yop!

Je n'ai fait que discuter. C'est toi qui sacralise mes posts et me prête une attitude supérieure, puis agresse. Et puis je ne débat pas en tant que modo. Finalement, tu ne reviens jamais sur le sujet, tu fermes toi même la porte à l'échange... donc bon. Excuse-moi mais j'ai étayé et je t'ai demandé 2 ou 3 fois des éléments pour me contredire ou ouvrir ma vision - qui bien sûr me paraît juste puisque c'est la mienne. Toi, tu répètes à tue-tête " Vous vous trompez, bande de prétentieux ignares et malveillants ! Mais je n'en dirais pas plus ". Ça fait un "échange" d'une dizaine de posts sans finalement avancer et c'est agaçant. Pour un peu, je pourrais croire que tu te payes ma tête... Donc bon, à part le profil extrême du no-life dépressif et enfermé, quels sont les autres ? C'est si fou de penser que c'est le même mais à des degrés différents ? Ou de penser que ce ne sont pas des cas exceptionnels mais banals de difficulté à affronter le monde ?

J'avais posté ça sur un sujet : Ça mélange un peu tout et je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée quand on regarde les réalités économiques derrière ces prestations. Pour l'AAH, je viens de lire qu'un projet de réduction était en proposition : http://informations....ts-853-8286.php Quand tu vois comment un handicap coûte cher et pèse sur le budget de l'handicapé ou de ses proches, quand tu sais que sur un Livret A, tu as les petites économies précaires qui permettent de tenir, ça paraît peu acceptable... pour un gain ridicule sur le budget de l'état, par ailleurs gaspillé dans pas mal de conneries. Imposer les prestations sociales, ça n'a pas de sens : symboliquement mauvais, nuisible pour tous les petits foyers qui sortent à peine la tête de l'eau, peu efficace car plein de gens passeront sous le radar tant ces prestations sont une grande part de leurs revenus. Le minimum d'impôt sur le revenu ? Pourquoi pas mais je ne suis pas sûr que ça aille pisser loin économiquement et ça va générer bien plus de colère populaire car ça vise surtout le bas des contribuables, ceux qui sont au bord du déclassement total.

Non mais Dalek, tu enfiles les évidences : évidemment que tous les gens qui jouent ne sombrent pas dans l'isolement et le repli. Les jeux Online, ils ont une vocation communautaire, de rencontre avec des joueurs du monde entier, c'est un peu le principe. Le tout est de ne pas dépendre uniquement du jeu pour sociabiliser, ni que ces rencontres restent confinées au jeu. Si c'est le cas, c'est un indicateur de no-lifitude. A part ça, où tu as vu que les gens disaient no-life = monstre ? Ici, sur ce sujet ? PS : il faudrait vraiment que tu apprennes à discuter sans être systématiquement dans le petit commentaire méprisant suivi d'une victimisation... PS2 : je dis ça sans paternalisme, ni prétention, mais en toute amitié.

Le sujet ?

Il y a pas mal de fan-arts sympas, sur le net : L'armure de la palourde : L'armure du Bernard L'hermite : Trouvés ici : http://www.pharaonwebsite.com/users/brito/fanarts/226-saint-seiya-atlantis-clothes/18-mariners/

Evite de me haranguer la prochaine fois si tu n'es pas capable d'échanger sur un sujet, de donner un point de vue... Je parle tout seul en essayant de deviner ce qu'apparemment tu ne veux pas définir à part comme "terme protéiforme qui définit plein de trucs". Et bien sûr que le terme "no-life" va être employé différemment selon les personnes et leur conception. J'ai exposé la mienne.

Pourtant, ce terme est employé et tu dis qu'il définit des choses, voire une culture... Bon, je fais un peu le candide : je vois de quelle culture "no-life" tu parles. Celle qui rejoint en partie la culture geek, otaku, nerd et gamer (la chaîne No life TV surfe sur ce truc) mais le terme no-life est ici employé sous forme d'euphémisme, voire de contradiction parce qu'il se crée des communautés autour de ces passions. Et tous ces gens ne sont pas en souffrance et désocialisés : ils se recréent un microcosme. Pour moi le no-life n'est pas le passionné ; il est à quelques degrés d'enfermement et de souffrance plus loin. No-life, ce n'est qu'un état, d'ailleurs. Pas une classification éternelle... Pour rester sur le cas du mec de la vidéo, il ne m'a pas l'air passionné par les jeux. Il y joue pour fuir. C'est comme la drogue : il y a l'usage récréatif et il y a aussi l'usage défonce/dépendance. Tous ceux qui ont tiré, oui qui tirent, sur un joint ne sont pas junkies. Heureusement que tu n'es pas profileur de métier ! :D Tu veux donc parler d'un truc dont tu ne donnes qu'une définition vague et creuse et tu crois que ça va me suffire ? J'attends au moins une contre-définition ou un panorama plus étendu, histoire de me claquer le bec si je me fais une fausse idée. Je ne dis pas le contraire, c'est toi qui ne lit pas les interventions. Le gars "no-life" de la vidéo a une famille, au moins une maman qui lui paye un appart' et lui fait à manger. C'est aussi le profil général des Hikkikomori. Eclaire-moi (nous) au lieu de dire que les gens sont des incultes... Sans te dresser en expert, tu prétends quand même en savoir plus. Si le no-life n'est pas le gars dans la vidéo, c'est qui alors ? En plus, je ne porte pas de jugement puisque je suis persuadé qu'à une période de ma vie, je n'étais qu'à quelques degrés du "no-life".

Pourquoi voir ça comme de la délation ? La délation, c'est le petit truc mesquin et lâche et la plupart des alertes sont plutôt objectives. Les gens annoncent souvent publiquement qu'ils signalent à la modération. J'y vois plutôt un acte de civisme, dans le but de garder des discussions à peu près cohérentes et cordiales. Les gens hésitent beaucoup avant de lancer une alerte concernant autrui et quand ils le font, c'est justifié. Quand ils se font agresser, le signalement nous permet de venir tempérer et d'éviter une escalade qui se solderait par 2 avertos. Après, on peut préférer la jouer cowboy mais le principe du forum n'est pas "insultez-vous comme vous voulez !"

Je savais que tu allais gémir et crier au mépris, à l'incompréhension. :D Tu te rends compte que ça donne envie de VRAIMENT te mépriser, à la longue ? 'fin bon... Je te demande une définition non pas calibrée et millimétrée mais moins floue de ce que TOI tu décris comme no-life : dans le but d'échanger nos points de vue, d'avoir une base pour discuter. Pour moi, le no-life est le degré extrême d'incapacité à conjuguer le monde tel qu'il est et ses propres aspirations. La forme de la fuite, c'est selon les individus. Ce n'est pas juste un petit décalage avec la norme ou une réticence à la comédie humaine qui va justifier ce qualificatif. Et toi, tu dis quoi ? Puisque le terme est là, entendons nous sur le sens. La gars de la vidéo correspond à ma définition. Tu vas me dire qu'il y a des gens dans la même situation que lui mais qui le vivent en plein épanouissement ? Vu que tu te proclames plus expert, raconte-moi ces gens ! Pour ma part, le terme no-life me semble assez constant puisqu'il renvoie à la désocialisation et l'apathie. Et pas au simple fait de ne pas correspondre à toutes les cases de la normalité, ou de préférer la solitude aux mondanités. Si ça décrit autre chose, le terme est bien mal choisi...

Parmi la flopée de complaintes et litanies, tu dis ça : Mais ça ne donne pas une définition claire de ce qu'est un no-life. Selon ma définition, d'ailleurs, si tu as rencontré ces gens et qu'ils ont pu partager leur univers avec toi, c'est qu'ils ne sont pas désociabilisés. Des incompris ? Oh mon Dieu, mais nous sommes des milliards d'incompris en ce bas monde ! Ce que tu dis, ça pourrait s'appliquer à mon cas (intelligent, sensible, univers personnel très riche, plus à l'aise seul qu'en société) et personne ne m'a jamais défini comme un no-life. Pour moi, un no-life est quelqu'un qui ne parvient pas à gérer ce décalage. Et contrairement à ce que tu dis, je n'ai pas vraiment lu ici d'agressivité dans les propos sur les dit "no-life". Tu parles sans cesse de jugement mais 90% de tes interventions sont des jugements à côté de la plaque sur les autres participants, qui seraient soit méchants, soit moutons, soit idiots... alors bon... tu crois que le no-lifes sont une génération spontanée d'humains à part, totalement différente de la "race des beaufs qui rentrent dans le moule" ? Tu n'envisages pas que ça ne puisse être qu'une histoire de degré et que les questions, craintes et doutes, la plupart des gens les partagent et les comprennent bien ?

Donne-moi ta définition du no-life, alors, parce qu'on ne doit pas avoir la même. Pour moi, un no-life n'est pas forcément un gamer : un no-life est quelqu'un en décalage, qui se perd dans un palliatif, qui abandonne tout rapport social et qui au final en souffre. Il y a aussi la dépendance qui en découle, comme le gars explique dans la vidéo. Pour une personne qui s'épanouit dans un mode de vie alternatif ou une passion incongrue, je n'emploierais pas le qualificatif de no-life. Il y a des paliers. Bien sûr, dans les médias, on ne voit que les pires cas mais tu voudrais me faire croire que les gens qui se désocialisent trouvent un bonheur véritable dans une marginalité solitaire ? J'ai tendance à penser que c'est une souffrance pour la majorité, comme pour les junkies : un paradis artificiel dont on augmente les doses jusqu'à des points incroyables. Je connais plein de gens qui ne sont pas dans les normes, sans qu'on puisse les qualifier de no-life. Je connais des gens qui s'échappent beaucoup dans les jeux mais qui ne sont pas non plus no-life. Il y a des paliers. Je trouve ça malsain qu'on veuille faire émerger une idée que le no-life est une sorte de culture, un choix assumé et actif. C'est plutôt le symptôme d'un mal-être qu'on cherche à combler comme on peut, et qui se peut se transformer une spirale. Ce sont des gens qui subissent et qui se retirent du monde, sans pour autant trouver un ailleurs VRAIMENT épanouissant - malgré ce que procurer un jeu ou une communauté en ligne. Coupe-leur le jeu vidéo et tu verras à quel degré de phobie sociale ils sont. Les vrais alternatifs, ils font des trucs, ils construisent, ils réinventent leur vie !

J'aime bien ce parti pris d'un rythme très lent à l'heure où toute vidéo ou blockbuster se doit d'être frénétique, sans cesse dans le zapping et le climax. Au moins, ça laisse le temps de se poser. C'est un décalage total et salvateur ! En ce moment, je ne fais que courir après un peu de calme, de pauses. C'est dû au fait que j'exerce un métier libéral (donc tout à fait moderne) et que je doive sans cesse courir partout pour trouver ou générer du travail, et le faire. Je crois que c'est le cas de pas mal de monde. Certains analystes du monde du travail imaginent déjà un monde d'entrepreneurs dû à la réduction et dégradation du salariat (et du fonctionnariat), ou encore à des aspirations pour des modèles économiques différents. On n'a pas fini, donc, d'avoir des gens en rupture avec ce mode de vie moderne. ======= A ce que j'en vois, les gens étiquetés no-life semblent bien avoir un problème : ils ne s'épanouissent pas, il semblent subir l'exclusion et en souffrir. Le garçon de la vidéo explique très bien son état d'âme. Et c'est aussi pour ça que je préconise d'entreprendre des choses d'être dans l'action, même sur de toutes petites choses. Le monde ne va pas changer de lui-même simplement parce qu'il y a des laissés-pour-compte. Le monde est un enculé ! Les gens de l'hyper-classe s'en fichent, ou raisonnent dans une toute autre logique. L'individualisme s'insinue partout...

Je suis allé voir les derniers chapitres et... ça n'a pas beaucoup avancé sur le cas du 13ème Gold Saint par rapport à où je m'étais arrêté. Il est en train de se réveiller, peut-être à cause de Shaïna puisqu'elle va chercher sa Maison détruite et qu'il lui parle dans la tête. Il n'y a qu'une aura flippante qui est ressentie, des serpents émissaires arrivent et les chevaliers d'or qui les croisent font dans leur pantalon. Alors qu'il n'y a pas besoin : on sait tous plus ou moinsque Shun va le latter !

La société a toujours été opprimante, peu importe la forme, simplement parce qu'elle est. Il y aura toujours des gens en décalage mais il me semble qu'on a des espaces pour se construire des petites bulles - et pas des bulles d'enfermement. Les questionnements des no-life, je pense que je me les suis posées aussi. D'ailleurs, je ne joue pas (plus) parce que j'ai une tendance à aller trop loin, sur le mode maniaque (j'en ai perdu des heures rien que sur le Blitzball de FF9) alors je comprends ce genre d'addiction. Dans le jeu, on maîtrise, on contrôle et on peut même recommencer, on est valorisé par procuration... alors que dans la vie, beaucoup moins. Problème : la vie est là quand même !

Il y a des attentes sociales standardisées, la pression du groupe et de l'entourage mais bon, on ne peut pas tout mettre sur le dos d'une société inadaptée à des "gens différents". On la subit tous, cette pression, dès lors qu'on ne rentre pas exactement dans le moule - même sans être qualifiable de no-life. Même ceux qui rentrent dans le moule, remarque, la subissent aussi. Il faut composer avec, on peut construire sa vie autrement et limiter les contraintes déplaisantes, les schémas standards. Après, ça se construit rarement seul et il faut aller vers les gens. C'est un effort ! Pour moi, par exemple, c'en est un gros puisque j'ai des tendances asociales mais je vais contre ; je choisis aussi vers qui je vais aller. Il y a le superficiel mais il y a aussi derrière, passées les grandes simagrées sociales collectives. Et quitte à triper sur des jeux vidéos, autant assumer et essayer de renverser cette obsession pour construire quelque chose d'épanouissant. Ce qui me turlupine, c'est de voir à quel point des gens peuvent ériger le monde en démon totalitaire (pour justifier leur état ?) ou l'importance exagérée qu'ils donnent au regard d'autrui, qui serait le Juge Suprême paralysant... Ils sont en réaction perpétuelle à ça, comme prisonniers. Enfin bon, apprendre à s'en foutre, c'est probablement un gros travail psychologique. C'est une injonction paradoxale d'ailleurs, comme "sois heureux", "sois spontané". Il n'y a pas une image de la réussite mais une infinité. Ça dépendra des gens. Le tout est de s'épanouir, dans de grandes choses ou dans des choses modestes. Et avec les gens qui vont dans le même sens. Je pense que j'aurais pu être dépressif si je ne m'étais pas créé un entourage positif. Ce qui me permet de rigoler de (et avec) ma conseillère bancaire qui ne comprends rien à mon schéma de vie, à mes revenus erratiques. Elle qui représente pour moi la " voix du standard social normal ", le Démon !

Je trouve ça flippant. C'est une démission douce, avec confort et échappatoire ludique, mais le gars s'enferme et ça n'a pas l'air de l'épanouir. En même temps, je comprends un peu qu'on soit paumé dans une réalité sociale qui devient très exigeante, dure, compétitive avec plein de messages contradictoires. "Trop de choix ", c'est assez bien dit. D'une manière un peu rude, je dirais que ce sont quand même des considérations de gens relativement bien lotis (ce qui se vérifierait dans un profil statistique). Il faut juste sortir de cette logique et inventer sa vie, et agir. J'espère qu'il aura un déclic puisqu'il n'a que 23 ans, il a toute sa vie devant lui. Il faut qu'il soit plus dans l'action que dans la contemplation de son état et la fuite dans le jeu vidéo, qui le détourne de la vie. Il sait déjà où ça mène : tous les jours se ressemblent, la routine morne, la désociabilisation. C'est triste de la voir là parce qu'à ces âges, on devrait être dans un je-m'en-foutisme constructif. Est-on en train de rendre notre jeunesse dépressive ? Pour moi, c'est un état dépressif contemporain. Il doit savoir tout ce que j'ai dit, on le lui a surement dit, mais c'est le propre de la dépression que de savoir sans pouvoir.

Ouais mais c'est chaud : ça ferait doublon. Déjà que tu viens de me faire découvrir le doublon Mangas et Animés & Mangas... Ceci dit, c'est vrai que ces sections drainent moins de gens et que les participants de la section Débats ne vont pas forcément chercher ces sujets. Je note ça, en tout cas, pour en parler à Caez. J'ai (re)survolé Next Dimension et en fait, le Serpentaire est un chevalier d'or maudit qui a été scellé, son temple détruit, ...et il se réveille. Comme j'avais lu il y a longtemps et que j'avais décroché (c'était teeellement chiant et redondant), je ne sais plus trop où j'étais arrivé. Dans Saint Seiya, le niveau des chevaliers me semble assez fluctuant : un coup je me fais latter par Truc, le coup d'après je lui défonce la tronche. Un coup mon bouclier est indestructible, un autre coup le premier connard venu le fend comme une bûche. Mais à la fin, c'est toujours Seiya du Sagittaire qui gagne, oui ! Mais pas avant de s'être bien fait maraver... :D La musique est géniale aussi. Tout cet esthétisme s'assemble bien. Je me rappelle quand j'étais ado, la grosse déception que j'avais eu devant le manga Saint Seiya par rapport aux dessins animés. Heureusement, j'avais la cassette de l'OAV Asgard, avec le Hyoga traître ! :D

Y'a des gens qui passent leur temps à faire des procès en racisme, ça doit occuper leur vie. Après, que le lectorat ait changé, ça c'est sûr ! La France s'est métissée et Astérix faisant partie de la culture populaire, la sensibilité change. Il faut prendre l'oeuvre pour ce qu'elle est : une vision humoristique et caricaturale de l'histoire des gaulois vs les romains, centrée sur une poignée de héros gaulois qui voyagent de temps en temps. Oui c'est ethnocentré, mais pas tant que ça. Les noirs ont un rôle secondaire d'esclaves, les asiatiques y sont inexistants (sauf si on inclut les extraterrestres "manga" et les mille et une nuits de Chez Rahazade) et on ne voit pas d'incas... C'est à la BD moderne de faire bouger un peu les lignes, ce qui est fait, ou à la BD africaine d'émerger avec des héros noirs ou des histoires centrées autrement. La plupart des BD jeunesses mainstream incluent des quotas ethniques tacites, d'ailleurs, pour que les gamins puissent s'y reconnaître. Après, on peut très bien s'identifier à des héros d'une autre ethnie... c'est justement la force des bonnes histoires !

Et puis ces mouvements de cheveux quasi hypnotiques parfois !

Déplacé en manga ! Pour le Serpentaire, justement, ce n'était le plus puissant des chevaliers d'or ? Il me semble qu'il y avait un truc comme ça mais qu'il a brûlé tout son cosmos. Edit - il est là, dans Next Dimension (mais je me rappelle moyen) :

Ce n'est pas le dessin des noirs dans Astérix qui peut déranger, ni leur caractérisation : ils sont dessinés aussi caricaturalement que les autres, ils sont traités avec le même humour. Ce qui peut gêner, c'est qu'ils soient cantonnés aux rôles d'esclaves ou de subordonnés, à part peut-être la vigie pirate. Bon, ça doit être un choix des auteurs -surement influencés par leur époque. En même temps, dans Astérix, beaucoup de personnages sont opprimés, y compris les gaulois, car on est en pleine domination de l'Empire Romain. De là à parler de racisme ou de racisme latent... On peut estimer qu'il manque une vraie histoire africaine, tout comme il manque une histoire en extrême-orient. On ne voit pas un seul chinois, il me semble, même expatrié. Ils sont où les chinois ?? " Les tinois qui pa'lent comme ta !! " et qui disent "honorable" à tout bout de champ et qui triment pour un bol de riz ! :D* * (j'ai la caution ethnique alors je peux faire toutes les blagues que je veux sur les asiatiques)

Ce classement ne signifie pas que la charcuterie devient d'un coup aussi meurtrière que le tabac. Et c'est un peu rapide de balayer d'un revers de main la potentielle nocivité de choses qu'on a du mal à mesurer. Pour le tabac, c'est plus simple : les cancers sont plutôt ciblés, les consommations de tabac sont bien plus fortes que celles de charcuterie, il y a peut-être eu plus d'études sur le sujet et peu d'autres facteurs le chevauchent. Dans le cas de l'alimentation, c'est différent : on mange plein de choses, en quantités variables. Cela dit, on sait depuis longtemps que les charcuteries et salaisons sont à consommer avec modération, tout comme les grillades au barbecue. Tout aliment, en fait, consommé en surabondance, peut s'avérer nocif (ex : le sel, le sucre,...). Les charcuteries sont des combinaisons. La question est de mesurer leur degré de nocivité (en parlant de tabac, on notera que beaucoup de charcutailles sont fumées). Pour la viande, je suis plus dubitatif. Pour ma part, j'essaye de consommer des viandes équilibrées en omega 3 et 6, venant d'élevages raisonnés et en proportions modeste (que je dépasse souvent par gourmandise). Ce qui est sûr, c'est que la viande d'intensif provient d'animaux en carence, mono-nourris. Puis ces viandes sont transformées, coupées, mélangées, salées, graissées, enrichies en eau et on finit par nous proposer des produits faits de raclures carnées et bas morceaux indignes du titre de "viande pur boeuf". Ça, on ne perd pas à en manger moins. Je n'ai pas lu le rapport. Je n'ai pas trop d'avis.

C'est elle, le Serpentaire. Mais je crois qu'il y a un arc où on raconte la légende du chevalier d'or déchu.

Pas d'accord avec cette théorie. Personne ne se comprendrait, si on devait tous être pareils pour ce faire. La ressemblance, les points communs, les passions partagées, ils créent des bases de complicités. Ce sont des ponts qui peuvent relier des personnes pourtant très différentes, qui ne se ressemblent pas. Personnes qui peuvent se séparer sur bien d'autres points. Ensuite, pour une relation durable, il me semble qu'on oscille toujours entre la connaissance totale de l'autre et la préservation d'un peu de surprise et de mystère. Le froid et le chaud. De toute façon, une bonne relation passe par le dialogue. Chaque couple sa ensuite a part plus ou moins grande de jardin secret personnel, chacun des deux aura des attentes à équilibrer.