Axo lotl

sauf que tout le monde ne met pas ça dans la balance ou derrière ce mot. Moi personnellement, tout ça je m'en branle. ah oui on fait dans le vulgaire maintenant, génial.

c'est tout, ah oui là on est dans le summum de la confiance. Je me rends compte qu'on ne met vraiment pas la même chose derrière un simple mot.

Moi je m'interroge, confiance en quoi en fait ? faire confiance pleinement à l'autre ? c'est quoi ?

C'est la corde au cou, ou plus de cou, c'est pas foufou comme choix

Koh Lanta ?

oui on est tous comme ça.

je crois que je te comprends, je viens d'avoir des remontées acides aussi

je te donne envie de gerber, c'est moche de me balancer ça, moi j'essaye de faire dans le poetique et voilà, sympa

pour reprendre ton exemple l'amour c'est le temps de ton horloge le couple, c'est le mécanisme de ton horloge on ne construit pas le temps, on construit l'horloge on ne construit pas l'amour, on construit le couple

non la construction, c'est comment composer cet amour avec la vie , avec deux vies, le quotidien, les projets de chacun, justement pour que la vie ne le souffle pas comme une bougie.

je réfléchissais à mes histoires ..... et bien curieusement, ce sont les histoires d'Amour qui ont été le plus foireuses et c'est un de mes plans cul qui est la plus belle histoire. Comme quoi, il faut laisser la vie faire son chemin.

je suis pas certain non plus, mais va savoir.

par un proche, comme quoi la confiance dans le couple ou en amour.... n'est peut être pas une si bonne chose.

Ah non, j'ai pas ce genre d'inquiétude, je me dis qu'il veut un renseignement ou un service. Mais je peux entendre que pour toi c'est un premier niveau de confiance.

pour moi c'est pas du tout de la confiance ça. C'est un coup de main, de la politesse, du respect. Mais pas du tout de la confiance.

Comme si une personne de confiance ou méritante c'était écrit sur son front. Si c'était le cas, ça se saurait. @Crabe_fantome je peux comprendre cette notion de différent degré de confiance, mais sur certains trucs, je suis assez binaire , pour la confiance chez moi c'est on/off. mais je suis open, c'est quoi les degrés de confiante, parce que je vois pas trop.

pour faire confiance à quelqu'un, il faut des preuves. Faire confiance à quelqu'un qu'on ne connait pas, c'est selon moi d'une très grande naiveté. C'est mignon à 12 ans, à 50 ça interroge. La confiance ça se mérite.

de mon point de vue, on y va étape par étape, on voit comment l'autre répond, on va pas trop vite et on voit, on se fait confiance et on écoute l'autre et tout se passera bien. démarrer par un café c'est un bon début, on propose d'échanger son numéro et on lance la perche, "ce serait cool de se faire un ciné (ou tout autre activité qui pourrait l'intéresser), ça te dirait ? "

LA RENCONTRE - Comment maintenir la possibilité du dialogue ? Dans Comment ça va pas ? (Grasset) Delphine Horvilleur s’interroge sur les conséquences collectives du massacre perpétré par le Hamas en Israël le 7 octobre dernier. Dans un climat où culminent violences, divisions et incertitudes, comment ne pas se laisser déshumaniser par la haine ? Dominique Eddé est née au Liban et toute son oeuvre est imprégnée par le Moyen-Orient. Dans une magnifique tribune écrite pour le journal « Le Monde » et datée du 31 octobre, elle nous invitait à réunir nos forces pour empêcher que « la barbarie ne triomphe à nos portes. » Son nouveau roman, Le palais Mawal (Albin Michel) paraitra le 20 mars. L’histoire d’une famille divisée dans un Liban crépusculaire. Un texte poignant, lucide et humaniste. LE THÈME - Les livres de mon père Après le succès de son premier roman Fugitive parce que reine où elle dressait le portrait de sa mère, Violaine Huisman convoque cette fois la figure du père dans Les monuments de Paris (Gallimard). À travers l’histoire de cet homme haut en couleurs, à la fois philosophe et businessman, mais aussi de celle de son grand-père, ardent défenseur des Beaux Arts et artisan d’une politique culturelle nationale, c’est un pan entier de notre histoire commune qu’elle exhume… …à l’instar de Rachida Brakni ! Dans Kaddour (Stock), son premier roman, elle raconte la vie de de son père, travailleur immigré, tiraillé entre son Algérie natale et son pays d’adoption, la France, et décédé durant la crise Covid. Au gré des souvenirs et des silences, elle restitue le destin d’une génération d’hommes et de femmes qui s’est sacrifiée pour offrir à ses enfants un avenir meilleur. Une génération broyée mais digne. Une génération d’invisibles. …Autant de sujets qui entrent en écho avec le travail d’Annie Ernaux dont Rachida Brakni est d’ailleurs une admiratrice. Cette semaine, le comédien Thibault de Montalembert s’est rendu au Lycée Carnot dans le 17ème arrondissement. Il a fait lire à des élèves de seconde, inscrits à notre concours de lecture à voix haute, un extrait de La place (Gallimard) d’Annie Ernaux. LE REPORTAGE - Dans l’oeil de Christine Angot Bien que l’oeuvre de Christine Angot ait déjà fait l’objet de plusieurs adaptations au cinéma (Un amour impossible de Catherine Corsini, Pourquoi (pas) le Brésil de Laetitia Masson…) c’est la première fois que la romancière s’empare de la caméra. Dans Une famille, en salle le 20 mars, elle confronte notamment celles et ceux qui par leur silence, se sont parfois rendus complices de l’inceste dont elle a été victime à partir de ses treize ans. https://www.leslibraires.fr/dossiers/la-grande-librairie-mercredi-13-mars-2024-delphine-horvilleur-dominique-edde-rachida-brakni-violaine-huisman-christine-angot/

ça fait longtemps que j'ai pas vu le 6èe sens, mais moi je sais pas dès le début que le psy est mort

bonsoir c'est toujours difficile à accepter ce genre de choses. Il faut juste accepter sa décision, il a ses raisons et peut être même qu'aucune ne vous concerne directement. Vous pouvez essayer d'avoir de ses nouvelles par le biais d'amis en commun peut être. Sinon, vous devrez tourner la page.

Non, je dois défendre mon honneur. je reconnais que je n'aime pas ce film, mais j'entends tout à fait que kubrick est un maitre du cinéma et que 2001 est un chef d'oeuvre. il y a sans aucun doute des films que j'adore que vous détesteriez. ce n'est pas un manque de tolérance, juste un désaccord de goût.