Axo lotl

De mon point de vue, pour ce que j'en sais, il a fait la même chose, rien dire clairement, que l'autre comprenne tout seul, se laisser le temps, vouloir l'autre mais pas son projet. Donc vouloir l'autre comme je veux qu il soit, transformé. Parlez clairement tous les deux, je veux je veux pas et écoutez vous

Vous avez pensé, mais en avez vous parlé clairement avec lui au moment au vous avez changé d'avis.

Je croyais que vous ne vouliez pas d'enfant ? C'est pas très clair

Samuel Beckett : "Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue encore. Échoue mieux." https://www.leslibraires.fr/dossiers/la-grande-librairie-mercredi-17-janvier-2024-christophe-andre-david-foenkinos-marie-darrieussecq-claro-raphaelle-red/

Vous avez changé d'avis. Il a changé d'avis. Bref vous avez beau avoir la quarantaine, vous 'e savez ni l'un ni l'autre ce que vous voulez, que ne vous connaissiez pas assez pour vous marier, et que c'est maintenant que vous vous rendez compte que vous n'êtes pas vraiment sur la même longueur d'onde. Essayez déjà de savoir ce que vous voulez, quels sont vos projets respectifs avant de mêler un gosse à ça.

J ai pas lu, mais elle lui a dit qu elle voulait un enfant ? Et il n'aurait pas répondu ? Ou aurait menti ?

Il a le droit de pas vouloir un autre enfant. Il sait notamment que les mariages ça tient pas, il a peut être pas envie de prendre le risque de ne pas voir son gamin tout le temps s'ils se séparent. Et effectivement la question des enfants se discutent avant de se fixer en couple. Les deux doivent dire ce qu ils veulent.

Faire un enfant pour faire plaisir à l'autre ? Ça ne me paraît pas une bonne idée. Il s'agit d'un enfant, pas d'une nouvelle voiture.

Il faudra aller lui poser la question, je ne suis pas médium. Mais je pense que le sentiment de trahison y est pour quelque chose.

Je vous ai déjà répondu sur tous les points, me répéter en boucle va rien changer. Vous ne changerez pas d'avis. Moi non plus si on reste sur ces arguments. Donc.... C'est toujours plié.

Et pour vous, ça pose pas problème. J'y connais pas grand chose en code pénal mais la nana elle porte plainte, pas sur que la petite troupe ne soit pas tous condamnés. En tous cas de mon point de vue, ce sont tous des connards coupables. Et pour moi Mediapart ce sont des connards. Peu importe on discutait du fait que Mediapart sont innocents parce que c'est pas eux les premiers qui ont diffusé. Je trouve ce qu'ils ont fait dégueulasse et leur explication plus que pitoyable. "C'est pas moi, c'est eux." Ils ont parlé avec elle, ils connaissaient son point de vue, ils savaient qu elle ne voulait pas. C est une question de respect. Mais bon. On va pas tourner en rond, vous estimez Mediapart innocent, cette femme coupable de violence excessive. Ok. C'est plié.

Disproportionné parce que ce n'est pas à vous que c'est arrivé. Peut être ai je tort, mais j'imagine sa vie au quotidien , je comprends donc son ras le bol. Mais bref, on a fait le tour de la question. Je comprends pas

Effectivement c'est mal d'agresser les gens et c'est illégal . Être trahi met en colère. Je comprends son geste. Je trouve sa condamnation suffisante. Vous parlez de quoi alors ?

Prenons un autre exemple, un mec prend des photos de cul de sa copine et les publie. Ces potes font tourner la photo. Ils ne sont pas coupables sous couvert que c'est pas eux qui ont publié la première photo ? Pas de mon point de vue. Si lorsque tu as discuté trois heures avec la meuf et qu elle te demande de ne rien divulguer, que tu t'y engages. Pour moi c'est une question de valeurs, morale.

Compréhension plutôt. Vous pensez la justice ne fait pas dans l'égalité de traitement ? C'est un autre débat à ouvrir. Il y aurait à dire effectivement. De nous public ? qui mattons tout ça de notre canapé, sans avoir accès aux personnes et aux dossiers et qui n'avons pour la majorité d'entre nous aucune compétence en la matière ?

Pardon ? Ah non, privée c'est tout le temps. J ai déjà mis ma tronche sur les réseaux sociaux, il est interdit à quiconque de la copier et de la coller où il veut quand il veut sans mon accord. Le contexte est toujours pris en compte. Elle a été condamnée. Peut être, un jour où je serais rationnel.

Pas moi. Dans ce cas, si vous trouvez que c'est aussi violent, pourquoi discuter d'une gifle qui n'existe pas ? Faire de cette femme quelqu'un de très violent ? Elle a été reconnue coupable et condamnée. Vous voulez quoi de plus ?

Alors vous êtes moins réaliste ou cinique que moi. Je ne me fais plus beaucoup d'illusion sur les médias. Sauf que ce n'est pas une claque.

Mediapart est une entreprise, elle doit être rentable. Des informations sur les peoples sont rentables. Ce n'est pas le seul but, mais ça rentre en ligne de compte dans leur choix de publication. Elle l'a frappé ? Non. Donc restons en à ce pourquoi elle a été condamnée. C'est bien suffisant. Les procès d'intention sont inutiles. D'abord parce que dit au départ, aujourd'hui je suis dans l'émotionnel donc ça joue. Deuxièmement l'acte est une chose, le contexte, pour moi en tous cas, compte aussi.

Ah bon ?

Moi ce que je vois ce matin, c'est que la meuf elle s'est sentie trahie, a vu sa vie personnelle, en principe privée, étalée dans la presse, sans son accord , pour faire du pognon notamment parce que mes autres m'ont fait et on n'allait pas se priver. Il n'est pas difficile de se mettre à sa place et de comprendre sa colère. Si ils auraient pu par respect pour cette femme.

Je ne sais pas si c'est à la personne ambitieuse de se justifier , pourquoi devrait elle le faire ? Elle est ambitieuse, elle n'a rien fait de mal.

Oui enfin l'excuse d'autres l'on fait avant nous , alors on allait pas se priver. Bof.

Ils ne sont pas sous l'emprise de l'alcool quand ils écrivent pour ce qu on en sait du moins. mais ils le sont en dehors et durant ces périodes de consommation, ils vivent, ressentent des choses qui leur servent lors de l'écriture. Du coup s'ils n'avaient pas vécu ces addictions auraient ils été les mêmes auteurs ?

J ai vu ce film. Très bien joué, Réalisé. Effectivement c'est précisé dans l'article que je n'ai pas mis en intégralité.