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Easle

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Tout ce qui a été posté par Easle

  1. La presque totalité des femmes ont des critères extrêmement durs et solides. Elles ont sélectionnés quelques images du masculins, des publicités alléchantes et y restent attachées. Elles ne se fient qu'à leurs sens (visuel, olfactif, auditif) pour valider ou non un candidat. Elles sont attentives au moindre détail et sont des juristes procédurières sur ce sujet. Lorsqu'elles réaliseront la distance du réel à ce qui leur a été vendu, elle s'en moqueront finalement puisque ce qui compte c'est d'avoir eu cette impression de vivre une intensité cinématographique, romanesque, idéalisée. Elles n'en voudront jamais au tricheur, tant que celui-ci ne sera pas violent ou ne ternira pas l'image qu'elles ont d'elles. La plupart des hommes (je ne parle donc pas des premiers de cordées), n'ont que des critères plastiques vagues et mouvant, mais sans aucune force. Celui-ci n'aime pas les rondes ? Un sourire d'une ronde pas vilaine et il n'a même jamais pensé cela. Cet autre préfère les bcbg ? Une baba cool lui sourit et il part acheter un pat'def' et un collier de fleur.
  2. Tu as une bible ? Il y a quatre versions de mes listes de miracles. Mais bon, j'ai vu Mon pote PoPaul se faire du fric avec ensuite donc j'ai décidé de revenir avec des tarifs sérieux. Tu es un hétéro "pur jus" donc, ok, il y en a, plus d'ailleurs que des femmes hétéros "dures", Les 10 % d'un côté de l'échelle ou et 5 % de l'autre côté ou 12 et 7 si tu veux. Mais bon, ce n'est pas bien grave ! Déjà le fait que tu parles d'un homme dans "tes" bras et non d'être dans "ses" bras ou d'être dans les bras l'un de l'autre expliquent des choses Les êtres humains sont des êtres d'habitudes qui peuvent tous changer d'habitude si les conditions suffisantes sont réunies. Je vais dire presque car il y des gens qui peuvent préférer mourir que de manger de la chair humaine et survivre. A voir jusqu'où vont les verrous mentaux face aux rencontres, aux forces de conviction, de conversion, etc.
  3. Bah, dix ans en mer avec que des mecs sans toucher un port, tu verras, ça roule tout seul. Nous sommes toutes et tous bi, ou indifférencié, avec des tendances et un corps qui les favorise ou non, des rencontres qui les favorisent ou non. Mais faute de grives, tout le monde sait manger des merles ! (pas de blagues sales stp ). Nos calibrages mentaux (habitus) semblent rigides et le sont tant que les conditions ne changent pas ou finalement peu. Mais sinon... L'exemple des guerres est explicite mais partiel. Une réalité post-apo serait bien plus éclairante. Mais bon, je suis sûr que tu vois ce que je veux dire.
  4. Je me cites et me complète suite à ta réaction "Mon Ange" (terme sexiste et appropriateur machiste) en évoquant le fait que certaines choisiront plutôt l'absence de sexe et de relations sentimentales en construisant ce registre comme identité (à l'instar de femmes ou de communautés de femmes durant l'histoire, s'appuyant aux époques antérieures sur la religion), ou sur le saphisme méthodologique (à l'instar des militantes féministes qui le prônaient et devenaient lesbiennes pour éviter l'ennemi : l'homme). Et comme si souvent sur un forum, il y a ce qu'on dit et ce qu'on fait...
  5. La plupart des femmes, sauf ultra féministes virulentes ou Catcheuses (et encore), ont envie, aiment à penser, désirent, fantasment, etc. (de) la protection d'un homme, viril au sens par exemple d'Harrison Ford dans Indiana Jones ou de Russel Crowe dans Gladiator. C'est à dire d'un homme bien fait de corps, sans être culturiste, et très bien fait de tête, et qui ne leur prête qu'une attention secondaire, comme si ses buts et objectifs étaient au loin, que leur regard portait au-dessus d'elle, sur quelque chose de plus élevé. Et qui manifeste ainsi une affection détachée, paternelle en réalité puisque c'est cela qui est évalué. Homme avec une forte confiance en soi, lié à la liberté qu'offre un statut ou la certitude de ne pas en avoir besoin pour exister dans le regard d'autrui qui est acquis, courant, régulier. Avec la douceur, et le tendresse qu'il faut. Pour protéger une femme, il faut donc pouvoir lui donner cette impression. Car il est moins important de la protéger réellement que de lui donner l'impression qu'elle l'est. Et cela ne changera pas. A mesure que des femmes seront des Amazones, des Diana Rigg ou des Diana Prince, ou des Lara Croft, elles chercheront des hommes de plus en plus rares et dans l'exception de ce point de vue. Nous allons tranquillement mais surement vers une sélection à outrance, une Eugénisme radical, avec une préférence en cas d’inaccessibilité au rêve (puisqu'elle le valent bien toutes) pour le célibat et les coups d'un soir, faciles (prostitution masculine gratuite des meilleurs ou des seconds couteaux). Cela fera rire bien sûr... Car il ne faut surtout pas permettre d'y penser sérieusement Toute stratégie de domination le sait.
  6. J'aime tout, la coiffure, le sac, la montre et l'attitude ! Je suis preneur !
  7. Alors, oui et non, échanger avec d'autres tribus n'est pas si intéressant lorsque tu es en situation d'autosuffisance. Échanger des biens n'a pas grand intérêt quand tu n'attribues pas ou peu d'importance aux biens matériels. Par contre il y a une première difficulté : la langue. Et des risques : la jalousie, l'inadéquation des requêtes d'interaction, des pratiques divergentes franchissant des tabous, etc. Donc, c'est la méfiance et l'esquive plus que la curiosité qui préside aux rencontres. La guerre est arrivée par inégalité et surtout par augmentation démographique faisant peser sur les ressources des tensions d'appropriation et de compétition, entre tribus. A l'intérieur d'une même tribu, ce n'est pas de la guerre mais de la résolution des conflits. Je te renvois à Pierre Clastres et à Brian Hayden par exemple.
  8. Mais tu utilises déjà une "quincaillerie" importante Jacky... Réfrigérateur, ventilateur ou clim, voiture, four, sans compter ton ordi... Vas-tu chercher l'eau au puits ? Les robots font partie de l'évolution des techniques... Mais à toute époque il y a une majorité de gens pour déterminer que le progrès technique devrait s'arrêter à celui de leur jeunesse / maturité. Qu'il ne faut surtout pas aller plus loin. C'est un tropisme humain. L'idée que leur belles années ayant été belles pour eux, elles doivent avoir aussi été les plus belles de l'Histoire de l'humanité...
  9. Lis et on en reparle. Sinon, on passe beaucoup de temps à mouliner. D'autant que j'ai écrit d'autres choses puisque Crabe me demandait des explications, donc ! Et si, justement, le paradis de la bible est une réminiscence, une allusion à cette époque, d'avant le travail, qui se conservait dans les mythes et les récits ! Même sans partager peut-être les idées de Juliette, je remarque tout de même que tu arrives sans lire la moitié des posts effectivement avec des a prioris et des ignorances importantes, pour caricaturer et déformer les propos... Si ce n'est pas du troll, alors c'est du militantisme chiant, fatiguant.
  10. Ce sera une activité parmi d'autres et passionnante pour certain-e-s que de se préoccuper de la saisonnalité des aliments, de leurs propriétés médicinales, d'indiquer aux robots où planter quoi, en fonction de critères géologiques et / ou de biocontrôle, esthétiques (paysage), etc. Les humains auront beaucoup à faire pour attribuer des tâches à leurs auxiliaires... D'ailleurs en fonction de leurs envies : Ais-je envie d'indiquer quoi faire à mon robot, je le fais. Ais-je envie de le rendre autonome... je le fais !
  11. A ma connaissance, les travaux de Testart par exemple (Art et religion de Chauvet à Lascau, 2016), reprenant en en dépassant les faiblesses, les méthodes et conclusions d'humilité de Leroi-Gourhan (Les religions de la préhistoire, 1964), considèrent plutôt, avec bien d'autres justement (Je pense notamment à Anne Solomon), que les grottes profondes à peintures sont des sanctuaires, mais sans aucune certitude sur leurs fonctions. Par contre, dissocier religion et loisir relève de l'anachronisme comme les autres dissociations faites ici par beaucoup (Travail / Chasse par exemple). Jusqu'aux années 60, les théories de magie de chasse (Breuil, Begouën), restent acceptées. Il s'agit alors d'une vision effectivement utilitaire naïve : peindre des animaux pour augmenter les chances d'en attraper... Mais cette vision réductrice et simpliste négligeait la sémantique des signes pariétaux, des récurrences de blessures symboliques, de vulves, d'accouplements etc. Outre qu'on ne retrouve pas tant que ça de magie de chasse dans les pratiques artistiques d'ethnies modernes (Australie par exemple). Une autre théorie, chamanique, qui s'est développée des années 30 à la fin du 20e s. imaginait une relation totémique entre homme et animaux réduite à l'usage des chamans pour leur transe ou reproduisant ses hallucinations. Elle a montré tant de limites qu'elle n'est plus réellement soutenue. (Elle avait connu un crédit plus sociétal que scientifique dans les 70s du fait de l'ambiance : drogues et expériences psychédéliques / chamaniques). Testart, rejoint à ma connaissance par la plupart des anthropologues et préhistoriens, étend l'analyse de Leroi-Gourhan en terme de signe, de topographie, de symbolisme. Sans s'intéresser aux conclusions en elle-mêmes (mythographie généalogique matricielle et totémique), on est plus sur une vision spirituelle et ontologique qu'utilitaire A la différence potentielle des arts extérieurs sur des manches, des peignes, des dents ou os, etc. Où les représentations sont autres essentiellement. Par contre, que l'un ou l'autre de ces arts aient des fonctions, c'est un truisme... Et peu importe ces fonctions, pour s'y adonner alors qu'ils ne répondent pas à une satisfaction concrète immédiate (se nourrir, se vêtir, s'abriter), implique un effort qui relève d'un temps passé à imaginer et à réaliser quelque chose, à faire quelque chose d'autre qu'attendre passivement que le temps passe, comme tant d'autres animaux. Et c'est là aussi que penser cette action en terme de loisir ou de travail n'a aucun sens, si ce n'est anachronique. Il s'agit simplement de la quasi impossibilité pour le cerveau humain de ne pas produire des pensées et, le plus souvent, des réalisations concrètes. Mais on se doute qu'il y avait aussi beaucoup d'autres créations qui ne nous sont plus accessibles : en cuirs et peaux, en végétaux, en mots, chants, musiques etc.
  12. Et donc quand une activité a été faite par nécessité une fois, elle doit le rester pour toujours ? Alors, relisez le fil ! NON, oubliez les vieilles visions de votre enfance de l'homme de Cro-Magnon affamé en permanence, elles sont à l'opposé de ce que sait la science de la vie de nos ancêtres préhistoriques. Mais si vous tenez à conserver de telles visions archaïques, vous vous doutez bien que vous sortez du sérieux du débat. Il n'y aucun intérêt à débattre sur des bases fausses. On ne va alors nul part.
  13. donc on a une Morfou qui n'utilise jamais de véhicules, pas de machine à laver, pas de grille pain, pas de four, pas de réfrigérateur, etc. Et bien sûr pas d'ordinateur.... Avec des machines, comme c'est déjà le cas mais en plus nombreuses...
  14. Je vois que tu n'as aucunement envie de débattre... Exemple sur l'eugénisme puisque tu le sors d'on ne sait où... Que tu méprises la limitation des libertés (ce qu'heureusement toute société humaine pratique mais je suis sûr que tu entreras dans des arguties humoristiques.. Qu'on parlait d'absence d'argent et que tu le réintroduis pour inventer une situation d'impossibilité.. Et que ton progressisme est formulé sur une base invisible, que tu postule ex nihilo sans en donner aucun exemple concret, donc de l'idéologie de gauche traditionnellement pure, mais avec des expressions concrètes aussi assez connues Quand tu auras envie de débattre, ne détourne plus les propos... On discutera alors. Et oui... Et de fait les notions ne sont pas les mêmes... C'est une des grandes leçons de la linguistique...
  15. Alors, je ne peux que te conseiller de lire des gens qui ont fait des travaux là-dessus et que j'ai donné au-dessus. Faire accroire (faussement croire) qu'on travaillait plus dans l'antiquité ou la préhistoire est une manipulation capitaliste pour obliger les gens à travailler, pour "naturaliser" l'exploitation de capitaliste qui eux ont surtout été des rentiers.
  16. Déjà le mot a été inventé. Et donc la notion à laquelle il s'applique ne pouvait pas être la même avec d'autres mots... Et indique moi chez qui tu as vu, lu, entendu ça... ? Sans remonter à Aristote, ni même à Hegel ! Et ils sont loin de se poser sur une chaise toute la journée à regarder passer les trains.
  17. Donc, le désœuvrement de nos ancêtres d'il y a 100.000 ans en faisait des dépressifs ? Ou, toi aussi tu penses qu'ils n'avaient pas assez de 24 h pour se nourrir ?
  18. Bien, donc nous en sommes d'accord. Leurs intérêts ne sont pas moindres, ils diffèrent, simplement. Et donc à ce titre tu ne connais pas plus que moi de légumes humains. Et je doute que je ne sais plus qui qui disait en connaître plein en connaisse un seul. Oui, et c'est bien ce pourquoi j'ai parlé d'épigénétique. Il y a de très infimes transmissions. Ce qui a montré surtout que celles massives de l'hérédité des dons qu'on supposait auparavant sont simplement fausses. Les travaux que tu trouveras te montreront des éléments qui remettent simplement la génétique à sa place pour la transmission, très faible et sur peu de générations (sur l'obésité notamment). Et sur des domaines physiologiques essentiellement, aucunement intellectuel. Mieux cela veut aussi dire que tu ne te dois donc rien à toi mais éventuellement quelque éléments à tes parents et donc à LEURS rencontres, vécus, stress, exposition etc. Mais surtout, qu'il est possible de modifier culturellement par l'éducation les paramètres qui sont ainsi trouvés dans ces travaux (stress, obésité, certaines pathologie mentale, etc.). Et que les gènes ne sont donc pas une loi d'airain de l'inégalité (pour ce qui relève des organes, du physique, des maladies transmises on pourra faire des modifications des "expressions" génétiques - d'où ces recherches en médecine.)
  19. Tu peux chercher des travaux qui contrediraient Salhins, je te l'ai dit, on ne discute pas d'un vague essai. On est sur de la science sédimentée. Comme l'héliocentrisme. Car des travaux localisés qui le confirme ont été produit en quantité depuis 50 ans... et il s'appuyait déjà sur beaucoup de données antérieures... Alors ok, la bouffe est première. Mais ce que je disais à ... ben je sais plus qui dont tu as repris la suite (et peut-être pas avec la même idée), c'est que la chasse, si elle est essentielle, n'a aucun caractère de stress, d'urgence, etc. Elle n'est pas pensé comme ça mais comme pour toi de penser à sortir les poubelles si elles étaient pleines tous les jours. Et encore. Beaucoup de chasseurs cueilleurs ne mange pas nécessairement tous les jours. Il est possible de manger lourdement un jour et de ne pas avoir faim avant deux jours. La régularité des repas est une invention de la sédentarisation, et encore, tardive. Manger à heure fixe est encore plus culturel et d'ailleurs pas nécessairement si bon que ça pour l'organisme. Toujours est-il que de fait la Chasse est une activité autant spirituelle, que magique, sportive, ludique, d'initiation, de compétition, politique (pouvoir ou prestige), etc. La notion de travail que nous avons ne s'y applique pas. Tout comme distinguer le religieux du politique n'aurait strictement aucun sens, aucune intelligibilité, pour un égyptien de la 4e dynastie.
  20. D'une tu qualifies d'oisiveté leur possible intérêt pour la bonne cuisson de tel partie de viande etc. Considères-tu qu'ils savent infiniment moins de choses que toi ou qu'ils en savent un peu moins mais aussi et surtout d'autres choses ? su d'autres sujets ? Qu'est-ce qui est valide et légitime dans les intérêts ? Ta curiosité ne vient pas de toi. Elle vient de tes rencontres, de choses infimes que tu as vécu, et que ta mémoire serait bien en mal d'analyser intégralement. Rien dans cela n'est génétique, RIEN ! Je te l'assure avec l'épigénétique pas loin, mais je sais que c'est encore la croyance populaire la plus forte, qui permet à chacun de se sentir plus... ben plus quoi !
  21. Certainement pas. Il est hors de question de permettre à chacun de décider réellement librement. Sinon, un individu pourrait vouloir, pourquoi pas, un million de tonne de fraises par jour pour les regarder se décomposer.. Les limites doivent être collectivement imposées à toutes et tous, strictement et fermement. Après, une éducation intelligente devrait limiter le besoin de sanction à vraiment peu de chose. Et l'abondance n'est pas la profusion, du tout. La première règle de gestion des ressources est de limiter le nombre d'humains, et donc le 'surpâturage' sur les ressources. Faire des humains en qualité et non plus en quantité. C'est aussi simple que ça. Pondérer quoi ? Progressiste pour qui et dans quel sens ?
  22. Ce qu'il montre c'est qu'il faut peu de temps dans une journée à un chasseur cueilleur pour se nourrir et nourri son clan, sa famille etc. De fait le reste du temps a toujours été consacré à raconter des histoires, faire des objets, inventer des charades, des devinettes (on retrouve aussi cette exposition historique chez Huizinga, un historien presque aussi important). Et c'est bien ce qui fait que la culture, l'art, les formes 'religieuses' ou plutôt spirituelles ce sont construite. Et des dizaines de milliers d'année avant la sédentarisation qui avec l'élevage puis l'agriculture, vont au contraire nécessiter beaucoup plus de temps pour se nourrir à ceux qui produisent mais !!! Libérer certains qui vont se spécialiser. De fait les possibles, avec les besoins, explosent, produisant une embolie du 'travail' qui est ainsi apparu. Et toujours avec des profiteurs de ce 'travail', exploiteurs, qui ne font d'ailleurs pas souvent 'rien' pour autant, mais discutent, apprennent des langues, font de la musique, des lois, lisent, écrivent, font la guerre, etc. font rarement des choses socialement utiles mais ne sont toutefois pas inactifs au sens de légumineuses.
  23. Euh attendez tous les deux, parce que leurs intérêts ne sont pas aussi vifs et hyperactifs que les votres, ces gens ne s'intéressent à RIEN ? en se 'contentant' du jardin, du bricolage ? Et ce sont des gens qui visiblement travaillent, donc soit ils sont passionnés par leur travail soit il est alimentaire et cela veut dire qu'ils sont trop fatigués par ce travail pour avoir le temps de récupération et de projection pour s'attacher à quelque chose, mais nullement qu'ils sont sans capacité à des intérêts... Vous jugez vite les gens et leurs possibilités O_O' D'autres part on ne peut pas dire que nos systèmes d'éducation soit ultra performant pour apprendre à aimer apprendre. donc... qzkfslhlsdvl ! Ok, si chaque individu a 100 robots, non pas en propriété privée, mais en propriété sociale, collective, qui se reproduisent et produisent tout ce dont il a besoin. Quel intérêt à l'échange monétaire ? Tu offres : dons et contre-dons...
  24. Ce n'est pas de la théorie philosophique. Il donne des exemples historiques, ethnographiques, il démontre ce qui sont des faits. Et je ne connais personne de sérieux dans le domaine (et personne d'ailleurs) qui le remette en cause aujourd'hui. Mais je sais que ce n'est pas assez connu, alors que Salhins, est avec Levi-Strauss l'un des plus grands anthropologues du 20e s. Mais cela remet en question des apprentissages mais qui font office de fondements, justement, aux mécanismes de hiérarchie par la division du travail. Et oui...
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