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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. Engardin

    Je 2

    J'ai pris un coup de jeune grâce à ma photo ! C'est @apis 32 qui m'a donné l'idée !
  2. Engardin

    Je 2

    Je mets la suite tout de suite c'est ridicule de laisser l'histoire en l'air : .....Car pendant le hold-up, un meurtre avait été commis au numéro d’à côté mitoyen de la banque, qu’on devait certainement leur mettre sur le dos. (Ils l’avaient appris dans la presse.) Et eux, voleurs naïfs, confiants, pour tout dire, honnêtes, qui n’avaient même pas pris de gants pour le hold-up ! L’encadrement métallique du coffre avait dû en être littéralement constellé de leurs empreintes. Je se représentait furieusement la joie des policiers maculant du bout de leurs pinceaux velucheux l’encadrement du coffre de cette poudre blanche révélatrice, selon le procédé qu’il avait si souvent vu au cinéma (le cinéma en face de la banque). Et il imaginait leurs empreintes apparaissant magiquement, comme pour une démonstration : une ici !... une là !... une autre !... et encore une !... Un gang sans gant, bon sang ! Mais c’était consternant !... Advint alors ce qui ne pouvait qu’aveindre : Un soir, à la sortie du cinéma (toujours le même cinéma en face de la banque), les policiers les arrêtèrent. La boucle et le gang mixte étaient bouclés ! Et curieusement, ce n’était pas à cause des empreintes qu’on avait pu remonter jusqu’à eux, mais des lunettes... Les lunettes oculaires que l’un des deux avait perdues sur place. Et ils ne s’en étaient même pas rendu compte ! « Car les lunettes, leur apprit Monsieur le Commissaire, en matière d’enquête, sont un moyen aussi sûr que les dents pour reconnaître les gens. » « Même cassées. » Il lui avait suffi de rechercher auprès des oculistes (et non des dentistes puisqu’il n’y avait pas de dent cassée sur les lieux du forfait), pour découvrir la personne qui, ayant aux deux yeux, la même mauvaise vue que celle hypothétiquement corrigible par les dites lunettes, avait lunetto sensus, signé son acte. LE CHŒUR : D’où le proverbe : « Je signe mon acte sans mes lunettes » Je ne comprit jamais (outre le sens obscur du proverbe) pourquoi ces mêmes lunettes, perdues de nombreuses années avant le hold-up et en un tout autre lieu, s’étaient retrouvées là, dans la banque, près du coffre. (Quand le destin s’en mêle...) Pourtant, aussitôt pris, ils tinrent à préciser aux policiers que le meurtre de-la-porte-à-côté-mitoyen-ne-de-la-banque-et-contemporain-du-hold-up, n’était pas du tout leur fait. Ce qui fut sans la moindre difficulté cru d’eux, vu qu’à ce même moment, l’un des quatre policiers qui montaient la garde contre un des quatre murs de la salle où se déroulait ce premier interrogatoire informel, s’écroula, un poignard planté dans le dos. Je et son compagnon en étaient donc tous disculpés : et de ce meurtre-ci, et de celui remontant au hold-up ! En premier du second, puisque ils parlaient lors du coup de couteau près de la porte à l’entrée de la pièce, avec le Commissaire, où n’importe qui (dont le commissaire lui-même) pouvait les surveiller n’assassinant personne... et en second, du premier, puis qu’ils auraient pu tout aussi bien à cette époque-là parler avec quelqu’un et donc ne point le commettre... Ad libitum. Un alibi en bétoun ! Le vrai agresseur, lui, caché sans doute derrière quelque tenture en attente de meurtre, s’y était vraisemblablement re-faufilé par la suite, incognito, son forfait fait. Il lui eût même été un jeu d’enfant de perpétrer le premier meurtre, personne n’ayant jamais songé à vérifier des tentures si elles ne cachaient pas par hasard, quelque passage secret reliant les deux immeubles, quitte à les soulever, ne serait-ce qu’un tout petit peu, juste pour voir... Il est des failles dans les enquêtes les mieux menées... Le policier poignardé qui dans un premier temps, s’était, en poignardé classique, écroulé de tout son long face à terre, venait à présent de s’installer à la table au milieu de la pièce et manifestait son désir de manger de la purée. (Ce qui était son droit le plus strict de poignardé classique.) Mais Je, aux-prévisions-pessimistes-en-pareil-cas, jugea bon de l’en dissuader : — Le couteau a dû vous transpercer l’estomac : il serait plus prudent que vous ne mangiez point aucune purée, redonda-t-il... Le malheureux lui montra alors, le long poignard à lame lisse, large, ferreuse, sombre et pointue qu’il venait de retirer tout seul d’entre ses omoplates. « Elle n’a pas dû pénétrer bien profond. » dit-il de la lame à Je Humble. Et la marque sur la lame précisait la profondeur. Pour en être bien sûr, Je renfonça le couteau dans la plaie jusqu’au fond à plusieurs reprises, puis vérifia le niveau, qui augmentait rapidement, au fur et à mesure qu’il y appliquait son attention (comme monte un liquide thermométrique sous l’effet de la chaleur ou de l’inquiétude). Après avoir attendu le temps réglementaire, la marque disait une bonne vingtaine de centimètres... « L’estomac a certainement été perforé » conclut Je Humble. Mais sans attendre son avis, le policier transpercé, s’empiffrait déjà de purée... Ici, il y a comme un blanc dans l’histoire. Nous en conclurons que sans attendre de savoir si le policier poignardé était ou non étanche à la purée, Je était parti au devant, seul avec le Commissaire... Ils marchèrent dans un large couloir cloîtru éclairé-du-côté-gauche (le droit étant de grandes vitres sales et sombrées). Et là, chemin faisant, Je lui avoua tout, au commissaire, lui expliqua tout. Bien sûr, il eût mieux valu que son acolyte et lui s’entendissent à l’avance sur la teneur de leurs déclarations... mais il était trop tard. Ainsi donc plaida son cas, Je : — Finalement, nous n’avons pas dépensé l’argent : nous pouvons le rendre ? Et nous n’avons tué personne ?... C’est donc un peu comme si nous n’avions rien fait ?!!!... Encore leur faudrait-il rembourser la police, proportionnellement aux salaires des policiers fonctionnaires, rata pro rata du temps qu’ils avaient perdu à leur recherche. Après, mais après seulement, ils pourraient se considérer comme totalement innocents. LE LOCUTEUR : Que voulez-vous que je vous dise ? Ni ne se marièrent, ni n’eurent le moindre enfant...
  3. Engardin

    Je 2

    Le hold-up mixte Dans la banque, comme prévu, Je et son complice, s’étaient retrouvés seuls. Seul à seul devant le coffre. Ni plus ni moins, qu’un grand placard métallique encastré dans le mur, ce coffre. Et un placard dont la porte non verrouillée (toujours comme prévu) permettait un total libre accès à l’argent : pas la moindre effraction donc à faire à la porte de fer. Laquelle porte, étonnamment épaisse s’ouvrit comme un piston de seringue... Et ils te le vidèrent, ce coffre (mon ami !), te le cu-rèrent ! Sans la moindre retenue. En souvenir de l’épaisseur de la porte qui les avait un instant effrayés. Ils remplirent ainsi, à craquer, leurs grands sacs mous noirs, d’argent volé. (Un sac chacun)… SADE : Joun dis rien, ma jou lou vis ! Vers la fin, ne subsistait à mi-hauteur, à droite de l’étagère du coffre, que deux ou quatre pièces. Des pièces larges, operculaires, renflées au centre comme des loupes d’or qui comptaient double. Je les glissa dans sa poche : il ne laisserait rien dans ce coffre ! Rien de rien ! Puis ils refermèrent soigneusement la porte pour ne pas attirer l’attention. Tant qu’on n’ouvrirait pas, le vol passerait inaperçu. (Un coffre fort fermé et plein, ayant, vu de l’extérieur, même apparence qu’un coffre fort fermé mais vide.) Las ! ils avaient tout pris, et c’était une erreur : en eussent-ils dérobé seulement la moitié, le vol en fût resté à jamais méconnu. (Un coffre fort à moitié plein ayant, vu de l’extérieur comme de l’intérieur, même apparence qu’un coffre fort à moitié vide.) Porte ouverte ou fermée. ... Ils ressortirent de la salle du coffre, précisément coupables, les sacs à la main. longèrent, l’air ostensiblement de rien, les guichets décorés d’employés s’employant et de clients cliants... Dehors, firent un grand détour, histoire de brouiller les pistes... — La voiture nous attend-elle (dentelle) à l’endroit prévenu ?... ou prévu ? Se prit à douter Je. Son acolyte le rassura : — Oui ! là-bas, tiens ! les femmes dans la voiture !... LE CHŒUR : C’était un hold-up mixte ! (Nous aussi, nous voilà rassurés.) En effet : au bout de la rue, juste avant le rond-point, le break rouge et poussiéreux conduit par les deux femmes s’extrayait, hésitant, de son emplacement en marche arrière... Le rejoignirent, montèrent, parturent. « Aussi rapidement que se déplace notre véhicule, expliqua Je, logique et prévoyant à son gang mixte, nous irons moins vite que le téléphone : si l’alerte a été donnée, nous risquons de tomber sur un barrage !... » La conclusion allait de soi. Mais il n’en fut rien du téléphone. Ni de l’alerte. Ni du barrage. Et ils rentrèrent chez eux. Cachèrent mais pas trop, les grands sacs mous noirs d’argent volé sous le lit métallique aux moulures en laiton. Les jours suivants, reprirent le travail. Affichant le plus possible pour donner le change, l’air de gens le moins possible milliardaires... Et l’affaire se tassa. Cela faisait maintenant plusieurs jours, semaines, années, ou décennies qu’ils avaient fait le coup. (Peu importe le temps.) Et tout leur semblait calme. Ou bien tout est fini, oublié, terminé, et l’affaire est classée, pensait Je Humble, ou bien la police est toujours à nos trousses et poursuit dans l’ombre, ses investigations à notre insu. Ou, ou : disjonction exclusive. Mais c’était la deuxième possibilité la plus probable ! Car pendant le hold-up, un meurtre avait été commis au numéro d’à côté mitoyen de la banque, qu’on devait certainement leur mettre sur le dos. (Ils l’avaient appris dans la presse.) à suivre...
  4. Oui ! Et donc ? C'est selon ?...
  5. Engardin

    De malo

    Voilà ! Nous avons un peu confondu les choses en nous bornant à relier le physique au psychique chez un même individu . Ces démonstration sont un point de départ mais ne résolvent pas le problème. Descartes déjà reliait l'âme au corps par "sa" glande pinéale ! Et nous savons que notre esprit commande notre corps de même que les affections du corps influent sur notre esprit. Ma libido s'efface au moindre rhume ! Et je recentre toutes mes préoccupations sur un vague mal de gorge ou de bronches. Le mystère du mal et de son existence n'est pas là. Il est hors de mon corps. Par quelle magie une souffrance infligée à un autre corps (et pour le coup physique ET/OU psychique) peut (pourrait) soulager une souffrance (vraisemblablement plutôt psychique) de mon corps-esprit à moi ? Le seul lien possible entre un autre corps et moi ne peut être que... "virtuel" ?! (théorique ou psychique ?) Et pas à proprement parler physique ou corporel... Il n'y a pas de continuité nerveuse d'un individu à l'autre ! Mais un hiatus que seul un lien imaginaire ou psychique (de transfert ?) peut franchir. Il me semble. On nous parle souvent des familles dont l'un des membre a été tué et "qui peuvent faire leur deuil" quand le coupable est enfin sous les verrous. Mais c'est un euphémisme ce "faire son deuil" : parce qu'on n'ose pas parler de vengeance ! Je crois que c'est ici aussi la punition de l'autre qui va alléger (un peu ? beaucoup ?) notre souffrance. Ce mécanisme reste à résoudre. J'y pressens des "transferts". Comme une empathie à rebours... La souffrance infligée à l'autre (auquel je m'identifie ?) ne l'étant pas à moi ?... Mon/ce non-mal imaginaire pouvant être considéré alors comme un bien ? Ou est-ce le transfert vers l'autre (un transfert imaginaire et symbolique) de ma propre souffrance qui s'effectue alors ? La/ma souffrance étant alors considérée comme un objet interchangeable ? (Objectivée et donc plus vraiment ressentie ; sortie, éliminée du domaine de mon ressenti ?) C'est le phénomène ou le mécanisme de la vengeance : "Œil pout œil dent pour dent" ! Qui fait de chacun de nous une sorte de monstre irrationnel. Pro-pathologique ! Et pathétique ! Ce qui expliquerait qu'on ne cherche pas à y voir de trop près ! Mais il n'en reste pas moins que les périmètres respectifs du bien et du mal d'où vont découler nos jugements quand aux limites des comportements pathologiques (ou pas) restent essentiellement définis culturellement, (au delà des mécanismes psychiques et physiques qu'on pourrait dire ou supposer objectifs). Il y aurait aussi à considérer la part culturelle dans la constitution des souffrances psychiques en chacun de nous... Sujet épineux s'il en est ! Tant qu'un problème n'est pas exposé en place publique il nous revient de vivre avec, plus ou moins bien ou mal -et surtout mal !- mais dès lors qu'il y est exposé il devient absolument insupportable. (Je sais que je ne devrais pas dire ça ! ) [Pour Musk et Banon, la furtivité avec laquelle toujours ils osent effectuer leur geste est à mon avis une preuve qu'ils s'en sentent au moins un peu coupables. Et tout considéré qu'ils savent bien qu'ils ne devraient pas le faire. Tes considérations proprement (géo)politiques n'en étant pas fausses pour autant !]
  6. Engardin

    Les vacances...

    Il y a des programmes pour vieillir ! (mais j'en ai pas besoin ! ) mes petits fils s'amusent avec ça sur leurs téléphones...
  7. Engardin

    Les vacances...

    Génial ! Un jour ou l'autre je ferai comme toi ! On aurait alors un forum de gamins ce qui correspondrais assez bien à la réalité !
  8. Engardin

    De malo

    En gros on voit un peu les choses de la même façon. Va-t-on en conclure exactement qu'infliger une souffrance (dans certains cas et pour certaines personnalités/caractères qu'il sera alors difficile de qualifier de pathologiques puisque relevant de "processus naturels/physiologiques" -ce qui déglinguerait un peu toute nos prétentions morale ou au moins moralisatrices-) Pour les Musk et Banon tu peux avoir raison et ma description de leur comportement ne pas être fausse mais reléguée seulement en surface seulement. (En espérant qu'ils ne soient pas absolument cyniques et un minimum sensibles à la morale commune.)
  9. Engardin

    Les vacances...

    C'est ta photo de toi petite pour ton pseudo ? Si oui c'est une excellente idée !
  10. Engardin

    Les vacances...

    Mon Dieu ! Mais je vis au milieu de fous !
  11. Engardin

    Les vacances...

    @apis 32 je reconnais que c'était assez horrible !
  12. Engardin

    Les vacances...

    Tu me rappelles un film !
  13. Engardin

    Les vacances...

    Belle et triste histoire ! On pourrait en faire une fable... La morale ?... attends je réfléchis... ...... " Rien ne sert d'émietter faut nourrir l'embonpoint ! "
  14. Engardin

    Les vacances...

    C'est pas la même chose ? Ce n'est qu'une question de degré... Mais se faire tabasser sans pouvoir répondre, je dirais pas que c'est avaler des couleuvres... Ou alors des Boas ? Des boas consTIPORS ?
  15. Engardin

    De malo

    Je dois en avoir fait une dizaine en tout... pour les lieux importants (du "patrimoine" historique !) du village... ça c'était la première... Peut-être la mieux réussie...
  16. Engardin

    Les vacances...

    Moi aussi ! "En fait, je suis bien, chez moi..." Oui ! Et moi je suis bien partout ! Où je me trouve !
  17. Engardin

    De malo

    Pour le chat et la souris on est d'accord il ne fait pas souffrir pour faire souffrir : il ne sait pas que la souris souffre. Il y a une liaison, une possibilité de correspondance entre le physiologique et le psychique. En fait il s'agit plus d'un aller-retour que d'une correspondance ou d'une "traduction". Le psychique produit, fabrique du physiologique. je pense à l'adrénaline par exemple dont on nous rabat les oreilles. Mais ce n'est qu'un exemple. La peur (de souffrir) ou l'angoisse, qui sont relativement abstraites ou virtuelles ou du domaine du concept, du ressenti, ou de l'intellectuel, en quelque sorte "théoriques et spirituels", accouchent du ... matériel, du chimique. Qui est potentiellement une promesse ou une possibilité, d'action. Une semi action, des prémices d'actions. Il s'agit là d'un processus "naturel", dont l'efficacité (et la nécessité) est certaine du point de vue du vivant. Et cela ne relève pas d'un comportement digne de maladie mentale. Voilà pour "l'échange" mental(la peur/souffrance)-physique(adrénaline/action). Dans ce sens. Mais dans l'autre ? Si la correspondance est effective dans un/ce sens l'est-elle dans l'autre ? La balayer d'un revers de manche en la qualifiant de maladie mentale ou/et issue d'un environnement culturel particulier, me semble un peu léger ou inexact. Puisque il se pourrait que l'on soit devant une réalité "physiologique" (si la correspondance dans l'autre sens est avérée.) C'est en ce sens que je parlais de "dommage collatéral" : dans le sens psychique>physique le processus est efficace et patent... Et tant pis si "à rebrousse-poil" (infliger une souffrance comme allègement de la sienne propre) c'est bien dommageable... Si la réciproque (dans le sens du retour presque du refoulé !) est exacte et "naturelle" (à Dieu ne plaise !) c'est bien culturellement, (par un apprentissage "anti-naturel" !) alors pour le coup, qu'on pourra, qu'il faudra luter contre. Je mets sur le dos de notre développement cérébral "excessif" et du développement de nos facultés psychiques la constitution de cette faculté de réciprocité qu'on ne semble pas constater chez les animaux. Encore que les loups qui massacre des troupeaux entiers en pure perte pose déjà problème. L'ivresse du sang, du meurtre pour le meurtre n'est peut-être pas notre seul apanage ? Je peux aussi bien avoir tout faux dans mes raisonnements ! Mais je pense qu'on doit se poser ces questions si l'on veut essayer de comprendre ce qui nous saute à la figure comme incompréhensible. Et traiter tout ça de monstrueux c'est à mon avis ne pas le "traiter" ! . On a vu récemment Musk et hier, ce Banon faire le fameux salut nazi... C'est une action. Une petite action mais déjà une action. Sans doute sont-ils mentalement malades, ou simplement cons ! Mais cette action (stupide) n'en découle pas moins d'un processus "naturel". (Cette fameuse réciprocité du retour action>psychisme). Je les imagine comme des enfants qui osent faire ce qu'ils savent être défendu. Ce qu'ils savent être mal ! Et je les imagine... un peu calmés quand ils ont enfin osé le faire ! Se sentent-ils mieux après ?... Je pose la question. L'eussent-ils fait ce geste s'ils se fussent après sentis plus mal après ? Un premier "défoulement" pour commencer le meurtre....
  18. Engardin

    De malo

    Crétin, crétin... Mais je ne vous permets pas ! ça me rappelle la plaque explicative que j'ai faite pour la tour de l'Horloge du village : Le nom de l'horloger qui a créée le mécanisme :
  19. Revival de Stephen King
  20. Engardin

    Les vacances...

    Je viens de voir du coin de l'oeil, une pub à la télé... Les vacances... Et j'ai pensé : les vacances, c'est le plaisir, le bonheur de devenir ou de redevenir totalement superficiel... De ne plus s'en faire. Ne plus se poser de question. C'est retourner en enfance en quelque sorte. (Dans la mesure où les enfants vivent dans un monde imaginaire plus que dans le monde réel.) On parle pourtant de vacances intelligentes. Comme partir à la découverte d'autres pays, d'autres peuples, d'autres traditions, d'autres modes de vie... Et qui s'opposent aux vacances de cons genre Club Med... Où tu cours, plonges, glisses !... () Je me demande lesquelles je préfère. Des quelles j'ai besoin, des quelles j'ai envie, là, maintenant... Partir... ..... Tenez, ça m'a fait du bien de partir un peu... Je viens de tester les vacances imaginaires...
  21. Engardin

    De malo

    Reste que mon sujet est resté en suspens ! Le mal. Réalité physique, physiologique, assimilé dans sa genèse à la douleur, la souffrance... Indispensable comme alerte pour le vivant. Et déjà passé par nécessité d'efficacité du côté imaginaire et psychologique par la crainte, la peur d'avoir mal. Et cette peur d'avoir mal, cette angoisse qui se transforme immédiatement en "adrénaline" et donc régresse du domaine psychologique ça physiologique... Ben voilà ! Finalement, j'ai fait le tour ! (Je crois !) La violence, (le meurtre, l'assassinat la torture, les souffrances infligées... etc.) sont des dommage collatéral de notre complexion psycho-physiologique et de l'interaction entre les deux... Du fait qu'il y a retour possible et correspondance. Et reste aussi une certaine zone d'ombre. Le mécanisme, la nature exacte du mécanisme qui fait que "je" ressente comme un bien, comme un allègement de ma propre souffrance, une souffrance que j'inflige à l'Autre... Il existe une faculté mentale de se projeter dans l'Autre... (et l'Autre en Soi -pour soi-.) Une faculté d'inverser les rôles en quelque sorte et ce en toute confusion. (Tout autre étant ou plutôt symbolisant alors l'Autre de Soi, comme coupable universel de sa propre souffrance.)
  22. Engardin

    De malo

    Il s'agit moins (pour moi) des les dégrader que de les comprendre. L'intelligence, c'est un fait elle y est. mais l'irrationnel ? Sa persistance ? (On l'avait déjà vu chez Kant qui séparait la métaphysique des autres connaissances.) Je pensais là, il y a une minute que l'Amour était un refuge pour les non croyants en manque. (D'où mes deux dessins.) Un besoin de s'inventer une liberté coûte que coûte ? De desserrer l'étreinte de l'ordinaire ? Tout ça est aussi en rapport peut-être avec le fait qu'on "exagère l'esprit" ? je le vois avec un petit animal, la petite chienne de 2 kilos, là devant moi et qui se débrouille déjà bien ! Très bien ! Notre conscience nous permet simplement d'aller un peu plus loin. (Il y a une prétention de la croyance qui dit l'esprit d'une autre nature. Et tiens, coïncidence : justement on a un esprit !) L'esprit qui souvent tourne à vide, s'emballe, se donne des émotions en se la jouant trop supérieur... Croire serait une mythomanie ? Mythomanes de toutes les croyances, unissez-vous ! Ca sert à rien ce que je dis...
  23. Engardin

    De malo

    Merci mais je lis pas encore bien couramment...
  24. Engardin

    De malo

    Vraiment je ne sais pas. l'(inconscient peut aussi facilement servir de bonne excuse... Tout est ambivalent. En ce moment c'est l'imposture qui me tarabuste... Ou la mauvaise foi. les deux se mélangent et l'on finit par devenir ce que l'on fait semblant d'être... et qu'on n'est pas. Au moins pour la galerie. Ce qui nous change aussi... En profondeur ou pas. mais est-ce qu'on a vraiment une profondeur ?... L'ambition qui est ce qui semble mouvoir les gens est si superficielle. Si insensée. Et tout le monde court en perruques...
  25. Engardin

    De malo

    Je ne trouve pas ! Quand j'ai fait mon dessin : J'ai aussi pensé que la représentation d'un "cerveau d'amoureux" serait assez semblable à celle d'un cerveau de croyant. A savoir que le "centre de gravité" imaginaire du moi (tout comme en astronomie le barycentre du système solaire) s'est déplacé à l'extérieur de "l'individu"... soit vers dieu soit vers l'image du Moi qu'est l'Autre Aimé :
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