Aller au contenu

Easle

Membre
  • Compteur de contenus

    4 138
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Easle

  1. Ah ben oui, c'est un homme, donc c'est de sa faute... suis-je bête ! Mais bon, c'est possible, et comme je ne compte pas les points chez toi, peu importe. Mais je le répète notre système de JUSTIFICATION est toujours inaltérable, imparable. Et voilà... C'est pas moi c'est l'autre, toujours ! Hummm
  2. Exactement, son problème (au Maire) n'est pas la vieille femme et l'enfant mais le racisme. Le bourreaux à gauche n'est vu QUE comme une victime dés qu'il n'est pas un mâle blanc cis. Une inversion pathologique. Cette gauche est malade, mentalement aussi malade et criminelle que ceux qu'elle défend.
  3. La gauche se fout dedans un peu plus chaque jour avec ses silences complices, sa complaisance "pour ne pas faire le jeu..." Tant qu'elle n'aura pas réglé ça, il sera hors de question de la voir au pouvoir, y compris pour nombre de gens réellement de gauche.
  4. La juger fade n'est pas les blâmer mais survaloriser ton modèle en dévalorisant leur leur... Te justifier. Même si tu expliques ensuite, bien sûr, qu'il est fade "à tes yeux seulement" Ce qui est une pirouette que nous connaissons tou-te-s... De même ici, tu intériorises les conséquences pour éviter d'avoir à prendre en compte celle qui serait objectives : contamination de mst, famille brisée, enfants en détresse, etc. C'est confortable de psychologiser les conséquences comme de simples ressentis de gens effrayés, donc faibles etc. C'est une bonne façon de se sentir un peu... supérieur
  5. Nous ne sommes tenus à rien respecter en soi. Mais nous pouvons le faire, tout dépend en cela de nos propres valeurs basées sur nos perceptions, par exemple des conséquences. Or celles-ci portent des modèles de comportements... Les conséquences sont rarement limitées à un individu, elles se déploient, font des petits, essaiment. L'une des stratégies des êtres humains pour mieux vivre avec leurs compromissions est de les valoriser, voire d'en faire des modèles, pour ne pas être seul et s'en justifier. Je ne respecte ni ne respecte pas son choix. Il est ce qu'il est, je ne la connais pas. Je constate que c'est un choix (et qu'elle est loin d'être seule en ce cas puisque les trois quart des femmes le connaissent) et que cela a des conséquences pour beaucoup d'individus en relation avec d'autres etc., ce qui en fait des conséquences sociales. C'est tout. Ni que j'avais dit que tu l'avais dit Je ne parlais pas de toi en cela !
  6. Les circonstances... Et si l'autre te trompe, si tu le sais sans que cela soit dit, dans l'espoir de retrouver la beauté d'avant, tout en souriant à la vacuité et s'ouvrant à d'autres bras, puis en se reprenant... etc. Nous sommes parfois des navigateurs et navigatrices. Mais les erreurs de jugement sont notre lot lorsque nos questionnement ne sont pas assez poussés, lorsque nous manquons d'intelligence, au sens strict de compréhension des tenants et des aboutissants, des conséquences de tels ou tels choix, non choix, etc. Mais à tout moment nous pouvons en sourire ou pas si nous possédons la réflexivité suffisante. Nous serons mort un jour et nous aurons vécu. Mais les autres, y tenons-nous ? Ont-ils les mêmes outils que nous ? Que leur devons-nous alors ?
  7. De fait je vais me garder de te jeter la première pierre, ainsi que le seconde et la suivante.. Mais la bassesse de la terre ne doit pas priver d'avoir des valeurs, de les interroger, de les éprouver. Car il y a des conséquences qui peuvent être importantes pour certain-e-s (des enfants, la santé - mst-, la famille, voire même le travail, la survie d'une entreprise et l'emploi des employés, et si...). Nous vivons en société... si, si... je sais c'est vraiment bizarre mais c'est bien le cas.
  8. Mais pourquoi devenir affligeante ? Quel jugement ! très personnel mais so socialisé Place des ternes ? Quel choix dramatique et tendu ! Tout l'un ou tout l'autre... Grandioso ! Il faut mettre en ça en musique voyons !
  9. Il y a toujours des circonstances à des choix. Aucun choix n'est produit ex nihilo in abstracto.
  10. Après, appeler cela souffrance... C'est aussi un choix. C'est une vision assez judéo-chrétienne et doloriste. Fonctionnellement personne n'est obligé de considérer toute contrainte comme une "souffrance". Pour moi, c'est cette boue soixante-huitarde, imprégnée de christianisme mal digéré car mal connu mélangé à de l'orientalisme idéalisé, de la psychanalyse gavée de LSD, de l'individualisme ensauvagé, d'existentialisme mystique, etc. qui brouillait les esprits errants aux désirs puérils des jeunes gens trop bien nourris et au cerveau petit, à la tête trop pleine et mal faites. Et tout ça continue d’irriguer une perception hallucinée du social, des relations, dégoulinante le plus souvent et toujours erratique. Non, justement pas des individus ! Des adultes responsables, socialisés. C'est bien là la grosse différence. Je ne vois aucun rapport. Oui, à cette époque ça aurait pu être aussi Genêt. Et où ai-je trouvé ça magnifique en le décrivant comme organique ? Et il n'est donc ni dévoué, ni grossier sauf dans le regard construit socialement de l'autre...
  11. Les connaître est une chose, s'en faire des devoirs de comportements : strictement autre chose Et je ne vois pas le rapport avec la musique, qui ne me donne pas à agir conformément à elle mais simplement à l'apprécier, juste le temps de son écoute, pas plus. Je connais très bien les religions, et c'est justement pour cela que je ne les pratique pas. Et de fait si nous les avons dépassé, quel intérêt de les lire autrement que comme des dépassés... ? Donc plus comme des maîtres.
  12. Mais là le lien entre dévotion et désir est rompu. Faire avec nos extrêmes c'est se discipliner. Ce qu'on apprend aux enfants, normalement. Mais que les adultes individualistes ont du mal à gérer, à re-valider. C'est assez simple : il est interdit d'interdire est d'une connerie sans nom ! Autant supprimer le droit, la morale, l'éthique, et même la société... Ce à quoi d'ailleurs aspire fortement la gauche contemporaine : tout déconstruire... en réalité tout détruire, sans aucun projet derrière, le vide... des enfants éructant, éruptif, et plein de bons sentiments dans le même temps pour ne pas assumer leur délire. Le désir grossier n'est grossier que parce la dévotion le voit tel. Il est cependant physique, organique, déconnecté de la dévotion. Et celle-ci se doit de l'encadrer, mais de manière compréhensive, pas aveuglément mais en analysant sa structure, sa composition, son sens, puis en posant des règles, et en les adaptant à des buts définis, collectifs si l'être humain doit rester une créature sociale et sociable.
  13. Plutôt qu'elle méconnaît les causes de son désir. Et le pouvoir qu'elle a d'en tirer ou non un comportement rationnel, adapté. Ce qui ne remet nullement en cause, ni le réel qui la fait vouloir, ni son action sur celui-ci, qui la fait dominer son désir. Houlà, mais je ne m'en prends pas à toi, décroche !! Regarde avec Lisiev ! Je lui pose les mêmes questions ! Et on parle de reconnaître ici, des erreurs, face à d'autres internautes... C'est bien plus difficile qu'IRL !! (Si, Si ! ). Et oui, ce pourquoi je me passerai de maître Bouddha, qui était de son époque, loin d'être intemporel ! Et sur le reste aussi.
  14. La légèreté pour celles et ceux qui peuvent se la permettre. C'est là tout le système de domination des plus forts. Une légèreté de la jungle. Les autres... héhé, tant pis pour eux ! Mais pour que cela fonctionne bien, sans remise en question, il faut dissimuler cette inégalité et cette domination, la nier de façon systématique et répétée ! Et insister lourdement avec la plus terrible énergie sur l'individualité. Ainsi celui ou celle qui ne domine pas en est responsable... Et de lui inventer de problème psy pour expliquer que ce ne peut être dû à autre chose, à quelque chose de quantifiable, d'objectif. La légèreté, le rire, sont TOUJOURS des systèmes de domination et d'exploitation lorsqu'ils sont valorisés socialement. Il ne faut les utiliser qu'à deux, ou trois, jamais plus et toujours en relation d'équivalence, de bienveillance. Dés que vous êtes léger ou que vous riez au moindre dépend de quelqu'un, vous savez très bien ce que vous faites... Si les gens ne se lisaient pas à travers de conflit d'Ego et d'idéologie, ils en apprendraient plus Mais tu parlais de les reconnaître...
  15. De cela, logiquement, toute pulsion est bonne et doit être suivie... Que fais-tu de la non liberté, de Spinoza etc. ?
  16. Oui, elle peut se comprendre, comme ce que tu décris : un égoïsme maquillé en épanouissement personnel favorisant l'épanouissement de tous. Mais bon, on se justifie tous et toutes comme on peut, le langage sert surtout à ça : SE JUSTIFIER ! Désolé, on jugera sur pièce... Quand on en verra ! Ce qui est déjà rédhibitoire...
  17. Non, mais on ne peut pas dire non plus qu'il traitait les femmes à égalité...
  18. Ah tu ne connais pas le proverbe ? https://fr.wiktionary.org/wiki/qui_veut_noyer_son_chien_l’accuse_de_la_rage Et regarde aussi pour bien comprendre le sens !
  19. Et où, et quand as-tu reconnu t'être trompé, toi ?
  20. Tout est un tue l'amour. Quand on veut tuer son chien on découvre qu'il a la rage...
  21. Lâcher le volant à 150 ? Faire n'importe quoi avec n'importe qui ? Se bourrer la gueule sans limite ? Où commences-tu ton absence de contrôle ? Mais je suis bien d'accord avec ça. Mais en quoi Spinoza justement était-il "dans le vent" ? C'est toi qui semble flatter la vanité individualiste à faire éclater ta liberté radicale... Pas moi, au contraire. Que cela soit compliqué pour toi ne veut pas dire que ça l'est tout court. Tu confonds " je n'aime pas" avec "c'est pas bon !". Il n'y a pas de Destin. Car, comme par hasard, tu ne croises pas la femme qui était prévue pour toi mais qui a vécu il y a 2 siècles, ou qui n'est pas encore née. Comme par hasard le destin respecte plein de case, de géographie, d'âge, de physique, de statut social, etc. De rejet de la part des autres forumeurs ? Car tu te crois mieux accepté en étant dans le consensus ? Et est-ce d'ailleurs un objectif que de bêler avec les moutons pour en faire parti ? cela rend-il en soi plus heureux, par nature, par essence ? Le pont est là, point. Je le constate. Et s'il était question de le déconstruire, il faudrait en discuter localement, collectivement, pour savoir pourquoi et pour mettre quoi à la place. Mais effectivement, il va rester là pour longtemps, car il se fout pas mal, lui aussi, du "destin". Je n'ai ni dieu, ni maître, ni élèves. Et je te déconseillerai fortement de te prendre pour un maître.
  22. Vous confondez, à dessein, provocation individuelle et collective, car vous savez fort bien faire la différence. Mais cela participe de ce déni de la gauche qui préfère avoir tord avec un musulman que, même ne faire que risquer, d'avoir raison avec un quelqu'un de droite. C'est de l'idéologie politique et qui donc favorise une idéologie politique et religieuse qu'elle nimbe de vertu par exotisme idéalisé contre tout raisonnement et surtout par une haine aveugle de son propre pays. Suite de la décolonisation, suite de l'occupation aussi peut-être. Mélange historique qui a cessé de faire la part des choses et qui veut s'oublier en donnant les clés à des gens considérés comme meilleurs parce que moins aisés, car oui, la haine est aussi contre la bourgeoisie... La gauche est devenue une hydre, un peu folle, à plusieurs têtes agressives mais d'autruches lorsqu'elle ne sait plus en en donner. Mais je sais que vous ne changerez pas d'avis, vous êtes pris dans des réseaux de relations qui vous imposent dorénavant de trouver justifications à tout, et vous le ferez. Vous boirez la coupe jusqu'à la lie...
  23. Nous justifions tous et toutes nos pratiques. Il n'est pas toujours facile de voir ce qui est digne d'intérêt et encore moins ce qui est essentiel : la survie de l'humanité dans de meilleures conditions pour les autres espèces ? Oui... Par exemple.
×