joseph-Arthur Gobineau, qui publia un ouvrage intitulé Essay on the Inequality of Human Races (Essai sur l'inégalité de races humaines) en 1853. Dans cet essai, Gobineau écrivit que le facteur déterminant dans le développement humain est la race. Ainsi, les races supérieures seraient celles qui ont gardé leur pureté raciale intacte. Parmi celles-ci, Gobineau considéra que la race aryenne était celle qui avait le mieux survécu¿ Ce fut Houston Stewart Chamberlain qui contribua à porter certaines de ces idées encore plus loin¿ Hitler lui-même, ayant tellement admiré cet auteur (Chamberlain), qu'il lui a rendu visite sur son lit de mort en 1927.21 Comme nous l'avons vu, il existe une relation idéologique liant Darwin aux penseurs racistes et aux impérialistes, ainsi qu'à Hitler. Le darwinisme est la base idéologique de l'impérialisme qui remplit le monde d'un bain de sang au 19ème siècle, ainsi que du nazisme, qui en fit de même au 20ème siècle. La Grande-Bretagne de l'époque victorienne a aussi trouvé sa prétendue "base scientifique" dans le darwinisme. Elle tirait de grands profits du colonialisme et n'hésitait pas à abuser des gens vivants sous son administration coloniale. L'un des exemples de la politique impérialiste douteuse de la Grande-Bretagne est "les guerres de l'opium" contre la Chine. La Grande-Bretagne a commencé à vendre aux Chinois l'opium cultivé en Inde dès le premier quart du 19ème siècle. Le trafic illégal d'opium augmenta avec le temps, ce qui favorisa le développement du commerce étranger britannique. D'un autre côté, le flux de drogue affaiblit l'autorité chinoise sur son propre territoire. L'effondrement social atteignit des proportions sérieuses. La prohibition de l'opium, que le gouvernement chinois n'a appliqué qu'après une longue période de doute, a mené à la première guerre de l'opium (1838-1842). Il est indiscutable que cette guerre a poussé le pays vers la faillite. La Chine fut obligée de se rendre face à la supériorité militaire des forces étrangères. En conséquence, les Occidentaux ont peu à peu créé, à partir de l'année 1842, des centres d'occupation sur le territoire chinois. Ils ont occupé une grande partie des ports (concessions), ont loué par bail des territoires et ont finalement obligé le pays à s'ouvrir au monde extérieur de la manière la plus avantageuse pour eux. La politique britannique a donc mené à l'appauvrissement du pays, à la faiblesse du gouvernement et à la perte lente de territoires. Les expériences vécues en Chine ne sont qu'un exemple de la politique britannique parmi tant d'autres. Au cours du 19ème siècle, l'oppression causée par l'impérialisme britannique fut ressentie dans des régions telles que l'Afrique du Sud, l'Inde et l'Australie. Les sociologues et scientifiques britanniques ont pris en charge la justification de ce système opprimant. Charles Darwin était parmi les plus importants et effectifs de ceux-ci. C'est lui qui prétendit qu'il exista toujours "des races supérieures" au cours de l'évolution, et que celles-ci étaient maintenant les "races blanches". C'est encore lui qui avança que l'oppression perpétrée par les blancs était "une loi de la nature". Kenneth J. Hsü, le célèbre scientifique d'origine chinoise et chef du département de géographie de l'Institut fédéral de technologie suisse, décrivit Darwin comme étant "un scientifique distingué de l'ère victorienne et comme un membre établi d'une société qui envoya des canonnières pour importer de l'opium par force en Chine; tout ceci au nom de la compétition (au sein de la théorie du libre échange) et de la survie du mieux adapté".22 L'hostilité de Darwin envers les Turcs La cible la plus importante fixée par la Grande-Bretagne vers la fin du 19ème siècle était de déstabiliser l'empire ottoman. A cette époque, l'état ottoman gouvernait une énorme région s'étendant du Yémen à la Bosnie-Herzégovine. Cependant, les Ottomans avaient de plus en plus de difficultés à gérer ce territoire qu'ils avaient jusqu'alors dirigé dans la paix, la stabilité et le calme. Des minorités chrétiennes commençaient à se révolter au nom de l'indépendance alors que de grandes puissances militaires comme la Russie les menaçaient de l'extérieur. Dans le dernier quart du 19ème siècle, la Grande-Bretagne et la France se sont placées du côté des puissances menaçant les Ottomans. La Grande-Bretagne convoitait particulièrement les provinces ottomanes du Sud. Le Traité de Berlin, signé en 1878, illustre la volonté des colonialistes européens de se partager les territoires ottomans. Cinq ans plus tard, en 1882, la Grande-Bretagne occupa l'Egypte, qui appartenait alors à l'empire ottoman. Le colonialisme britannique mit alors en pratique ses plans de contrôle sur les territoires ottomans du Moyen-Orient. Comme toujours, la Grande-Bretagne a alors basé sa politique coloniale sur le racisme. Le gouvernement britannique a dès lors délibérément dénigré les Turcs, les fondateurs de l'empire ottoman, ainsi que tous les Ottomans et les considéra comme étant des gens soi-disant "arriérés". L'HOSTILITE ENVERS LES TURCS CONTENUE DANS LA CORRES PONDANCE PRIVEE DE DARWIN Charles Darwin utilisa sa théorie afin de contribuer aux desseins politiques de la Grande-Bretagne contre les Ottomans. Ce faisant, il essaya de démontrer que la nation turque était une race arriérée. Actuellement, les ennemis des Turcs trouvent toujours une source d'inspiration dans ce non-sens formulé par Darwin. Le premier ministre britannique William Ewart Gladstone dit ouvertement que les Turcs étaient de bons exemples non-humains de l'humanité. Il proposa, pour le bien de leur civilisation, qu'ils soient chassés d'Anatolie et repoussés vers leurs steppes asiatiques.23 Ces propos et tant d'autres semblables ont été employés pendant des décennies par le gouvernement britannique comme outil de propagande contre les Ottomans. La Grande-Bretagne tenta de présenter la nation turque comme étant une nation arriérée qui devait courber l'échine devant les races européennes plus avancées. "La base scientifique" soutenant cette propagande n'était rien d'autre que celle avancée par Charles Darwin! Les commentaires de Darwin concernant la nation turque sont parus dans le livre publié en 1888 intitulé The Life and Letters of Charles Darwin (La vie et la correspondance de Charles Darwin). Darwin y avança que la sélection naturelle jouerait un rôle dans le développement de la civilisation du fait de l'élimination des "races arriérées". Il y présente la nation turque de la façon suivante: Je pourrais prouver que la sélection naturelle a servi et sert encore la civilisation beaucoup plus que vous ne le croyez. Rappelez-vous les risques encourus par les nations européennes lorsque l'Europe a été dominée par les Turcs il y a de cela quelques siècles et pensez à l'absurdité d'une telle idée maintenant! Des races plus civilisées comme les races caucasiennes avaient alors vaincu la barbarie turque dans une guerre pour la survie. Considérant le monde dans un futur proche, je prédis que d'innombrables races inférieures seront éliminées par les races civilisées supérieures dans le monde entier.24 LA CAMPAGNE DE GALLIPOLI Durant la campagne de Gallipoli, l'armée turque combattit héroïquement contre les troupes ennemies, les Anglais en tête, et perdit 250.000 hommes. Ces propos absurdes de Darwin étaient un outil de propagande écrit afin de soutenir la politique britannique de destruction de l'empire ottoman. Cet outil de propagande fut en effet très efficace. Les mots de Darwin "la nation turque disparaîtra bientôt, c'est une loi de l'évolution" a fourni l'appui scientifique nécessaire à la propagande britannique contre les Turcs. Le désir britannique d'accomplir la prophétie de Darwin s'est essentiellement réalisé pendant la première guerre mondiale. Cette guerre d'une ampleur immense a débuté en 1914 et est le résultat de conflits d'intérêt entre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie d'un côté, et les alliés de la Grande-Bretagne, soit la France et la Russie, de l'autre. Le plus grand enjeu de cette guerre était de détruire et de partager l'empire ottoman. La Grande-Bretagne a attaqué l'empire ottoman sur deux fronts différents: le premier était le front du canal de Suez, de la Palestine, et de l'Irak, afin de saisir les territoires ottomans du Moyen-Orient. Le second, le front de Gallipoli, fut la scène de l'une des plus sanglantes batailles de la première guerre mondiale. L'armée turque s'est battue héroïquement à éanakkale et perdit 250.000 soldats en luttant contre les forces ennemies rassemblées par les Anglais. Quant aux Anglais, ils ont envoyé des troupes indiennes et des unités recrutées dans d'autres colonies telles que l'Australie et la Nouvelle-Zélande plutôt que leurs propres soldats pour combattre les Turcs. Les conséquences de l'hostilité de Darwin envers les Turcs ont encore été ressenties bien après la première guerre mondiale. Les groupes néonazis européens qui attaquent par traîtrise les Turcs en Europe s'inspirent toujours et encore de cette absurdité que Darwin soutenait à l'égard de la nation turque. On peut encore aujourd'hui trouver certains propos de Darwin concernant les Turcs sur des sites Internet de groupes racistes. (Voir le chapitre "L'alliance sanglante entre Darwin et Hitler") Le racisme et le darwinisme social en Amérique Le darwinisme social a aussi servi de soutien aux racistes et aux impérialistes dans d'autres pays que la Grande-Bretagne. Il s'est ainsi propagé rapidement dans le monde entier. A la tête de ceux qui ont soutenu la théorie de Darwin se trouvait le président américain Théodore Roosevelt. Roosevelt était le principal partisan et exécuteur du programme de purification ethnique appelé "relocalisation obligatoire" appliqué aux indiens d'Amérique. Dans son livre The Winning of the West (La victoire de l'Ouest), Roosevelt décrivit une idéologie poussant au massacre. Il y soutint qu'une guerre raciale pour exterminer les indiens était inévitable.25 Sa plus grande force fut d'utiliser le darwinisme car cela lui a donné la chance de définir les indigènes comme appartenant à une espèce arriérée. Dans son livre The Winning of the West (La victoire de l'Ouest), le président américain Théodore T. Roosevelt théorisa une idéologie brutale puis la mit en application. Comme Roosevelt l'avait prévu, aucun des traités conclus avec les indiens d'Amérique ne fut respecté. En 1871, le Congrès ignora tous les traités conclus avec les indiens d'Amérique et décida de les exiler tous vers des terres désertes afin qu'ils y attendent la mort. Si les indiens n'étaient pas considérés comme étant humains, comment les traités conclus avec eux pouvaient-ils être valables? Roosevelt a aussi prétendu que la guerre raciale mentionnée ci-dessus représentait la culmination de l'établissement des peuples anglophones (anglo-saxons) dans le monde.26 Josiah Strong, évolutionniste américain et ecclésiastique protestant et l'un des partisans principaux du racisme anglo-saxon, employa la même logique. Il écrivit: Alors le monde entrera dans une nouvelle ère historique, celle de la compétition raciale finale pour laquelle l'Anglo-saxon s'est préparé. Si je ne me trompe, cette race puissante ira au Mexique, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud, sur toutes les îles, en Afrique et même au-delà. Personne ne peut douter que le résultat de cette compétition sera "la survie du mieux adapté".27 Une grande partie des racistes qui se sont servis du darwinisme social haïssaient les noirs. Dans leurs théories racistes, on trouve une hiérarchie des races où la race blanche est supérieure alors que la race noire est la plus primitive. Il paraît clair que tous ont embrassé le concept de l'évolution avec grand enthousiasme.28 Henry Fairfield Osborn, le plus proéminent des théoriciens racistes évolutionnistes, écrivit, dans un article intitulé "The Evolution of Human Races" (L'évolution des races humaines), que "la moyenne intellectuelle du noir adulte moyen est semblable à celle d'un jeune homme de 11 ans de l'espèce Homo Sapiens".29 Selon cette logique, les noirs ne sont pas des êtres humains. Carleton Coon, un autre des partisans les plus connus de la pensée raciste évolutionniste, prétendit dans son livre The Origins of Races (Les origines des races), publié en 1962, que les races noires et blanches appartiennent à deux espèces différentes qui se seraient séparées l'une de l'autre dans la période de l'Homo Erectus. D'après Coon, les blancs se seraient développés davantage après cette séparation. Les partisans de la discrimination contre les noirs se sont servis de cette explication pseudo-scientifique pendant longtemps. A la fin du 19ème siècle et au début du 20ème siècle, en Amérique, les blancs traitèrent les noirs d'une façon inhumaine. Les différentes lois émises et leurs applications révélèrent clairement le statut de race inférieure qui fut accordé aux noirs. Alors que les blancs vécurent dans l'opulence, les noirs subirent des traitements inhumains. Le soutien scientifique permit au racisme de se propager rapidement en Amérique. W. E. Dubois, connu pour être opposé à toute discrimination raciale, déclara que "le problème du vingtième siècle est celui de la discrimination raciale". Il souligna l'importance de la situation paradoxale suivante: comment expliquer que le problème du racisme se soit répandu si facilement dans le pays qui veut devenir la plus grande démocratie du monde et qui a, dans un certain sens, atteint ce but démocratique? L'abolition de l'esclavage n'a pas suffi à établir la fraternité entre noirs et blancs. La discrimination officielle est devenue, selon Dubois, une situation ipso facto et légale, dont on cherche encore une voie de sortie.30 Les premières lois racialement discriminatrices sont aussi apparues à cette époque. Elles étaient alors connues sous le nom des "lois de Jim Crow" (Jim Crow était l'un des surnoms dérogatoires attribués par les blancs aux noirs). Les noirs n'étaient pas traités comme des humains et étaient méprisés et dédaignés partout. Ceci ne se bornait pas au comportement de quelques individus racistes, mais était une politique légale adoptée par l'état américain. Juste après le passage de la première loi approuvant la ségrégation raciale sur les chemins de fer et les trams au Tennessee en 1875, tous les Etats du Sud adoptèrent la même loi. Des panneaux "Réservé aux blancs" et "Réservé aux noirs" furent accrochés partout. En réalité, tout cela n'était rien d'autre que l'octroi de statut officiel à une situation qui existait déjà. Les mariages interraciaux furent interdits. Conformément à la loi, la ségrégation fut obligatoire dans les hôpitaux, les prisons et les cimetières. En pratique, cela incluait aussi les hôtels, les théâtres, les bibliothèques et même les ascenseurs et les églises. La ségrégation dans les écoles était la plus sévère. Ce fut la mesure qui affecta le plus sérieusement les noirs, constituant le plus grand obstacle à leur développement culturel. L'OPPRESSION DES NOIRS Le Ku Klux Klan fut le groupe qui adressa les attaques les plus impitoyables contre les noirs. La chaîne montrée dans l'image ci-contre fut employée pour enchaîner des esclaves noirs. La ségrégation raciale officielle fut suivie d'une vague de violence. Il y eut une hausse rapide des lynchages de noirs. Entre 1890 et 1901, environ 1.300 noirs furent lynchés. Les noirs se sont révoltés dans plusieurs Etats pour dénoncer ces exécutions. Le développement de pensées et de théories racistes a naturellement accompagné cette période: peu de temps après, le racisme biologique américain s'exprimait à travers les résultats obtenus par la méthode de mesure de la capacité crânienne de R. B. Bean. Afin de protéger le nouveau continent d'une vague de migration non contrôlée, une sorte particulière de racisme a surgi en Amérique. Madison Grant, l'auteur du livre The Passing of the Great Race (1916), écrivit que le métissage des deux races mènera à l'apparition d'une race plus primitive encore que l'espèce inférieure.31 Il proposa ainsi que les mariages interraciaux soient interdits. Le racisme existait déjà en Amérique et dans le monde entier avant Darwin. Cependant, le darwinisme a offert un soutien évident aux vues et aux politiques racistes de la deuxième moitié du 19ème siècle. Comme nous l'avons vu dans ce chapitre, les racistes se sont servis des affirmations et des slogans darwinistes pour soutenir leurs idées. Les notions qui, avant Darwin, avaient été considérées cruelles, étaient maintenant acceptées comme loi naturelle. La politique inhumaine des racistes darwinistes L'extermination des aborigènes Les indigènes d'Australie sont connus sous le nom d'aborigènes. Ces gens, qui avaient vécu sur le continent pendant des milliers d'années, ont subi l'une des plus grandes exterminations de l'histoire suite à l'arrivée des colons européens. La base idéologique et scientifique de cette extermination fut le darwinisme. Les vues des idéologues darwinistes au sujet des aborigènes permirent la sauvagerie dont ces gens ont souffert. LE MASSACRE DES ABORIGENES Les indigènes australiens, les aborigènes, ont été massacrés sous prétexte qu'ils constituaient une espèce humaine peu développée. En 1870, Max Muller, un anthropologue évolutionniste de la London Anthropological Review, divisa les races humaines en sept catégories. Les aborigènes se trouvaient dans la plus basse des catégories alors que la race aryenne, celle des européens blancs, se trouvait dans la plus haute. H. K. Rusden, un célèbre darwiniste social, prononça les mots suivants à propos des aborigènes en 1876: La survie du mieux adapté signifie que la loi du plus fort est toujours la meilleure. Donc, nous invoquons et accomplissons implacablement la loi inexorable de la sélection naturelle en exterminant les Australiens inférieurs et les races de Maori... Et nous nous emparons calmement de leur patrimoine.32 En 1890, James Barnard, le vice-président de la Société Royale de Tasmanie, écrivit: "Le processus d'extermination est un axiome de la loi de l'évolution et de la survie du mieux adapté." Il n'existait donc, comme il le conclut, aucun sentiment de culpabilité dans le meurtre et la dépossession des aborigènes australiens.33 Les vues racistes impitoyables et sauvages nourries par Darwin menèrent donc à un massacre épouvantable visant à exterminer les aborigènes. Des têtes d'aborigènes furent clouées aux portes des gares et du pain empoisonné fut distribué aux familles aborigènes. Dans plusieurs régions d'Australie, les territoires habités par les aborigènes ont cruellement disparu en l'espace de 50 ans.34 La politique envers les aborigènes ne se limitait pas à des massacres. Beaucoup d'aborigènes furent traités comme des animaux de laboratoire. L'Institut Smithsonian de Washington D. C. a conservé restes de 15.000 personnes de races diverses. 10.000 aborigènes australiens furent envoyés par bateau au Musée britannique, afin de comprendre s'il existait vraiment "un maillon manquant" dans la transition de l'animal à l'homme. Les musées ne s'intéressaient pas qu'aux os: ils ont conservé des cerveaux appartenant aux aborigènes et les ont ensuite vendus à bon prix. Il existe également des preuves qui montrent que des aborigènes australiens ont été tués pour être employés comme spécimens. Les faits décrits ci-dessous témoignent de cette cruauté: Le mémoire de fin de vie de Korah Wills, maire de Bowen dans le Queensland en 1866, décrivit clairement la façon dont il tua et découpa en morceaux les membres d'une tribu locale en 1865 afin de se fournir en spécimens scientifiques. Edouard Ramsay, directeur du musée australien de Sydney de 1854 à 1874, publia une brochure concernant le musée; il décrivit les aborigènes comme étant "des animaux australiens". Il y donna non seulement des instructions concernant la façon de profaner des tombes, mais aussi concernant la façon de dissimuler les blessures de balle dans "les spécimens" récemment tués. Amalie Dietrich (surnommée 'l'ange de la mort noire'), une évolutionniste allemande, est venue en Australie demander aux propriétaires de garnisons la permission de tuer des aborigènes pour obtenir des spécimens, et en particulier pour avoir des peaux de bourrage et de montage pour ses employés du musée. Bien que probablement expulsée d'au moins une propriété, elle fut bientôt de retour à la maison avec ses spécimens. Un missionnaire du New South Wales avait témoigné avec horreur du massacre d'une douzaine d'Aborigènes, hommes, femmes et enfants, par la police montée. Quarante-cinq têtes furent bouillies et les 10 meilleurs crânes furent envoyés en outre-mer.35 L'extermination des aborigènes a continué pendant le 20ème siècle. L'enlèvement par force d'enfants aborigènes fut l'une des méthodes employées pendant cette extermination. Alain Thornhill, dans un article paru dans le Philadelphia Daily News du 28 avril 1997, décrivit de la façon suivante la méthode employée contre les aborigènes: DES FAMILLES ABORIGENES RACONTENT LES ENLEVEMENTS Les aborigènes qui vivaient dans les déserts isolés du Nord-Ouest de l'Australie couvraient leurs enfants à peau claire avec du charbon de bois, espérant ainsi empêcher les agents de la sécurité sociale de les emporter. "Les agents de la sécurité sociale vous enlevaient au moment où ils vous trouvaient," rapporta l'un des enfants enlevés, plusieurs années plus tard. "Notre peuple nous cachait, nous peignait avec du charbon de bois." "J'ai été pris à Moola Bulla," disait un ouvrier qui avait été enlevé quand il était enfant. "Nous avions 5 ou 6 ans environ." Son récit fut l'un parmi les milliers entendus par la Commission des Droits de l'Homme et d'Opportunités Egales d'Australie créée spécifiquement pour une enquête sur "la génération enlevée". De 1910 jusqu'aux années 1970, environ 100.000 enfants aborigènes ont été enlevés à leurs parents... Des enfants aborigènes à peau claire ont été enlevés et donnés en adoption aux familles blanches. Les enfants à peau brune ont été placés dans des orphelinats.36 Aujourd'hui, la douleur est encore si grande que la plupart des récits du rapport final de la commission intitulé "Les ramener chez eux" furent imprimés anonymement. La commission a déclaré que les actions des autorités pouvaient être considérées comme étant un génocide, selon la définition des Etats-Unis. Le gouvernement a refusé de suivre les conseils de l'enquête qui proposait la formation d'un tribunal afin d'estimer les paiements d'indemnité pour les enfants enlevés. Comme nous venons de le voir, le traitement inhumain, les massacres, la cruauté, la sauvagerie et les exterminations effectuées ont toujours été justifiés par des thèses darwinistes tels que "la sélection naturelle", "le combat pour la survie" et "la survie des mieux adaptés". Toutes ces souffrances subies par les indigènes australiens ne sont qu'une petite partie des catastrophes mondiales causées par le darwinisme. Ota Benga Suivant la prétention de Darwin que les hommes et les singes descendraient d'un ancêtre commun, des recherches de fossiles furent entreprises pour soutenir ce scénario. Certains évolutionnistes pensaient trouver des créatures "mi-homme/mi-singe" dans les fossiles répertoriés, aussi bien que dans le monde vivant dans diverses parties du monde. Au début du 20ème siècle, les recherches du "maillon manquant" causèrent plusieurs actes de sauvagerie. L'un de ces actes peut être illustré par l'histoire du pygmée nommé Ota Benga. Ota Benga fut capturé en 1904 au Congo par un chercheur évolutionniste appelé Samuel Verner. Cet indigène, dont le nom signifie "ami" dans sa propre langue, était marié et père de deux enfants. Il fut enchaîné comme un animal, enfermé dans une cage et envoyé aux Etats-Unis. Au cours de l'exposition universelle de St. Louis, des scientifiques évolutionnistes l'ont enfermé dans une cage avec diverses espèces de singe et l'ont présenté comme "le maillon le plus proche de l'homme". Deux ans plus tard, ils l'ont emmené au Zoo du Bronx de New York et l'ont exposé comme étant l'un "des ancêtres les plus vieux de l'homme" avec des chimpanzés, un gorille nommé Dinah et un orang-outan nommé Dohung. Le directeur évolutionniste du zoo, le docteur William T. Horniday, a donné de longs discours sur combien il était fier de posséder "le maillon manquant". Les visiteurs ont traité Ota Benga comme un simple animal vivant dans une cage. Une édition du "New York Times" imprimée à cette époque décrivit ainsi les attitudes des visiteurs: Il y avait, le dimanche, 40.000 visiteurs dans le parc. Presque chaque femme, homme et enfant visitaient l'abri des singes pour voir l'objet d'attraction du parc - l'homme sauvage venant d'Afrique. Ils le harcelaient toute la journée, en hurlant, en raillant et en criant. Certains d'entre eux lui ont donné des coups de poings dans les côtes, d'autres l'ont fait tomber, tous se sont moqués de lui.37 L'édition datée du 17 septembre 1906 du New York Journal indiqua que tout ceci servait à prouver la théorie de l'évolution, tout en soulignant la grande injustice et cruauté commise: ¿ Ces hommes sans pensée et sans intelligence ont exposé dans une cage à singes un nain humain d'Afrique. Leur idée était probablement d'inculquer une bonne leçon d'évolution. En fait, le seul résultat obtenu fut de perpétuer le mépris pour la race africaine, qui mériterait plus de sympathie et de politesse de la part des blancs de ce pays, surtout si l'on considère la brutalité dont elle a été l'objet ici¿ OTA BENGA Ota Benga était un indigène africain. Il fut pris au piège comme un animal par des chercheurs évolutionnistes, mis en cage et exposé dans un zoo à côté de singes. C'est honteux et répugnant que le malheur d'un être humain, son handicap physique, créé par la même Force qui nous a tous créés et nous a accordé les mêmes sentiments et la même âme, le condamne à être enfermé dans une cage avec des singes, et à être sujet de la moquerie publique.38 Le New York Daily Tribune mentionna aussi qu'Ota Benga fut exposé dans le zoo afin de prouver la théorie de l'évolution. La rhétorique défensive du directeur darwiniste du zoo ne comportait aucun scrupule: L'exposition, la semaine dernière, d'un pygmée africain dans la même cage qu'un orang-outang dans le parc zoologique de New York a causé une critique considérable. Certains ont déclaré que c'était une tentative de la part du Directeur Hornaday pour démontrer un rapport proche entre les noirs et les singes. Mais le docteur Hornaday a nié tout cela. "Si ce petit homme est dans une cage," a dit le docteur, "c'est parce qu'il y est plus confortable et parce que nous ne savons pas quoi d'autre faire de lui. Il n'est absolument pas prisonnier ici, cependant, personne ne peut dire qu'il serait prudent de lui permettre d'errer seul dans la ville."39 Le traitement animal envers Ota Benga dans le zoo a causé un malaise dans divers cercles. Certaines fondations se sont adressées aux autorités pour faire cesser cette pratique. Ils disaient qu'Ota Benga était un être humain et que c'était une grande cruauté de le traiter de cette façon. L'une de ces demandes a paru dans le New York Globe du 12 septembre 1906: Rédacteur de Globe: Monsieur, j'ai vécu pendant plusieurs années dans le Sud. Bien que je ne sois pas très tolérant envers les noirs, je les considère humains. Je pense que c'est une honte que les autorités de cette grande ville permettent un spectacle tel que celui du parc du Bronx - un jeune nègre, exposé dans une cage de singe... Toute cette affaire de pygmée nécessite une investigation... A.E.R. New York, 12 septembre 40 Voici une autre demande sollicitant qu'Ota Benga soit traité comme un être humain: Le clergé désapprouve l'exposition d'hommes et de singes Le révérend Dr. MacArthur pense que cette exposition est dégradante "La personne responsable de cette exposition se dégrade autant qu'elle dégrade l'Africain" dit le Docteur MacArthur. "Au lieu de faire de ce petit homme une bête, on devrait le placer dans une école pour qu'il puisse développer les facultés que Dieu lui a accordées." Le Docteur Gilbert, quant à lui, était déjà convaincu que l'exposition était une atrocité et que lui et d'autres pasteurs se joindraient au Docteur MacArthur pour faire libérer l'homme des buissons de la cage de singe afin de le placer ailleurs.41 Le résultat final de ce traitement inhumain fut le suicide d'Ota Benga. Le problème, ici, était plus grave que la perte d'une vie humaine. Cet événement était une illustration claire de la cruauté et de la sauvagerie que le racisme darwiniste pouvait provoquer. LES ESQUIMAUX ET LA MISE EN ŠUVRE DU RACISME Robert Peary, le chercheur reconnu de la région de l'Arctique, a ramené à New York, en 1897, un groupe d'esquimaux du pôle. Le plus jeune parmi ce groupe était un enfant appelé Minik. Le groupe, qui incluait Minik et son père, fut exposé pendant une longue période au Musée américain d'histoire naturelle. Pendant ce temps-là, le père de Minik décéda suite à une maladie. Minik se retrouva seul et vulnérable à New York. Un jour, Minik aperçu le squelette de son père exposé dans le Musée américain d'histoire naturelle comme étant un "exemple d'espèce". Les autorités du musée rejetèrent la requête de Minik qui demandait de récupérer le corps de son père. Robert Peary et ses vues racistes sont un autre point qui mérite d'être souligné quand nous faisons référence à la vie de Minik. Peary, qui vécut parmi les esquimaux, était convaincu que ces gens n'étaient pas égaux à lui-même. Selon lui, les esquimaux et les noirs appartenaient à des races inférieures. Ils étaient des gens forts, intelligents et dignes de confiance et ils subvenaient parfaitement bien à leurs familles, cependant ils n'étaient pas aussi bons que les blancs¿ Il écrivit une fois ces mots insolents: "On me demandait souvent: 'Quelle est l'utilité des esquimaux sur terre?' Ils sont en effet loin d'avoir une valeur quelconque pour des entreprises commerciales; et, en outre, ils manquent d'ambition. Ils estiment la vie tel que le fait un renard ou un ours, soit purement par instinct."1 Un chercheur expliqua l'objectif que Peary avait en transportant des esquimaux en Amérique: "Quelles étaient les raisons de Peary d'avoir transporté ces six esquimaux à New York?"¿ Ces six Esquimaux n'étaient peut-être que des spécimens, tout comme les crânes et squelettes qu'il avait déjà rassemblés, mais plus intéressants encore parce que le sang coulait toujours dans leurs veines¿ Il avait aussi une affinité morbide pour le corps d'autres esquimaux qu'il avait connus. Il en avait exhumé de leurs tombes fraîches l'année précédente pour les transporter au Sud afin d'orner les salles d'un musée.2 Minik, Ota Benga et beaucoup d'autres gens dont on ne connaît pas le nom subirent le même destin dans les mains de soi-disant "scientifiques" qui considéraient des races comme "inférieures". 1 Ken Harper, Give Me My Father's Body (Donnez-moi le corps de mon père), Steerforth Presse, South Royalton, Vermont p. 8 2 Ken Harper, Give Me My Father's Body (Donnez-moi le corps de mon père), Steerforth Presse, South Royalton, Vermont p. 22 LA MENTALITE RACISTE EXISTE TOUJOURS ET TROUVE SON APPUI DE DARWIN La supériorité dépend du caractère plutôt que du sang Darwin a représenté les hommes comme étant une espèce d'animal développée, dont certaines races n'ont pas encore achevé un développement suffisant et sont donc encore très proches des animaux. Cela fut très dangereux et destructif pour l'histoire humaine. Ceux qui se sont laissés guider par les idées de Darwin ont impitoyablement opprimé des personnes de races différentes de la leur, en les forçant à vivre dans des conditions invivables, voire en les exterminant. Bryan Appleyard, auteur du livre A Brave New World (Un nouveau monde plein de progrès), expliqua la mentalité tyrannique de base du racisme et les conséquences qu'elle engendra: Une fois que les gens décident que vous êtes une créature inférieure, que ce soit pour des raisons superstitieuses ou scientifiques, il semble n'exister aucune limite à la cruauté qu'ils peuvent vous infliger. De plus, ils sont susceptibles d'infliger cette cruauté sans ressentir le besoin de se justifier. Il n'existe, en effet, qu'un petit pas entre croire qu'un être humain est inférieur et croire qu'il est mauvais, dangereux ou menaçant pour les autres êtres 'supérieurs'. En effet, certains poussent la généralisation plus loin et insistent pour que tous les êtres 'inférieurs' soient considérés dangereux parce qu'ils menacent la vie ou la santé de la race humaine entière. Ils peuvent alors préconiser la stérilisation, restrictions sur le mariage et même le meurtre pour empêcher l'assaut du réprouvé sur l'intégrité de l'espèce.42 Pourtant, tous les gens sont créés égaux par Dieu. Le Coran annonce la création des hommes de la façon suivante: ¿ Qui a bien fait tout ce qu'Il a créé. Et Il a commencé la création de l'homme à partir de l'argile, puis Il tira sa descendance d'une goutte d'eau vile (le sperme); puis Il lui donna sa forme parfaite et lui insuffla de Son Esprit. Et il vous a assigné l'ouïe, les yeux et les c¶urs. Que vous êtes peu reconnaissants! (Sourate as-Sadjdah, versets 7-9) Comme les versets ci-dessus le révèlent, les hommes portent l'âme que Dieu leur a insufflée. Chaque être humain, sans tenir compte de sa race, pense, sent, aime, souffre, s'excite, connaît l'amour, l'affection et la compassion. Il connaît aussi la tyrannie, le mépris et la difficulté. Pour cette raison, ceux qui crurent ou croient au cours de l'histoire que les gens d'autres races sont des animaux mi-développés et qui les maltraitent, les offensent, les oppriment, en exploitent même une seule personne, et tous ceux qui soutiennent ces pratiques pseudo-scientifiques commettent, sans le savoir, un grand péché. Il existe aujourd'hui des sociétés humaines relativement sous-développées. Les membres de ces sociétés portent toutes des caractéristiques humaines, mais il leur manque certains critères qui dominent technologiquement et culturellement le monde. Pour des raisons climatiques et naturelles, beaucoup de communautés ont vécu isolées du monde et ont développé des cultures très différentes. Mais il existe, dans chacune, toutes les caractéristiques, les coutumes et les habitudes communes à l'humanité. Ceux qui avaient des intentions cachées et qui reconnurent les avantages que le racisme leur procurerait, ont embrassé la théorie de Darwin avec enthousiasme. Cela leur a permis de considérer ces gens normaux comme appartenant à une race inférieure et comme étant des animaux. Le résultat est qu'aujourd'hui, il existe encore des personnes qui oppriment et méprisent les gens et les communautés les moins développés. Dieu a cependant condamné tout racisme. Il a créé des êtres humains de couleurs et de langues différentes. C'est une preuve indéniable de l'art et de la diversité de Sa création: Et parmi Ses Signes la création des cieux et de la terre et la variété de vos idiomes (langues) et de vos couleurs. Il y a en cela des preuves pour les savants. (Sourate ar-Roum, verset 22) En présence de Dieu, la seule supériorité est le caractère d'une personne, son abstention de toutes sortes de péchés, rébellions, dégénérescences et déviations, et sa moralité supérieure provenant de sa piété. A part sa piété, aucun homme ne peut avoir une supériorité quelconque par rapport à un autre. Dieu nous révèle cette vérité dans le verset suivant: O hommes! Nous vous avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, afin que vous vous connaissiez mutuellement. Certes, le plus noble d'entre vous, auprès d'Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand-Connaisseur. (Sourate al-Houdjourât, verset 13) Le racisme de Darwin et le colonialisme Le professeur Adam Sedgwick. Le professeur Adam Sedgwick, un proche ami de Darwin, est l'un de ceux qui avaient prédit les dangers que la théorie de l'évolution provoquerait. Il a remarqué, après la lecture et la digestion de The Origin of Species, que "si ce livre se faisait accepter par l'opinion publique générale, il mènerait à un abrutissement de la race humaine sans précédent".7 Et, en effet, le temps a donné raison à Sedgwick. Le 20ème siècle a depuis pris sa place dans l'histoire de l'homme en étant considéré comme un âge sombre où les gens se sont faits massacrer pour leur race ou origine ethnique. Bien sûr, la discrimination et l'éradication basées sur de telles notions existaient longtemps avant Darwin. Cependant, le darwinisme a offert une fausse respectabilité et légitimité scientifique à cette discrimination. "La conservation des races favorisées" La plupart des darwinistes prétendent aujourd'hui que Darwin n'a jamais été raciste. Ils disent que les racistes ont extrapolé d'après les idées de Darwin d'une façon biaisée afin de soutenir leurs propres vues. Ils affirment que le sous-titre "la conservation des races favorisées" de The Origin of Species, n'est applicable qu'aux animaux. Cependant, ceux qui avancent cette assertion semblent ignorer ce que Darwin dit dans son livre au sujet de la race humaine. Dans ce livre, Darwin avance que les races humaines représentent les différentes étapes de l'évolution et que certaines races ont évolué et progressé plus que d'autres. Certains humains seraient ainsi proches des singes. Darwin prétendit que "le combat pour la survie" était applicable aux races humaines. "Les races favorisées" sortiraient victorieuses de cette lutte. Selon Darwin, cette race favorisée était celle des européens blancs. Les races asiatiques et africaines, elles, seraient restées en arrière dans le combat pour la survie. Mais Darwin alla encore plus loin et prétendit que ces races perdraient bientôt complètement le combat mondial pour la survie et disparaîtraient: Dans le futur, les races humaines civilisées vont certainement exterminer et remplacer les races sauvages du monde entier. Les singes anthropomorphes seront alors sans doute aussi exterminés. La rupture entre l'homme et ses alliés les plus proches sera alors plus large. Elle séparera les hommes civilisés, (encore plus civilisés que le Caucasien, nous l'espérons) des singes comme le babouin, plutôt que de séparer, comme aujourd'hui, le nègre ou l'australien du gorille.8 Dans un autre chapitre de The Origin of Species, Darwin prétendit qu'il était nécessaire que les races inférieures disparaissent et qu'il n'était pas du tout nécessaire que les peuples développés essayent de protéger les faibles ou de les maintenir vivants. Il compara cette situation à celle des éleveurs d'animaux reproducteurs: Les sauvages, les faibles de corps ou d'esprit seront bientôt éliminés; ceux qui survivront possèderont généralement un état de santé vigoureux. Cependant, nous, les hommes civilisés, nous faisons tout notre possible pour freiner le processus d'élimination car nous construisons des asiles pour l'imbécile, le mutilé et le malade; nous passons des lois d'assistance publique; et nos médecins prouvent leur extrême habileté en cherchant à sauver la vie de chaque malade. Il existe une raison pour croire que la vaccination a sauvé des milliers de personnes qui auraient autrement succombé à la petite vérole. C'est ainsi que les membres faibles des sociétés civilisées parviennent à propager leur genre. Quiconque s'est occupé un jour de l'élevage d'animaux domestiques ne peut douter de la conséquence hautement nuisible que cela engendrera à la race humaine.9 Comme nous l'avons vu, dans son livre The Origin of Species, Darwin considéra les aborigènes d'Australie et les nègres comme étant autant développés que des gorilles. De plus, il en défendit aussi l'extermination. Quant aux autres races "inférieures", il maintint qu'il était essentiel d'en empêcher leur multiplication et, ainsi, de favoriser leur extinction. Le racisme et la discrimination que nous rencontrons encore aujourd'hui ont été approuvées et justifiées de cette manière par Darwin. Les voyages de Darwin révélèrent son côté raciste au monde. Il utilisa par exemple le terme "animaux sauvages" pour décrire des tribus dont la culture et les capacités furent soulignées par bien d'autres chercheurs. De plus, selon Darwin, comme nous le verrons, le devoir de l'"homme civilisé" est d'accélérer cette période évolutionniste. Dans un tel contexte, il n'existait aucune objection "scientifique" à ce que les races qui allaient de toute façon disparaître soient supprimées. Le racisme de Darwin est présent dans la plupart de ses écrits et observations. Il a par exemple ouvertement exposé ses préjugés racistes en parlant des indigènes de Tierra del Fuego (Argentine) qu'il a eu l'occasion de voir lors d'un long voyage commencé en 1871. Il les a décrits comme étant des créatures vivantes "complètement nues, submergées de teintures, mangeant ce qu'ils trouvaient tout comme des animaux sauvages, incontrôlables et cruelles envers tous ceux qui ne font pas partie de leur tribu, prenant plaisir à torturer leurs ennemis, offrant des sacrifices ensanglantés, assassinant leurs propres enfants, maltraitant leurs femmes, et adeptes de superstitions gênantes". Cependant, le chercheur W. P. Snow, qui visita la même région dix ans auparavant, en présenta une image très différente. Selon Snow, les indigènes de Tierra del Fuego étaient "des gens délicats d'apparence puissante; ils aimaient leurs enfants; certains des objets qu'ils fabriquaient étaient ingénieux; ils reconnaissaient un certain droit de propriété et ils acceptaient de se soumettre à l'autorité de certaines femmes âgées".10 Comme ces exemples le prouvent, Darwin était raciste. En fait, d'après Benjamin Farrington, auteur du livre What Darwin Really Said (Ce que Darwin a vraiment dit), Darwin a fait beaucoup plus de commentaires concernant "les grandes différences entre hommes de races distinctes" dans son livre The Descent of Man (La descendance de l'homme).11 En outre, la théorie de Darwin a poussé l'homme à oublier qu'il avait été créé par Dieu, et que tous les hommes avaient été créés égaux. C'est un des facteurs qui explique la montée du racisme et l'accélération de son acceptation mondiale. Le scientifique américain James Ferguson énonce ainsi le lien étroit qui existe entre le rejet de la création et la hausse du racisme: La nouvelle anthropologie est bientôt devenue un contexte théorique entre deux écoles de pensée opposées quant à l'origine des hommes. La plus anciennement établie prônait le "monogénisme", soit la croyance que l'humanité entière, sans tenir compte de la race ou d'autres caractéristiques, descendait directement d'Adam; ceci n'est rien d'autre que l'acte unique de la création de Dieu. Le monogénisme fut promulgué par l'Eglise et accepté universellement jusqu'au 18ème siècle. Ensuite, le rejet de l'autorité théologique a commencé à alimenter la théorie rivale appelée "polygénisme" (la théorie de l'évolution) qui soutient que les communautés de races distinctes ont des origines différentes.12 L'anthropologiste indienne Lalita Vidyarthi indique comment la théorie de l'évolution de Darwin a fait que le racisme soit accepté en tant que concept par les sciences sociales: Stéphane Jay Gould ainsi que son livre qui révéla le côté raciste de Darwin. La théorie de la survie des mieux adaptés a été chaleureusement accueillie par les savants des sciences sociales de l'époque. Ils ont accepté l'idée que l'humanité ait traversé divers stades d'évolution dont le point culminant est la civilisation des blancs actuelle. Dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, le racisme a été accepté comme un fait par une grande majorité des scientifiques occidentaux.13 Les darwinistes se sont alors engagés dans une grande lutte pour prouver les vues racistes de Darwin. Pour atteindre ce but, ils n'ont pas hésité à inventer des tromperies scientifiques. Ces mensonges une fois démontrés, ils espéraient avoir scientifiquement prouvé leur propre supériorité et leur "droit" d'opprimer, de coloniser et d'exterminer, s'il le faut, d'autres races. Dans le troisième chapitre de son livre The Mismeasure of Man, Stephen Jay Gould indiqua que certains anthropologues falsifiaient leurs données pour prouver "la supériorité" de la race blanche. Selon Gould, la méthode la plus employée était la falsification de la dimension cérébrale des crânes fossilisés trouvés. Dans son livre, Gould mentionne que beaucoup d'anthropologues avaient assumé que la dimension cérébrale avait un rapport avec l'intelligence, et avaient intentionnellement exagéré la taille des crânes caucasiens et sous-estimé la taille des crânes des noirs et des indiens.14 Dans son livre, Ever Since Darwin (Depuis Darwin), Gould décrivit les outils incroyables utilisés par les darwinistes afin de démontrer que certaines races étaient inférieures. Haeckel et ses collègues ont aussi invoqué la récapitulation pour affirmer la supériorité raciale des blancs d'Europe du Nord. Ils sont partis à la recherche de preuves anatomiques et de comportement humain en se servant de tout ce qu'ils ont pu trouver, des cerveaux aux nombrils. Herbert Spencer écrivit que "les capacités intellectuelles du non-civilisé¿ ne sont pas plus évoluées que celles se trouvant chez les enfants du civilisé". Carl Vogt l'a dit d'une manière plus explicite en 1864: "Les capacités intellectuelles d'un adulte de couleur noire sont comparables à celles d'un enfant¿ Quelques tribus ont certes fondé des petits états possédant une organisation particulière. Pourtant, en ce qui concerne tout le reste, nous pouvons sans risque affirmer que cette race entière n'a rien réalisé de progressiste et de valable pour l'humanité ou rien n'étant simplement digne de conservation ni dans le passé, ni dans le présent." 15 L'anatomiste français Etienne Serres a par exemple vraiment soutenu l'idée que les mâles noirs étaient primitifs parce que leurs nombrils se trouvaient à un niveau inférieur de celui des blancs. L'évolutionniste Havelock Ellis, un contemporain de Darwin, a soutenu ce concept de races supérieures et inférieures par une explication soi-disant "scientifique": L'enfant de race africaine est, à la naissance, à peine moins intelligent que l'enfant européen. Pourtant l'africain devient plus il grandit stupide et obtus et puis toute sa vie sociale tombe dans un état de routine bornée. De son côté, l'Européen conserve la plupart de sa vivacité enfantine.16 L'anthropologue darwiniste français Vacher de Lapouge a suggéré, dans son travail intitulé Race et milieu social essais d'anthroposociologie (Paris 1909), que les races non-blanches descendaient de sauvages qui n'avaient pas appris à se civiliser et qu'ils étaient les représentants dégénérés des classes de sang mixte. Il proposa de mesurer la taille des crânes des classes supérieures et inférieures présentes dans un des cimetières de Paris. D'après ses conclusions, certaines personnes étaient enclines, en raison de la taille de leur crâne, à être riches, sûres d'elles-mêmes et libres alors que d'autres étaient vouées à être conservatrices, à se contenter de peu, à posséder en quelque sorte toutes les qualités nécessaires d'un bon domestique. Les différentes classes étaient donc le produit de la sélection sociale. Les classes supérieures de la société correspondaient aux races supérieures, leur degré de richesse étant proportionnel à la taille de leur crâne. Lapouge déclara plus tard: "Je pense que dans les années à venir, les gens s'entretueront pour la forme de leurs têtes, qu'elles soient rondes ou pointues."17 Comme nous le verrons en détail dans les pages suivantes, cette prophétie s'est réalisée, le 20ème siècle ayant été témoin de nombreux massacres justifiés au nom du racisme¿! L'effet ne s'est pas limité aux anthropologues; les entomologistes (ceux qui étudient les insectes) se sont aussi embarqués dans le chemin tracé par Darwin. Donnons l'exemple d'un entomologiste anglais qui, en 1861, est arrivé à la conclusion, après avoir rassemblé différents poux vivant sur le corps de personnes dans différentes parties du monde, que les poux se nourrissant d'une race ne pouvaient pas vivre sur le corps d'une autre race. Considérer cette affirmation comme étant scientifique nous semble aujourd'hui tout à fait ridicule. 18 Considérant que des scientifiques ont pu faire de telles remarques, il n'est pas surprenant que les racistes dogmatiques aient employé des slogans tels que "même les poux des nègres sont nègres" qui sont illogiques, absurdes et complètement insignifiants. En bref, le côté raciste de la théorie de Darwin a trouvé un terrain très fertile dans la deuxième moitié du 19ème siècle. A cette époque, "l'homme blanc" européen cherchait alors encore une théorie pour justifier ses propres crimes. Le colonialisme britannique et le darwinisme Le pays qui a le plus profité des vues racistes de Darwin est la propre terre de Darwin, la Grande-Bretagne. Dans les années où Darwin a avancé sa théorie, la Grande-Bretagne avait fondé le plus grand empire colonial du monde. Toutes ressources naturelles de l'Inde à l'Amérique Latine furent exploitées par l'empire britannique. "L'homme blanc" pillait le monde pour son propre intérêt. LE MASSACRE DES INDIGENES AMERICAINS Un massacre effroyable d'indiens américains suivit la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Néanmoins, en commençant par Grande-Bretagne, aucun empire colonial ne voulait être considéré comme "pilleur". C'est pour cette raison qu'ils cherchaient une justification à leurs actes. Une telle justification leur servirait à présenter les peuples colonisés comme étant "des gens primitifs" ou "des êtres vivants similaires aux animaux". De cette façon, ceux qui étaient massacrés et soumis à des traitements inhumains n'étaient pas considérés comme des hommes, mais comme des créatures mi-animales/mi-humaines; la violence contre un individu colonisé n'était dès lors plus considérée comme un crime. En réalité, la recherche de cette justification n'était pas nouvelle: la première vague coloniale dans le monde remonte en effet aux 15ème et 16ème siècles. L'idée que certaines races portaient des caractéristiques animales avait déjà été avancée par Christophe Colomb lors de ses voyages en Amérique. Selon ces hypothèses, les indigènes américains n'étaient pas des hommes, mais une sorte d'animal développé. C'est pour cette raison qu'ils pouvaient facilement être mis au service des colonialistes espagnols. Bien que Colomb soit dépeint dans les films sur la découverte de l'Amérique comme ayant une attitude cordiale et humaine à l'égard des indigènes, en vérité il n'a pas considéré les indigènes comme des humains.19 Christophe Colomb fut la première personne à provoquer un grand massacre. Après avoir établi des colonies espagnoles dans les endroits qu'il a découverts, il a fait des indigènes des esclaves, et est donc responsable du début de la traite d'esclaves. "Les conquistadors" espagnols ont compris l'importance de la politique d'oppression et d'exploitation mise en place par Christophe Colomb et l'ont adoptée: les massacres perpétrés atteignirent des dimensions incroyables. Prenons l'exemple d'une population d'une île de 200.000 habitants avant l'arrivée de Christophe Colomb. Et bien celle-ci fut réduite à 50.000 habitants 20 ans après son arrivée; cinquante ans plus tard, en 1540, il n'en restait plus que mille. Quand Cortes, le plus célèbre des conquistadors espagnols, a conquit le Mexique depuis février 1519, la population locale totale était d'environ 25 millions d'habitants. En 1605, il ne restait plus qu'un million d'habitants. Sur l'île de Hispaniola, la population de 7-8 millions en 1492 a diminué à 4 millions en 1496 et à plus que 125 personnes en 1570. Selon les chiffres des historiens, moins d'un siècle après que Christophe Colomb a posé pied sur le continent, 95 millions de personnes furent massacrées par les colonialistes. Quand Colomb a découvert l'Amérique, il existait 30 millions d'indigènes sur le continent. Le résultat des massacres qui furent perpétrés depuis cette époque-là et aujourd'hui fait qu'il ne reste plus que deux millions d'indigènes. Ces massacres ont pu atteindre de telles proportions parce que les peuples indigènes n'étaient pas considérés comme des hommes mais comme des animaux. Pourtant, les assertions de ces premiers colons n'ont pas attiré beaucoup de partisans. En Europe, à cette époque, la croyance que tous les hommes avaient été créés égaux par Dieu et que tous étaient descendants d'un ancêtre commun -Adam- était largement acceptée. L'Eglise catholique avait alors pris une position claire contre les invasions et les pillages perpétrés par les colonialistes. L'un des meilleurs exemples connus est la réaction de l'évêque du Chiapas, Bartolomé de las Casas, qui mit pied sur le Nouveau Monde en même temps que Colomb. Bartolomé de Las Casas a alors dit que les habitants locaux étaient "des êtres humains réels". Ceci, évidemment était contraire à l'approche des colonialistes qui considéraient les indigènes comme étant "une espèce animale". Le Pape Paul III a maudit le traitement sauvage des indigènes dans une bulle papale émise en 1537 dans laquelle il déclara que les habitants locaux étaient des êtres humains réels ayant la capacité de détenir la foi.20 Pourtant, la situation a changé au 19ème siècle. La propagation de la philosophie matérialiste a éloigné les sociétés de la religion; l'idée de Création Divine a commencé à être rejetée. Cela, comme nous venons de le mentionner dans les pages précédentes, a permis une hausse sans précédent du racisme. La propagation de la philosophie darwiniste-matérialiste au 19ème siècle a permis au racisme de prendre encore plus d'ampleur. Ceci a fourni un énorme soutien au développement du système impérialiste européen. James Joll, qui enseigna l'histoire pendant de longues années à Oxford, Stanford et Harvard, décrivit dans son livre intitulé Europe Since 1870 (L'Europe depuis 1870), le rapport idéologique entre le darwinisme, l'impérialisme et le racisme. Ce livre est aujourd'hui encore utilisé comme un livre de base pour les études universitaires. Le darwinisme social peut être considéré comme la source principale d'inspiration de l'impérialisme. Sous le prisme du darwinisme social, les relations internationales prirent la forme d'une lutte perpétuelle pour la survie. A la suite de cette lutte, certaines races supérieures survivront dans un processus évolutionniste au sein duquel les plus forts devront constamment s'affirmer. Les livres du naturaliste anglais Charles Darwin, The Origin of Species, publié en 1859, et The Descent of Man, publié en 1871, ont lancé des controverses qui ont affecté plusieurs branches de la pensée européenne¿ Les idées de Darwin et de certains de ses contemporains comme le philosophe anglais Herbert Spencer furent rapidement appliquées à des questions qui n'étaient pas directement scientifiques¿ L'élément du darwinisme qui a paru le mieux applicable au développement social était la croyance que l'excès de population devait forcément engendrer une lutte constante pour la survie. Seul le plus fort ou 'le mieux adapté' sortirait vivant de la lutte. Dès lors, il fut plus facile pour certains philosophes sociaux d'ajouter un contenu moral à la notion du 'mieux adapté'. En suivant cette logique, les espèces ou les races victorieuses devenaient celles qui possédaient les qualités morales les plus élevées. LA FALSIFICATION DE L'HOMME DE PILTDOWN Une des sources les plus intéressantes de la théorie de l'évolution dont l'impérialisme britannique s'est inspiré, fut le scandale qui se développa autour de l'homme de Piltdown. En 1912, un crâne étrange fut trouvé à Piltdown, en Angleterre. Charles Dawson et son équipe, les scientifiques qui découvrirent le crâne, déclarèrent que celui-ci avait appartenu à une créature mi-homme mi-singe. Arthur Keith, anatomiste évolutionniste renommé, examina le fossile et en confirma les résultats. Cependant, Dawson et Keith avaient souligné un détail important: le cerveau du fossile était aussi grand que celui de l'homme moderne mais son os maxillaire avait des caractéristiques identiques à celles d'un singe. Cette découverte devint soudainement une question de fierté pour les Anglais. En effet, avant toutes choses, puisque ce crâne avait été trouvé en Angleterre, il devait être un ancêtre des Anglais. Selon les Britanniques, le volume plus grand de son cerveau indiquait que les Britanniques s'étaient développés plus vite que d'autres races et étaient donc supérieurs à elles. C'est pour toutes ces raisons que la découverte de l'homme de Piltdown causa une grande excitation en Angleterre. Les journaux la titrèrent partout et des foules immenses la célébrèrent joyeusement. Le gouvernement britannique accorda d'autre part l'ordre de chevalerie à Arthur Keith pour sa fabuleuse découverte. Don Johanson, le célèbre paléontologiste évolutionniste, décrivit le lien qui se tissa entre le fossile de l'homme de Piltdown et l'impérialisme anglais: La découverte de Piltdown fut très eurocentriste. Par la prééminence de la taille de ce cerveau, l'Anglais obtint aussi une prééminence.* Cette source d'inspiration que les Anglais tirèrent de l'homme de Piltdown ne dura que jusqu'en 1953, lorsque Kenneth Oakley, un scientifique qui réexamina le fossile en détail, l'exposa comme étant la plus grande contrefaçon du 20ème siècle. Le fossile avait été en fait créé en fixant une mâchoire d'orang-outan à un crâne humain. *Don Johanson, In Search of Human Origins, 1994 WGBH Educational Foundation La doctrine de la sélection naturelle a ensuite facilement pu être associée à une autre pensée développée par l'auteur français, Comte Joseph-Arthur Gobineau, qui publia un ouvrage intitulé Essay on the Inequality of Human Races (Essai sur l'inégalité de races humaines) en 1853. Dans cet essai, Gobineau écrivit que le facteur déterminant dans le développement humain est la race. Ainsi, les races supérieures seraient celles qui ont gardé leur pureté raciale intacte. Parmi celles-ci, Gobineau considéra que la race aryenne était celle qui avait le mieux survécu¿ Ce fut Houston Stewart Chamberlain qui contribua à porter certaines de ces idées encore plus loin¿ Hitler lui-même, ayant tellement admiré cet auteur (Chamberlain), qu'il lui a rendu visite sur son lit de mort en 1927.21 Comme nous l'avons vu, il existe une relation idéologique liant Darwin aux penseurs racistes et aux impérialistes, ainsi qu'à Hitler. Le darwinisme est la base idéologique de l'impérialisme qui remplit le monde d'un bain de sang au 19ème siècle, ainsi que du nazisme, qui en fit de même au 20ème siècle. La Grande-Bretagne de l'époque victorienne a aussi trouvé sa prétendue "base scientifique" dans le darwinisme. Elle tirait de grands profits du colonialisme et n'hésitait pas à abuser des gens vivants sous son administration coloniale. L'un des exemples de la politique impérialiste douteuse de la Grande-Bretagne est "les guerres de l'opium" contre la Chine. La Grande-Bretagne a commencé à vendre aux Chinois l'opium cultivé en Inde dès le premier quart du 19ème siècle. Le trafic illégal d'opium augmenta avec le temps, ce qui favorisa le développement du commerce étranger britannique. D'un autre côté, le flux de drogue affaiblit l'autorité chinoise sur son propre territoire. L'effondrement social atteignit des proportions sérieuses. La prohibition de l'opium, que le gouvernement chinois n'a appliqué qu'après une longue période de doute, a mené à la première guerre de l'opium (1838-1842). Il est indiscutable que cette guerre a poussé le pays vers la faillite. La Chine fut obligée de se rendre face à la supériorité militaire des forces étrangères. En conséquence, les Occidentaux ont peu à peu créé, à partir de l'année 1842, des centres d'occupation sur le territoire chinois. Ils ont occupé une grande partie des ports (concessions), ont loué par bail des territoires et ont finalement obligé le pays à s'ouvrir au monde extérieur de la manière la plus avantageuse pour eux. La politique britannique a donc mené à l'appauvrissement du pays, à la faiblesse du gouvernement et à la perte lente de territoires. Les expériences vécues en Chine ne sont qu'un exemple de la politique britannique parmi tant d'autres. Au cours du 19ème siècle, l'oppression causée par l'impérialisme britannique fut ressentie dans des régions telles que l'Afrique du Sud, l'Inde et l'Australie. Les sociologues et scientifiques britanniques ont pris en charge la justification de ce système opprimant. Charles Darwin était parmi les plus importants et effectifs de ceux-ci. C'est lui qui prétendit qu'il exista toujours "des races supérieures" au cours de l'évolution, et que celles-ci étaient maintenant les "races blanches". C'est encore lui qui avança que l'oppression perpétrée par les blancs était "une loi de la nature". Kenneth J. Hsü, le célèbre scientifique d'origine chinoise et chef du département de géographie de l'Institut fédéral de technologie suisse, décrivit Darwin comme étant "un scientifique distingué de l'ère victorienne et comme un membre établi d'une société qui envoya des canonnières pour importer de l'opium par force en Chine; tout ceci au nom de la compétition (au sein de la théorie du libre échange) et de la survie du mieux adapté".22 L'hostilité de Darwin envers les Turcs La cible la plus importante fixée par la Grande-Bretagne vers la fin du 19ème siècle était de déstabiliser l'empire ottoman. A cette époque, l'état ottoman gouvernait une énorme région s'étendant du Yémen à la Bosnie-Herzégovine. Cependant, les Ottomans avaient de plus en plus de difficultés à gérer ce territoire qu'ils avaient jusqu'alors dirigé dans la paix, la stabilité et le calme. Des minorités chrétiennes commençaient à se révolter au nom de l'indépendance alors que de grandes puissances militaires comme la Russie les menaçaient de l'extérieur. Dans le dernier quart du 19ème siècle, la Grande-Bretagne et la France se sont placées du côté des puissances menaçant les Ottomans. La Grande-Bretagne convoitait particulièrement les provinces ottomanes du Sud. Le Traité de Berlin, signé en 1878, illustre la volonté des colonialistes européens de se partager les territoires ottomans. Cinq ans plus tard, en 1882, la Grande-Bretagne occupa l'Egypte, qui appartenait alors à l'empire ottoman. Le colonialisme britannique mit alors en pratique ses plans de contrôle sur les territoires ottomans du Moyen-Orient. Comme toujours, la Grande-Bretagne a alors basé sa politique coloniale sur le racisme. Le gouvernement britannique a dès lors délibérément dénigré les Turcs, les fondateurs de l'empire ottoman, ainsi que tous les Ottomans et les considéra comme étant des gens soi-disant "arriérés". L'HOSTILITE ENVERS LES TURCS CONTENUE DANS LA CORRES PONDANCE PRIVEE DE DARWIN Charles Darwin utilisa sa théorie afin de contribuer aux desseins politiques de la Grande-Bretagne contre les Ottomans. Ce faisant, il essaya de démontrer que la nation turque était une race arriérée. Actuellement, les ennemis des Turcs trouvent toujours une source d'inspiration dans ce non-sens formulé par Darwin. Le premier ministre britannique William Ewart Gladstone dit ouvertement que les Turcs étaient de bons exemples non-humains de l'humanité. Il proposa, pour le bien de leur civilisation, qu'ils soient chassés d'Anatolie et repoussés vers leurs steppes asiatiques.23 Ces propos et tant d'autres semblables ont été employés pendant des décennies par le gouvernement britannique comme outil de propagande contre les Ottomans. La Grande-Bretagne tenta de présenter la nation turque comme étant une nation arriérée qui devait courber l'échine devant les races européennes plus avancées. "La base scientifique" soutenant cette propagande n'était rien d'autre que celle avancée par Charles Darwin! Les commentaires de Darwin concernant la nation turque sont parus dans le livre publié en 1888 intitulé The Life and Letters of Charles Darwin (La vie et la correspondance de Charles Darwin). Darwin y avança que la sélection naturelle jouerait un rôle dans le développement de la civilisation du fait de l'élimination des "races arriérées". Il y présente la nation turque de la façon suivante: Je pourrais prouver que la sélection naturelle a servi et sert encore la civilisation beaucoup plus que vous ne le croyez. Rappelez-vous les risques encourus par les nations européennes lorsque l'Europe a été dominée par les Turcs il y a de cela quelques siècles et pensez à l'absurdité d'une telle idée maintenant! Des races plus civilisées comme les races caucasiennes avaient alors vaincu la barbarie turque dans une guerre pour la survie. Considérant le monde dans un futur proche, je prédis que d'innombrables races inférieures seront éliminées par les races civilisées supérieures dans le monde entier.24 LA CAMPAGNE DE GALLIPOLI Durant la campagne de Gallipoli, l'armée turque combattit héroïquement contre les troupes ennemies, les Anglais en tête, et perdit 250.000 hommes. Ces propos absurdes de Darwin étaient un outil de propagande écrit afin de soutenir la politique britannique de destruction de l'empire ottoman. Cet outil de propagande fut en effet très efficace. Les mots de Darwin "la nation turque disparaîtra bientôt, c'est une loi de l'évolution" a fourni l'appui scientifique nécessaire à la propagande britannique contre les Turcs. Le désir britannique d'accomplir la prophétie de Darwin s'est essentiellement réalisé pendant la première guerre mondiale. Cette guerre d'une ampleur immense a débuté en 1914 et est le résultat de conflits d'intérêt entre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie d'un côté, et les alliés de la Grande-Bretagne, soit la France et la Russie, de l'autre. Le plus grand enjeu de cette guerre était de détruire et de partager l'empire ottoman. La Grande-Bretagne a attaqué l'empire ottoman sur deux fronts différents: le premier était le front du canal de Suez, de la Palestine, et de l'Irak, afin de saisir les territoires ottomans du Moyen-Orient. Le second, le front de Gallipoli, fut la scène de l'une des plus sanglantes batailles de la première guerre mondiale. L'armée turque s'est battue héroïquement à éanakkale et perdit 250.000 soldats en luttant contre les forces ennemies rassemblées par les Anglais. Quant aux Anglais, ils ont envoyé des troupes indiennes et des unités recrutées dans d'autres colonies telles que l'Australie et la Nouvelle-Zélande plutôt que leurs propres soldats pour combattre les Turcs. Les conséquences de l'hostilité de Darwin envers les Turcs ont encore été ressenties bien après la première guerre mondiale. Les groupes néonazis européens qui attaquent par traîtrise les Turcs en Europe s'inspirent toujours et encore de cette absurdité que Darwin soutenait à l'égard de la nation turque. On peut encore aujourd'hui trouver certains propos de Darwin concernant les Turcs sur des sites Internet de groupes racistes. (Voir le chapitre "L'alliance sanglante entre Darwin et Hitler") Le racisme et le darwinisme social en Amérique Le darwinisme social a aussi servi de soutien aux racistes et aux impérialistes dans d'autres pays que la Grande-Bretagne. Il s'est ainsi propagé rapidement dans le monde entier. A la tête de ceux qui ont soutenu la théorie de Darwin se trouvait le président américain Théodore Roosevelt. Roosevelt était le principal partisan et exécuteur du programme de purification ethnique appelé "relocalisation obligatoire" appliqué aux indiens d'Amérique. Dans son livre The Winning of the West (La victoire de l'Ouest), Roosevelt décrivit une idéologie poussant au massacre. Il y soutint qu'une guerre raciale pour exterminer les indiens était inévitable.25 Sa plus grande force fut d'utiliser le darwinisme car cela lui a donné la chance de définir les indigènes comme appartenant à une espèce arriérée. Dans son livre The Winning of the West (La victoire de l'Ouest), le président américain Théodore T. Roosevelt théorisa une idéologie brutale puis la mit en application. Comme Roosevelt l'avait prévu, aucun des traités conclus avec les indiens d'Amérique ne fut respecté. En 1871, le Congrès ignora tous les traités conclus avec les indiens d'Amérique et décida de les exiler tous vers des terres désertes afin qu'ils y attendent la mort. Si les indiens n'étaient pas considérés comme étant humains, comment les traités conclus avec eux pouvaient-ils être valables? Roosevelt a aussi prétendu que la guerre raciale mentionnée ci-dessus représentait la culmination de l'établissement des peuples anglophones (anglo-saxons) dans le monde.26 Josiah Strong, évolutionniste américain et ecclésiastique protestant et l'un des partisans principaux du racisme anglo-saxon, employa la même logique. Il écrivit: Alors le monde entrera dans une nouvelle ère historique, celle de la compétition raciale finale pour laquelle l'Anglo-saxon s'est préparé. Si je ne me trompe, cette race puissante ira au Mexique, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud, sur toutes les îles, en Afrique et même au-delà. Personne ne peut douter que le résultat de cette compétition sera "la survie du mieux adapté".27 Une grande partie des racistes qui se sont servis du darwinisme social haïssaient les noirs. Dans leurs théories racistes, on trouve une hiérarchie des races où la race blanche est supérieure alors que la race noire est la plus primitive. Il paraît clair que tous ont embrassé le concept de l'évolution avec grand enthousiasme.28 Henry Fairfield Osborn, le plus proéminent des théoriciens racistes évolutionnistes, écrivit, dans un article intitulé "The Evolution of Human Races" (L'évolution des races humaines), que "la moyenne intellectuelle du noir adulte moyen est semblable à celle d'un jeune homme de 11 ans de l'espèce Homo Sapiens".29 Selon cette logique, les noirs ne sont pas des êtres humains. Carleton Coon, un autre des partisans les plus connus de la pensée raciste évolutionniste, prétendit dans son livre The Origins of Races (Les origines des races), publié en 1962, que les races noires et blanches appartiennent à deux espèces différentes qui se seraient séparées l'une de l'autre dans la période de l'Homo Erectus. D'après Coon, les blancs se seraient développés davantage après cette séparation. Les partisans de la discrimination contre les noirs se sont servis de cette explication pseudo-scientifique pendant longtemps. A la fin du 19ème siècle et au début du 20ème siècle, en Amérique, les blancs traitèrent les noirs d'une façon inhumaine. Les différentes lois émises et leurs applications révélèrent clairement le statut de race inférieure qui fut accordé aux noirs. Alors que les blancs vécurent dans l'opulence, les noirs subirent des traitements inhumains. Le soutien scientifique permit au racisme de se propager rapidement en Amérique. W. E. Dubois, connu pour être opposé à toute discrimination raciale, déclara que "le problème du vingtième siècle est celui de la discrimination raciale". Il souligna l'importance de la situation paradoxale suivante: comment expliquer que le problème du racisme se soit répandu si facilement dans le pays qui veut devenir la plus grande démocratie du monde et qui a, dans un certain sens, atteint ce but démocratique? L'abolition de l'esclavage n'a pas suffi à établir la fraternité entre noirs et blancs. La discrimination officielle est devenue, selon Dubois, une situation ipso facto et légale, dont on cherche encore une voie de sortie.30 Les premières lois racialement discriminatrices sont aussi apparues à cette époque. Elles étaient alors connues sous le nom des "lois de Jim Crow" (Jim Crow était l'un des surnoms dérogatoires attribués par les blancs aux noirs). Les noirs n'étaient pas traités comme des humains et étaient méprisés et dédaignés partout. Ceci ne se bornait pas au comportement de quelques individus racistes, mais était une politique légale adoptée par l'état américain. Juste après le passage de la première loi approuvant la ségrégation raciale sur les chemins de fer et les trams au Tennessee en 1875, tous les Etats du Sud adoptèrent la même loi. Des panneaux "Réservé aux blancs" et "Réservé aux noirs" furent accrochés partout. En réalité, tout cela n'était rien d'autre que l'octroi de statut officiel à une situation qui existait déjà. Les mariages interraciaux furent interdits. Conformément à la loi, la ségrégation fut obligatoire dans les hôpitaux, les prisons et les cimetières. En pratique, cela incluait aussi les hôtels, les théâtres, les bibliothèques et même les ascenseurs et les églises. La ségrégation dans les écoles était la plus sévère. Ce fut la mesure qui affecta le plus sérieusement les noirs, constituant le plus grand obstacle à leur développement culturel. L'OPPRESSION DES NOIRS Le Ku Klux Klan fut le groupe qui adressa les attaques les plus impitoyables contre les noirs. La chaîne montrée dans l'image ci-contre fut employée pour enchaîner des esclaves noirs. La ségrégation raciale officielle fut suivie d'une vague de violence. Il y eut une hausse rapide des lynchages de noirs. Entre 1890 et 1901, environ 1.300 noirs furent lynchés. Les noirs se sont révoltés dans plusieurs Etats pour dénoncer ces exécutions. Le développement de pensées et de théories racistes a naturellement accompagné cette période: peu de temps après, le racisme biologique américain s'exprimait à travers les résultats obtenus par la méthode de mesure de la capacité crânienne de R. B. Bean. Afin de protéger le nouveau continent d'une vague de migration non contrôlée, une sorte particulière de racisme a surgi en Amérique. Madison Grant, l'auteur du livre The Passing of the Great Race (1916), écrivit que le métissage des deux races mènera à l'apparition d'une race plus primitive encore que l'espèce inférieure.31 Il proposa ainsi que les mariages interraciaux soient interdits. Le racisme existait déjà en Amérique et dans le monde entier avant Darwin. Cependant, le darwinisme a offert un soutien évident aux vues et aux politiques racistes de la deuxième moitié du 19ème siècle. Comme nous l'avons vu dans ce chapitre, les racistes se sont servis des affirmations et des slogans darwinistes pour soutenir leurs idées. Les notions qui, avant Darwin, avaient été considérées cruelles, étaient maintenant acceptées comme loi naturelle. La politique inhumaine des racistes darwinistes L'extermination des aborigènes Les indigènes d'Australie sont connus sous le nom d'aborigènes. Ces gens, qui avaient vécu sur le continent pendant des milliers d'années, ont subi l'une des plus grandes exterminations de l'histoire suite à l'arrivée des colons européens. La base idéologique et scientifique de cette extermination fut le darwinisme. Les vues des idéologues darwinistes au sujet des aborigènes permirent la sauvagerie dont ces gens ont souffert. LE MASSACRE DES ABORIGENES Les indigènes australiens, les aborigènes, ont été massacrés sous prétexte qu'ils constituaient une espèce humaine peu développée. En 1870, Max Muller, un anthropologue évolutionniste de la London Anthropological Review, divisa les races humaines en sept catégories. Les aborigènes se trouvaient dans la plus basse des catégories alors que la race aryenne, celle des européens blancs, se trouvait dans la plus haute. H. K. Rusden, un célèbre darwiniste social, prononça les mots suivants à propos des aborigènes en 1876: La survie du mieux adapté signifie que la loi du plus fort est toujours la meilleure. Donc, nous invoquons et accomplissons implacablement la loi inexorable de la sélection naturelle en exterminant les Australiens inférieurs et les races de Maori... Et nous nous emparons calmement de leur patrimoine.32 En 1890, James Barnard, le vice-président de la Société Royale de Tasmanie, écrivit: "Le processus d'extermination est un axiome de la loi de l'évolution et de la survie du mieux adapté." Il n'existait donc, comme il le conclut, aucun sentiment de culpabilité dans le meurtre et la dépossession des aborigènes australiens.33 Les vues racistes impitoyables et sauvages nourries par Darwin menèrent donc à un massacre épouvantable visant à exterminer les aborigènes. Des têtes d'aborigènes furent clouées aux portes des gares et du pain empoisonné fut distribué aux familles aborigènes. Dans plusieurs régions d'Australie, les territoires habités par les aborigènes ont cruellement disparu en l'espace de 50 ans.34 La politique envers les aborigènes ne se limitait pas à des massacres. Beaucoup d'aborigènes furent traités comme des animaux de laboratoire. L'Institut Smithsonian de Washington D. C. a conservé restes de 15.000 personnes de races diverses. 10.000 aborigènes australiens furent envoyés par bateau au Musée britannique, afin de comprendre s'il existait vraiment "un maillon manquant" dans la transition de l'animal à l'homme. Les musées ne s'intéressaient pas qu'aux os: ils ont conservé des cerveaux appartenant aux aborigènes et les ont ensuite vendus à bon prix. Il existe également des preuves qui montrent que des aborigènes australiens ont été tués pour être employés comme spécimens. Les faits décrits ci-dessous témoignent de cette cruauté: Le mémoire de fin de vie de Korah Wills, maire de Bowen dans le Queensland en 1866, décrivit clairement la façon dont il tua et découpa en morceaux les membres d'une tribu locale en 1865 afin de se fournir en spécimens scientifiques. Edouard Ramsay, directeur du musée australien de Sydney de 1854 à 1874, publia une brochure concernant le musée; il décrivit les aborigènes comme étant "des animaux australiens". Il y donna non seulement des instructions concernant la façon de profaner des tombes, mais aussi concernant la façon de dissimuler les blessures de balle dans "les spécimens" récemment tués. Amalie Dietrich (surnommée 'l'ange de la mort noire'), une évolutionniste allemande, est venue en Australie demander aux propriétaires de garnisons la permission de tuer des aborigènes pour obtenir des spécimens, et en particulier pour avoir des peaux de bourrage et de montage pour ses employés du musée. Bien que probablement expulsée d'au moins une propriété, elle fut bientôt de retour à la maison avec ses spécimens. Un missionnaire du New South Wales avait témoigné avec horreur du massacre d'une douzaine d'Aborigènes, hommes, femmes et enfants, par la police montée. Quarante-cinq têtes furent bouillies et les 10 meilleurs crânes furent envoyés en outre-mer.35 L'extermination des aborigènes a continué pendant le 20ème siècle. L'enlèvement par force d'enfants aborigènes fut l'une des méthodes employées pendant cette extermination. Alain Thornhill, dans un article paru dans le Philadelphia Daily News du 28 avril 1997, décrivit de la façon suivante la méthode employée contre les aborigènes: DES FAMILLES ABORIGENES RACONTENT LES ENLEVEMENTS Les aborigènes qui vivaient dans les déserts isolés du Nord-Ouest de l'Australie couvraient leurs enfants à peau claire avec du charbon de bois, espérant ainsi empêcher les agents de la sécurité sociale de les emporter. "Les agents de la sécurité sociale vous enlevaient au moment où ils vous trouvaient," rapporta l'un des enfants enlevés, plusieurs années plus tard. "Notre peuple nous cachait, nous peignait avec du charbon de bois." "J'ai été pris à Moola Bulla," disait un ouvrier qui avait été enlevé quand il était enfant. "Nous avions 5 ou 6 ans environ." Son récit fut l'un parmi les milliers entendus par la Commission des Droits de l'Homme et d'Opportunités Egales d'Australie créée spécifiquement pour une enquête sur "la génération enlevée". De 1910 jusqu'aux années 1970, environ 100.000 enfants aborigènes ont été enlevés à leurs parents... Des enfants aborigènes à peau claire ont été enlevés et donnés en adoption aux familles blanches. Les enfants à peau brune ont été placés dans des orphelinats.36 Aujourd'hui, la douleur est encore si grande que la plupart des récits du rapport final de la commission intitulé "Les ramener chez eux" furent imprimés anonymement. La commission a déclaré que les actions des autorités pouvaient être considérées comme étant un génocide, selon la définition des Etats-Unis. Le gouvernement a refusé de suivre les conseils de l'enquête qui proposait la formation d'un tribunal afin d'estimer les paiements d'indemnité pour les enfants enlevés. Comme nous venons de le voir, le traitement inhumain, les massacres, la cruauté, la sauvagerie et les exterminations effectuées ont toujours été justifiés par des thèses darwinistes tels que "la sélection naturelle", "le combat pour la survie" et "la survie des mieux adaptés". Toutes ces souffrances subies par les indigènes australiens ne sont qu'une petite partie des catastrophes mondiales causées par le darwinisme. Ota Benga Suivant la prétention de Darwin que les hommes et les singes descendraient d'un ancêtre commun, des recherches de fossiles furent entreprises pour soutenir ce scénario. Certains évolutionnistes pensaient trouver des créatures "mi-homme/mi-singe" dans les fossiles répertoriés, aussi bien que dans le monde vivant dans diverses parties du monde. Au début du 20ème siècle, les recherches du "maillon manquant" causèrent plusieurs actes de sauvagerie. L'un de ces actes peut être illustré par l'histoire du pygmée nommé Ota Benga. Ota Benga fut capturé en 1904 au Congo par un chercheur évolutionniste appelé Samuel Verner. Cet indigène, dont le nom signifie "ami" dans sa propre langue, était marié et père de deux enfants. Il fut enchaîné comme un animal, enfermé dans une cage et envoyé aux Etats-Unis. Au cours de l'exposition universelle de St. Louis, des scientifiques évolutionnistes l'ont enfermé dans une cage avec diverses espèces de singe et l'ont présenté comme "le maillon le plus proche de l'homme". Deux ans plus tard, ils l'ont emmené au Zoo du Bronx de New York et l'ont exposé comme étant l'un "des ancêtres les plus vieux de l'homme" avec des chimpanzés, un gorille nommé Dinah et un orang-outan nommé Dohung. Le directeur évolutionniste du zoo, le docteur William T. Horniday, a donné de longs discours sur combien il était fier de posséder "le maillon manquant". Les visiteurs ont traité Ota Benga comme un simple animal vivant dans une cage. Une édition du "New York Times" imprimée à cette époque décrivit ainsi les attitudes des visiteurs: Il y avait, le dimanche, 40.000 visiteurs dans le parc. Presque chaque femme, homme et enfant visitaient l'abri des singes pour voir l'objet d'attraction du parc - l'homme sauvage venant d'Afrique. Ils le harcelaient toute la journée, en hurlant, en raillant et en criant. Certains d'entre eux lui ont donné des coups de poings dans les côtes, d'autres l'ont fait tomber, tous se sont moqués de lui.37 L'édition datée du 17 septembre 1906 du New York Journal indiqua que tout ceci servait à prouver la théorie de l'évolution, tout en soulignant la grande injustice et cruauté commise: ¿ Ces hommes sans pensée et sans intelligence ont exposé dans une cage à singes un nain humain d'Afrique. Leur idée était probablement d'inculquer une bonne leçon d'évolution. En fait, le seul résultat obtenu fut de perpétuer le mépris pour la race africaine, qui mériterait plus de sympathie et de politesse de la part des blancs de ce pays, surtout si l'on considère la brutalité dont elle a été l'objet ici¿ OTA BENGA Ota Benga était un indigène africain. Il fut pris au piège comme un animal par des chercheurs évolutionnistes, mis en cage et exposé dans un zoo à côté de singes. C'est honteux et répugnant que le malheur d'un être humain, son handicap physique, créé par la même Force qui nous a tous créés et nous a accordé les mêmes sentiments et la même âme, le condamne à être enfermé dans une cage avec des singes, et à être sujet de la moquerie publique.38 Le New York Daily Tribune mentionna aussi qu'Ota Benga fut exposé dans le zoo afin de prouver la théorie de l'évolution. La rhétorique défensive du directeur darwiniste du zoo ne comportait aucun scrupule: L'exposition, la semaine dernière, d'un pygmée africain dans la même cage qu'un orang-outang dans le parc zoologique de New York a causé une critique considérable. Certains ont déclaré que c'était une tentative de la part du Directeur Hornaday pour démontrer un rapport proche entre les noirs et les singes. Mais le docteur Hornaday a nié tout cela. "Si ce petit homme est dans une cage," a dit le docteur, "c'est parce qu'il y est plus confortable et parce que nous ne savons pas quoi d'autre faire de lui. Il n'est absolument pas prisonnier ici, cependant, personne ne peut dire qu'il serait prudent de lui permettre d'errer seul dans la ville."39 Le traitement animal envers Ota Benga dans le zoo a causé un malaise dans divers cercles. Certaines fondations se sont adressées aux autorités pour faire cesser cette pratique. Ils disaient qu'Ota Benga était un être humain et que c'était une grande cruauté de le traiter de cette façon. L'une de ces demandes a paru dans le New York Globe du 12 septembre 1906: Rédacteur de Globe: Monsieur, j'ai vécu pendant plusieurs années dans le Sud. Bien que je ne sois pas très tolérant envers les noirs, je les considère humains. Je pense que c'est une honte que les autorités de cette grande ville permettent un spectacle tel que celui du parc du Bronx - un jeune nègre, exposé dans une cage de singe... Toute cette affaire de pygmée nécessite une investigation... A.E.R. New York, 12 septembre 40 Voici une autre demande sollicitant qu'Ota Benga soit traité comme un être humain: Le clergé désapprouve l'exposition d'hommes et de singes Le révérend Dr. MacArthur pense que cette exposition est dégradante "La personne responsable de cette exposition se dégrade autant qu'elle dégrade l'Africain" dit le Docteur MacArthur. "Au lieu de faire de ce petit homme une bête, on devrait le placer dans une école pour qu'il puisse développer les facultés que Dieu lui a accordées." Le Docteur Gilbert, quant à lui, était déjà convaincu que l'exposition était une atrocité et que lui et d'autres pasteurs se joindraient au Docteur MacArthur pour faire libérer l'homme des buissons de la cage de singe afin de le placer ailleurs.41 Le résultat final de ce traitement inhumain fut le suicide d'Ota Benga. Le problème, ici, était plus grave que la perte d'une vie humaine. Cet événement était une illustration claire de la cruauté et de la sauvagerie que le racisme darwiniste pouvait provoquer. LES ESQUIMAUX ET LA MISE EN ŠUVRE DU RACISME Robert Peary, le chercheur reconnu de la région de l'Arctique, a ramené à New York, en 1897, un groupe d'esquimaux du pôle. Le plus jeune parmi ce groupe était un enfant appelé Minik. Le groupe, qui incluait Minik et son père, fut exposé pendant une longue période au Musée américain d'histoire naturelle. Pendant ce temps-là, le père de Minik décéda suite à une maladie. Minik se retrouva seul et vulnérable à New York. Un jour, Minik aperçu le squelette de son père exposé dans le Musée américain d'histoire naturelle comme étant un "exemple d'espèce". Les autorités du musée rejetèrent la requête de Minik qui demandait de récupérer le corps de son père. Robert Peary et ses vues racistes sont un autre point qui mérite d'être souligné quand nous faisons référence à la vie de Minik. Peary, qui vécut parmi les esquimaux, était convaincu que ces gens n'étaient pas égaux à lui-même. Selon lui, les esquimaux et les noirs appartenaient à des races inférieures. Ils étaient des gens forts, intelligents et dignes de confiance et ils subvenaient parfaitement bien à leurs familles, cependant ils n'étaient pas aussi bons que les blancs¿ Il écrivit une fois ces mots insolents: "On me demandait souvent: 'Quelle est l'utilité des esquimaux sur terre?' Ils sont en effet loin d'avoir une valeur quelconque pour des entreprises commerciales; et, en outre, ils manquent d'ambition. Ils estiment la vie tel que le fait un renard ou un ours, soit purement par instinct."1 Un chercheur expliqua l'objectif que Peary avait en transportant des esquimaux en Amérique: "Quelles étaient les raisons de Peary d'avoir transporté ces six esquimaux à New York?"¿ Ces six Esquimaux n'étaient peut-être que des spécimens, tout comme les crânes et squelettes qu'il avait déjà rassemblés, mais plus intéressants encore parce que le sang coulait toujours dans leurs veines¿ Il avait aussi une affinité morbide pour le corps d'autres esquimaux qu'il avait connus. Il en avait exhumé de leurs tombes fraîches l'année précédente pour les transporter au Sud afin d'orner les salles d'un musée.2 Minik, Ota Benga et beaucoup d'autres gens dont on ne connaît pas le nom subirent le même destin dans les mains de soi-disant "scientifiques" qui considéraient des races comme "inférieures". 1 Ken Harper, Give Me My Father's Body (Donnez-moi le corps de mon père), Steerforth Presse, South Royalton, Vermont p. 8 2 Ken Harper, Give Me My Father's Body (Donnez-moi le corps de mon père), Steerforth Presse, South Royalton, Vermont p. 22 LA MENTALITE RACISTE EXISTE TOUJOURS ET TROUVE SON APPUI DE DARWIN La supériorité dépend du caractère plutôt que du sang Darwin a représenté les hommes comme étant une espèce d'animal développée, dont certaines races n'ont pas encore achevé un développement suffisant et sont donc encore très proches des animaux. Cela fut très dangereux et destructif pour l'histoire humaine. Ceux qui se sont laissés guider par les idées de Darwin ont impitoyablement opprimé des personnes de races différentes de la leur, en les forçant à vivre dans des conditions invivables, voire en les exterminant. Bryan Appleyard, auteur du livre A Brave New World (Un nouveau monde plein de progrès), expliqua la mentalité tyrannique de base du racisme et les conséquences qu'elle engendra: Une fois que les gens décident que vous êtes une créature inférieure, que ce soit pour des raisons superstitieuses ou scientifiques, il semble n'exister aucune limite à la cruauté qu'ils peuvent vous infliger. De plus, ils sont susceptibles d'infliger cette cruauté sans ressentir le besoin de se justifier. Il n'existe, en effet, qu'un petit pas entre croire qu'un être humain est inférieur et croire qu'il est mauvais, dangereux ou menaçant pour les autres êtres 'supérieurs'. En effet, certains poussent la généralisation plus loin et insistent pour que tous les êtres 'inférieurs' soient considérés dangereux parce qu'ils menacent la vie ou la santé de la race humaine entière. Ils peuvent alors préconiser la stérilisation, restrictions sur le mariage et même le meurtre pour empêcher l'assaut du réprouvé sur l'intégrité de l'espèce.42 Pourtant, tous les gens sont créés égaux par Dieu. Le Coran annonce la création des hommes de la façon suivante: ¿ Qui a bien fait tout ce qu'Il a créé. Et Il a commencé la création de l'homme à partir de l'argile, puis Il tira sa descendance d'une goutte d'eau vile (le sperme); puis Il lui donna sa forme parfaite et lui insuffla de Son Esprit. Et il vous a assigné l'ouïe, les yeux et les c¶urs. Que vous êtes peu reconnaissants! (Sourate as-Sadjdah, versets 7-9) Comme les versets ci-dessus le révèlent, les hommes portent l'âme que Dieu leur a insufflée. Chaque être humain, sans tenir compte de sa race, pense, sent, aime, souffre, s'excite, connaît l'amour, l'affection et la compassion. Il connaît aussi la tyrannie, le mépris et la difficulté. Pour cette raison, ceux qui crurent ou croient au cours de l'histoire que les gens d'autres races sont des animaux mi-développés et qui les maltraitent, les offensent, les oppriment, en exploitent même une seule personne, et tous ceux qui soutiennent ces pratiques pseudo-scientifiques commettent, sans le savoir, un grand péché. Il existe aujourd'hui des sociétés humaines relativement sous-développées. Les membres de ces sociétés portent toutes des caractéristiques humaines, mais il leur manque certains critères qui dominent technologiquement et culturellement le monde. Pour des raisons climatiques et naturelles, beaucoup de communautés ont vécu isolées du monde et ont développé des cultures très différentes. Mais il existe, dans chacune, toutes les caractéristiques, les coutumes et les habitudes communes à l'humanité. Ceux qui avaient des intentions cachées et qui reconnurent les avantages que le racisme leur procurerait, ont embrassé la théorie de Darwin avec enthousiasme. Cela leur a permis de considérer ces gens normaux comme appartenant à une race inférieure et comme étant des animaux. Le résultat est qu'aujourd'hui, il existe encore des personnes qui oppriment et méprisent les gens et les communautés les moins développés. Dieu a cependant condamné tout racisme. Il a créé des êtres humains de couleurs et de langues différentes. C'est une preuve indéniable de l'art et de la diversité de Sa création: Et parmi Ses Signes la création des cieux et de la terre et la variété de vos idiomes (langues) et de vos couleurs. Il y a en cela des preuves pour les savants. (Sourate ar-Roum, verset 22) En présence de Dieu, la seule supériorité est le caractère d'une personne, son abstention de toutes sortes de péchés, rébellions, dégénérescences et déviations, et sa moralité supérieure provenant de sa piété. A part sa piété, aucun homme ne peut avoir une supériorité quelconque par rapport à un autre. Dieu nous révèle cette vérité dans le verset suivant: O hommes! Nous vous avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, afin que vous vous connaissiez mutuellement. Certes, le plus noble d'entre vous, auprès d'Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand-Connaisseur. (Sourate al-Houdjourât, verset 13) exusez moi ce texte est en double. je vous donne les sources: 7- A.E. Wilder-Smith, Man's Origin Man's Destiny, The Word for Today Publishing, 1993, p.166. 8- Charles Darwin, The Descent of Man, 2ème édition, New York, A L. Burt Co., 1874, p.178. 9- Charles Darwin, The Descent of Man, 2ème édition, New York, A L. Burt Co., 1874, p.171. 10- Godfrey Lienhardt, Social Anthropology, Oxford University Press, p.11. 11- Benjamin Farrington, What Darwin Really Said, London: Sphere Books, 1971, pp.54-56. 12- James Ferguson, The Laboratory of Racism, New Scientist, vol. 103, (septembre 1984, p.18). 13- Lalita Prasad Vidyarthi, Racism, Science and Pseudo-Science, Unesco, France, Vendôme, 1983, p.54. 14- David N. Menton, Ph.D., The Religion of Nature: Social Darwinism, St. Louis MetroVoice, septembre 1994, vol. 4, no: 9. 15- Stephen Jay Gould, Ever Since Darwin, W. W. Norton & Company, New York 1992, p.217 16- Stephen Jay Gould, Ever Since Darwin, W. W. Norton & Company, New York 1992, p.220. 17- Alaeddin éenel, Irk ve Irkçýlýk Düþüncesi, Ankara: Bilim ve Sanat Yayýnlarý, 1993, pp.67-68. 18- Thomas Gossett, Race: The History of an Idea in America, Dallas: Southern Methodist University Press, 1963, p.81 cité dans Irk ve Irkçýlýk Düþüncesi, Alaeddin éenel, Ankara: Bilim ve Sanat Yayýnlarý, 1993, p.68. 19- Jacques Attali, 1492, Librairie Arthème Fayard, 1991, p.197. 20- François de Fontette, Le Racisme, 6ème édition, Presses Universitaires de France, 1988, pp.40-41. 21- James Joll, Europe Since 1870: An International History, Penguin Books, Middlesex, 1990, pp.102-103. 22- Kenneth J. Hsü, réponse au commentaire de "Darwin's Three Mistakes", Geology, vol. 15, avril 1987, p.377. 23- Süleyman Kocabaþ, Hindistan Yolu ve Petrol Uðruna Yapýlanlar: Türkiye ve Ýngiltere, première édition, Ýstanbul: Vatan Yayýnlarý, 1985, p.231. 24- Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, Vol. I, 1888. New York D. Appleton and Company, pp.285-286. 25- Henry M. Morris, The Long War Against God, Baker Book House, 1989, p.70. 26- Henry M. Morris, The Long War Against God, Baker Book House, 1989, p.71. 27- Thomas Gossett, Race: The History of an Idea in America, Dallas: Southern Methodist University Press, 1963, p.188. 28- Alaeddin éenel, Irk ve Irkçýlýk Düþüncesi, Ankara: Bilim ve Sanat Yayýnlarý, 1993, pp. 85-90. 29- Henry Fairfield Osborn, "The Evolution of Human Races", Natural History, avril 1980, p.129 - réimpression de l'édition du janvier/février 1926. 30- François de Fontette, Le Racisme, 6ème édition, Presses Universitaires de France, 1988, p.101. 31- François de Fontette, Le Racisme, 6ème édition, Presses Universitaires de France, 1988, p.105. 32- Jani Roberts, How New-Darwinism Justified Taking Land From Aborigines and Murdering Them in Australia, http://www.gn.apc.org/inquirer/ausrace.html. 33- Jani Roberts, How New-Darwinism Justified Taking Land From Aborigines and Murdering Them in Australia, http://www.gn.apc.org/inquirer/ausrace.html. 34- Jani Robert, How New-Darwinism Justified Taking Land From Aborigines and Murdering Them in Australia, http://www.gn.apc.org/inquirer/ausrace.html. 35- Creation Ex Nihilo, vol. 14, no:2, mars-mai 1992, p.17. 36- Philadelphia Daily News, 28 avril 1997. 37- Philips Verner Bradford, Harvey Blume, Ota Benga, The Pygmy in the Zoo, Canada, octobre 1993, p.269. 38- Philips Verner Bradford, Harvey Blume, Ota Benga, The Pygmy in the Zoo, Canada, octobre 1993, p.267. 39- Philips Verner Bradford, Harvey Blume, Ota Benga, The Pygmy in the Zoo, Canada, octobre 1993, p.266. 40- Philips Verner Bradford, Harvey Blume, Ota Benga, The Pygmy in the Zoo, Canada, octobre 1993, p.264. 41- Philips Verner Bradford, Harvey Blume, Ota Benga, The Pygmy in the Zoo, Canada, octobre 1993, p.259. 42- Bryan Appleyard, Brave New Worlds, Harper Collins Publishers, London 1999, pp.49-50. en voila encore. Une brève histoire du Darwinisme Avant de discuter des conséquences douloureuses du darwinisme, jetons un coup d'¶il à son histoire. Beaucoup de personnes croient que la théorie de l'évolution avancée par Charles Darwin, est basée sur des preuves, des observations et des expériences scientifiques solides. Cependant, le fondateur de cette théorie n'est pas Charles Darwin et la théorie ne se base pas sur des preuves scientifiques. Image dépeignant le dieu sumérien de la mer. Les darwinistes, tout comme les Sumériens dans le passé, croient que la vie s'est formée par hasard à partir d'eau. Autrement dit, ils considèrent l'eau comme un dieu qui donna naissance à la vie. En Mésopotamie, au temps de l'idolâtrie, il existait des superstitions et des mythes concernant l'origine de la vie et de l'univers. L'un de ces mythes se basait sur la croyance en "l'évolution". Selon l'épopée Enuma-Elish remontant aux Sumériens, les dieux Lahmu et Lahamu seraient soudainement apparus à la suite d'une inondation déchaînée. Selon cette superstition, ces idoles se seraient d'abord créées d'elles-mêmes avant de créer les autres matières ainsi que les êtres vivants. Autrement dit, d'après ce mythe sumérien, la vie serait soudainement apparu d'un chaos aqueux inanimé qui aurait ensuite évolué. Notons que cette croyance est en ligne avec l'assertion évolutionniste que "les êtres vivants se sont formés et ont évolué à partir d'une matière inanimée". Nous pouvons de plus ainsi constater que l'idée de l'évolution devrait être attribuée aux idolâtres sumériens plutôt qu'à Darwin. Plus tard, le mythe de l'évolution fut repris par une autre civilisation idolâtre, celle de la Grèce Antique. Les philosophes matérialistes de la Grèce Antique considéraient que la matière était la seule chose qui existait. Ils se sont servis du mythe de l'évolution, héritage des Sumériens, pour expliquer l'apparition des êtres vivants. C'est ainsi que la philosophie matérialiste et le mythe de l'évolution se sont rencontrés en Grèce Antique avant d'être transmis à la culture romaine. Les darwinistes, tout comme d'autres sociétés idolâtres, pensent que la vie s'est formée par hasard dans l'eau par suite d'effets naturels. Selon cette affirmation absurde, les atomes inconscients du "potage primitif", tels que nous les voyons sur cette photographie, se seraient réunis et auraient décidé de former des créatures vivantes. Ces deux sources idolâtres sont ensuite réapparues dans le monde moderne au 18ème siècle. Certains philosophes européens étudiant les sources antiques grecques ont pris goût aux suppositions matérialistes. La caractéristique commune à tous ces philosophes était leur rejet de la religion. Dans ce contexte, le premier à examiner la théorie de l'évolution d'une façon détaillée fut le biologiste français Jean-Baptiste Lamarck. Dans sa théorie, dont l'invalidité serait plus tard prouvée, Lamarck avançait que toutes les créatures vivantes auraient évolué l'une à partir de l'autre suite à de petits changements subis au cours de leur vie. Charles Darwin reprit ensuite les hypothèses de Lamarck d'une façon légèrement différente. Darwin a avancé sa nouvelle théorie dans son livre intitulé The Origin of Species (De l'origine des espèces), publié en Angleterre en 1859. Dans ce livre, il présente en détail le mythe de l'évolution d'origine sumérienne. Il y prétend que toutes les espèces de créatures vivantes proviendraient d'un ancêtre commun, apparu par hasard dans l'eau. Ensuite, ces espèces se seraient diversifiées par des changements mineurs dus à des coïncidences. Cette hypothèse de Darwin ne fut pas reconnue et acceptée par les scientifiques de son temps. Les experts en fossile étaient en particulier conscients que la prétention de Darwin n'était qu'une fantaisie. Malgré cela, la théorie de Darwin a commencé à attirer de plus en plus d'adeptes. Le fait est que cette théorie a fourni la base manquant aux forces régnant au 19ème siècle. L'acceptation du darwinisme est d'origine idéologique Lorsque Darwin publia son livre The Origin of Species et avança sa théorie de l'évolution, le niveau de connaissance scientifique était encore très primitif. Par exemple, la cellule, qui, comme on le sait aujourd'hui, est dotée d'un système très compliqué, n'était alors visualisée que comme une tache au moyen de microscopes simples utilisés à cette époque-là. C'est pour cette raison que Darwin n'a vu aucun inconvénient à soutenir que la vie s'était produite par hasard à partir de matière inorganique. Comparé à ceux de notre époque, les microscopes du 19ème siècle étaient primitifs. Ils ne pouvaient que, par exemple, visionner les cellules sous forme de taches. De la même manière, l'insuffisance de fossiles répertoriés de l'époque permit d'avancer que les créatures vivantes s'étaient formées les unes à partir des autres suite à des changements infimes. Pourtant, aujourd'hui, il est certain que l'ensemble des fossiles répertoriés ne prouve toujours pas l'hypothèse de Darwin. Jusqu'à aujourd'hui, les évolutionnistes tentaient de surmonter ce dilemme en disant: "Les fossiles seront trouvés un jour dans l'avenir." Cependant, ils ne peuvent plus se cacher derrière cette explication. (Pour plus d'information, voir le chapitre intitulé "Le mensonge de la théorie de l'évolution") Quoi qu'il en soit, rien ne semble avoir réussi à convaincre les darwinistes. Les partisans de la théorie de l'évolution sont encore nombreux aujourd'hui; ils ont juré serment de fidélité à Darwin depuis 150 ans. Comment se fait-il donc que, bien que l'incohérence scientifique de la théorie ait été prouvée, le darwinisme attire-t-il encore de nombreux adhérents? La particularité de la théorie de Darwin est qu'elle dénie l'existence d'un créateur. Selon cette théorie, la vie se serait formée par hasard à partir de matière inanimée. Cette proposition erronée servit d'appui scientifique à toutes les philosophies athées dont la philosophie matérialiste. Jusqu'au 19ème siècle, la majorité des scientifiques avaient utilisé la science pour étudier et découvrir ce que Dieu avait créé. Dans ce contexte, les philosophies athées et matérialistes ne pouvaient trouver le domaine approprié où se développer. Cependant, en niant l'existence d'un créateur, la théorie de l'évolution a fourni un appui illusoire à ces philosophies athées et matérialistes. C'est pour cette raison que toutes deux se sont identifiées au darwinisme et l'ont adapté à leurs propres idéologies. Parallèlement au darwinisme qui nie donc l'existence de Dieu, une autre assertion a été avancée pour soutenir les idéologies matérialistes du 19ème siècle. Celle-ci prétend que "le développement des êtres vivants est dépendant d'une lutte pour la survie dans la nature. Cette lutte sera remportée par le plus fort et les faibles seront condamnés à la défaite et à l'extinction". La coopération entre le darwinisme et les idéologies qui ont mené le monde vers plus de douleur et de désastres est ici suffisamment claire. Le darwinisme social: l'adaptation de la loi de la jungle au comportement humain L'un des points les plus importants de la théorie de l'évolution est qu'elle base le développement des êtres vivants sur le concept de "lutte pour la survie" dans la nature. Selon Darwin, la nature est le siège d'un combat impitoyable pour la survie, elle est le siège d'un conflit éternel. Le fort surpasse toujours le faible; ce processus rend possible le développement des espèces. Le sous-titre du livre The Origin of Species résume clairement ce point de vue: "De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la conservation des races favorisées dans la lutte pour la survie." Ici, la source d'inspiration de Darwin fut le livre de l'économiste anglais Thomas Malthus, An Essay on the Principle of Population (Un essai sur le principe de population). Cet ouvrage indiquait qu'un avenir très sombre attendait l'humanité. Malthus avait calculé que, abandonnée à elle-même, la population humaine augmenterait de façon incontrôlable en doublant tous les 25 ans. Cependant, la production et les sources de nourriture ne suivraient pas le même développement. L'humanité se retrouverait alors face à un danger de famine permanent. Ainsi, selon Malthus, seuls les désastres, la guerre, la famine et la maladie permettraient de contrôler l'accroissement de la population. En d'autres mots, pour que certaines personnes puissent vivre, il serait nécessaire que d'autres meurent. L'existence de l'homme pourrait donc se résumer comme étant "un état de guerre permanent". Darwin déclara que c'était bel et bien le livre de Malthus qui lui avait inspiré le concept de lutte pour l'existence: Thomas Malthus, l'homme qui influença Darwin en affirmant que la guerre et la pénurie servaient de contrepoids à l'explosion démographique de la population du monde. En octobre 1838, c'est-à-dire quinze mois après que j'ai commencé mes recherches systématiques, j'ai lu par curiosité l'étude sur la population de Malthus. J'ai alors tout de suite pensé à la lutte pour la survie que j'ai si souvent observée chez les animaux et les plantes. J'ai immédiatement remarqué que, dans ces circonstances, les variations favorables avaient tendance à être préservées alors que des autres avaient plutôt tendance à disparaître. C'est de cette manière qu'ont été formées de nouvelles espèces. J'avais donc enfin une théorie sur laquelle je pouvais me baser.2 Au 19ème siècle, les idées de Malthus furent adoptées par un public assez large, particulièrement par les intellectuels européens de la classe supérieure. L'importance que l'Europe du 19ème siècle attribua à ces études de population est illustrée dans l'article, Le tréfonds scientifique du programme de "purification de la race" des nazis: Dans l'Europe de la première moitié du 19ème siècle, les membres des classes dirigeantes se sont réunis pour discuter du "problème de population" nouvellement découvert. Ils cherchaient à découvrir une façon de mettre en ¶uvre le mandat malthusien, en augmentant le taux de mortalité des pauvres: "Au lieu de recommander la propreté aux pauvres, nous devons les encourager à continuer leurs pratiques insalubres. Dans les villes, nous devons rendre les rues plus étroites, entasser plus de personnes dans les maisons et essayer de faire revenir la peste. Dans le pays, nous devons construire les villages près de mares stagnantes et encourager les installations dans tous les emplacements marécageux et malsains," etc.3 Grâce à cette politique cruelle, le fort vaincrait le faible dans la lutte pour la survie et la population pourrait rapidement s'équilibrer. Ce programme, ayant pour but d'"écraser le pauvre", fut effectivement mis en ¶uvre dans l'Angleterre du 19ème siècle. L'industrialisation a encouragé le travail forcé d'enfants de huit ou neuf ans pendant 16 heures par jour dans des houillères. Des milliers sont morts à cause des mauvaises conditions. La lutte théorique pour la survie, nécessaire selon la théorie de Malthus, a condamné à la souffrance des millions de pauvres en Angleterre. Sous l'influence de Malthus, Darwin a appliqué cette vue à la nature toute entière. Il a soutenu que cette guerre pour l'existence serait gagnée par le plus fort et le mieux adapté. Ceci était valable autant pour les plantes que pour les animaux et les hommes. Il a aussi souligné que la lutte pour la survie était une loi de la nature, permanente et invariable. En niant le concept de création, il tenta d'inciter les gens à abandonner leurs croyances religieuses et chercha à se débarrasser de tous les principes moraux qui pouvaient constituer un obstacle à la "lutte pour la survie". C'est pour cette raison que la théorie de Darwin fut soutenue institutionnellement dès le début, d'abord en Angleterre et plus tard en Occident tout entier. Les impérialistes, les capitalistes et d'autres matérialistes ne se sont pas attardés à soutenir cette théorie qui leur offrait une justification scientifique aux systèmes politiques et sociaux qu'ils avaient fondés. En peu de temps, la théorie de l'évolution est devenue l'unique critère dans tous les domaines sociaux, de la sociologie à l'histoire, en passant par la psychologie et la politique. Dans chaque domaine, le slogan devint la "lutte pour la survie" et "la survie du mieux adapté". Des partis politiques, des nations entières, des organes administratifs, des sociétés commerciales et des individus ont commencé à contempler ces deux slogans avec enthousiasme. Les idéologies régnant sur ces sociétés s'étant identifiées avec le darwinisme, la propagande darwiniste s'est propagée dans tous les domaines, de l'éducation à l'art, en passant par la politique et l'histoire. On essaya de créer des liens entre chaque sujet et le darwinisme et de tout expliquer d'un point de vue darwiniste. En conséquence, même si beaucoup ne connaissaient rien du darwinisme, des sociétés modelées sur la théorie darwiniste ont commencé à se former. L'OPRESSION DANS LE MONTE ENTIER Suite au darwinisme, ce mensonge que le conflit et la lutte sont présents dans la nature humaine fut accepté. Le résultat affligeant de ceci fut l'explosion au 20ème siècle des guerres, meurtres et autres actes barbares sous couvert de justifications soi-disant scientifiques. Darwin avait lui-même recommandé l'application de son approche basée sur l'évolution à la compréhension morale et aux sciences sociales. Voici ce qu'il écrivit dans une lettre à H. Thiel en 1869: Tu dois savoir combien cela m'intéresse de constater que tu appliques aux questions morales et sociales des vues analogues à celles que j'ai employées concernant la modification des espèces. Il ne m'était pas auparavant venu à l'esprit que mes idées pouvaient être appliquées à des sujets si différents et importants.4 Lorsqu'il fut accepté que la lutte pour la survie dans la nature existait aussi à un stade humain, des conflits au nom du racisme, du fascisme, du communisme, de l'impérialisme ainsi que l'écrasement de peuples considérés 'faibles' par des peuples forts furent couverts d'une façade scientifique. Il était maintenant impossible d'accuser ou d'empêcher ceux qui effectuaient des massacres barbares, ceux qui traitaient les gens comme des animaux, qui montaient des personnes les unes contre les autres, qui méprisaient les autres pour leur race, et enfin ceux qui fermaient les petits commerces au nom de la compétition et qui refusaient d'aider les pauvres. Tout ceci parce qu'ils faisaient cela en conformité avec la loi naturelle "scientifique". Cette nouvelle explication scientifique fut connue sous le nom de "darwinisme social". UN BILAN DOULOUREUX Selon les principes du darwinisme social, le faible, le pauvre, le malade et l'arriéré doivent être éliminés et supprimés sans pitié. Ses adeptes sont convaincus que c'est une étape nécessaire à l'évolution de l'humanité. L'une des raisons qui explique le manque de réaction face aux appels de millions de gens pendant le 20ème siècle, de la Bosnie à l'Ethiopie, réside dans la croyance néfaste en cette idéologie. L'un des principaux scientifiques évolutionnistes de notre époque, le paléontologue américain Stephen Jay Gould, en accepte la vérité en écrivant que, suivant la publication de "The Origin of Species" en 1859, "l'on a avancé des arguments subséquents légitimant l'esclavage, le colonialisme, les différences raciales, la lutte des classes et les rôles sexuels principalement sous la bannière de la science".5 Il est ici important de noter que toutes les périodes de l'histoire humaine ont connu des guerres, des atrocités, la cruauté, le racisme et le conflit. Cependant il existait parallèlement toujours une religion divine pour apprendre aux gens que ce qu'ils faisaient était faux, une inspiration divine qui les invitait à la paix, à la justice et au calme. Etant donné que les êtres humains avaient connaissance de cette religion, ils avaient une base pour comprendre que la violence était injuste. Mais dès le début du 19ème siècle, le darwinisme offrit une justification scientifique pour la lutte et l'injustice. De plus, le darwinisme a permis de soutenir que toute cette violence était naturelle à l'être humain, que l'homme avait hérité des tendances sauvages et agressives de ses ancêtres, et que l'homme fort survivrait, comme l'animal le plus fort avait survécu. Sous l'influence de ces idées, les guerres, la souffrance et les massacres se sont propagés très rapidement autour du monde. Le darwinisme a soutenu et encouragé tous ces mouvements qui ont mené à la souffrance, qui ont fait verser du sang et qui ont opprimé la terre entière. Le darwinisme a aussi enseigné aux gens à vivre dans la logique de cette pensée et a soutenu toute la mise en pratique de ces mouvements meurtriers. Grâce à ce prétendu support scientifique, ces idéologies dangereuses ont pu se développer au point de faire du 20ème siècle, "l'âge de la souffrance". Dans son livre Darwin, Marx, Wagner, le professeur d'histoire Jacques Barzun évalua les causes scientifiques, sociologiques et culturelles de la terrible dépression morale du monde moderne. Ces commentaires pris du livre de Barzun décrivent remarquablement bien l'influence du darwinisme sur le monde: Jacques Barzun, professeur d'histoire et auteur du livre "Darwin, Marx, Wagner". ... Entre 1870 et 1914, il exista, dans chaque pays européen, un parti favorisant la guerre et exigeant des armements, un parti individualiste exigeant une compétition impitoyable, un parti impérialiste exigeant la main libre sur les peuples colonisés, un parti socialiste exigeant la conquête et le pouvoir, et un parti raciste exigeant l'élimination des étrangers. Tous, après avoir échoué en faisant appel à l'avidité et à la gloire, ont invoqué Spencer et Darwin, les deux incarnations de la science... La race était biologique, elle était sociologique, elle était darwinienne.6 Au 19ème siècle, Darwin a donc avancé que les êtres vivants n'avaient pas été créés mais qu'ils étaient apparus sur terre par hasard, que l'être humain et les animaux avaient un ancêtre commun, et que l'homme était devenu l'animal le plus développé suite à des coïncidences. La plupart des gens de l'époque ne pouvaient probablement pas imaginer les conséquences de cette assertion. Mais au 20ème siècle, l'expérience montre que tout ceci a donné des résultats épouvantables. Ceux qui considéraient l'homme comme étant un animal développé n'ont pas hésité à s'élever en s'appuyant sur le faible, à se débarrasser des malades et faibles, et à commettre des massacres pour éliminer les races qu'ils considéraient différentes et inférieures. Tout ceci parce que leur théorie pseudo-scientifique prétendait que ce n'était que le résultat de la "loi de la nature". Les désastres causés au monde par le darwinisme ont commencé de cette façon et se sont ensuite répandus dans le monde entier à grande vitesse. Pourtant, au 19ème siècle, jusqu'à ce que le matérialisme et l'athéisme se soient renforcés grâce à l'appui du darwinisme, la majorité des gens croyait que Dieu avait créé tous les êtres vivants et que les hommes, au contraire des autres créatures, possédaient une âme créée par Dieu. Les gens de toute race et de toute nation étaient considérés comme étant des serviteurs créés par Dieu. Le vide laissé par la religion, provoqué et renforcé par le darwinisme, a créé des groupes sociaux avec une perception du monde compétitive et impitoyable, des groupes n'attachant aucune importance aux valeurs morales, et considérant les gens comme étant des animaux hautement développés. Les gens qui ont renié toute responsabilité envers Dieu ont formé une culture où toutes sortes d'égoïsme étaient justifiables. De cette culture sont nés plusieurs "ismes" (doctrine); tous sont devenus des calamités pour l'humanité. mais cesvous enfaitls scientifique a 2 franc 50 au lidl. lol je m en fou moi de ce que vous pensez , dites moi pourquoi il a tord sinon abstenez vous.
  14. DES FAITS SCIENTIFIQUES REFUTENT LA THEORIE DE L'EVOLUTION Les fossiles réfutent la théorie de l'évolution La théorie de l'évolution suppose qu'entre les espèces vivantes, un grand nombre de formes intermédiaires existèrent autrefois, et que leurs restes doivent se retrouver dans les fossiles. Mais les fouilles menées par les évolutionnistes dans l'espoir de confirmer leur théorie sont restées vaines. L'évolutionniste David Kitts, un Professeur de l'Université d'Oklahoma, admet que : "L'évolution nécessite des formes intermédiaires entre les espèces, et la paléontologie ne les a pas fournies". (David B. Kitts, "Paleontology and Evolutionary Theory", Evolution, vol. 28, septembre 1974, p. 467) A ce jour, quelques 100 millions de fossiles de 250.000 espèces différentes ont été déterrés et chacun d'entre eux fournit la preuve de la création. Quels faits provenant des strates fossiles invalident l'évolution ? Dans les couches fossiles, on rencontre deux faits importants prouvant que l'évolution n'a jamais eu lieu : 1) Constance - la plupart des espèces ne montre aucun changement directionnel au cours de leur existence sur terre. Elles apparaissent dans les enregistrements fossiles de forme identique qu'au moment de leur disparition, les changements morphologiques sont souvent limités et sans direction. 2) Apparition soudaine - dans n'importe quelle zone localisée, une espèce n'apparaît pas graduellement par la transformation régulière de ses ancêtres ; elle apparaît tout d'un coup et "pleinement formée". (S. J. Gould, "Evolution's Erratic Pace", Natural History, vol. 86, mai 1977, p. 14) Les affirmations d'une "évolution humaine" sont invalides L'arbre généalogique de l'homme s'est révélé être une construction totale de l'imagination des évolutionnistes. Les évolutionnistes ont proposé que les êtres humains ont évolué graduellement, de l'Australopithèque en Homo habilis, en Homo erectus et finalement en Homo sapiens. Ils ont donné l'impression que chacune de ces espèces d'hominidés était le précurseur de celle qui a suivi. Les dernières découvertes des paléoanthropologistes, cependant, montrent que les Australopithèques, Homo habilis et Homo erectus vivaient en fait à la même époque, mais dans des endroits différents du monde. Cela invalide totalement le mythe évolutionniste - qu'ils étaient les précurseurs et les descendants des autres dans l'arbre généalogique de l'homme. Jouer au jeu de reconstruction des fossiles Une indication que la théorie de l'évolution est fondée sur des tromperies, plutôt que des preuves scientifiques, est la préparation d'images et de modèles d'espèces éteintes dont seuls quelques fragments d'os ont été découverts. Dans de telles reconstructions, les tissus mous comme les lèvres, le nez et les oreilles sont généralement représentés de telle manière à suggérer que la créature vivante ressemblait à un homme-singe. Cependant, le fait est que de tels tissus ne se fossilisent pas et qu'il est impossible de déterminer leur structure à partir des os. Ces caractéristiques sont les seuls produits de l'imagination préconçue des évolutionnistes. Les formes de vie du Cambrien réfutent la théorie de l'évolution Des catégories principales d'animaux (phylums) telles que les mollusques et les chordés, pratiquement toutes sont apparues au cours de la période cambrienne, il y a quelques 530 millions d'années. Tandis que seulement un ou deux phylums existaient à la période précambrienne, plus de 50 phylums apparurent soudainement à cette époque, dans de nombreuses régions du monde. Tandis que les formes précambriennes affichaient des structures simples, celles du Cambrien sont incomparablement complexes - la preuve que ces êtres vivants sont apparus d'un seul trait, sans suivre d'évolution. Les "fossiles vivants" réfutent la théorie de l'évolution La seule existence de ces créatures réfute de manière frappante la théorie de l'évolution. Ces espèces sont connues sous le nom de "fossiles vivants" puisqu'elles sont restées inchangées après des millions d'années, leurs représentants modernes étant identiques aux spécimens des enregistrements fossiles. Les fossiles vivants d'aujourd'hui incluent un grand nombre d'espèces, des fourmis aux arbres, et des chauves-souris aux requins. Cela confirme définitivement qu'au cours de l'histoire de ces espèces, aucune évolution n'a eu lieu. L'imposture de "l'homme de Piltdown" Ce fossile est le résultat d'une grande imposture qui a trompé le monde scientifique durant des années. Les évolutionnistes affirmèrent qu'un crâne découvert près de Piltdown en Angleterre était celui d'un homme-singe. Ce crâne avait des caractéristiques humaines, et la mâchoire ressemblait à celle d'un orang-outang. Pendant 40 ans, le célèbre British Museum l'exposa en tant que preuve de l'évolution. En 1953, cependant, la vérité éclata au grand jour : l'homme-singe était une imposture. Un crâne d'humain et une mâchoire d'orang-outang avaient été combinés pour donner l'impression d'un homme-singe ! (Kenneth Oakley, William Le Gros Clark & J. S., "Piltdown," Meydan Larousse, vol. 10, p. 133) Le scandale de "l'homme du Nebraska" Une molaire fossilisée découverte dans l'état américain du Nebraska en 1922 montre comment les évolutionnistes utilisent leur imagination pour interpréter les découvertes. Ils affirmèrent que la molaire appartenait à un homme-singe, et même si, à part cette dent, aucun autre reste de ce soi-disant homme-singe ne fut découvert, les évolutionnistes n'eurent aucun scrupule devant les interprétations artistiques le reproduisant, en même temps que sa famille. Cependant, l'affaire éclata avec un grand embarras cinq ans plus tard quand on détermina finalement que la dent en question était celle d'un cochon ! La vérité à propos de l'ancêtre imaginaire des oiseaux Les évolutionnistes ne font plus référence à l'Archæoptéryx comme une "forme intermédiaire" entre les reptiles et les oiseaux. Des études sur ce fossile montrent maintenant que ce n'est pas une forme de transition, mais définitivement une espèce éteinte d'oiseau, malgré certaines caractéristiques différentes de celles des espèces modernes. (Pendant de nombreuses années, le fait que l'Archæoptéryx ait des serres était considéré comme une preuve importante de son statut de forme intermédiaire. Mais l'Hoazin, un oiseau vivant encore de nos jours, possède aussi des serres et c'est un oiseau normal sous tous les angles) La présence d'un sternum prouve que l'Archæoptéryx avait de puissants muscles de vol, et la structure asymétrique de ses plumes, identique à celle des oiseaux modernes, montre que de toute évidence cette créature était capable de voler parfaitement. La sélection naturelle ne mène pas à l'évolution ! La sélection naturelle n'a pas le pouvoir de faire évoluer les êtres vivants. Elle signifie simplement la survie des individus les mieux adaptés à leurs conditions environnementales. Par exemple, quand un prédateur menace une horde de cerfs, ceux qui sont capables de fuir survivront, et la horde se réduira au final aux animaux les plus rapides. Mais ce processus est limité, et il ne provoquera pas l'évolution des cerfs en d'autres espèces. Car l'information génétique concernant le squelette et la physiologie musculaire du cerf est stockée dans son ADN, et la lutte contre les prédateurs ne change en aucun cas cette composition génétique. Les erreurs concernant l'embryon humain Au 19ème siècle, les évolutionnistes présentèrent la théorie erronée de la récapitulation. Ils affirmèrent qu'au cours de son développement dans l'utérus de sa mère, l'embryon humain montre d'abord les caractéristiques d'un poisson, puis celles d'un reptile, avant de prendre finalement les caractéristiques humaines. Comme l'embryologie avança, des études approfondies des tissus réfutèrent cette théorie. Les supposées "ouïes" au cours des premiers stades de l'embryon se sont plus tard avérées être les précurseurs des glandes parathyroïdes et du thymus, et du canal moyen de l'oreille. La portion de l'embryon qu'ils décrivaient comme une "queue" est en fait la colonne vertébrale. Et ainsi la théorie que le développement embryonnaire d'un individu reflète les prétendues étapes évolutionnaires a été condamnée à la poubelle de l'histoire. La "bipédie" invalide la prétendue évolution humaine Les êtres humains peuvent marcher debout grâce à l'arrangement très sensible de leurs muscles, de leurs nerfs et de leurs os qui sont attachés les uns aux autres. Selon les évolutionnistes, les êtres humains ont du acquérir la marche debout à travers un processus au cours duquel les singes ont adopté une posture droite via des mutations dues au hasard (!). Cependant, la complexité biomécanique de la bipédie ne peut apparaître via une évolution, car la moindre mutation apparaissant dans un groupe d'os ou de muscles interférera avec un système qui fonctionne comme un tout. Tout comme un changement aléatoire au mécanisme d'une montre l'endommagera, la bipédie n'a pu se développer au moyen de mutations aléatoires. Les découvertes de la biomécanique confirment cela, en montrant qu'un être vivant peut soit marcher debout, soit sur quatre pattes. Un type de marche entre les deux est impossible. La "série" de chevaux est une tromperie En face des faits scientifiques, les évolutionnistes ont été forcés d'abandonner le mythe de "l'arbre généalogique" du cheval. La série de chevaux a été produite par l'imagination des évolutionnistes, et plus tard invalidée par la découverte que les créatures dont les évolutionnistes arrangeaient les fossiles en séquence étaient en fait contemporaines, vivant au même endroit simultanément. Cela montre l'invalidité de l'affirmation qu'une espèce peut être l'ancêtre évolutionnaire d'une autre. L'erreur du coelacanthe : les poissons ne se sont pas développés en amphibiens à quatre membres Les évolutionnistes considéraient autrefois les fossiles du coelacanthe - un poisson rhipidistien que l'on pensait éteint depuis 70 millions d'années - comme une forme intermédiaire entre les poissons et les amphibiens, dans leur scénario de transition de l'eau vers la terre. En 1938, cependant, un spécimen vivant de coelacanthe fut péché dans l'Océan Indien. Jusqu'à maintenant, plus de 200 spécimens ont été attrapés. Les études de ces coelacanthes modernes ont révélé que ce poisson n'a rien de transitionnel, mais qu'il possède une structure complète parfaite, et que les interprétations précédentes basées sur ces fossiles sont entièrement erronées. La distorsion des similarités entre l'homme et le singe L'affirmation que les êtres humains et les singes sont similaires à 99% est basée sur la similarité des séquences d'acides aminés dans quelques 30 à 40 protéines fondamentales qui se retrouvent à la fois chez l'homme et chez les singes. Mais les êtres humains possèdent environ 30.000 gènes, et ces gènes codent environ 100.000 protéines. Sur la base de 40 protéines sur 100.000, il n'y a aucun fondement scientifique pour affirmer que 99% des gènes humains et de singes sont identiques. Cette généralisation est aussi absurde que de dire que deux livres épais, dans lesquels seulement trois phrases sont identiques, doivent représenter le même texte. La complexité irréductible La théorie de l'évolution est basée sur l'idée d'un développement graduel. Mais le concept de la complexité irréductible l'invalide. Par exemple, des structures telles que les glandes lacrymales, la rétine et l'iris, qui forment ensemble l'¿il humain, n'ont pu se former via un processus graduel où chacune d'entre elles apparaît l'une après l'autre. Car la vision ne peut fonctionner que lorsque tous les composants de l'¿il sont pleinement formés. Si un seul est absent, alors l'organe ne sert à rien et il dégénèrera jusqu'à l'élimination par la sélection naturelle. Le mécanisme imaginaire des mutations Les mutations sont des erreurs de copie dans les séquences nucléotidiques de la molécule d'ADN. Elles peuvent survenir suite à des radiations ou à des produits chimiques. Ces séquences de nucléotides sont extrêmement complexes. Tout comme les lettres doivent être placées dans un ordre spécifique pour composer un long texte, des millions de nucléotides doivent être placés selon une séquence spécifique pour composer un gène. Des mutations aléatoires ayant lieu dans les gènes ne causeront que des dommages, généralement trop importants pour être réparés par la cellule, menant à des difformités et même à la mort. Les gens exposés aux radiations à Hiroshima, Nagasaki et Tchernobyl sont des exemples vivants de cela. L'adhésion des évolutionnistes à un tel mécanisme dont les effets destructeurs sont flagrants est en soi une indication de la situation désespérée dans laquelle ils se trouvent. Les variations ne signifient pas évolution Grâce aux variations, les individus de n'importe quelle espèce vivante affichent des caractéristiques différentes les uns des autres. Par exemple, certaines personnes ont les cheveux roux alors que d'autres sont blonds ; certains sont grands, d'autres petits - cette variété est permise par le potentiel de leur ADN, exprimé par différentes combinaisons d'information génétique. Cependant, de telles variations ne peuvent mener à l'évolution, car elles ne produisent pas de nouvelles informations génétiques. C'est pourquoi, quel que soit le nombre de croisements effectués par une personne pour améliorer des pigeons voyageurs, elle ne produira jamais une espèce différente, comme des hirondelles. La merveille chez les mouches Une mouche peut battre ses ailes 500 fois par seconde, simultanément. Il n'y a jamais le moindre incident dans le mouvement de ses deux ailes, et la mouche ne perd jamais l'équilibre. Cette capacité est rendue possible par des mécanismes merveilleux à une échelle microscopique. Dans les cellules des muscles des ailes de la mouche, les filaments d'actine et de myosine se tirent et se poussent, et font se déplacer les ailes. De plus, les mouches apparaissent soudainement dans les enregistrements fossiles. Aucune forme de transition entre des formes sans ailes et avec ailes n'a été trouvée. Comme tous les autres êtres vivants, les mouches n'ont pas évolué, mais sont apparues par la création de Dieu Tout-Puissant et Omniscient. L'évolution ne peut expliquer l'origine du moindre gène L'ADN humain contient quelques 30.000 gènes, et il est impossible qu'un seul d'entre eux ait pu apparaître par hasard. Le biologiste évolutionniste Frank Salisbury admet : "Une protéine moyenne peut comporter environ 300 acides aminés. Le gène de l'ADN contrôlant cela aura environ 1.000 nucléotides dans sa chaîne. Puisqu'il y a quatre types de nucléotides dans une chaîne d'ADN, une chaîne constituée de 1.000 liens peut exister sous 41000 formes. En utilisant un peu d'algèbre (les logarithmes), on peut voir que 41000 = 10600. 10 multiplié par lui-même 600 fois donne le chiffre 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension." (Frank B. Salisbury, "Doubts about the Modern Synthetic Theory of Evolution", American Biology Teacher, septembre 1971, p. 336) L'échec de l'expérience de Miller Depuis des années, l'expérience de Miller était présentée comme une preuve pour la théorie de l'évolution, mais elle a du être abandonnée suite aux découvertes scientifiques concernant l'atmosphère primordiale de la Terre tout autant qu'aux imperfections de l'expérience. Ces recherches sur l'origine de la vie - auxquelles les évolutionnistes attachaient une énorme foi - furent menées en 1953 par le scientifique américain Stanley Miller. Miller obtint quelques acides aminés après avoir chauffé un mélange de gaz dont il supposait l'existence dans l'atmosphère primordiale de la Terre. Mais en 1985 il admit que ses conditions expérimentales ne reflétaient pas précisément les conditions de l'atmosphère primitive. Par conséquent, son expérience était invalide. (Stanley Miller, Molecular Evolution of Life: Current Status of the Prebiotic Synthesis of Small Molecules, 1986, p. 7) L'expérience de Fox : une autre tentative vaine Influencé par le scénario d'évolution de Miller, Sydney Fox mena des expériences au cours desquelles il combina différents acides aminés en molécules qu'il nomma "protéinoïdes". Cependant, ces chaînes d'acides aminés, qui ne servent à rien, ne ressemblaient en rien aux protéines habituelles présentes chez les êtres vivants. Ce n'était rien d'autre que des tâches chimiques irrégulières. De plus, on a expliqué que même si de telles molécules s'étaient formées durant les âges primaires, elles auraient finalement été détruites. (S. W. Fox, K. Harada, G. Kramptiz, G. Mueller, "Chemical Origin of Cells", Chemical Engineering News, 22 juin 1970, p. 80) La preuve que les affirmations "d'organe vestigial" sont fausses L'affirmation d'organe vestigial, dans les textes évolutionnistes, a maintenant été abandonnée en face des découvertes scientifiques modernes. Les évolutionnistes affirmaient autrefois que des organes comme l'appendice, le semi-luminaris et le coccyx étaient des vestiges, simplement du fait qu'ils ne connaissaient pas les fonctions de ces organes. Dans les paroles du zoologiste évolutionniste S.R. Scadding : "Au fur et à mesure de l'augmentation de nos connaissances [en biologie] la liste des structures vestigiales a diminué." (S. R. Scadding, "Do vestigial organs provide evidence for evolution?", Evolutionary Theory 5 : 173, 1981) Le dilemme de la transition de l'eau à la terre Les êtres vivants, tellement complexes physiologiquement, sont divisés en groupes avec des barrières insurmontables entre eux. Des découvertes montrent que le scénario où un poisson sort de l'eau et se transforme en créature à quatre pattes n'est pas scientifique. Puisqu'un poisson ne peut survivre plus d'une minute ou deux hors de l'eau, tous les poissons quittant l'eau mourront en quelques minutes, un par un. Même si cette situation se poursuit pendant des millions d'années, elle ne changera pas. Les poissons mourront tous, car un organe aussi complexe que les poumons ne peut se former suite à un "accident" soudain via une mutation. L'invalidité du scénario du "monde de l'ARN" Les expériences ratées de Miller et Fox ont mené les évolutionnistes à chercher de nouveaux modèles expérimentaux. Ils en sont ainsi venus à théoriser que la vie commença avec des molécules d'ARN (une forme d'acide nucléique), capables de se copier elles-mêmes. Selon eux, dans le monde primordial, l'ARN pouvait se répliquer sans l'assistance de protéines et était capable de mener chaque étape de la synthèse protéinique. Mais sur les quadrillions de molécules d'ARN synthétisées artificiellement en laboratoire, aucune n'a montré de telles caractéristiques. La chimie a révélé que la thèse du "monde de l'ARN" est complètement impossible. Les protéines défient le hasard Les protéines constituent les briques de base de toutes les cellules vivantes et elles assument un grand nombre de fonctions dans celles-ci. Les protéines sont constituées d'un nombre et de variétés spécifiques de molécules d'acides aminés arrangées selon une séquence particulière. Cette séquence est tellement précise que si un seul acide aminé manque ou n'est pas à la bonne place, alors la protéine entière ne servira à rien. Par conséquent, chaque acide aminé doit être exactement à la bonne place, dans la séquence correcte. Il n'y aucune possibilité qu'une telle séquence survienne par hasard. Par exemple, la probabilité qu'apparaisse une protéine de 288 acides aminés de 12 types différents, ayant la bonne séquence, n'est que de 1 sur 10300 - en d'autres mots, pratiquement nulle (en mathématique, les probabilités inférieures à 1 sur 1050 sont considérées comme étant "0") Voir Emile Borel, Elements of the Theory of Probability, Prentice Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1965) Le "flagelle bactérien" donne un coup fatal à l'évolution Un autre exemple frappant de complexité irréductible est le flagelle, utilisé par certaines bactéries pour se déplacer dans leur environnement liquide. Cet organe est attaché à la membrane cellulaire de la bactérie, et la bactérie le bouge en rythme comme une nageoire pour se propulser dans la direction et à la vitesse qu'elle choisit. Cet organe fonctionne via un "moteur organique" très complexe, composé de quelques 240 protéines. Si la moindre partie du flagelle manque ou possède un défaut, la structure ne fonctionne pas. Le flagelle bactérien doit avoir fonctionné sans défaut depuis le moment où il est apparu. Cela prouve que la bactérie, comme tous les autres êtres vivants, a été créée dans sa globalité. L'évolution ne peut expliquer l'information de l'ADN L'information génétique déterminant le plan structurel d'une personne, depuis son apparence externe jusqu'à ses organes internes, est enregistré avec un système d'encodage spécial dans l'ADN. Pour écrire cette information génétique sur papier, il faudrait une librairie gigantesque comprenant environ 900 volumes de 500 pages chacun. Mais cette quantité incroyable d'information a été encodée dans notre ADN. Affirmer que l'information de la "librairie" de l'ADN humain soit apparue par hasard est aussi irrationnel que de croire que les cailloux jetés sur une plage par les vagues pourraient écrire l'histoire entière de l'humanité.
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