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transporteur

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Tout ce qui a été posté par transporteur

  1. Les mecs qui cherchent des excuses pour légitimer leur manque de solidarité,bof.
  2. C’est le Figaro qui a tiré le premier, comme s’il avait senti le vent tourner : « Fiscalité : ces Français qui choisissent l’exil », titrait-il en pleine une le 24 février, avant même la proposition surprise de François Hollande d’imposer la partie des revenus supérieurs à un million d’euros annuels à 75 %. Le quotidien précisant : « Ce mouvement s’accélère à l’approche de l’élection présidentielle. » l’échec du bouclier fiscal Peu après, le reste de la presse lui a emboîté le pas. « L’exil des riches a commencé », titrait ainsi le Journal du dimanche, le 4 mars, faisant le lien avec « la surtaxe Hollande (qui) ne laisse personne différent ». Mauvaise pioche : en fait, cet exil n’a jamais cessé. Même durant le quinquennat Sarkozy et son bouclier fiscal qui a limité les impôts directs à 50 % des revenus, impôts locaux, CSG, CRDS et impôt de solidarité sur la fortune (ISF) compris. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, avec un solde négatif entre le nombre de rapatriements et le nombre de départs des assujettis à l’ISF en France qui s’est creusé ces dernières années : de 350 « exils » en moyenne entre 2000 et 2005, on est passé à 719 en 2007, puis 821 en 2008, contre respectivement 246 et 327 retours ces deux années-là. Pour un coût qui, lui, est allé en augmentant, de 563 millions d’euros en 2008 à environ 700 millions en 2010, sans contrepartie ni retombée positive d’aucune sorte. Et la prétendue liste de 3 000 fraudeurs au fisc dont Éric Woerth, ministre du Budget, avait menacé de rendre publique, en août 2009, si les intéressés ne négociaient pas leur régularisation, s’est révélée n’être qu’un pétard mouillé. Mais c’est à Rouen, mardi, que Jean-Luc Mélenchon a véritablement mis les pieds dans le plat en révélant les noms de plusieurs exilés fiscaux en Suisse parmi les plus riches du pays : les familles Wertheimer (propriétaires de Chanel, dont la fortune est estimée entre 3,2 et 4 milliards d’euros), Castel (eaux minérales Thonon, Saint-Yorre, Vichy Célestin, bières 33 Export ; de 3,2 à 4 milliards d’euros de patrimoine), Peugeot (PSA, de 1,2 à 1,6 milliard), Lescure (Seb, Tefal, Calor ; de 1,2 à 1,6 milliard), Bich (Bic, de 1,2 à 1,6 milliard), Defforey et Fournier (Carrefour, de 650 à 730 millions d’euros). Pour le candidat, ces privilèges doivent prendre fin : « Tous les citoyens français qui votent, où qu’ils soient dans le monde, participeront à l’impôt en France », a-t-il lancé, en détaillant plusieurs propositions du Front de gauche pour y parvenir, comme la mise en place d’une « taxation différentielle » ou l’interdiction pour « toute personne qui ne veut pas être imposée, domiciliée fiscalement en France » d’« exercer une responsabilité exécutive dans une entreprise française ». Tous ces contribuables en fuite n’ont pas attendu les propositions de la gauche pour s’exiler, pas plus qu’ils n’ont été convaincus par le bouclier fiscal de se réinstaller en France. Ainsi, Paul Dubrule, ancien maire de Fontainebleau de 1992 à 2001, sénateur UMP de la Seine-et-Marne de 1999 à 2004, et président du groupe de surveillance du groupe hôtelier Accor, cité par Jean-Luc Mélenchon mardi soir, s’est-il expatrié à Genève dès 2006, économisant 2,3 millions d’euros d’impôts durant les quatre années suivantes, apprend-on en consultant le site de Public Sénat du 20 mai 2010, pour une fortune estimée entre 80 et 160 millions d’euros. Bel exemple de patriotisme économique de la part d’un ancien élu ! un devoir vis-à-vis de la société Bien sûr, le candidat en est conscient, faire de la publicité aux noms de « ces déserteurs fiscaux qui refusent de contribuer à l’effort commun » l’expose aux pires accusations de « la bonne société ». Il s’agirait pourtant d’un mauvais procès, car cette liste n’a rien de confidentiel : après vérifications, elle est en fait extraite de la liste des 300 plus riches de Suisse en 2011 de la revue économique helvétique Bilan. Y figurent les noms de 44 Français, individus ou familles, dont les huit cités par Jean-Luc Mélenchon, et cumulant un patrimoine de 30 milliards d’euros. Au point de se demander si l’anomalie n’est pas du côté des candidats qui ne parlent jamais des moyens de remédier à ce scandale alors que les propositions pleuvent pour rappeler aux chômeurs et aux immigrés leurs « devoirs » vis-à-vis de la société… Les riches, les importants, les puissants n'ont d'autre patrie que l'argent. Ils n'aiment pas leur patrie, ça suffit. Ces gens sont des parasites, voilà ce qu'ils sont. Et donc, dans l'éco-socialisme auquel nous aspirons, ils n'ont pas leur place". Et de conclure : "Donc s'il s'en va, au revoir. Mais sa fortune et ses moyens, ils appartiennent à ceux qui les ont produits par leurs efforts".En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/pepites/jean-luc-melenchon-riches-comme-bernard-arnault-sont-parasites-477492.html#YYAPJRQrqizrBCQL.99
  3. Le monde du travail, c'est comme un arbre à singes : tous à des niveaux différents et sur des branches différentes. Bien entendu, plus on monte sur les branches les plus hautes, et plus l'importance et la responsabilité dans la hiérarchie est élevée... Et lorsque l'on regarde de plus près, on s'apperçoit que : Quand les singes assis sur les branches du haut, regarde vers les bas, ils voient de grands sourires, Quand les singes du bas regardes vers le haut, il ne voient que des trous du cul... Quand un patron vous dit que sa compagnie est comme une grande famille, attendez-vous à travailler pour ses enfants et ses neveux. Moi ma boîte est géré par des actionnaires qui ont rachetté le groupe ils ont mis là un directeur d'usinevenu d'Angleterre qui a mis en place un mode de management a l'anglo saxonne qui ne passe pas du tout en France et qui génère des nombreux conflits et un véritable mal étre,le management par la terreur est contre productif. Ces cadres là sont nocif pour une entreprise car par leur obstination et leur zèle crée une ambiance contre productive a toute évolution de l'entreprise.
  4. Chez moi le responsable cadre de la maintenance n'y connait rien il a sous ses ordres des agents de maitrises qui eux ont des techniciens pour faire le boulot,sans le cadre ça marche même mieux. Les commerciaux ne sont pas forcement cadre mais il est vrai que leur travail est aussi très importante. Dans ma boîte les services sont organisé par cellule ou GAP chacun ayant un cadre qui la gère de façon globale mais ceux ci ont des maitrises ou des techniciens ou des GAP leaders pour ce qui est lié au terrain. Dans ces cas précis le cadre nous coute du fric et ne sert pas a grand chose d’ailleurs quand on ne connais pas le rôle exact d'un cadre on peu ce poser des questions. Un entreprise divise pour mieux régner elle n'a que très peu d’intérêt a l'unité.
  5. La différence entre la droite et la gauche au pouvoir n'est pas suffisante aujourd'hui pour faire la différence.
  6. Toujours est il que dans ma boîte quand les cadres ne sont pas là ça ce connais pas mais quand les ouvriers eux sont absent ça bloque tout.
  7. Tout dépend des cadres,je pense qu'il faut pas mélanger cadres et ingénieurs.
  8. Bien sur DSK est un grand humaniste c'est connu.:smile2: Lâché 6 millions par humanisme c'est très "touchant". Ce pervers c'est fait gaulé et roulé par une nana bien fait pour lui vu que c'est son poireau qui commande et pas son cerveau,espérons que ce gros pervers sera calmé après toutes ces affaires le concernant. Aujourd'hui il ne pourra plus agir impunément c'est ce qui compte.
  9. Ça t'évite de parler du fond c'est déjà ça. De toute façon on va pas pleurer sur l'exil d'un type qui roule bourré,a violé des nanas dans sa jeunesse et pisse dans un avion devant tout le monde. Son fric manquera a la France qui lui a tout donné mais la personnalité on s'en passera volontier,bon courage aux Belges.
  10. Tu attendra que j'ai terminé de quoter avant de donner des leçons. C'est sur que 8000 euros par jour après impôts c'est trop dur.
  11. Ayrault n’a pas qualifié la personne de Depardieu de « minable » mais son exil fiscal en Belgique. »Je trouve ça assez minable de se mettre juste de l’autre côté de la frontière. Tout ça pour ne pas payer d’impôts », a-t-il dénoncé, estimant toutefois que Gérard Depardieu était une « grande star ». Non seulement Ayrault n’a pas dit que Depardieu était minable mais il a dit qu’il était « une grande star ». Son exil fiscal est bien minable. Jean-Marc Ayrault, premier ministre, a tout à fait le droit de commenter l’exil fiscal d’un multi milliardaire qui doit sa richesse à la France et aux Français. Encore faut-il que le montant des impôts avancé par l’acteur soit réel, ce dont doutent la plupart des fiscalistes »On ne sait pas ce qu’il compte mais on sait qu’il mélange différents types d’impôts qu’il met au regard de son seul revenu », objecte Vincent Drezet, pour qui « on mélange des choux et des carottes ». Selon ce spécialiste, le taux de 85% ne peut être atteint qu’ »en cumulant un certain nombre d’impôts, notamment des impôts fonciers sur des propriétés secondaires », mais dans ce cas, « c’est complètement atypique et ça ne veut plus dire grand chose, ce n’est pas pertinent du tout ». Il rappelle par ailleurs que « les 15% restants doivent être assez importants: il serait intéressant de les comparer au Smic ou au salaire français moyen ».http://lexpansion.le...isc_365470.html A côté du cinéma, les activités de Gérard Depardieu sont multiples: propriétaire de plusieurs restaurants, il est aussi à la tête d’une poissonnerie, Moby Dick, où il lui arrive de servir. Mais il a aussi un magasin de motos, la plus grande concession Yamaha d’Europe. Et puis, bien sûr, ses vignobles: en France, mais aussi en Italie, en Espagne, en Argentine et, depuis peu, en Ukraine.http://www.sudinfo.b...-des-proprietes http://laconnectrice.wordpress.com/2012/12/18/gerard-depardieu-une-honte-pour-la-france-et-un-exemple-deplorable-pour-la-jeunesse/
  12. La célébrité n’est pas un don du ciel, elle n’arrive pas ex nihilo. C’est une synthèse entre les qualités et le travail d’une personne et leur reconnaissance par les citoyens qui contribuent à la célébrité d’un individu par leur intérêt pour ce qu’il produit, par leur engagement, par leur soutien moral et, surtout par leur participation financière directe ou indirecte par le biais de leurs Impôts..Une célébrité devrait avoir en tête que tout ce qu’elle fait ou dit publiquement informe, façonne, modélise, conditionne et dicte des comportements.
  13. Tout ça me fait penser au film "la Folie des Grandeurs" dans lequel De Funès est ministre des finances du roi d'Espagne " Les riches, il n'y en a pas beaucoup, il faut les laisser tranquilles les riches! Mais les pauvres, il y en a beaucoup des pauvres , il faut les faire payer les pauvres , c'est à eux de payer les pauvres !"
  14. Gérard Depardieu a gagné en moyenne 8000EUR par jour après impôt c'est quand même pas rien et ce minable trouve qu'il est trop imposé.
  15. C'est sur ils sont catholiques. Un Portugais ce sent Portugais avant d’être Français.
  16. Il y avait pourtant un programme vraiment a gauche avec une nouvelle politique dans le nombre de candidats qui ce présentaient a gauche.
  17. Heu c'est les médias qui on fait un foin avec cette histoire ce qui a provoqué une réaction du gouvernement.
  18. La France tu l'aime ou tu la cuite.:D Les autres ne valent pas mieux mais ils ce font discret. Pour Yannick Noah: http://www.newsring.fr/economie/451-lexil-fiscal-est-il-une-veritable-menace-pour-la-france/7441-yannick-noah-assure-payer-ses-impots-en-france-depuis-20-ans
  19. Oui,il fallait voter pour la vrai gauche.
  20. Non ,je veux de la justice rien de plus et prendre le pognon là ou il est c'est a dire dans les poche du capital. N'oublions pas que la productivité a augmenté significativement en 15 ans et que cela n'a pas été pris en compte dans le calcul des retraites Ca suppose de mobiliser deux points supplémentaires de la richesse nationale en faveur des retraites. Cela n’a rien d’excessif : la France consacre aujourd’hui 14 % de sa richesse aux retraites alors qu’elle n’en consacrait que 7 % en 1970. C’est d’autant plus justifié que 2 actifs d’aujourd’hui produisent autant de richesses que 3 actifs d’y il y a trente ans. Du moment où l’on assume la nécessité d’un autre partage des richesses, la retraite à 60 ans redevient possible.
  21. Dix contrevérités sur les retraites 1) L’âge moyen de départ à la retraite est de 61,5 ans, reculer l’âge légal de départ à la retraite ne changerait donc rien. L’âge moyen de « départ à la retraite » est celui auquel on fait valoir son droit à pension. Ce qui est important, c’est l’âge de cessation d’activité. L’âge moyen de cessation d’activité est de 58,8 ans, et six salariés sur dix sont hors emploi (chômage, invalidité, inactivité ou dispense de recherche d’emploi) au moment de liquider leur retraite. Très souvent, les salariés ayant eu une carrière courte et/ou heurtée, en particulier les femmes, liquident leur retraite à 65 ans pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein sans décote, alors même qu’ils sont déjà hors du marché du travail. Reporter l’âge légal de la retraite au-delà de 60 ans aurait une double conséquence : les systèmes de chômage ou de préretraites vont devoir financer en plus ce que les systèmes de retraite financeront en moins, et en parallèle, la période hors emploi avant l’âge de départ en retraite s’allongera pour beaucoup, avec des ressources dérisoires ou nulles. L’âge du taux plein (65 ans) sera repoussé d’autant, signifiant qu’une proportion croissante de salarié-es devra reculer son départ pour atteindre la nouvelle borne ou bien avoir une pension amputée par la décote. 2) L’espérance de vie augmente, c’est normal de travailler plus longtemps. L’augmentation de l’espérance de vie n’est pas nouvelle, elle n’a pas empêché que le temps passé au travail dans une vie baisse en parallèle. De plus, l’espérance de vie « en bonne santé », c’est-à-dire sans incapacité, est beaucoup plus faible que l’espérance de vie. Tout départ en retraite tardif obère de façon non négligeable le temps dont les salariés disposent pour jouir réellement de leur retraite. Enfin, les jeunes entrent de plus en plus tard dans la vie active et de nombreux salariés, dont une majorité de femmes, ont des carrières discontinues et n’arrivent déjà pas à réunir le nombre d’annuités demandé, alors même que les entreprises se débarrassent des salariés âgés. L’augmentation de la durée de cotisation ou le report de l’âge légal de départ à la retraite aurait donc des conséquences importantes lors de la liquidation de la retraite et se traduirait en pratique par une pension réduite pour le plus grand nombre. 3) Les jeunes ne pourront pas financer les pensions des futurs retraités, il faut donc que ces derniers travaillent plus longtemps. Pour que les jeunes puissent payer les pensions des retraités, il faut qu’ils ne soient pas au chômage et donc que les salariés âgés laissent leur place sur le marché du travail aux nouvelles générations. Décaler l’âge de départ à la retraite revient à préférer entretenir le chômage des jeunes plutôt que de payer des retraites. La retraite par répartition repose sur un contrat implicite : la génération qui travaille a bénéficié du travail de la génération précédente dont elle prend en charge les retraites. Le moment de la retraite venue, elle sera prise en charge à son tour. Ainsi chaque génération monte sur les épaules de la précédente et la création de richesse est partagée entre actifs et retraités. C’est ce contrat intergénérationnel que le gouvernement et le patronat tentent de détruire en voulant faire travailler plus longtemps les générations les plus jeunes. 4) Le système par répartition ne sera plus capable de garantir des pensions décentes aux jeunes générations, celles-ci doivent donc d’ores et déjà se prémunir en se constituant un supplément de retraite par une épargne privée. Si on estime possible de compléter les cotisations pour le système public par répartition par des versements dans une épargne privée, qu’est-ce qui empêche alors d’augmenter les cotisations et de garantir une meilleure retraite grâce au système par répartition ? 5) Les fonctionnaires sont des privilégiés Le niveau des retraites est équivalent dans le secteur privé et dans la fonction publique : en moyenne 1625 euros par mois dans le privé, 1593 euros dans la fonction publique. Le mode de calcul de la retraite est différent dans le privé et dans le public, mais cela aboutit à un résultat similaire. Dans le secteur privé, elle est calculée sur les 25 meilleures années et les primes sont prises en compte. Dans le public, c’est le salaire des 6 derniers mois, mais les primes ne sont pas prises en compte et la retraite complémentaire n’est pas de même niveau que dans le secteur privé. 6) Il y aura trop de retraités et pas assez d’actifs Les projections démographiques ne sont pas des vérités scientifiques et sont basées sur des hypothèses concernant plusieurs paramètres (fécondité, chômage, taux d’activité des hommes et des femmes, etc.). Déjà, depuis quelques années, les projections ont beaucoup varié. Ainsi, à la fin des années 1990, tous les rapports officiels prévoyaient un effondrement de la natalité. Il n’en a rien été. Jusqu’à récemment, les mêmes rapports prévoyaient un effondrement de la population active dans le futur. Les dernières prévisions de l’Insee font maintenant apparaître une augmentation de la population active jusqu’en 2015 puis une stabilisation par la suite. En outre, les hypothèses retenues sur la population active sont très pessimistes, pour ne pas dire régressives : rien ne justifie en effet de projeter, dans la tranche de 25 à 45 ans, un taux d’emploi des femmes inférieur de 15 points à celui des hommes si ce n’est renoncer définitivement à toute politique visant l’égalité entre les femmes et les hommes. De fortes marges de manœuvre existent pourtant dans ce domaine, et un niveau d’emploi égal entre hommes et femmes signifie qu’on retrouverait le même ratio retraités/actifs qu’en 1970, donc sans aucune dégradation. 7) On ne pourra pas financer les retraites À moins de décréter la paupérisation des retraité-es, il est normal de couvrir les besoins sociaux liés à l’augmentation de leur part dans la population par un accroissement des prélèvements sur la richesse produite. Les déficits des caisses de retraite sont essentiellement dus au refus obstiné de le faire. Pourtant, le besoin supplémentaire de financement nécessaire aux retraites est réalisable puisqu’il a été chiffré en 2007 par le COR entre 1 et 2 points de PIB jusqu’en 2050, à comparer avec la chute de la part de la masse salariale de 8 points au cours des dernières décennies et avec l’explosion correspondante des dividendes, qui sont passés de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. Il est donc juste d’augmenter la part des salaires et des pensions dans la richesse produite en s’attaquant aux profits. Le financement des retraites est possible à condition d’en finir avec l’actuel partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers. C’est ce partage qui constitue le tabou à faire sauter, et non l’âge de départ. Il s’agit là d’un choix politique de justice et de solidarité. 8 ) La solution pour financer les retraites qui consiste à augmenter les cotisations patronales serait néfaste à la compétitivité des entreprises. Différents scénarios ont été étudiés, avec l’hypothèse sur laquelle travaille le COR d’un gain de productivité de 1,5% par an. Un de ces scénarios établit qu’il est tout à fait possible de garantir à la fois le maintien du taux de remplacement (retraite moyenne/salaire moyen) et une progression identique du pouvoir d’achat des retraités et des salariés (de 1, 2%/an, soit une progression un peu moindre que celle de la productivité) par une augmentation de 6 points des cotisations patronales entre 2009 et 2050 : cette augmentation n’aurait aucun effet sur la sacro-sainte compétitivité des entreprises, puisque ce scénario est fait en prenant l’hypothèse du maintien à son niveau actuel de la part de la masse salariale (salaires et cotisations) dans la valeur ajoutée, donc sans impact sur les coûts. Ce scénario, même s’il n’est pas le plus favorable aux salarié-es et retraité-es puisqu’il suppose que la part de la masse salariale reste à son niveau actuel qui est historiquement bas, rend totalement inopérant le seul argument du Medef contre l’augmentation des cotisations. Un scénario plus favorable aux salariés et retraités est celui qui permet que la part de la masse salariale augmente en rognant sur les dividendes, ce qui laisse inchangé le coût du travail. 9) Pour financer les retraites, il faut une croissance productiviste Fonder le financement des retraites sur le partage des gains de productivité ne signifie pas que l’on mise sur une croissance économique forte. Quels que soient les gains de productivité futurs, ils devront être partagés entre le niveau de vie de tous, actifs comme retraités, la satisfaction de nouveaux besoins sociaux et la diminution du temps de travail. 10) Les dispositifs familiaux dont bénéficient les femmes sont contraires à l’égalité entre les hommes et les femmes. Ce sont très majoritairement les femmes qui prennent en charge les enfants et la gestion du foyer. De ce fait, elles sont pénalisées dans leur carrière, elles s’interrompent ou travaillent à temps partiel. Même en intégrant ces dispositifs familiaux, leur retraite est en moyenne inférieure de 40 % à celles des hommes. Ils sont donc encore aujourd’hui essentiels pour réduire les inégalités de pension entre femmes et hommes. Pourtant, le droit communautaire européen remet ponctuellement en cause l’existence de tels dispositifs. C’est une incohérence, puisqu’il reconnaît par ailleurs la notion de discrimination indirecte, c’est-à-dire la légitimité à donner un avantage particulier dès lors que celui-ci permet de réduire des inégalités sociales ou de sexe. Il est impossible de se réclamer du principe d’égalité pour augmenter les inégalités.
  22. A bon Depardieu est un politique ? L'Etat demande quelques années(2) de forte solidarité alors pourquoi être le premier à fuir quand on est le plus à l'aise ? alors que pour le quidam de base ce n'est pas pour 2 ans mais a vie. Monsieur se vante d'être un homme du peuple, mais le peuple reste, pas lui. Ces messieurs ne sont IMPOSABLE qu'a partir du million d'euros, cet à dire si ils declarent 1,200.000 euros de gaint ILS NE PAIERONT les 75% que sur les 200.00 euros, alors si ces pôvreeeees messieus n'arrivent pas à vivre avec 1 million d'euros par an, je me met dans un coin et je pleure toute ma vie, alors ARRETER de les plaindres et de nous prendre pour des imbeciles. Et n'oublier pas que ce qu'ils ne paient pas c'est nous tous qui le payons à leur place. le 17 août 2011 rien que de très banal : Gérard Depardieu pissant par terre dans le couloir d’un avion devant les passagers et l’hôtesse, c'est sur rien d’irrespectueux et de grossier là dedans. http://www.rtl.fr/ac...-DD-D8WMFH-AJZM ou encore http://www.lepoint.f...1535400_264.php Pour Binoche a propos du réalisateur du film ou elle a tourné il déclare: Carax a eu besoin de six ans pour tourner son film avec Binoche, qui à la fin n’était pas même seulement un film, mais juste un morceau de merde. » Non il est très bien en Belgique le Maneken pisse. Tous les films ou presque y compris ceux de Gérard Depardieu recoivent des subventions donc de l'argent PUBLIC de la part du CNC,.de nombreux acteurs même très bien payés s'inscrivent au chômage entre 2 films et touchent de l'argent PUBLIC...mais bien sur quand il s'agit de renvoyer l’ascenseur......Ces "artistes" sont devenus des monstres d’égoïsme et d'ego-centrisme,ce n'est pas un problème lié à Hollande,Hollande leur sert d'alibi..Hallyday et bien d'autres, (les pilotes F1 les tennismen, Aznavour n'ont pas attendu Hollande.....Qu'on ne s'y trompe pas..tous ces gens ne volent pas l'état.....Ils nous volent NOUS....C'est ça en moins pour les écoles, les hôpitaux, les maisons de retraite etc etc....La plupart des gens qui comprennent le geste de Depardieu hurleraient si on leur piquait leur autoradio......"Gégé" leur fait les poches et ils disent bravo.
  23. Prostitution,flirter avec des assassins n'a rien d’ambitieux. Dires d'une actrice qu'elle "n'est rien" vaut autant qu'un "minable" Pour le coup du scooter il roule bourré,le danger c'est lui.
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