Crom-

Oui j'avoue que sur ce coup la " vibrer a l'unisson" je parlais de ce que je ne connais pas. Mais bon si l'un vibre et l'autre pas la vibration ne s'entretient pas, il n'y a pas résonance. Après combien de temps cette résonance peut durer: je n'en sais rien.

Non car la lumiere se sépare de la matiere opaque seulement 300 000 ans apres le big bang.

On ne peut vibrer qu'a l'unisson autrement la vibration s'éteint vite

Je me demande si c'est un choix. J'ai plutôt l'impression que certains sont faits pour vivre et d'autres pour connaître.

Ne pourrait-on pas voir cela comme ça: La connaissance mène a un désenchantement du monde. D'ailleurs connaître et vivre, ne s'opposent t-il pas ? ( a tel point qu'il y aurait un choix a faire entre les 2 )

Je verrais cela un peu différemment : Toute connaissance profonde se paye " si tu regardes l'abîme, l'abîme regarde aussi en toi", si bien que ce que l'on peut prendre pour de l'arrogance chez certaines personnes est entièrement lavé par le prix dont elles les ont payé. Il y a ce passage remarquable dans "l'Ecclésiaste" ( probablement le texte le plus philosophique de la Bible ) "J’ai réfléchi et je me disais : C’est moi qui ai fait grandir et progresser la sagesse plus que tous mes prédécesseurs à Jérusalem. J’ai approfondi la sagesse et le savoir. J’avais à cœur de connaître la sagesse, de connaître aussi la sottise et la folie, et j’ai su que cela encore était tourment de l’esprit. Beaucoup de sagesse, c’est beaucoup de chagrin. Qui augmente son savoir augmente sa douleur." Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas cela qui a inspiré le mythe de Faust

J'ai dans l'idée que les choix masculins sont moins dépendants du gène.

On pourra lui pardonner si on imagine par quoi il est passé.

Certes, mais c'est assez curieux de votre part car vous créez beaucoup de sujets tout en y participant peu, en général vous faîtes une ou deux incursions et vous passez au sujet suivant

Oui mais j'ai toujours pas compris quelles sont vos attentes.

Ah non moi je ris pas quand je comprend pas, ça me frustre. Oui je le vois comme ça aussi. Mais ce ne sont pas les faibles principalement qui sont éliminés, ce sont plutôt les moins aptes ou désireux de vivre en société-troupeaux, et donc a se reproduire.

Je ne vois pas quoi répondre a ça sinon un: ?

Me ferais-je incendier si je dis que les femmes ont beaucoup plus d'attentes envers les hommes que les hommes envers les femmes ? Elles ont plus de critères qu'il faut remplir, de la vient la lassitude de certains hommes envers la séduction.

Tant que l'on se pose cette question on n'est pas matérialiste; quand on ne se la pose plus on le devient ( et, si vous m'en croyez, le résultat n'est pas joli ).

Mais c'est précisément son but ! Je cite quelques passages en rapport avec ton intervention et celles précédentes : "Voici ! Je suis dégoûté de ma sagesse, comme l’abeille qui a amassé trop de miel. J’ai besoin de mains qui se tendent. Solitaires d’aujourd’hui, vous qui vivez séparés, vous serez un jour un peuple. Vous qui vous êtes choisis vous-mêmes, vous formerez un jour un peuple choisi — et c’est de ce peuple que naîtra le Surhumain. Je m’en vais seul maintenant, mes disciples ! Vous aussi, vous partirez seuls ! Je le veux ainsi. En vérité, je vous conseille : éloignez-vous de moi et défendez-vous de Zarathoustra ! Et mieux encore : ayez honte de lui ! Peut-être vous a-t-il trompés. L’homme qui cherche la connaissance ne doit pas seulement savoir aimer ses ennemis, mais aussi haïr ses amis. On n’a que peu de reconnaissance pour un maître, quand on reste toujours élève. Et pourquoi ne voulez-vous pas déchirer ma couronne ? Vous me vénérez ; mais que serait-ce si votre vénération s’écroulait un jour ? Prenez garde à ne pas être tués par une statue ! Vous dites que vous croyez en Zarathoustra ? Mais qu’importe Zarathoustra ! Vous êtes mes croyants : mais qu’importent tous les croyants ! Vous ne vous étiez pas encore cherchés : alors vous m’avez trouvé. Ainsi font tous les croyants ; c’est pourquoi la foi est si peu de chose. Maintenant je vous ordonne de me perdre et de vous trouver vous-mêmes ; et ce n’est que quand vous m’aurez tous renié que je reviendrai parmi vous."

Non non ça marche toujours, ce sont des constantes qu'il faut connaitre si on veut être efficace en séduction et si on a pas trop de scrupules ( cynisme ). Bon évidemment si un homme est vraiment beau gosse il n'a pas besoin de ça, ni même de faire montre d'intelligence et de culture, toutes les femmes lui tombent dans les bras, mêmes les plus intellectuelles, il ne connaît que la facilité, et c'est a tel point que s'il est intelligent il peut en arriver a être dégoûté en se disant que de la femme il ne connaît que l'aspect "femelle".

Entre Brigitte et Jean Michel ?

Ne s'agit-il pas plutôt de ne pas retenir celui ou celle qui veut partir ? Dans ce cas oui, je pense qu'il est vain et inutile de s'accrocher. Mais sinon il y a aussi le cas de ne pas aller vers la personne que l'on aime car on ne se juge pas a sa hauteur, pas en mesure de lui apporter ce qu'elle cherche, pas en mesure de la rendre heureuse, et comment pourrait-on être heureux avec elle si elle n'est pas heureuse avec nous ? Donc on passe son tour. L'amour, le sentiment amoureux partagé, ce n'est pas pour tout le monde, contrairement a ce que l'on a coutume d'entendre, certaines personnes doivent se construire et évoluer sans.

Oh ce n'est pas pour me surprendre. Aujourd'hui avec les femmes il n'y a que deux tactiques qui marchent: 1/ Les ignorer, les "ghooster". 2/ Faire semblant de s'intéresser a une autre Tactiques déja anciennes ( voir "le rouge et le noir"), mais il y en avait d'autres autrefois .

Comme prétendante ou prétendant ?

Même pas une postulante ? Même pas une candidate ?

Tu veux savoir si je me rase le maillot ?

Oui ça d'accord, pourquoi Zarathoustra descend de sa montagne a ton avis ?

Oh juste un petit collier comme ça : Mais un coup de rasoir c'est vite fait.

Qui abandonne tout esprit critique, qui ne pensent plus par eux-mêmes, qui ne dialoguent plus avec eux mêmes. La meilleure manière de résister au mal c'est de penser, selon A.H, et on ne pense que dans la solitude. Et comme les gens ont horreur de la solitude et ne cherchent qu'a s'intégrer au troupeau, aussi ridicule soit-il....( rhinocéros dans une ville )