Lowy
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Tout ce qui a été posté par Lowy
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Synopsis Jo est une astronaute. Elle revient sur Terre après un désastre dans l'espace et découvre que des éléments clés de sa vie semblent avoir disparu. Par Peter Harness Avec Noomi Rapace, Clare-Hope Ashitey, Jonathan Banks Pour le jeu de Noomi Rapace
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@Dorood
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A monsieur @jmecomprends_tt_seul pour s'exercer au show crooner ^^
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Dans un monde, autre que le nôtre -le futur peut être-, et quelque part dans un espace où les humains furent encore une fois -tellement de fois, de par leurs méfaits- contraint de se réfugier pour se protéger d’entre eux ; une fille sans âge, appris de par ses aïeux à économiser le temps. Une méthode de mise en boite des secondes et des minutes… de rares chargements arrivaient à l’Abri, sous la protection de la contrebande qui organisait le passage. Le temps fuyant et traitre, sournois et malveillant, était précieusement empaqueté dans des containers. Le temps, disait-on était imprévisible et pouvait fuir à tout moment, emportant le vital élan des vivants. Tempia (j’aurai pu trouver mieux comme nom…^^…), vécut donc cachée du monde, dans la forteresse qui devait la protéger. Alimentée par des capsules de temps, à la distribution parcimonieuse. Le temps était précieux et tellement dangereux. Ceux qui en abusaient erraient tels des fous sur la planète. Ils s’injectaient des seringues de moments, sniffaient des poussières d’instants. Drogués, épris de la substance, ils s’essayaient à tout, quitte à se perdre eux-mêmes, de peur de perdre l’insaisissable rare denrée. Les secondes et minutes s’injectaient au compte-goutte, dans des veines cyanosées, toujours en manque de la goutte de plus, celle de la mythique heure:le seuil, qui selon la légende, donne l’éternité. Le leurre des junkies du temps, la fable des dealers de la vie. Un mirage dessiné, le challenge de l’éternité. Le jeu existentiel qui égarait l’essentiel. La course pour tout voir, avoir, essayer … se chercher, se perdre pour se trouver, se sentir -enfin-entier…. Le marathon de ‘’vie’’. La multitude. Les costumes qui s’essayent à la va vite, et dont on s’ennuie si vite. Chaque essai prenait une part d’humanité, chaque essai fragmentait encore et encore. Les gênes mutaient, marqués des indélébiles mutilations : essai essai, essais…toujours plus et jamais assez. Le creux du manque, égaré le point de changement… Des âmes gavées désertaient les corps. Des enseignes TryMe, Feedme pullulaient dans la cité abandonnée. Des corps creux se multipliaient dans toutes les dimensions du nouveau monde. Le vide, avide prenait de plus en plus de place. Le temps semblait parfois s’allonger (joueur, il est), avant que ne survint sa rétraction. Rapide, expéditive et indifférente, elle compressait une existence en moins de temps qu’un clignement d’œil, qu’une exhalaison d’air, la plus infime qui soit, celle juste avant l’étouffement. Le temps, est fuyant, cruel et traitre. Tempia appris des ancêtres, que les jours à venir, allaient être de plus en plus durs. Elle grandit donc sans temps, elle ne sait comment elle prit conscience d’elle, des autres, et de ce qui s’écoule au fil des jours-nuits confondus. Comprenez qu’il est difficile d’évaluer ce qui n’est nulle part mentionné. Et elle géra ses doses de temps, tel qu'on lui apprit. Le temps passait vite. Et si le marché noir cessait …, tous ici seraient perdus. Le monde construit disparaitrait. Elle deviendrait alors pareil à ceux qui erraient, finissant poussière dans l’artère de la place abandonnée. Mais la vie est joueuse ET le temps son meilleur compagnon de jeu. Un jour, la pluie déterra une machine inconnue à l’entrée de l’Abri, Tempia s’en saisit et la montra aux ancêtres, la peur se lue sur leurs visages effacés (métaphore), et dans le silence de l’Abri, le tictac du terrible outil se fit entendre. Tempia s’en amusa, pas les ancêtres, qui sans un mot brisèrent sa découverte. C’était comme ça dans l’Abri, des sentences silencieuses et cruelles, des leçons de survie, peut être… Tempia ne comprenait pas la peur engendrée mais la ressentait, lourde, handicapante, terrible dans la façon de se répandre, de remplacer l’ordinaire lourdeur, par une détresse inconnue …Un étrange sentiment se dégageait de l’Abri, elle l’avait déjà ressenti, et la destruction de la machine, le matérialisait. L’Abri prenait quelque chose de précieux, et ce n’était pas le temps … Tempia réfléchie à avant (avant-après…le temps), ce monde d’où venait la terrible machine cassée. La machine était jolie, un cadre avec des motifs, des chiffres lui dit-on, ils devaient bien avoir un sens se dit-elle… Elle cacha ses débris, en se promettant de trouver le moyen de la réparer… (A suivre, peut être…)
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Les histoires racontées sont touchantes, les gens sont interessants , le livre illustré est trés bien fait aussi. Une approche humaine, en fait il suffit de s'arrêter un instant et laisser les gens dire...Les visages sont illuminés même en racontant des histoires tristes. L'endurance humaine...
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Je pense que notre imaginaire est meilleur que celui qu'on nous présente, les personnages étant fabriqués par notre façon de lire, et comment on les envisage , un auteur nous laisse ce ''luxe'', un scénariste nous les impose ... J'ai bien apprécié les deux vieux films , trés bon choix des acteurs aussi , pour la série, je ne sais pas encore... Je suis d'accord.
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Pour avoir vu les deux précédents films- bons films- à voir ( Plein soleil et le talentueux Mr Ripley) et surtout d'avoir lu le livre . Je suis sceptique sur cette série... Le livre de Patricia Highsmith Plein soleil est excellent ( personnages vivants qui alimentent l'imagination - lu vers mes 9 ans - je ne sais pas si j'ai bien fait...). Synopsis Série adaptée des cinq romans de Patricia Highsmith mettant en scène le personnage de Tom Ripley, envoyé en Italie pour ramener le fils d'un riche armateur et découvre un monde qui n'est pas le sien et dans lequel il va tenter de rester, quitte à aller jusqu'au meurtre. par Steven Zaillian Avec Andrew Scott, Johnny Flynn, Dakota Fanning
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Difficile...mais ... Brandon Stanton nous fait entrer dans l’intimité d’anonymes, photos d'inconnus rencontrés dans la rue, des inconnus qui racontent leur histoire, la leur... Le livre/ catalogue est magnifique Des visages d'inconnus, qui racontent des tas de choses intéressantes...
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@Dorood S’envolent les colombes. Se posent les colombes. - Apprête la terre que je me repose, Car je t’aime jusqu’à la fatigue. Ton matin est fruits pour les chansons, Ce soir est d’or Et nous sommes l’un à l’autre, à l’heure où l’ombre pénètre son ombre dans le marbre Et je me ressemble lorsque je suspends mon être à un cou qui n’étreint que les nuages. Tu es l’éther qui se dénude devant moi, larmes de raisin. Tu es le commencement de la famille des vagues lorsqu’elles s’agrippent à la terre ferme, lorsqu’elles migrent, Et je t’aime et tu es le prélude de mon âme et l’épilogue. S’envolent les colombes Se posent les colombes. - Mon aimé et moi, deux voix sur les mêmes lèvres. J’appartiens à mon aimé, moi, et mon aimé appartient à son étoile fugitive Et nous entrons dans le rêve, mais il ralentit le pas pour nous échapper. Lorsque mon aimé s’endort, je me lève pour protéger son rêve de ce qu’il pourrait voir Et chasse les nuits passées avant notre rencontre. Je choisis nos jours de mes mains Et choisis pour moi la rose de notre table. Dors, mon aimé, Que les voix des mers s’élèvent jusqu’à mes genoux. Dors mon aimé, Que je me pose en toi et délivre ton rêve d’une épine jalouse. Dors, Que les tresses de ma poésie soient sur toi, et la paix. S’envolent les colombes Se posent les colombes. - J’ai vu avril sur la mer. J’ai dit : Tu as oublié le suspens de tes mains, oublié les cantiques sur mes plaies. Combien peux-tu naître dans mon songe Et me mettre à mort, Pour que je crie : Je t’aime. Et que tu trouves le repos ? Je t’appelle avant les mots. Je m’envole avec ta hanche avant d’arriver chez toi. Combien parviendras-tu à déposer les adresses de mon âme dans les becs de ces colombes, à disparaître, tel l’horizon sur les pentes, Pour que je sache que tu es Babel, Egypte et Shâm ? S’envolent les colombes Se posent les colombes. - Où m’emportes-tu mon petit aimé, loin de mes parents, De mes arbres, de mon petit lit et de mon ennui, De mes miroirs, de ma lune, du coffre de mes jours, de mes nuits de veille, De mes habits et de ma pudeur ? Où m’emportes-tu mon aimé, où ? Dans mon oreille tu enflammes les steppes, tu me charges de deux vagues, Tu brise deux côtes, tu me bois, tu me brûles, et M’abandonnes sur le chemin du vent vers toi. Pitié … pitié … S’envolent les colombes Se posent les colombes. - Ma hanche est une plaie ouverte, car je t’aime Et je cours de douleur dans des nuits agrandies par la crainte de ce que j’appréhende. Viens souvent et absente-toi brièvement. Viens brièvement et absente-toi souvent. Viens et viens et viens. Aah d’un pas immobile. Je t’aime car je te désire. Je t’aime car je te désire. Et je prends une poignée de ce rayon encerclé par les abeilles et la rose furtive. Je t’aime, malédiction de sentiments. J’ai peur de toi pour mon cœur. J’ai peur que mon désir se réalise. Je t’aime car je te désire. Je t’aime, corps qui créé les souvenirs et les met à mort avant qu’ils ne s’accomplissent. Je t’aime car je te désire. Je modèle mon âme à l’image des deux pieds, des deux édens. J’écorche mes plaies avec les extrémités de ton silence… et la tempête Et je meurs pour que les mots trônent dans tes mains. S’envolent les colombes Se posent les colombes. - « L’eau me blesse », car je t’aime Les chemins de la mer me blessent, Le papillon, L’appel à la prière dans la lumière de tes poignets me blessent. Mon aimé, je t’appelle à longueur de sommeil. J’ai peur de l’attention des mots. Peur qu’ils ne découvrent l’abeille en larme entre mes cuisses. L’ombre sous les réverbères me blesse car je t’aime, Un oiseau dans le ciel lointain, le parfum du lilas me blessent Et le commencement de la mer, Et sa fin. Aah si je pouvais ne pas t’aimer, Ne pas aimer, Qu’enfin guérisse ce marbre. S’envolent les colombes Se posent les colombes. - Je t’aperçois et j’échappe au trépas. Ton corps est un havre. Chargé de dix lys blancs, dix doigts, le ciel s’en va vers son bleu égaré. Et je tiens cet éclat marbré, je tiens le parfum du lait caché Dans deux prunes sur l’albâtre et j’adore celui qui décerne à la terre ferme et à la mer Un refuge sur la rive du sel et du miel premiers. Je boirai le suc de caroube de ta nuit Et je m’endormirai Sur un blé qui brise le champ, brise jusqu’au cri qui se rouille. Je te vois et j’échappe au trépas. Ton corps est un havre. Comment la terre m’exile-t-elle dans la terre ? Comment s’endort le songe ? S’envolent les colombes Se posent les colombes. - Mon amour, j’ai peur du silence de tes mains. Ecorche mon sang, que s’endorme la jument. Mon amour, les femmes des oiseaux volent vers toi, Prends-moi, souffle ou épouse. Mon amour, je demeurerai là, que mûrissent dans tes mains les pistaches de mes seins, Que les gardes m’arrachent de tes pas. Mon amour, je te pleurerai toi toi toi, Car tu es le toit de mon ciel Et mon corps est ta terre sur terre Et ta demeure. S’envolent les colombes Se posent les colombes. Sur le pont, j’ai vu l’Andalousie de l’amour et du sixième sens. Sur une fleur desséchée, Il lui rendit son cœur Et dit : L’amour requiert de moi ce que je n’aime pas. Il requiert que je l’aime. La lune s’endormit Sur une bague qui se brise Et les colombes s’envolèrent. Sur le pont, j’ai vu l’Andalousie de l’amour et du sixième sens. Sur une larme désespérée, Elle lui rendit son cœur, Et dit : L’amour requiert de moi ce que je n’aime pas. Il requiert que je l’aime. La lune s’endormit Sur une bague qui se brise Et la nuit noire se posa sur le point et les amants. S’envolent les colombes Et se posent
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Le silence face au génocide, l'échine courbée l'humanité y assiste en ne voyant rien, en niant tout .... les oeillères et le déni...jusqu'à l'extermination voulue. Merci @Dorood
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Les talibans, qui ont pris le contrôle du pays en août 2021, ont continué à imposer un grand nombre de règles et de politiques qui bafouent de multiples droits fondamentaux des femmes et des filles, et notamment la liberté de mouvement, le droit au travail et à des moyens de subsistance et l’accès à l’éducation et aux soins de santé. Les autorités ont également réprimé ou menacé les médias et les voix qui critiquaient leur gouvernance, ont imposé la dissolution d’organisations de la société civile et ont démantelé des organes gouvernementaux dont le rôle était de promouvoir ou de protéger les droits humains. https://www.hrw.org/fr/world-report/2023/country-chapters/afghanistan
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Merci @Alain75 pour vos liens et vos explications, loin du délire du vaccin Covid ou pas. même si je pense qu'on n'avait pas vraiment le choix à la pandémie, le ''vaccin'' est ce qui a peut être sauvé des vies , pas seulement celle des vaccinés mais en atténuant la propagation du covid. Une médaille virtuelle pour votre persévérance, bien loin des ''polémiques''.
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Je connais des personnes qui sont mortes après infection et guérison du COVID. Ils en ont guéri mais quelques mois plus tard AVC pour certains et crises cardiaques pour d'autres; Ces personnes étaient jeunes et en bonne santé ( de par leur historique médicale) , certaines ont aussi développé un diabète et toujours selon leurs médecins traitant , c'est les effets secondaires du Covid.
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Non pas du tout , c'est venu d'un trait.
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Je ne l'ai pas pris en tant que telle.
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Chacun procède comme il veut.
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Je précise que je ne suis plus très présente, et c’est très souvent la nuit que je me connecte. Et que mon apprentissage c’est donc fait, avec un certain recul. J’ai appris que le monde virtuel était quasiment pareil à l’IRL, Le clanisme est là, les groupes et les groupies, que des sujets intéressants (pas les miens, hein) sont intentionnellement zappés pour mourir dans les oubliettes Et que certains débats sont tout aussi intentionnellement tournés en blablas inutiles, agrémentés de ricanements, anecdotes (inventées ou vraies … même si j’opte pour la première possibilité -un peu trop-) Que des topics sont tournés au ridicule, par des ignorants du sujet mais qui insistent alors que leurs interventions sont obsolètes, basées sur des fakes news ou encore décrivant leur réalité, par celle de tous les humains de la planète Terre. Que copier -coller des liens à un posteur qui cherche une explication ne sert à rien, il a internet ^^ mais oh, c’est super les rois du clic ; Que le racisme fait son petit bout de chemin, et que la différence est diabolisée avec des propos universels et humains (j’ai relu en cherchant l’erreur mais rien trouvé) Que beaucoup ne recherchent dans leurs topics que ce qu’ils veulent y voir, aucunement un micro apport qui démystifie leurs certitudes ou les contredis. Que le syndrome d’ubris est aussi là… Que beaucoup recherchent des tapes dans le dos, et que les gens les caressent dans le sens du poil (pourquoi ce besoin…) Que contrairement à ce que je pensais, l’échange anonyme n’est pas libre, il est catalysé par des groupes ( souvent les mêmes …), que les discussions virtuelles – au vu de notre pluralité et différences tournent très souvent à la petite guéguerre de voisinage où les attaques personnelles fusent sur des inconnus, dont personne ne connait que ce qui est écrit par les concernés ou supposés par les dieux du like, très subjectif, pour la plupart. Et que très souvent, j’ai vérifié le titre d’un topic , pensant me tromper mais non… c’est quasiment la même chose qui s’y répète encore et encore, Je me demande parfois si les gens sont aveugles mais au fond, mais non…ils s’en foutent, et que l’habitude des replays fait que chacun vaquera à sa connexion habituelle tel un automate … Que beaucoup sur le forum occultent sciemment le sens de ‘’ la liberté de l’expression’’, et que tous les anonymes que nous sommes ( en droit ou envers ) ont le droit de s’exprimer sur tous les sujets , tout autant qu’eux-mêmes et que l’ancienneté, la camaraderie, les partages de potins ou de similarités, ne leur donne aucun mais aucun droit d’empêcher quiconque à s’exprimer. La notion du ‘’soft harassment’’, le harcèlement doux et mielleux, qui dégoute le posteur , parce que aucun échange mais des pages plus loin ses mêmes mots vont ressortir, repris par d’autres et débattus comme le scoop du moment. J’ai appris la coalition des alliés, l’ignorance et l’indifférence voulues de certains pour les mots d’autres, j’ai compris la technique voulue et bien réfléchie par ces mêmes qui prônaient les bons mots de tolérance, d’humanité et de diversité de l’échange… (Amen) J’ai appris à m’auto censurer (et c’est là que j’ai compris la bêtise du truc), se protéger pourquoi ? ne pas dire les mots bruts, pourquoi aussi ? , ne pas froisser x ou y , mais c’est qui ces inconnus… J’ai appris l’agressivité verbale et sournoise sous toutes ses formes , et j’ai appris la fourberie virtuelle des mots, J’ai appris la mendicité ( ça je vous laisse deviner de quoi ^^) J’ai appris l’insipide indifférence qui isole, Oserais-je parler de politique ? propagande, hystérie ….’’ le regroupement’’ qui invective et analyse avec des on dit, il parait que, avec preuves et assurances ...l’intox à de l’avenir- j’ai appris- J’ai appris le sport de la généralisation et celui du Jury assermenté … J’ai appris le ‘’procés d’intention’’ pour stopper un échange qui échappe et qui déstabilise les acquis… J’ai appris que de zélés scientifiques avaient élus domicile, je ne sais pas si c’est de vocations ratées mais ils savent beaucoup mieux que tous les scientifiques de ce monde, et même les plus réputées institutions académiques qui doivent aller se rhabiller… J’ai appris que certains n’étaient jamais dans la remise en question mais dans l’inutile attaque, J’ai appris que certains athées adoraient le forum religions et croyances, cela m’a étonné et j’ai lu et appris que la croyance des autres devait être démontée et le prosélytisme décrié, contrairement à légitimité de la ‘’ criée’’ à l’athéisme … -tellement objectif…- la terrible foule au bûcher des sorcières… J’ai appris à connaitre des gens bien, qui ne partagent rien avec moi ; qui ont des convictions bien à eux- contraires aux miennes- et qui les défendent comme des êtres civilisés, J’ai appris que certaines grandes gueules étaient des êtres sensibles et intéressants, J’ai appris à connaitre des gens talentueux, J’ai appris que beaucoup croyaient tout savoir, tout maitriser, tout manipuler et que leurs convictions et certitudes les rendaient hermétiques, grossièrement imbus d’eux-mêmes et même dans une caricature qu’ils semblent ignorer, J’ai appris à voir partir des gens intelligents, et ouverts aux débats, J'ai appris les ''je sais tout'' de super humains qui savent tout sur tout , un mot à dire sur tout et n'importe quoi (assez édifiant en fait) J'ai appris la critique facile en papier mâché de ces inconnus que nous sommes tous ici, J’ai appris les silences hypocrites quand ça touchait la coalition des alliés, J’ai appris à découvrir de nouvelles musiques, de nouveaux auteurs, J’ai appris des détresses humaines, Instinctivement, j’ai appris à apprécier certains et pas d’autres pour mille et une raisons comme en IRL, J’ai appris que prendre la peine de tout lire, permettait de mieux comprendre, J’ai appris que l’écrit, n’expliquait pas tout mais qu’il offrait un moyen de connaitre les gens, Et J’ai appris que des gens savaient me lire et comprendre mes mots, J’ai appris aussi que le virtuel phagocyte parfois des choses et qu’il n’était pas si utile que ça. Qu’il mange des heures de vies, mais aussi qu’il perturbe … Et que je préférais les démons de l’IRL aux fantômes du virtuel. J’ai résumé mon apprentissage ^^, sachant que ma première inscription remonte à la fin 2015 et que je me suis désinscrite et réinscrite n fois– Désolée les adms.
